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élections - Page 372

  • Marine Le Pen fait face à une opération médiatique de grande ampleur

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    A un mois et demi des élections présidentielles, la charge politique et médiatique contre Marine Le Pen ne faiblit pas. Mise en cause de manière assez floue dans une affaire hautement médiatisée d’emplois fictifs au Parlement européen, cible de livres et d’articles sur la prétendue corruption du Front National qui sortent à point nommé et caricaturée dans un film sur un parti nationaliste, Marine Le Pen doit faire face à une opération d’une ampleur qui n’est pas sans rappeler celle menée contre Donald Trump.

    Où en est cette campagne médiatique ?

    Dernier rebondissement : le scandale orchestré autour d’une de ses déclarations lors de son meeting nantais de dimanche. En effet, lors de son discours elle a déclaré, je cite : « Je veux dire aux fonctionnaires, à qui un personnel politique aux abois demande d’utiliser les pouvoirs d’État pour surveiller les opposants, organiser à leur encontre des persécutions, des coups tordus, ou des cabales d’État, de se garder de participer à de telles dérives. Dans quelques semaines, ce pouvoir politique aura été balayé par l’élection. Mais ses fonctionnaires, eux, devront assumer le poids de ces méthodes illégales. Ils mettent en jeu leur propre responsabilité. L’Etat que nous voulons sera patriote ». Unanimement, les responsables politiques de gauche, les médias et les syndicats, dont le très militant Syndicat de la magistrature, se sont insurgés contre ce qu’ils qualifient de « menaces édifiantes ».

    Quel est l’objectif de cette opération particulière ?

    En réagissant publiquement et en tirant à boulets rouges sur Marine Le Pen par voie médiatique, les différents acteurs de l’opération menée contre elle espèrent bien créer une tempête dans un verre d’eau. Marine Le Pen a, à juste titre, déploré et mis en garde contre une instrumentalisation militante de la justice par certains fonctionnaires, révélant ainsi une inquiétude légitime par rapport à leur capacité à accomplir leur devoir en cas de victoire du parti qu’ils s’évertuent à abattre. Néanmoins, la polémique médiatique entretenue par des articles qui citent les communiqués syndicaux sans citer les propos de Marine Le Pen visent à dépeindre une version tronquée et parfois mensongère de la réalité. Une version ou Marine Le Pen, dictateur en puissance, aurait menacé d’envoyer de simples fonctionnaires faisant leur travail au goulag. Une technique médiatique qui n’est pas sans rappeler celles employées contre Donald Trump lors de la campagne étatsunienne. Il nous reste donc à espérer que les électeurs aillent consulter l’intégralité des propos de Marine Le Pen avant de se faire une idée.

    http://fr.novopress.info/

  • Peuple, le mot qui fâche les élites mondialisées

    Est-ce la peur de souffrir de la comparaison avec l’accueil assez unique,  particulièrement chaleureux reçu hier par Marine lors de sa visite? François Fillon a curieusement reporté sa visite au Salon de l’agriculture, prévue depuis très longtemps sur son agenda officiel,  sans préciser les raisons de ce  report. Son  porte-parole Jérôme Chartier,  en pleine pensée magique et fustigeant le populisme,  expliquait pour sa part doctement ce matin sur France Inter au micro de Patrick Cohen que l’abandon de l’euro ferait perdre 450 milliards aux épargnants français! Pourquoi s’arrêter en si bon chemin et ne pas avancer le chiffre de 900 milliards? Une banqueroute complète  précédant  une invasion de sauterelles et  de crapauds? Après tout c’est peu ou prou ce qui devait se produire après la (ré)élection de Vladimir Poutine, et récemment avec  la victoire du Brexit et de Donald Trump.  Le mensonge sur la monnaie unique est  ressassé par une  fumeuse propagande européiste aujourd’hui battue en brèche par des centaines d’économistes de premier plan et plusieurs prix Nobel. Mentir ou se cacher la tête dans le sable comme le font les écuries présidentielles  bruxelloises achèveront de les discréditer.

    Ce qui pour le coup n’est pas de l’ordre du fantasme ce sont les liens du candidat Fillon avec des puissances d’argent qui n’ont pas d’état d’âme souverainiste et patriotique. Libération rappelait que M. Chartier était impliqué dans « le Cercle de réflexion, think tank »  baptisé  Les Entretiens de Royaumont, sis en l’abbaye du même nom (Val-d’Oise).  « A la manœuvre, Jérôme Chartier, élu local et intime de Fillon. Ex-maire de Domont (Val-d’Oise). »  « les Entretiens de Royaumont font défiler une étonnante faune politico-financière, invitée à disserter sur des thèmes réputés transpartisans. Hollande, alors premier secrétaire du PS, s’y est collé en 2009, sur le thème Rêvons le capitalisme. Un an plus tôt, un étonnant aréopage avait colloqué pour structurer la croissance française  : Valls, Sapin et Cahuzac à gauche, Fillon, Guaino ou Copé à droite. La liste des sponsors des Entretiens de Royaumont : Axa, BNP Paribas, Total, Orange… Beaucoup de leurs patrons sont des proches, voire des intimes de Fillon. C’est le cas d’Henri de Castries  fidèle entre les fidèles, qui espérait bien entrer au gouvernement une fois son candidat à l’Elysée. En tant que patron d’Axa, il est d’ailleurs déjà directement client de 2F Conseil, la société de Fillon (200 000 euros). Patron de Total, Patrick Pouyanné est, lui, l’ex-directeur de cabinet de Fillon au ministère des Télécommunications. Ou encore Augustin de Romanet (secrétaire général de l’Elysée sous Chirac et président d’Aéroports de Paris), à la fois financier et intervenant aux colloques. »

    Dans un autre registre, le journal du macroniste  Patrick Drahi  expliquait  hier à ses lecteurs que l’indignation des frontistes devant la cabale judiciaire dont ils sont l’objet sentait le réchauffé: « Acharnement judiciaire en période électorale? Le FN a le même argument depuis trois ans » . Il n’est pas venu à l’idée de nos  détracteurs que si cet  argument est effectivement répété  c’est qu’il correspond à la réalité vécue par le FN depuis que le prévaricateur socialiste Martin Schulz, épaulé alors par  Christiane Taubira, a lancé cette  abracadabrantesque  persécution. Une justice qui  a  jugé également que l’épithète de fasciste (dixit   Jean-Luc Mélenchon) pour qualifier Marine n’était pas condamnable. « Dans son arrêt, la Cour, qui juge la bonne application du droit, estime que les propos poursuivis, outrageants pour Marine Le Pen mais exprimant l’opinion de leur auteur, dans le contexte d’un débat politique, au sujet des idées prêtées au responsable d’un parti politique, ne dépassaient pas les limites admissibles de la liberté d’expression Liberté d’expression toujours à géométrie variable et dont le périmètre n’est pas le même en fonction de la personne qui en use constate Bruno Gollnisch. 

    C’est devant un autre tribunal que François Hollande a choisi d’attaquer le camp national et patriotique.  Nous l’avions annoncé, et c’est une première sous la Ve République, il s’est rendu lundi au siège du Grand Orient de France (GODF) , dont le nouveau grand sachem est Christophe Habas, pour discourir et assister à la cérémonie  300 ans de franc-maçonnerie, 300 ans d’émancipation (sic). M Habas, qui était le candidat adoubé par son prédécesseur, le très extrémiste Daniel Keller, avait  mené « dans son premier discours interne au Convent (le 26 août 2016),  une charge très offensive contre le FN… et l’extrême-droitisation des politique (…). La laïcité a-t-il notamment déclaré est une laïcité d’intégration et d’émancipation et non pas la laïcité identitaire et xénophobe du Front National qui a récupéré ce principe pour masquer ce qui n’est jamais qu’un racisme dirigé contre l’Islam, contre les Islam, dans une volonté d’essencialisation dangereuse qui ne connaît pas la réalité historique et sociale de cette religion.»

    Aux propos convenus, d’une grande indigence et malhonnêteté intellectuelles du nouveau grand  maître de cette secte,  a répondu la tirade toute aussi peu finaude et biaisée d’un François Hollande en pleine tournée d’adieux. Devant la  quinzaine d’obédiences  maçonniques, il  a rendu hommage aux grands ancêtres se plaçant  symboliquement  sous leur protection et leur magistère  : «  La République sait ce qu’elle vous doit, et je sais que vous serez toujours là pour la défendre, et je serai moi aussi toujours là (…) pour prendre cette responsabilité».  Le plus calamiteux des présidents de la Vème république  a aussi fait  mine de comprendre que dans son discours à Nantes, Marine avait menacé les fonctionnaires, alors qu’elle  dénonçait les pressions dont ils sont victimes de la part duSystème politique, les appelant à garder leur neutralité à ne pas céder au « gouvernement des juges »,  à  ne  « pas contrecarrer la volonté du peuple ».

    Peuple… encore et toujours le mot qui fâche nos élites mondialisées, peuple français dont les grands orientaux et beaucoup plus largement tous les bénéficiaires des prébendes et  des fromages ripoupblicains  ont tant peur qu’il siffle dans quelques semaines la fin de la récréation...

    https://gollnisch.com/2017/03/01/peuple-fache-elites-mondialisees/

  • BFMacron ou la grosse artillerie anti-Marine…

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    Le ton, sur cette chaîne, a changé du tout au tout depuis que les sondages confirment la montée en puissance de Marine Le Pen.

    Si ce n’est pas un mot d’ordre, ça y ressemble beaucoup. La coïncidence serait trop forte pour qu’elle en soit vraiment une. Nous savons que tous les grands candidats du cénacle (sauf Marine Le Pen) ont derrière les bureaux rédactionnels parisiens des hommes à eux, et pas des moindres. Mais c’est le dernier-né de la galaxie politique qui semble faire la course en tête dans ce domaine. On a la nette impression que certains médias ont reçu récemment l’ordre de passer à la vitesse supérieure pour appuyer le chouchou en perte de vitesse dans les sondages et attaquer la candidate du FN.

    Pour l’instant, on laisse Fillon à ses affaires sans trop l’enfoncer car Macron aura besoin d’une partie de ses voix au deuxième tour en cas d’élimination. C’est donc sur Marine que converge le feu destructeur médiatique, puisque c’est là que se trouve le plus grand danger pour le système.

    Même si Le Monde de Pierre Bergé, Xavier Niel et Matthieu Pigasse caracole en tête du peloton anti-Marine Le Pen, il semble qu’au sein de la presse dite indépendante, celui qui vire en tête avant la dernière ligne droite est bien « BFMacron ».

    Le ton, sur cette chaîne, a changé du tout au tout depuis que les sondages confirment la montée en puissance de Marine Le Penpour le premier tour des élections présidentielles. On prend soin d’inviter Florian Philippot, qui est chargé de monter au front télévisuel pour donner le change de l’impartialité, mais on l’attend au virage en invitant, non pas des contradicteurs soucieux de débattre, mais des bombes télévisuelles chargées de lui exploser à la figure. David Doucet, rédacteur en chef des Inrocks, en est la dernière illustration la plus flagrante. Titillé par une Nathalie Levy qui avait, pour l’occasion, retourné sa veste de journaliste de service pour endosser celle de procureur anti-Marine, il n’a eu de cesse de déstabiliser Philippot, qui est resté d’un calme olympien. On couvre le meeting de Marine Le Pen à Nantes mais on s’astreint, non pas à essayer de décortiquer ses propos, mais à la détruire dans les analyses post-meeting.

    L’establishment parisien a sorti sa grosse artillerie pour défendre un homme du sérail bancaire. L’ex de chez Rothschild se sent pousser des ailes puisqu’un de ses appuis, Matthieu Pigasse, vient, lui, de chez Lazard Frères et parle le même langage. Pour couronner ce tout béni par la finance internationale, il faut savoir que la nouvelle coqueluche des affaires, le Franco-Israélo-Marocain Patrick Drahi – dont la société SFR a une participation de 49 % dans NextRadioTV, maison mère de BFM TV et RMC -, doit un retour d’ascenseur à Emmanuel Macron, qui lui a ouvert beaucoup de portes et facilité quelques prises de participations.

    La boucle du noyautage télévisuel est bouclée…

    http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrelenoir/bfmacron-grosse-artillerie-anti-marine,316260

  • Face à Emmanuel Macron, l'union des droites ?

    Ivan Rioufol plaide pour l'union FN-LR contre Emmanuel Macron :

    "Reste que l’affaiblissement de Fillon, s’il devait se confirmer, oblige les droites à examiner dès à présent l’hypothèse interdite de leur rapprochement. La question qu’elles ont à se poser est : qu’est-ce que nous ne voulons plus ? Et la réponse est : … de tous ces gens qui veulent brader la France. Les Républicains et le FN ont un même adversaire en la personne de Macron, faux nez de la gauche en déroute. Si ce dernier devait affronter Marine le Pen au second tour, beaucoup d’électeurs LR reporteraient leurs voix sur le FN, en dépit de son programme économique. Mais cet apport serait probablement insuffisant sans des ralliements de personnalités capables d’enrichir, de rééquilibrer, de tempérer un futur gouvernement. Je vois bien ce que cette éventualité a pour l’instant d’improbable, même si Marine Le Pen a lancé ce matin, au Mont Saint Michel, un "appel à l’unité des Français". Mais il s’agit de savoir ce que l’on veut : une nation normalement souveraine, ou une auberge espagnole. J’observe que Fillon est notamment venu hier au secours de la présidente du FN, dont la venue à Nantes a été le prétexte aux violences fascistes de l’extrême gauche : le candidat a en effet dénoncé un climat de "quasi guerre civile". Ce lundi dans Le Figaro, Laurent Wauquiez, vice-président de LR, défend des valeurs que ne renierait pas le FN : "Le travail, l’effort, l’identité de notre pays, le refus du communautarisme". Wauquiez voit Macron comme quelqu’un "qui n’aime pas notre histoire (…). Il n’aime pas notre identité (…) Il n’aime pas la famille, il n’aime pas la nation. Une victoire de Macron serait un hold-up". En cas de duel Macron-Le Pen, Wauquiez oserait-t-il rallier Le Pen ?..."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Jeanez Marre - Les émeutes de Nantes attribuables au (((gouvernement))) français

  • Patriotes contre mondialistes

    Monde-et-Vie-Vanneste-Macron-251x350.jpgL’opposition traditionnelle entre droite et gauche est-elle obsolète ? Elle semble aujourd’hui faire place à une confrontation entre patriotes et mondialistes, symbolisée par l’affrontement entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron.

    Emmanuel Berl considérait jadis l'opposition politique entre droite et gauche comme « la distinction de beaucoup la plus vivifiante pour la masse de l'électorat français ». Alain de Benoist, dans son livre Le Moment populiste, estime qu'aujourd'hui, cette contradiction est « en passe de perdre une grande partie de sa signification ». Or, les deux personnalités que les sondages placent en tête au premier tour de l'élection présidentielle, Marine Le Pen et Emmanuel Macron, partagent tous deux cette analyse.

    En 2014, la candidate Front national avait déjà annoncé « la fin de la bipolarisation de la vie politique », à laquelle elle considère, comme elle l’a dit le 9 février sur France 2, que s'est substituée la confrontation entre patriotes et mondialistes.

    En avril 2016, Emmanuel Macron avait lui aussi récusé cette fracture gauche-droite, en pratiquant le double discours qui le caractérise : « Je suis de gauche, j'assume d'où je viens. Mais je veux fonder une offre politique progressiste, car le vrai clivage aujourd'hui, il est entre les progressistes et les conservateurs, plus qu'entre la gauche et la droite. (...) Ce n'est donc pas "ni droite, ni gauche" mais et "droite, et gauche" car nous devons rassembler toutes les bonnes volontés autour d'un projet commun. »

    « En marche ! », donc, vers ce mystérieux projet, qui pour l'instant ne contient rien de précis, hormis les ambitions d'Emmanuel Macron. Trader impénitent, celui que les instituts de sondage placent en deuxième position au premier tour de la présidentielle vend des mots qui n'ont pas plus de réalité que l'économie irréelle qui a fait sa fortune. Ainsi, lorsqu'il déclare, le 14 février lors d'un déplacement en Algérie, que sa colonisation fut un «  crime contre l'humanité » : curieux « crime », en vérité, dont il avouait pourtant en novembre dernier qu'il avait permis « l'émergence d'un État, de richesses, de classes moyennes... ». Mais le banquier en attend un retour sur investissement que ne dirait-on pas pour « draguer » les électeurs français d'origine immigrée, fut-ce au risque de jeter de l'huile sur les feux allumés au même moment dans les banlieues ? Le même motif explique les propos qu'il a tenus le 4 février lors d'une réunion publique à Lyon « Il n'y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse. » On aurait cru entendre l'ancien ministre de l'identité nationale de Nicolas Sarkozy, Eric Besson, en 2010 à La Courneuve.

    Des mots contre les maux

    Macron a des intérêts, pas de convictions. Avec le même aplomb, il fait semblant de regretter - lui que soutient Pierre Berger ! - qu'une partie de la France ait été humiliée lors du vote de la loi Taubira sur le pseudo « mariage pour tous » affirme, au Puy du fou, n'être pas socialiste, après avoir été secrétaire général de l'Elysée et ministre sous Hollande ou tente-t-il, lors des fêtes de Jeanne d'Arc à Orléans, de récupérer la Pucelle - ce qui ne l'empêche pas, le 10 janvier, de prononcer un discours en anglais à Berlin, en plaidant devant un public allemand pour un « Schenghen renforcé ».

    Macron ressemble en réalité à Cauchon plutôt qu'à Jeanne... Il n'existe que par ce qu'il représente et qui le porte le mondialisme et les puissances d'argent qui ont partie liée avec le mondialisme, dont le gérant associé de la banque Rothschild est le féal. À cet égard, il est symbolique et significatif qu'il ait fait appel, pour animer sa campagne présidentielle, à Bernard Mourad, ancien de la banque d'affaires Morgan Stanley et proche collaborateur de l'affairiste franco-maroco-israélien Patrick Drahi. Macron est le candidat de la haute finance internationale, libre-échangiste favorable au CETA (cet équivalent canadien du calamiteux TAFTA), partisan de l'immigration et de la politique d'ouverture aux migrants d'Angela Merkel pour des raisons d’ « opportunité économique », dût-on l'imposer au peuple français « Ce n'est pas un sujet sur lequel on doit gouverner aux sondages », déclare-t-il en septembre 2015, lors d'une visite en Israël. « L'histoire a montré que quand on suit parfois la volonté des peuples, surtout dans des moments difficiles, on se trompe. »

    Marine Le Pen voit juste, la présidentielle de 2017 n'oppose pas tant la droite à la gauche que les patriotes aux mondialistes. Mais comme le système financier dont il est le produit, Macron ressemble à la statue du songe de Nabuchodonosor cet homme d'argent a une tête d'or, mais des pieds d'argile.

    Hervé Bizien monde&vie 23 février 2017

  • Marine Le Pen remporterait la Présidence au second tour selon un dernier sondage – Les VRAIS chiffres dévoilés

    Si les élections présidentielles du second tour avaient lieu aujourd’hui, Marine Le Pen serait élue Présidente de la République! Le sondage Kantar Sofres Onepoint, en dépit de l’habile manipulation des chiffres du Figaro aujourd’hui lundi, révèle donc une montée fulgurante de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle, qui lui ouvre tous les espoirs à deux mois du scrutin définitif. Et cela en dépit d’une campagne médiatico-judiciaire hystérique! Mais examinons les chiffres du sondeur, habillement maquillés dans l’article du Figaro publié ce jour:

    Le Figaro, entièrement gagné à la gauche caviar et immigrationniste en faveur de Macron, titre pompeusement aujourd’hui: « Sondage : Le Pen et Macron en tête au premier tour de la présidentielle, Fillon distancé ». De la pure manipulation de chiffres!

    Examinons LES RÉSULTATS RÉELS de ce sondage, publiés par l’institut de sondage lui-même:

    Premier schéma: quelque soit le cas de figure: Macron ou Fillon, la candidate souverainiste augmente spectaculairement son score au deuxième tour :

    Ainsi que le montre ce schéma du sondeur, Marine atteindrait 45% des voix (+ 7 points) contre 55% à Fillon (-5%), se rapprochant encore un peu plus de la barre des 50%. Et elle atteindrait le score de 42% (+ 7 points) face à Macron 58% (-7 points). Mais ces chiffres sont encore sous-estimés pour Marine Le Pen, ainsi que le révèle plus bas le deuxième schéma.

    Parce que, d’une part, Macron n’a que peu de chances d’être au second tour face à Marine

    Le Figaro, comme tous les médias mainstream sous influence, aimerait bien que Marine se retrouve face à Macron parce que celui-ci, au second tour, serait, selon eux, davantage susceptible de lui faire barrage! ILLUSION! En réalité suivant ce sondage, Macron n’a que peu de chances de se retrouver au second tour face à Marine Le Pen. 

    Second schéma: Les chiffres réels de ce schéma du sondeur augmentent, en réalité, considérablement le score de Marine Le Pen. En effet 78% des sondés en faveur de Marine sont sûrs de leur choix, alors que seulement 58% des sondés en faveur de Fillon sont sûrs de leur choix et SEULEMENT 54% des sondés en faveur de Macron sont sûrs de leur choix.

    Observez bien le schéma du sondeur qui révèle la réalité des chiffres!

    La Baudruche Macron se dégonfle 

    Mais où les magouilles du Figaro sont les plus criantes c’est sur la baudruche Macron: SEULEMENT 54% des sondés sont sûr de leur choix en sa faveur, ce qui réduit considérablement le score de Macron au premier comme au second tour qu’en l’état actuel de ce sondage il a peu de chance d’atteindre. Et ce qui fait de François Fillon avec ses 58% de votes sûrs en sa faveur, le probable adversaire perdant de Marine Le Pen au second tour. Mais Fillon ou Macron, ce serait Marine qui l’emporterait selon ce sondage.

    Manifestement plus personne ne croit les Journaux télévisés, ni la presse de la haute finance!

    Les chiffres du sondage donnés par Le Figaro qui l’a commandé, ne précisent pas le taux de votes sûrs pour chaque candidat au second tour. Un « oubli » qui manifeste probablement de mauvais taux pour Emmanuel Macron et un bon taux pour Marine Le Pen. La sûreté des votes qui sont régulièrement autour de 80% en faveur de Marine Le Pen au second tour à travers tous les sondages, sont au contraire beaucoup plus volatiles au second tour pour Emmanuel Macron, ce qui ne ferait que renforcer encore le socle positif des électeurs en faveur de la candidate frontiste. Mais en ne nous en tenant qu’aux chiffres du premier tour, les seuls publiés par le Figaro qui se trouvent dans le schéma ci-dessus, avec 20% d’électeurs sûrs en plus, Marine Le Pen devrait aisément flirter avec les 50% nécessaires pour être élue, d’autant plus qu’un certain nombre d’électeurs volatiles de François Fillon et même d’électeurs égarés de Macron, devraient venir consolider l’électorat de Marine Le Pen. 

    Conclusion: Marine a toutes les chances de rentrer à l’Elysée en mai prochain!

    Ainsi, n’en déplaise au Figaro, aux hyènes de l’information, et aux manigances de François Hollande avec le Syndicat de la Magistrature, si les élections présidentielles du second tour avaient lieu aujourd’hui, Marine Le Pen serait élue Présidente de la République! Ce sondage en pleine tempête judiciaro-médiatique contre Marine Le Pen révèle donc une montée fulgurante de Marine  au second tour de la présidentielle qui lui ouvre tous les espoirs à deux mois du scrutin définitif.

    emiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-remporterait-la-presidence-au-second-tour-selon-un-dernier-sondage-les-vrais-chiffres-devoiles/70165/

  • En France, le retour du peuple

    PAR CHRISTIAN TARENTE

    Les événements extérieurs survenus en 2016 - succès international de Poutine, Brexit, élection de Trump -, tout à fait inattendus, ont heureusement surpris ceux qui aspirent à secouer le cocotier mondialiste. En réalité, ils n'ont pas de quoi nous réjouir : alors que le monde se réveille, nous, Français, continuons à nous repaître de combats de coqs dans des fonds de basse-cour... Comment voir autrement ces fameuses « primaires », qui étaient censées apporter une modernisation décisive à notre vie démocratique ? Le pays légal reste fidèle à son refus de prendre en compte le bien commun. Pourtant, le peuple de France multiplie les signes de son réveil. Longtemps leurré par le rêve mondialiste - horizon irremplaçable des élites, de la classe politique et des médias -, il a eu peu à peu les yeux dessillés par le réel. Sur au moins trois plans : les conséquences de l'immigration exorbitante ; les résultats d'une économie livrée aux seules forces du marché planétaire ; enfin, les perspectives menaçantes ouvertes par le rejet de toute éthique naturelle. Dans ces trois cas, on a pu voir des révoltes gronder. Le jour où elles sauront comprendre ce qui les relie et se coordonner, les Français seront mûrs pour passer de la simple révolte à la révolution culturelle globale que la situation exige.

    LE PEUPLE NOUS DEÇOIT : CHANGEONS LE PEUPLE !

    On a vu comment l'immigration, répondant initialement à des besoins purement économiques, a progressivement engendré un monstre idéologique où les fantasmes d'un nomadisme généralisé ont rejoint les vieilles haines contre le passé de la France, et d'abord son patrimoine chrétien. Des populations assimilablestant qu'elles étaient peu nombreuses et qu'il y avait volonté de les intégrer, se sont retrouvées trop importantes pour pouvoir éviter plus longtemps un clivage culturel dommageable à tous. On se rappelle les « odeurs » dénoncées par Chirac, en dépit de son « progressisme » revendiqué. L'Islam lui-même, dans ses aspects socio-politiques comme sur le plan des moeurs (voile, hallal, etc.), a fini par apparaître comme destructeur du mode de vie français. Les élites, au lieu de prendre le problème à bras le corps, se sont abritées derrière une ligne de défense : la dénonciation de l'islamophobie. Une digue qui s'est révélée de plus en plus fragile.

    Confronté à ces nouvelles réalités, le peuple les a d'abord subies passivement comme on subit les intempéries. Puis il a réagi, avec ses seuls moyens : le racisme, c'est-à-dire le rejet global de l'autre, ou, lorsque des élections lui en donnait l'occasion, le vote Front national. Il est indéniable que, sur ce sujet, le peuple attend désormais du pouvoir, quel qu'il soit, une politique forte. Mis à part les discours électoraux, qui n'engagent « que ceux qui y croient », rien n'indique encore que les élites en aient pris conscience : en 2016, la seule immigration « légale » est en nette croissance par rapport à 2015, et représente l'équivalent de villes comme Bordeaux, Rennes ou Le Havre. « Grand remplacement » ? « Changement de peuple » ? En tout cas, on voit bien qu'il y a là un facteur déterminant de ce qu'il est convenu d'appeler la « droi-tisation » de la société.

    LA CASSE ÉCONOMIQUE

    Un nom marque l'origine du grand dérapage économique que nous continuons de vivre, même s'il a du plomb dans l'aile : Jean Monnet. Après la Libération, Monnet s'est habilement allié à la démocratie chrétienne alors au pouvoir, imperméable aux arguments gaulliens, et qui, naïve, n'a pas vu où il voulait l'emmener, et la France avec elle. Monnet, c'était le libre-échange généralisé, européen et transatlantique pour commencer, et c'était le triomphe des puissances d'argent. C'est son programme qui a été réalisé, non sans certains succès économiques, mais avec des effets pervers, destructeurs en profondeur de la société, tant sur les plans politique, social et humain que du point de vue économique lui-même.

    FRANCE PÉRIPHÉRIQUE ET HORREUR ANTHROPOLOGIQUE

    On lui doit notamment la dislocation méthodique du tissu industriel français, et le chômage qui lui est lié. Le résultat, consternant, est surtout humainement dramatique. La description clinique du stade actuel en a été faite par le géographe Christophe Guilluy, notamment dans son livre La France périphérique (Flammarion). Encore n'est-ce qu'un des aspects d'une dérive progressive, une véritable fuite en avant : elle a conduit à construire l'Europe contre les nations, alors qu'il fallait au contraire, pour qu'elle soit durable, bâtir la solidarité européenne sur la reconnaissance des réalités nationales, bref, faire l'Europe des nations. La prise de conscience de cette réalité par le peuple de France est sans doute longue et difficile, tant la propagande « pro-européenne » est omniprésente, mais le rejet progressif de l'oligarchie encore dominante prélude à une remise en cause de tous ses dogmes. Le Brexit en a été un signal retentissant.

    Simone Veil, auteur de la loi autorisant l'avortement, ne semble pas en considérer les suites sans quelque désarroi. Sur le mode de Guillaume II disant de la guerre mondiale qu'il avait provoquée : « Je n'ai pas voulu cela. » Les suites de la loi Veil, c'est l'application systématique d'un « effet cliquet » conduisant à avancer sans cesse vers une destruction croissante de la nature humaine. Selon la formule d'Alphonse Allais, « quand on a passé les bornes, il n'y a plus de limites... » C'est en effet ce à quoi on assiste, faisant redouter le pire des perspectives annoncées par le « transhumanisme ». À cet égard, l'optimisme invétéré d'un Luc Ferry n'est, hélas, pas de nature à nous convaincre, contrairement aux mises en garde de beaucoup d'autres, comme Jean-Pierre Dickès.

    Cet « effet cliquet » paraissait inéluctable quand la décision d'étendre l'institution du mariage civil aux homosexuels a fait déborder le vase. Et ce fut la grande révolte populaire de la Manif pour tous. Sans effet apparent, puisque l'autisme des parlementaires a imposé le vote de la loi, mais la résonnance en a été profonde : on sait désormais qu'une réaction est possible, le printemps 2013 en constitue une butte-témoin, prélude à l'indispensable révolution culturelle de demain.

    Le retour du peuple fait peur à ceux qui ont tôt fait de le stigmatiser en le qualifiant de « populisme ». Ils se gardent bien de donner la moindre publicité au « Baromètre politique français », le dispositif d'enquête électorale le plus complet jamais réalisé en France, dû au Centre de recherches politiques de Sciences Po, le CEVIPOF. On y constate que, depuis des années, l'institution dont les Français ont la meilleure opinion est... l'armée. Suivie de la police et des PME... Et cette tendance ne cesse de croître. Le retour du peuple ? Ce sont maintenant les statistiques officielles qui l'annoncent..  

    Politique magazine, février 2017  -  Consulter ... S'abonner ...

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  • Tous les coups sont permis

    Réalisés après l’annonce du ralliement de François Bayrou à Emmanuel Macron, les nouveaux  sondages Kantar Sofres Onepoint pour LCI et Odoxa-Dentsu Consulting pour France 2 diffusés  hier,  indiqueraient  que si le premier tour de l’élection présidentielle avait lieu ces prochains jours, François Fillon, avec 19 à 20% des voix serait éliminé du second tour au profit  du candidat préféré de Bruxelles, de  la finance internationale et  des cénacles mondialistes, Emmanuel Macron (25%). Ce dernier ne semble pas pâtir, et cela peut tout de même surprendre, de ses bourdes et de la vacuité de plus en plus visible de son discours.  Marine Le Pen maintient sa première place et continue même  à progresser  avec 27% des voix.  Dans ce climat de fin de règne et de dynamique nationale, il n’y a rien d’étonnant à ce que le Système multiplie les attaques, tous azimuts,  contre le camp national et patriotique. On le voit bien sûr avec les persécutions judiciaires orchestrées contre le FN par certaines instances bruxelloises et relayées en France par le pouvoir socialiste. Hier à Nantes, Marine a d’ailleurs appelé solennellement  les magistrats à « ne pas contrecarrer la volonté du peuple ». « L’Etat de droit est le contraire du gouvernement des juges.  Les magistrats sont là pour appliquer la loi, pas pour l’inventer, pas pour contrecarrer la volonté du peuple, pas pour se substituer au législateur ».

    Parallèlement aux attaques contre le FN dans l’affaire dite des assistants parlementaires, une nouvelle offensive a été lancée ces derniers jours avec la mise en examen  du dirigeant de la société Riwal, Frédéric  Châtillon,  prestataire de service du FN.  Certes, ce n’est pas une surprise, le 22 février lors de son passage au JT de TF1, Marine avait prévenu les Français que  les coups bas, les manips médiatiques ne faisaient que commencer… Car il s’agit  de tout faire pour porter au pouvoir  le « candidat des assurances »  ou celui  « des banques et des médias » relevait encore la présidente du FN  hier. «  Voyez avec quel zèle les puissances d’argent prennent ouvertement parti pour Emmanuel Macron, comme Pierre  Bergé  qui met son journal Le Monde à son service… »

    Les supplétifs du Système que sont les milices d’extrême gauche sont également entrées dans la danse, chargées par le pouvoir  de créer un climat anxiogène de violences autour de la campagne du FN et des déplacements de sa candidate. Le but poursuivi est assez limpide:  faire peur aux Français en brodant sur le thème plus ou moins  subliminal  du voyez ce qui vous attend si Marine gagne la présidentielle… ». Ce fut la cas cette fin de semaine avec la mise à sac du centre-ville de Nantes lors de la manifestations organisée notamment à l’appel  de  l’Union démocratique bretonne (UDB) et des zadistes de Notre-Dame des Landes. «11 policiers et gendarmes ont été blessés et contusionnés». Parmi eux, un gendarme a été brûlé au deuxième degré aux jambes. Il a été hospitalisé », a précisé un communiqué de la  gendarmerie.

    Hier, un bus transportant des frontiste a été attaqué par des zadistes sur la RN137,  à proximité de Notre-Dame-des-Landes, la route ayant été coupée pour empêcher l’arrivée au Zénith de Nantes où Marine a tenu une réunion qui a battu tous les records d’audience sur cette terre de l’ouest  réputée rétive au vote FN… Le ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux a «condamné avec la plus grande fermeté les violences commises»;  ce qui ne mange pas de pain mais ne lève pas les interrogations légitimes sur le maintien de l’autorisation accordée  à cette manifestation d’extrême gauche, - a fortiori en plein état d’urgence-,  dont il était évident qu’elle serait le théâtre de débordements et d’exactions.

    La palme de l’hypocrisie pourrait être aussi  attribuée  à François Fillon qui dans un communiqué a accusé  « solennellement le Premier ministre et le gouvernement de ne pas assurer les conditions d’un exercice serein de la démocratie », « ils portent une très lourde responsabilité en laissant se développer dans le pays un climat de quasi-guerre civile qui ne peut que profiter aux extrêmes ».  Mais le candidat de la droite libérale s’est aussi signalé en établissant un parallèle particulièrement malhonnête entre l’action des milices d’extrême gauche et la réunion publique de M Macron à Toulon le 18 février  « perturbé » dit-il  (pacifiquement) par un rassemblement de Pieds Noirs et de militants FN protestant contre les propos scandaleux de l’ex ministre de l’Economie sur la colonisation.

    Si Bernard Cazeneuve fut un ministre très inefficace dans la lutte contre la délinquance et très peu apprécié par les policiers et gendarmes lors de son passage place Beauvau, il entend utiliser son nouveau costume de ministre de l’Intérieur pour lutter lui aussi activement contre le Front National. Le site de BFMTV souligne que M. Cazeneuve  « va mettre à profit ses dernières semaines à Matignon pour enchaîner les déplacements thématiques contre le Front National. » « Ma responsabilité est de tout faire pour démontrer aux Français que les propositions du FN sont des impasses dissimulées derrière des mensonges », affirme-t-il dans le Journal du dimanche.  « Pour moi la priorité c’est le rassemblement pour faire barrage au Front National» précisant qu’il se déplacera en province  (avec l’argent des contribuables ? s’interroge Bruno Gollnisch) pour  «  souligner les dégâts causés par le FN »,  «le « populisme dangereux et mortifère » comme il la affirmé pareillement dans Le Parisien.

    Populisme dont il pourrait après tout aussi faire le reproche  au  Parisien qui a eu le front de faire état que la famille de Théo, ce jeune homme sérieusement blessé après un contrôle de police le 2 février àAulnay-sous-Bois, « est au coeur d’une enquête financière pour abus de confiance et escroquerie. Les interrogations portent sur une somme de 678 000 euros»,  perçue « entre janvier 2014 et juin 2016 par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit contrat aidés» (une usine à gaz socialiste parmi d’autres). «Une affaire qui embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat».

    Toutes choses qu’un François Hollande s’est bien gardé de dire aux Français quand, devant les caméras, il tressait des louanges à la famille de Théo  Luhaka ou pire encore peut-être, dont il n’était même pas au courant en allant au chevet du jeune homme, omettant de se rendre à ceux des policiers blessés dans les manifs d’extrême gauche ces derniers mois. Nous l’avons dit, pour fustiger les Français qui entendent rester eux mêmes,  « cette putain de France »  décrite comme  « raciste », dixit Oulaya Amamra sacrée meilleur espoir féminin à la cérémonie des Césars pour  son rôle dans le film Divines (sic), toutes les arnaques et tous  les coups s(er)ont permis.

    https://gollnisch.com/2017/02/27/tous-les-coups-sont-permis/