Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 366

  • A quoi bon soutenir un candidat qui n'accorde rien ?

    De Cyril Brun sur Liberté Politique :

    "[...] Non le Trocadéro n’a pas donné un blanc-seing à François Fillon ! S’il est venu en masse c’est pour ne pas être cocufié par le système qui ne veut pas entendre sa voix. Les 200 000 pèlerins du Trocadéro ne sont pas venus, nostalgiques du Trocadéro de Sarkozy, moins encore clamer l’innocence de François Fillon, ils sont venus rappeler que la droite est à droite ! Mais faudra-t-il à peine 5 jours au candidat sauvé des eaux, par ce peuple de droite de conviction pour montrer son mépris à ceux-là même qui lui ont permis de s’imposer à l’appareil politique qui, depuis le début, ne veut pas de lui. Acceptera-t-il cet accord (antérieur au Troca) signé in extrémis par l’UDI qui a peur tout  coup de tout perdre ? Donner 96 circonscriptions à l’UDI serait rien moins que cocufier le peuple du Trocadéro. Que l’équipe de conseilleurs de monsieur Fillon se rappelle de la jurisprudence Jospin qui à moins de 200000 voix a perdu la qualification au second tour de la présidentielle.

    Alors que, clairement, l’hémorragie des soutiens Fillon se fait vers Marine Le Pen, il serait bon que celui qui dénonçait les manigances du système se rappelle que ce n’est pas lui que le peuple a soutenu, mais que cette victoire des primaires, ce peuple qui en est l’auteur pourrait la reprendre. Elle est la sienne, il a le droit d’en disposer. J’ai dit ailleurs que le vote utile du premier tour de la primaire avait été non seulement inutile, mais avait réduit les catholiques à néant. Aucune négociation, des investitures qui ne se comptent pas sur les doigts de la main, alors que les médias assurent que Fillon est passé « à cause des catholiques ». Pourquoi un tel mépris de l’assise même de son camp, sinon parce que le candidat Fillon, non seulement se moque des catholiques, mais aussi parce qu’il est persuadé qu’ils lui sont acquis. D’où le soufflet méprisant à l’investiture de Xavier Lemoine. Un mépris pour l’homme et son engagement, un mépris pour le terrain qu’il incarne, balayé pour des calculs d’officines parisiennes, de la part d’un homme qui jure ses grands dieux être de cette France profonde, un mépris enfin des catholiques qui ont répondu nombreux à l’appel du Trocadéro.

    Les catholiques vont-ils comprendre, enfin, qu’ils sont les premiers cocus du Trocadéro ? Vont-ils laisser une fois encore passer ce soufflet ? Alors à quoi bon soutenir un candidat qui ne leur accordera rien, pas même les miettes du système dont, s’il ne touche pas à l’accord UDI, il restera un indécrottable représentant. Dans le cadre de la diversité, François Fillon donne des gages à tout le monde. Des gages, il est vrai cohérents avec son programme, lui-même globalement ficelé. Mais alors, pourquoi les catholiques seraient-ils les seuls dindons de la farce à ne pas conditionner leur vote, monnayer leur voix ?

    Il va falloir que François Fillon donne des gages aux catholiques, parce que les déçus trouveront aisément à se répartir entre un Macron illusionniste, mais qui les séduits et un Front National qui, bien que n’étant plus celui de Jean-Marie Le Pen, leur a toujours fait de l’œil. Non, le vote catholique n’est pas acquis, mais le déficit militant de la population catholique risque de diluer ce mécontentement dans « le moins pire » du système, plutôt que peser fortement sur un candidat qui ne peut pas gagner sans nos voix. Nous pouvons faire gagner nos convictions comme les faire perdre par le simple jeu de notre poids. François Fillon peut passer sans les voix catholiques, mais ce n’est pas assuré du tout. Mais s’il passe sans que ces voix ne soient explicitement négociées, il aura beau jeu de nous méprise encore. Nous pouvons aussi poursuivre notre route défaitiste et ne rien dire et diluer notre vote… ailleurs. Cela fera peut-être perdre Fillon, mais a peu de chance de faire gagner nos convictions que nous n’avons aucune possibilité de négocier à gauche, Macron, comme Hamon ont été clairs. Et guère plus de l’autre côté, tant que la tendance Philippot sera aux commandes. Laquelle tendance, soit dit en passant, représente la même fracture entre l’appareil frontiste et sa base qu’entre le peuple de France et le système qui les ignore. Les catholiques divisés de part et d’autre du cordon sanitaire établit par la République du médiatiquement correct seront confrontés au même problème de poids que leur émiettement affaiblit d’autant."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La seule élection de Donald Trump a fait chuter l’immigration clandestine !

    Le nombre d’immigrés entrés illégalement aux Etats-Unis depuis le Mexique a chuté avant même l’investiture de Donald Trump. Selon Euronews, « le secrétariat de la Sécurité nationale a enregistré 30 et 40 % d’arrestations en moins en janvier et février par rapport à la même période en 2016 ». L’explication en serait « les promesses de campagne pour le moins radicales du locataire de la Maison Blanche en la matière »…

     

    http://fr.novopress.info/204150/la-seule-election-de-donald-trump-fait-chuter-immigration-clandestine/
  • Si Le Pen est élue, l’ambassadeur de France au Japon quittera ses fonctions

    Thierry Dana déclare qu’il quittera ses fonctions diplomatiques si l’aventure électorale d’avril et mai devait se conclure par l’élection de Marine le Pen.

    Dans une tribune publiée par Le Monde en date du 7 mars 2017, Thierry Dana, actuel ambassadeur de France au Japon, déclare qu’il quitterait ses fonctions diplomatiques si l’aventure électorale d’avril et mai prochains devait se conclure par l’élection de Marine Le Pen. Cette prise de parole publique de la part d’un membre du corps diplomatique en exercice soulève quelques réflexions.
     
    Quel est le rôle d’une pareille tribune ? Contrairement à ce qu’en dit la fable, on ne s’exprime pas dans la presse pour simplement informer le lectorat de ce qu’on a à dire, mais bien pour le convaincre de rejoindre notre combat lorsque c’en est un ou, à défaut, nos idées, nos principes, d’une manière générale notre avis. Quant au journal qui publie la tribune en question, il fait lui aussi œuvre de propagande. C’est de bonne guerre, la question n’est pas celle-là. Le fait est qu’un diplomate a décidé de faire peser sa parole, en usant du poids de la fonction au nom de laquelle il s’exprime, dans une campagne électorale présidentielle, évidemment dans l’espoir que sa parole ait une influence. Elle n’en aura pas auprès de la masse des électeurs, qui n’est sans doute pas le cœur de cible de l’auteur qui s’adresse, ici, plutôt à ses confrères et aux hauts fonctionnaires en général, en utilisant le support médiatique grand public comme pour les mettre au pied du mur et les inciter à prendre position à leur tour.
     
    Thierry Dana, dans son billet, redit son amour de la France et évoque le pincement au cœur qu’il ressent lorsque « La Marseillaise » retentit. Il parle de la beauté du métier de diplomate qui voue sa vie à représenter son pays et, surtout, à en défendre les intérêts.

    Toutefois, lorsqu’il motive son projet de démission par son refus de « représenter » Marine Le Pen, il laisse le militant prendre le dessus sur le diplomate. S’il a réellement à cœur de servir son pays, il doit considérer que c’est un honneur de le faire, quelle qu’en soit la personne à sa tête. Les Présidents passent, disparaissent au gré des humeurs électorales, le pays reste et doit sa solidité, en partie, au travail des diplomates. Dans les périodes troublées de changements répétés de régimes, des serviteurs du pays ont continué de le servir malgré le défilé des chefs. Ainsi un Talleyrand a-t-il servi sous l’Ancien Régime, aux États généraux, sous le Directoire, le Consulat, le Premier Empire, la Restauration et la monarchie de Juillet.
     
    La fidélité du diplomate ne doit pas aller à un homme ni à un parti – sinon, c’est préfet ou député qu’il faut être -, ni à une idéologie politique ; elle doit aller à ce qui leur est supérieurement important, supérieurement préférable : elle doit aller à la France. Sinon, c’est se condamner à servir le gland plutôt que le chêne, et ce n’est pas faire honneur à son métier.
     
    Libre à monsieur l’ambassadeur de présenter sa démission en temps voulu si sa conscience le lui commande. Au moins a-t-il l’honnêteté d’associer ses actes à ses pensées. Qu’il fasse de son état de conscience et du projet qui en découle un moment médiatique est, toutefois, révélateur d’une certaine tendance, de plus en plus partagée chez « les élites » qui s’affolent devant la perspective d’un score historique de leur ennemie préférée, qui ne devrait pas manquer d’inquiéter ou de réjouir selon qu’on est adversaire ou électeur de Marine Le Pen.

    http://www.bvoltaire.fr/jonathansturel/pen-elue-lambassadeur-de-france-japon-quittera-fonctions,318255

  • François Fillon donne des signes d’accommodements avec le conformisme qu’il dénonce

    D'Ivan Rioufol :

    "[...] Fillon n’a rien à gagner à renouer avec les faux frères et les faux alliés qui ont voulu le dégager au profit d’Alain Juppé. Un traitre ou un fuyard restera toujours un traitre ou un fuyard. Or le candidat de la droite donne actuellement des signes d’accommodements avec le conformisme qu’il dénonce. "J’invite solennellement et amicalement nos partenaires centristes à rejoindre ma campagne", a-t-il ainsi déclaré mardi soir à Orléans. Cette génuflexion contredit sa posture d’insoumis. C’est elle qui a été applaudie par la foule du Trocadéro.

    Fillon, si mal en peine, ne peut espérer gagner en mai qu’en s’émancipant une fois pour toute d’un parti sclérosé et habité de courants irréconciliablesJean-Louis Borloo a raison de prédire une rupture entre le centre et la droite. Elle est souhaitée, sur ce blog, depuis longtemps déjà. La place de l’UDI et de nombreux juppéistes est avec Macron, qui incarne le nouveau centrisme. François Bayrou l’a bien compris. Jean-Pierre Raffarin (LR), lui, refuse de constater la recomposition en cours de la droite. Ce mercredi, sur Europe 1, il a conseillé à Fillon d’"écarter tout risque de proximité avec le FN", en appelant paradoxalement à "respecter la diversité". Mais il faut ouvrir les yeux : une partie de l’électorat de Fillon cousine avec celui de Marine Le Pen, en tout cas sur les grandes questions sociétales liées à l’immigration et à l’islam politique. Inviter Fillon à se démarquer du FN revient à l’inciter à abandonner ces thèmes, qui sont au centre des préoccupations des gens. Cette stratégie politiquement correcte assure de la défaite. Pourtant, Fillon tombe lui-même dans la facilité quand il déclare, dimanche soir sur France 2 : "Ma principale adversaire, c’est Madame Le Pen, qui s’approche du pouvoir". Son électorat est loin d’en être convaincu. Non, le premier adversaire de Fillon reste Macron, qui peut lui ravir la deuxième place au second tour. Si le candidat LR renoue avec ceux qui lui conseillent de raser les murs, il laissera à Le Pen, seule, le soin de rebâtir la droite."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Si vous aimez les banques, les labos, et les Télécoms, votez Macron

    Enfin Le Canard enchaîné s’intéresse à Macron ; il vaut mieux tard que jamais…

    Enfin Le Canard enchaîné s’intéresse à Macron ; il vaut mieux tard que jamais… Ainsi l’hebdomadaire nous indique que l’Inspection générale des finances (IGF) soupçonne dans son cas un délit de favoritisme.

    Le 6 janvier 2016 à Las Vegas (États-Unis) lors du Consumer Electronics Show (CES), salon consacré à l’innovation technologique en électronique grand public, le ministre de l’Économie de l’époque organisait un grand show avec plus de 500 personnalités et dirigeants de start-up françaises. L’hebdomadaire précise :

    « Cette opération de séduction, montée dans l’urgence, à la demande expresse du cabinet du ministre, a été confiée au géant Havas par Business France (l’organisme de promotion de la French Tech dépendant de Bercy). Ceci sans qu’aucun appel d’offres n’ait été lancé. L’IGF souligne que la commande de la prestation Havas est susceptible de relever du délit de favoritisme. Coût de la soirée, une bagatelle de 381.759 €, dont 100.000 rien que pour l’hôtel, où la moindre chambre était facturée plus de 300 € la nuit. »

    Le Canard ajoute que Business France ou certains de ses salariés pourraient être incriminés pour favoritisme et que Havas France ou ses dirigeants pourraient relever de la justice au titre de la complicité ou du recel.

    Bien évidemment l’entourage du candidat d’En Marche ! a nié :

    « Aucun centime du budget du ministère de l’Économie […] n’a jamais été utilisé pour En Marche ! Toute affirmation du contraire est purement et simplement diffamatoire. »

    Lui-même indiquant lors d’un déplacement mardi au Mureaux (Yvelines):

    « Je n’ai pas pris connaissance de cela, mais je ne pense pas que ce soit mon ministère qui ait organisé un événement sans appel d’offres. 

    L’actuel ministre de l’Économie et des Finances, Michel Sapin, s’est empressé naturellement de dédouaner son ancien collègue :

    « Cette information n’a pas de sens. Macron n’a pas pu dépenser plus que ce à quoi il avait droit dans un ministère comme le nôtre. »

    Et quand « Boule de billard », la main sur le cœur, vous donne la vérité toute nue, vous ne pouvez que le croire ; lui ne serait pas du genre à frauder. Pourtant le tribunal administratif a condamné il y a moins de six mois le maire d’Argenton-sur-Creuse, qui n’est autre que le grand argentier, ainsi que ses adjoints à payer 100.000 euros pour des indemnités majorées. Tout simplement notre « conifère de Noël » avait continué de 2008 à 2012 à percevoir des émoluments liés à un label supprimé.

    Mais d’autres questions se posent concernant M. Macron :

    La somme de 381.759 € n’a-t-elle pas servi, non au Ministre des finances de l’époque, mais au futur candidat à la présidentielle ? Pourquoi l’inspirateur principal du volet santé du candidat, le Professeur Jean-Jacques Mourad, qui vient de démissionner, était-il rémunéré par le laboratoire Servier (celui du Mediator) pour une somme supérieure à 800.000 € ?

    Enfin, lorsqu’on nous informe qu’après Drahi et Pierre Bergé, le frérot du médecin, Bernard Mourad, un des piliers de la campagne présidentielle, est un ancien de la banque Morgan Stanley, mais aussi un spécialiste du secteur des Télécoms, n’est-il pas évident que l’homme proche des médias, des labos pharmaceutiques et des banques est bien celui du système mondialiste ?

    Sûr que le parquet financier va illico presto s’emparer de ces informations !

    http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrefabrebernadac/aimez-banques-labos-telecoms-votez-macron,318150

  • Marine Le Pen vous répond ! #02 | « Sur les petites retraites » | Marine 2017

  • Emmanuel Macron, le candidat qui recycle tous les vieux déchets

    Emmanuel Macron présente sur la forme un changement avec le passé, ce qui lui permet d’avoir une image de renouveau qui peut tromper certains gogos : Relativement jeune -il est quadragénaire-, sa carrière politique n’a commencé que très récemment contrairement aux autres candidats qui n’ont de vie professionnelle que leur carrière politique. D’ailleurs il n’est lui-même pas issu d’un parti et son mouvement « En marche » n’a été créé que le temps d’une campagne électorale, celle qui devrait lui permettre, au moins l’espère-t-il, d’accéder à l’Elysée. Pourtant, quand on y regarde de plus près, on se rend compte que son programme, ses idées n’ont rien de nouveau et sont même une véritable apologie de l’anti-France telle qu’on la connaît depuis des décennies.

    Un indice ne trompe pas, les soutiens qu’il reçoit de toute part : Lancé par F Hollande - le président sortant au bilan tellement calamiteux qu’il a lui-même renoncé à se représenter de peur de l’humiliation électorale-, E Macron a été ministre de l’économie et porte donc la responsabilité de la situation économique catastrophique du pays : Chômage au plus haut, déficit également au plus haut, fiscalité confiscatoire, agriculture en berne, tourisme en berne, industrie en voie de disparition, croissance inexistante, etc, etc. Bref, la France réelle ne peut pas lui dire merci pour son bilan, et c’est sans doute la raison de tous les soutiens qu’il reçoit, aux profils particulièrement hétéroclites, dont le seul point commun est la haine de la France traditionnelle : Outre F Bayrou qui fait peut-être le calcul qu’il a là l’opportunité de devenir premier-ministre, on trouve : Alain Minc, Jacques Attali, Bernard Kouchner, Daniel Cohn Bendit, ou Pierre Bergé, l’inverti qui souhaitait qu’une bombe explosât lors des manifestations contre le mariage homosexuel. Macron a également été reçu en guest-star lors du dîner du CRIF. Plus surprenant encore, alors que Macron gagnait, quand il était banquier dans la banque Rotschild, un million d’euro par an, on a appris aujourd’hui qu’il a reçu le soutien de l’ancien maire communiste de Saint Denis, Patrick Braouezec, celui de Stéphane Gatignon, le maire ex-PCF de Sevran qui a ruiné sa ville et qui avait fait une grève de la faim pour obtenir de l’État une rallonge et qui explique que cette ville obtient 5.000.000 d’euros de plus que ce qui lui est normalement dû ! Et mieux encore celui de l’ancien secrétaire général du PCF, Robert Hue !

    En fait, tout ceci s’explique par le programme de Macron qui est une véritable soupe d’ingrédients de l’anti-France au profit du mondialisme : On sait ce que Macron pense de la colonisation de l’Algérie « crime contre l’humanité » (sic), mais très peu courageux, Macron a rectifié le tir après sa déclaration d’Alger : En effet, il précisait sur BFM que la colonisation « n’est en aucun cas comparable à la shoah ». Ouf ! L’homme des Rotschild sait se soumettre devant le lobby qui compte !

    Le programme de Macron, c’est la discrimination positive pour les immigrés (ce qui revient à dire une discrimination négative pour les Français de souche, puisqu’à qualité égale, le Français chez lui dans son pays, passera après). Pour cela, des méthodes toujours plus coercitives seront mises en place, puisque Macron veut davantage de « testing » autrement dit, il veut généraliser l’intimidation vis à vis de tous ceux qui ne respecteraient pas la préférence étrangère qu’il préconise. En fait, c’est le prolongement de la catastrophique politique de la ville, mise en place il y a plus de 30 ans, et qui n’a jamais eu les effets escomptés. Il veut également favoriser la naturalisation des immigrés, ce qui démultipliera le nombre de Français de papier ! Rien de nouveau, c’est ce que Valls a toujours fait !

    Quant à la culture française, pour ce mondialiste pur jus, elle n’existe tout simplement pas !

    Plus que jamais, Macron est l’homme à éviter lors de cette présidentielle et prions pour que la France n’ait jamais un si sinistre individu à sa tête !
    http://www.contre-info.com/ |

  • La France que nous aimons dans le concert des nations

    Nous l’avions prévu et annoncé, il est vrai que nous ne prenions pas grand risque à le dire, le pensum anti FN Chez nous, du cinéaste d’extrême gauche Lucas Belvaux fait un gros bide. Un indicateur, parmi d’autres,  du caractère largement inaudible de l’offensive de la gauche contre le FN, soulignée par François Hollande lors du conseil des ministres élargi  qui s’est tenu hier. Malgré une très conséquente  campagne de promotion et de pub gratuite  dans les principaux médias écrits et audiovisuels, une programmation en pleine campagne présidentielle lui assurant aussi un maximum de visibilité, ce film au scénario jugé balourd, pataud, (l’interprétation très médiocre, sans finesse de Catherine Jacob a été également épinglée) même par les critiques les mieux intentionnées, a attiré moins de 150 000 spectateurs en trois semaines d’exploitation dans les salles obscures. De quoi inquiéter la gauche culturelle, le lectorat vieillissant de Télérama et plus largement tous  ceux qui  font profession d’antifrontisme. Car la flamme jaillit désormais partout, et ce qui est logique, bien évidemment aussi chez les ouvriers encartés dans des syndicats.  Trois collaborateurs de Médiapart  Rachida El Azzouzi, Mathilde Goanec et Dan Israel font mine de le (re)découvrir  en titrant sur  « la déferlante FN (qui)  laisse les syndicats  CGT, CFTC, FO  désemparés ». Les  garde-chiourmes du systèmes syndical  « s’alarment de l’audience grandissante des discours de Marine Le Pen auprès des salariés, y compris parmi leurs militants ».

    Un  responsable cégétiste, Jean-Louis Betoux,  est cité ici. Il  « pensait que sa section syndicale CGT serait épargnée dans sa ville black-beur-blanc (…)Évry, dans l’Essonne (…) . Il pensait que les idées du FN ne franchiraient pas les murs de la bourse du travail. La réalité l’a rattrapé.  Il y a les camarades qui ne disent pas ouvertement qu’ils votent FN mais qui te parlent dès qu’ils le peuvent d’immigration et d’assistés. Tous les jours, si tu prêtes l’oreille, tu en entends un maudire les immigrés qui viennent bouffer les aides sociales, profiter des logements sociaux, de l’assurance-chômage pendant que nous, on bosse et on a droit à rien. » Est-il si difficile de comprendre que dans une France où les catégories populaires et les classes moyennes sont  étrillées par la crise,  dans une France appauvrie, tiers-mondisée,  la préférence étrangère soit rejetée,  maudite (elle et non les immigrés en tant que tels ), que la priorité nationale soit  logiquement plébiscitée par les  Français?  Et bien évidemment qu’elle le soit  particulièrement par nos compatriotes  qui sont les plus impactés par la folle politique d’immigration de peuplement dans leur vie quotidienne ?

    Toutes choses que nos bons bourgeois donneurs de leçons refusent de voir, bien à l’abri (pour l’instant?) des désagréments de la société plurielle qui serait obligatoire pour les sans-dents, le populo, la France d’en bas,  mais qu’il maintienne à l’écart de leur domicile et des écoles de leurs enfants…  Ambassadeur de France au Japon depuis juin 2014, Thierry Dana a tenu lui aussi à apporter sa petite pierre au barrage anti Le Pen en commettant une tribune dans Le Monde pour affirmer qu’il « (préférerait) renoncer à occuper les fonctions qui me seraient confiées plutôt que de servir la diplomatie du Front National. Bien sûr, un ambassadeur sert l’Etat et représente la France. L’un et l’autre vous dépassent. Mais il lui revient aussi de défendre loyalement les positions de son gouvernement. Je ne pourrais pas défendre loyalement vos positions, qui sont contraires à tous les principes portés par la France lorsqu’elle est grande dans le monde. »

    L’élection de Marine ce serait donc pour Thierry Dana « un monde qui s’effondre » comme l’affirmait sur twitter Gérard Araud, l’ambassadeur de France aux Etats-Unis, réagissant alors de manière bien  stupide et peu diplomatique à l’élection de Donald Trump.  Nous voyons mal ce qui  permet  aussi à M. Dana  de tenir ce type de propos outranciers. Il a d’ailleurs été remis à sa place par son ministre de tutelle Jean-Marc Ayrault, conscient de  la maladresse de cette tribune, mais aussi par Bruno Gollnisch dans une lettre qui a été diffusée hier soir.

    Marine a exposé à grands traits la politique étrangère qu’elle appelle se ses vœux le 23 février à Paris au cours de sa deuxième grande conférence présidentielle en présence de nombreux ambassadeurs. Elle a réitéré son engagement « en faveur d’un monde multipolaire fondée sur l’égalité en droit  des nations, le respect de leur indépendance, la concertation, permanente» ,  mais aussi « la sécurité environnementale » , « la défense des biens communs de l’humanité… ».

    Marine entend stopper l’effacement de la France sur la scène internationale, faire renaître sa voix singulière dans le concert des nations , rendue souvent inaudible par notre suivisme vis-à-vis du nouvel ordre mondial,  notre inféodation à l’Otan et à Bruxelles. Et il faudrait être particulièrement inculte ou malhonnête pour juger qu’il serait contradictoire de vouloir à la fois pour la France  le ferme maintien  de sa souveraineté nationale et en même temps l’affirmation d’un rôle actif de notre pays  sur le plan mondial.

    Marine élue, notre réseau de 163 ambassades et de consulats -le troisième au monde juste derrière les États-Unis (168 ambassades bilatérales) et la Chine (164 ambassades)-  sera consolidé. La  France défendra ses intérêts économiques, commerciaux,  stratégiques, notamment dans les pays émergents, en Asie (n’en déplaise à M. Dana),   son domaine maritime (le second au monde), son influence, son rayonnement  culturel. Au vu de l’urgence de la situation, pour des raisons géopolitiques et démographiques évidentes, la candidate du FN l’a redit avec force,  une attention toute particulière sera portée aux  pays du continent africain pour la mise en place d’une politique d’intérêt réciproque visant à endiguer l’immigration.

    Marine élue, notre  refus de l’asservissement au mondialisme, le principe  de  la souveraineté et de l’indépendance des nations  sera défendu avec force au sein des grandes assemblées ou siège notre pays. Nos solidarités internationales seront réaffirmées. Solidarité de civilisation avec les pays européens; solidarité linguistique avec les pays de la francophonie et les communautés francophones sur les cinq continents; solidarité spirituelle notamment avec les Chrétiens d’Orient; solidarité avec les pays  qui partagent dans le monde les acquis essentiels de la civilisation européenne, la défense de l’idée de nation. Nous ne voyons pas en quoi les axes définis ici seraient contraires à la grandeur de la France, le problème réside certainement dans l‘unité de mesure biaisée,  utilisée pour en  juger  par les adversaires des idées  patriotiques et souverainistes.

    https://gollnisch.com/2017/03/09/france-aimons-concert-nations/

  • Colloque à Marseille : Election présidentielle, la défaite du peuple ?

    « Il existe visiblement en Provence un groupe de jeunes intellectuels d'Action française et une capacité militante qui sont gages d'avenir et de réussite. Il est bon que cela soit dit et que cela se sache à l'Action française et au delà de l'Action française. » Lafautearousseau

    Le samedi 4 mars, le colloque de l'Action française Provence à Marseille a réuni 130 participants sur le thème de l'élection présidentielle. Des intervenants de tous âges et de différentes convictions se sont efforcés de poser des mots sur les maux, en s'interrogeant sur l'incompréhension grandissante entre, d’un côté, les représentants politiques et, de l’autre, le peuple français.

    A la suite d'une analyse poussée des discours et des programmes des candidats à la magistrature suprême, ainsi que d’une critique détaillée du fonctionnement des institutions républicaines, la nécessité d'une restauration du politique s’est naturellement imposée pour faire face aux idéologies de la déconstruction de l'homme et de la cité.

    Une réflexion riche qui a laissé place à un moment de convivialité autour d’un buffet préparé par les militants. Le succès de ce colloque est le signe encourageant des progrès de notre conspiration à ciel ouvert ; conspiration par laquelle «nous bâtissons l'arche nouvelle, catholique, classique, hiérarchique, humaine, où les idées ne seront plus des mots en l'air, ni les institutions des leurres inconsistants, ni les lois des brigandages, les administrations des pilleries et des gabegies, où revivra ce qui mérite de revivre, en bas les républiques, en haut la royauté. » 

    Images alternées des tables rondes, de l'assistance et des moments de pause et de convivialité 

    17038722_1122549734521784_2069291298806107129_o.jpg

    1  

    17039230_1122549374521820_1607712814913976434_o.jpg

    2   

    17097152_1122549547855136_6524436959767417834_o.jpg

    Lire la suite