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élections - Page 371

  • La France que nous aimons dans le concert des nations

    Nous l’avions prévu et annoncé, il est vrai que nous ne prenions pas grand risque à le dire, le pensum anti FN Chez nous, du cinéaste d’extrême gauche Lucas Belvaux fait un gros bide. Un indicateur, parmi d’autres,  du caractère largement inaudible de l’offensive de la gauche contre le FN, soulignée par François Hollande lors du conseil des ministres élargi  qui s’est tenu hier. Malgré une très conséquente  campagne de promotion et de pub gratuite  dans les principaux médias écrits et audiovisuels, une programmation en pleine campagne présidentielle lui assurant aussi un maximum de visibilité, ce film au scénario jugé balourd, pataud, (l’interprétation très médiocre, sans finesse de Catherine Jacob a été également épinglée) même par les critiques les mieux intentionnées, a attiré moins de 150 000 spectateurs en trois semaines d’exploitation dans les salles obscures. De quoi inquiéter la gauche culturelle, le lectorat vieillissant de Télérama et plus largement tous  ceux qui  font profession d’antifrontisme. Car la flamme jaillit désormais partout, et ce qui est logique, bien évidemment aussi chez les ouvriers encartés dans des syndicats.  Trois collaborateurs de Médiapart  Rachida El Azzouzi, Mathilde Goanec et Dan Israel font mine de le (re)découvrir  en titrant sur  « la déferlante FN (qui)  laisse les syndicats  CGT, CFTC, FO  désemparés ». Les  garde-chiourmes du systèmes syndical  « s’alarment de l’audience grandissante des discours de Marine Le Pen auprès des salariés, y compris parmi leurs militants ».

    Un  responsable cégétiste, Jean-Louis Betoux,  est cité ici. Il  « pensait que sa section syndicale CGT serait épargnée dans sa ville black-beur-blanc (…)Évry, dans l’Essonne (…) . Il pensait que les idées du FN ne franchiraient pas les murs de la bourse du travail. La réalité l’a rattrapé.  Il y a les camarades qui ne disent pas ouvertement qu’ils votent FN mais qui te parlent dès qu’ils le peuvent d’immigration et d’assistés. Tous les jours, si tu prêtes l’oreille, tu en entends un maudire les immigrés qui viennent bouffer les aides sociales, profiter des logements sociaux, de l’assurance-chômage pendant que nous, on bosse et on a droit à rien. » Est-il si difficile de comprendre que dans une France où les catégories populaires et les classes moyennes sont  étrillées par la crise,  dans une France appauvrie, tiers-mondisée,  la préférence étrangère soit rejetée,  maudite (elle et non les immigrés en tant que tels ), que la priorité nationale soit  logiquement plébiscitée par les  Français?  Et bien évidemment qu’elle le soit  particulièrement par nos compatriotes  qui sont les plus impactés par la folle politique d’immigration de peuplement dans leur vie quotidienne ?

    Toutes choses que nos bons bourgeois donneurs de leçons refusent de voir, bien à l’abri (pour l’instant?) des désagréments de la société plurielle qui serait obligatoire pour les sans-dents, le populo, la France d’en bas,  mais qu’il maintienne à l’écart de leur domicile et des écoles de leurs enfants…  Ambassadeur de France au Japon depuis juin 2014, Thierry Dana a tenu lui aussi à apporter sa petite pierre au barrage anti Le Pen en commettant une tribune dans Le Monde pour affirmer qu’il « (préférerait) renoncer à occuper les fonctions qui me seraient confiées plutôt que de servir la diplomatie du Front National. Bien sûr, un ambassadeur sert l’Etat et représente la France. L’un et l’autre vous dépassent. Mais il lui revient aussi de défendre loyalement les positions de son gouvernement. Je ne pourrais pas défendre loyalement vos positions, qui sont contraires à tous les principes portés par la France lorsqu’elle est grande dans le monde. »

    L’élection de Marine ce serait donc pour Thierry Dana « un monde qui s’effondre » comme l’affirmait sur twitter Gérard Araud, l’ambassadeur de France aux Etats-Unis, réagissant alors de manière bien  stupide et peu diplomatique à l’élection de Donald Trump.  Nous voyons mal ce qui  permet  aussi à M. Dana  de tenir ce type de propos outranciers. Il a d’ailleurs été remis à sa place par son ministre de tutelle Jean-Marc Ayrault, conscient de  la maladresse de cette tribune, mais aussi par Bruno Gollnisch dans une lettre qui a été diffusée hier soir.

    Marine a exposé à grands traits la politique étrangère qu’elle appelle se ses vœux le 23 février à Paris au cours de sa deuxième grande conférence présidentielle en présence de nombreux ambassadeurs. Elle a réitéré son engagement « en faveur d’un monde multipolaire fondée sur l’égalité en droit  des nations, le respect de leur indépendance, la concertation, permanente» ,  mais aussi « la sécurité environnementale » , « la défense des biens communs de l’humanité… ».

    Marine entend stopper l’effacement de la France sur la scène internationale, faire renaître sa voix singulière dans le concert des nations , rendue souvent inaudible par notre suivisme vis-à-vis du nouvel ordre mondial,  notre inféodation à l’Otan et à Bruxelles. Et il faudrait être particulièrement inculte ou malhonnête pour juger qu’il serait contradictoire de vouloir à la fois pour la France  le ferme maintien  de sa souveraineté nationale et en même temps l’affirmation d’un rôle actif de notre pays  sur le plan mondial.

    Marine élue, notre réseau de 163 ambassades et de consulats -le troisième au monde juste derrière les États-Unis (168 ambassades bilatérales) et la Chine (164 ambassades)-  sera consolidé. La  France défendra ses intérêts économiques, commerciaux,  stratégiques, notamment dans les pays émergents, en Asie (n’en déplaise à M. Dana),   son domaine maritime (le second au monde), son influence, son rayonnement  culturel. Au vu de l’urgence de la situation, pour des raisons géopolitiques et démographiques évidentes, la candidate du FN l’a redit avec force,  une attention toute particulière sera portée aux  pays du continent africain pour la mise en place d’une politique d’intérêt réciproque visant à endiguer l’immigration.

    Marine élue, notre  refus de l’asservissement au mondialisme, le principe  de  la souveraineté et de l’indépendance des nations  sera défendu avec force au sein des grandes assemblées ou siège notre pays. Nos solidarités internationales seront réaffirmées. Solidarité de civilisation avec les pays européens; solidarité linguistique avec les pays de la francophonie et les communautés francophones sur les cinq continents; solidarité spirituelle notamment avec les Chrétiens d’Orient; solidarité avec les pays  qui partagent dans le monde les acquis essentiels de la civilisation européenne, la défense de l’idée de nation. Nous ne voyons pas en quoi les axes définis ici seraient contraires à la grandeur de la France, le problème réside certainement dans l‘unité de mesure biaisée,  utilisée pour en  juger  par les adversaires des idées  patriotiques et souverainistes.

    https://gollnisch.com/2017/03/09/france-aimons-concert-nations/

  • Colloque à Marseille : Election présidentielle, la défaite du peuple ?

    « Il existe visiblement en Provence un groupe de jeunes intellectuels d'Action française et une capacité militante qui sont gages d'avenir et de réussite. Il est bon que cela soit dit et que cela se sache à l'Action française et au delà de l'Action française. » Lafautearousseau

    Le samedi 4 mars, le colloque de l'Action française Provence à Marseille a réuni 130 participants sur le thème de l'élection présidentielle. Des intervenants de tous âges et de différentes convictions se sont efforcés de poser des mots sur les maux, en s'interrogeant sur l'incompréhension grandissante entre, d’un côté, les représentants politiques et, de l’autre, le peuple français.

    A la suite d'une analyse poussée des discours et des programmes des candidats à la magistrature suprême, ainsi que d’une critique détaillée du fonctionnement des institutions républicaines, la nécessité d'une restauration du politique s’est naturellement imposée pour faire face aux idéologies de la déconstruction de l'homme et de la cité.

    Une réflexion riche qui a laissé place à un moment de convivialité autour d’un buffet préparé par les militants. Le succès de ce colloque est le signe encourageant des progrès de notre conspiration à ciel ouvert ; conspiration par laquelle «nous bâtissons l'arche nouvelle, catholique, classique, hiérarchique, humaine, où les idées ne seront plus des mots en l'air, ni les institutions des leurres inconsistants, ni les lois des brigandages, les administrations des pilleries et des gabegies, où revivra ce qui mérite de revivre, en bas les républiques, en haut la royauté. » 

    Images alternées des tables rondes, de l'assistance et des moments de pause et de convivialité 

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  • LR/PCD/UDI : honneur aux traîtres

    L'alliance électorale conclu entre l'UDI et LR pour les législatives réserve au parti centriste 96 circonscriptions !

    Laurent de Boissieu liste ces candidats.

    Sur la 12e circonscription de Seine-Saint-Denis, on découvre donc que l'UDI Ludovic Toro sera bien opposé à Xavier Lemoine, du PCD, ce parti qui a soutenu François Fillon dans la tempête. En revanche, l'UDI n'a pas négocié de candidat sur la 10e circonscription des Yvelines, où est investi Jean-Frédéric Poisson.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un mini-sommet européen de l’impuissance ? Hollande en croisade contre Le Pen

    Imprévoyants, légers : ils ont tout raté et espèrent que nous les sauvions de la déroute. Disons-leur le mot de Cambronne !

    Interrogé par six grands quotidiens européens avant le mini-sommet de Versailles du 6 mars, François Hollande déclarait que l’Europe pourrait « se relancer par la défense ». Il est un peu tard pour y penser. Ce qui aurait pu, naguère, passer pour une bonne idée ne l’est plus totalement pour une raison assez évidente : l’Union européenne post-Maastricht a échoué. Depuis quelques années, les crises s’enchaînent sans interruption : contestation de la monnaie unique, Brexit, Grèce, problème des « migrants » et vague d’attentats islamistes.

    Toutefois, pour les dirigeants européens – à commencer par François Hollande et sa grande amie Angela Merkel -, il n’existe plus qu’un seul problème : la montée des formations dites « populistes ». En Allemagne, Angela Merkel reste toujours plus ou moins tranquille. Certes, l’AfD de la charmante Frauke Petry ne cesse de progresser, comme en témoigne la dernière élection régionale du Land de Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, mais la marche supérieure semble encore un peu trop haute. Chez nous – pour reprendre le titre du film de Lucas Belvaux -, l’histoire est un peu différente.

    En effet, Marine Le Pen caracole en tête des sondages du premier tour de la prochaine élection présidentielle. Plus important encore : les sondages thématiques montrent une adhésion aux grandes propositions de la candidate frontiste, notamment sur les questions relatives à l’immigration. À la faveur de la baisse de François Fillon, Marine Le Pen pourrait encore grandir un peu plus. Signe des temps : Philippe de Villiers a récemment loué les qualités de la candidate, estimant qu’elle possédait les qualités morales requises pour conduire l’État. Bref, le bateau Le Pen a le vent en poupe !

    Une situation qui inquiète le Président.

    Pour répondre à ce qu’il pense être une menace, il a entrepris de rencontrer quelques experts de la chose Front national. Chaque sortie est, désormais, l’occasion d’attaquer, parfois durement, la campagne de Marine Le Pen. En déplacement à Vitry-le-François, dans la Marne (un département qui a vu le FN en tête aux deux tours des dernières élections régionales), François Hollande a notamment affirmé que son « ultime devoir » était de tout faire pour que la France ne puisse pas être convaincue par le projet de Marine Le Pen, fustigeant « les forces obscures qui voudraient nous abaisser » et ces « démagogues qui font croire qu’il faudrait renoncer, protéger, s’enfermer alors que la France a toujours été un pays ouvert »

    Passons sur les arguments d’autorité du futur ex-résident de la République. Non, la France n’a pas « toujours » été « ouverte » au sens où il l’entend. C’est une fausseté. Pendant deux mois, le Président normal fera campagne contre un seul parti, ménageant le suspense sur sa préférence. Oh, on peut se douter du fait que le programme d’Emmanuel Macron, calqué sur la politique gouvernementale, est de nature à séduire François Hollande… Comment en sommes-nous, d’ailleurs, arrivés là ? Le Président le plus impopulaire de l’Histoire est en mesure de se maintenir grâce à un hologramme. Surréaliste. Que François Hollande continue sa croisade contre Marine Le Pen. Il est si mal-aimé de la population qu’il pourrait presque l’aider !

    Quant à la construction européenne, il est étonnant que François Hollande ne découvre que maintenant qu’il faille profondément la réformer, en créant des niveaux différents d’intégration… Une critique opportune qui masque difficilement une impuissance politique et stratégique. Longtemps, les dirigeants européens ont cru que le parapluie de l’OTAN suffirait, négligeant leurs armées nationales et la coopération intra-européenne. Imprévoyants, légers : ils ont tout raté et espèrent que nous les sauvions de la déroute. Disons-leur le mot de Cambronne !

    http://www.bvoltaire.fr/gabrielrobin/mini-sommet-europeen-de-limpuissance-hollande-croisade-contre-pen,318013

  • Le populisme : une résurgence du politique face à l’économisme triomphant et déshumanisant

    Selon Thibaud Collin dans L'Homme Nouveau :

    6a00d83451619c69e201bb09814235970d-200wi.jpg"[...] Le « populisme » est ce mot simple pour désigner un faisceau de phénomènes dont le dénominateur est le refus viscéral de la déliaison libérale. D’où les demandes de sécurité, de limites (redécouverte de la nature protectrice des frontières), d’autorité rendant possible le gouvernement de soi d’un peuple, de continuité avec son histoire et sa culture, etc. Le populisme peut ainsi être compris comme une résurgence du politique face à l’économisme triomphant et déshumanisant.

    Cette réaction est saine mais elle ne portera de bons fruits que si elle est enracinée et comprise dans une anthropologie politique sachant situer et articuler les différentes dimensions de l’ordre humain. La crise de notre civilisation est donc le moment opportun de redécouvrir la sagesse de la doctrine sociale de l’Église ; celle-ci est le fruit d’une longue expérience de la vie commune accumulée par la raison naturelle, éclairée et purifiée par la Révélation divine. De Léon XIII choisissant de revivifier l’héritage de la philosophie et de la théologie de saint Thomas au Pape François exhortant les peuples à résister à la cupidité, en passant par Pie XII et saint Jean-Paul II, les catholiques disposent d’un trésor pour notre monde. Connaissons-nous ce trésor ? Pratiquons-nous les vertus grâce auxquelles le monde commun peut perdurer dans la paix et la justice ? La vraie réforme est la réforme des mœurs, c’est-à-dire celle dont nous sommes les acteurs dans notre vie quotidienne."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/03/le-populisme-une-r%C3%A9surgence-du-politique-face-%C3%A0-l%C3%A9conomisme-triomphant-et-d%C3%A9shumanisant.html

  • Macron, le candidat du lobby pharmaceutique - Journal du mercredi 8 mars 2017

  • Marine Le Pen l’invitée de RTL

    Marine Le Pen était l’invité ce matin des « Petits déjeuners de la présidentielle » sur RTL.

    Deux heures pour vendre son programme politique, économique, social, devant des journalistes hostiles et attaquer celui de ses adversaires. Emmanuel Macron a été particulièrement la cible de ses critiques :

    «  »Un pur produit du système bancaire », « le candidat de la mondialisation sauvage », « le candidat de l’immigration massive », « il est le mondialiste, je suis moi la patriote ».

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-linvitee-de-rtl/70743/

  • La droite a toujours promis mais n’a jamais rien fait !

    Auriez-vous la mémoire courte ?

    J’avoue être surpris quand je vois des auteurs de Boulevard Voltaire vouloir sauver le soldat Fillon, le soutenir bec et ongles au nom de la défense de la vraie droite et larmoyer sur cette pauvre Penelope, recluse dans son château. Messieurs, je vous le dis : attention, auriez-vous la mémoire courte ?

    Souvenez-vous, pour les plus âgés, à la suite des attentas du GIA algérien à Paris, Charles Pasqua, en 1986, alors qu’il était ministre de l’Intérieur, déclarait : « Il faut terroriser les terroristes, car la guerre est engagée. » Pourtant, le combat contre l’islamisme est toujours aussi présent, il n’a pas été éradiqué, il a simplement muté en sortant du simple cadre algérien.

    Souvenez-vous, en juin 1991, au cours d’un dîner-débat du RPR, Jacques Chirac prononçait un discours particulièrement explosif :

    « Notre problème, ce n’est pas les étrangers, c’est qu’il y a overdose. Il est certain que d’avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d’avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français, qui habite à la Goutte-d’Or, qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15.000 francs, et qui voit sur le palier, à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50.000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [Applaudissements nourris] Si vous ajoutez à cela le bruit et l’odeur [rires nourris], eh bien, le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n’est pas être raciste que de dire cela. Nous n’avons plus les moyens d’honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s’impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s’il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d’une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu’ils ne paient pas d’impôts ! […] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu’il y a un problème de l’immigration. »

    Jean-Marie n’aurait pas dit mieux, il aurait même été moins féroce.

    Résultat néant : rien n’a été entrepris et l’immigration continua de plus belle !

    Souvenez-vous, Sarkozy, le 19 juin 2005, dans la cité des 4.000 à la Courneuve : « Dès demain, on va nettoyer au Kärcher la cité. On y mettra les effectifs nécessaires et le temps qu’il faudra, mais ça sera nettoyé. » Interpellé quelques jours plus tard à l’Assemblée sur le sujet, il persiste et signe : « Il faut nettoyer le quartier des trafics et des délinquants, réitère-t-il, avant d’ajouter : « Je ne retire rien. Je ne regrette rien. Je ferai ce que j’ai dit et nous aurons des résultats. Cela prendra le temps qu’il faudra. »

    Hélas, cinq mois plus tard, les banlieues s’embrasaient et, douze ans après, il y a toujours plus de zones de non-droit. Quant au fondamentalisme, il se porte à merveille dans les quartiers.

    Ce que n’ont pas compris certains, c’est que la droite n’a pas de volonté affirmée quand il s’agit de l’immigration et de l’islamisme. Dès que la gauche et les « racailles » s’opposent à ses mesurettes et descendent dans la rue, la droite abdique et, comme la seiche, lâche son écran de fumée avant de reculer et de fuir.

    Les mots de François Fillon, dimanche sur France 2, en apportent d’ailleurs la preuve : « Ma principale adversaire, c’est madame Le Pen » (il n’a cité ni Macron ni Hamon). Ne vous illusionnez pas : le candidat de la droite se pliera comme ses « illustres » prédécesseurs au politiquement correct s’il accède en mai au pouvoir.

    http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrefabrebernadac/droite-a-toujours-promis-na-jamais-rien,317829

  • Marine Le Pen sous-estimée dans les sondages ?

    Selon François Hollande (dans le Monde) :

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    Michel Janva