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élections - Page 371

  • « La foudre médiatique a frappé une famille traditionnelle »

    Entretien avec Christian Vanneste

    Monde-et-Vie-Vanneste-Macron-251x350.jpgChristian Vanneste a été député UMP de la 10e circonscription du Nord à Tourcoing. Il est aujourd'hui président du RPF et animateur d'un think-tank, la droite libre. Il a toujours défendu les valeurs chrétiennes et cela lui a valu un effrayant lynchage médiatique.

    Que pensez-vous de la tentative de lynchage de François Fillon ?

    Le lynchage médiatique subi par François Fillon est d'une gravité exceptionnelle. Les médias sont parvenus à faire d'un comportement légal qui n'a rien d'exceptionnel un objet d'opprobre comme s'il s'agissait d'une tur-i pitude d'une rare hypocrisie. En fait, François i Fillon qui a derrière lui une longue carrière où les cumuls et la détention de pouvoirs exécutifs locaux et nationaux a été fréquente, a utilisé avec une trop grande souplesse les rémunérations, qui, de toute façon, étaient mises à sa disposition. Il l'a fait au profit de sa famille, sans doute avec le sentiment que l'importance de ses charges, le sérieux de son travail légitimaient une aisance matérielle qui n'est même pas celle d'un grand sportif. D'autres ont avec l'argent public un comportement réellement indélicat. Ils ont cependant été réélus. D'autres encore ont considéré que des maîtresses, des petits amis devaient bénéficier des largesses de la République. Cela a été le cas de Présidents de la République ou encore d'un ministre qui employait dans son cabinet à la fois son épouse et son "amant" comme on dit maintenant. Certains sont poursuivis, comme le Maire de la ville la plus endettée de France,'qui se permet de faire la leçon à François Fillon. D'autres enfin passent à travers les gouttes comme par hasard parce qu'ils sont du bon côté des médias, n est frappant que la foudre médiatique ait frappé une famille traditionnelle. Quel bonheur pour un journal gauchiste de faire couler goutte à goutte l'acide des révélations et du dénigrement sur un élu conservateur. Beaucoup de ses électeurs accordent une grande importance à l'honnêteté et ne se rendent pas compte qu'il n'y a aucun rapport entre le fait que François Fillon ne soit pas insensible à l'aisance de sa famille, qui n'est pas scandaleuse, et sa capacité de redresser le pays. Richelieu, non plus, n'était pas désintéressé, il a été l'un de nos plus grands hommes d'État. La partialité, la hargne, l'absence totale de prise en compte de l'intérêt supérieur du pays sont une signature, celle de l'idéologie qui depuis 1968 mine notre pays en raison de la place démesurée qu'elle occupe dans le microcosme médiatico-politique qui conduit la France à sa perte.

    Quel a été le rôle de la presse dans le lynchage que vous avez subi vous-même ?

    À deux reprises j'ai été victime du même acharnement. Je n'ai pas été, comme beaucoup, un parlementaire invisible et paresseux. J'ai beaucoup travaillé sur de multiples sujets. J'ai déposé de nombreuses Propositions de Loi, posé des questions au gouvernement, rédigé une quantité d'amendements, participé à des Commissions, des Missions, des groupes de travail, rendu des rapports. Mes sujets de prédilection étaient le Référendum d'Initiative Populaire, la TVA sociale, le Travail d'Intérêt Général. Mes centres d'intérêt étaient l'industrie, textile en particulier, l'identité nationale et l'abrogation du droit du sol comme critère de la nationalité, la justice pénale, la famille, la bioéthique, la liberté de l'enseignement, la suppression départements, la diminution de la dépense publique etc. Tous ces travaux ont été balayés et remplacés par un mot repris systématiquement par la presse et qui prétendait "essentialiser" mon action. Je suis devenu pour la presse idéologique, sectaire et paresseuse, mais pas seulement pour elle, le "député homophobe" Entre parenthèses, cette essentialisation d'une personne est le mécanisme même du racisme. Cela témoigne de l'inconscient chargé de ces militants qui trahissent le métier de journaliste. Ils sont hélas nombreux et sont souvent suivis avec conformisme par les autres. Cette "prouesse" journalistique a été réalisée à partir d'une intervention de quelques minutes, une question "sur l'article" posée de mon banc un soir de décembre 2004. J'ai eu le malheur de répéter mes propos à la presse. Non seulement j'ai subi pendant les mois qui ont suivi un harcèlement de tous les instants, des manifestations évidemment reprises par les médias, des commentaires assassins, des insultes, mais comme l'immunité ne me protégeait plus en dehors de l'hémicycle j'ai dû aller me défendre devant les tribunaux. Que le travail d'un député qui est chargé d'élaborer la Loi puis; donner heu à des poursuites judiciaires où les1 associations, la justice et la presse constituent un triangle infernal est à l'évidence un scandale démocratique. Mon argumentation pour refuser l'inscription de réorientation sexuelle" dans le texte de loi portant création de la Halde s'inspirait de Voltaire et de Kant. Elle a conduit la Cour de cassation à me donner gain de cause. Je n'ai donc pas été condamné et j'ai obtenu récemment la condamnation de Frédéric Mitterrand qui avait prétendu que je l'avais été. Le mal était cependant fait. En 2007 je n'étais plus en odeur de sainteté à l'UMP. En 2012, intervenant comme Président de Famille et Liberté, dans une vidéo de Liberté Politique, dont l'objet était mon action pour interdire l'accès des mineurs à la pornographie sur Internet, j'ai répondu à une question sur l'approbation du mariage unisexe par une majorité de Français. J'ai souligné l'incroyable pouvoir médiatique du lobby "gay" et sa capacité d'accréditer des mensonges en donnant l'exemple de la déportation des homosexuels en France durant la Seconde Guerre mondiale, en dehors des trois départements annexés. Cette fois, le lynchage auquel l'UMP s'associa sans vergogne, fut mortel. Ce fut un concert de vociférations indignées. Les interviews étaient des réquisitoires. Serge Klarsfeld calma la meute en rappelant à cette foule d'ignares paresseux ou d'adversaires malveillants, tout simplement que je disais la vérité. C'était trop tard. J'avais peut-être raison sur ce point, mais j'étais quand même homophobe. Aucun plumitif n'a réfléchi sur l'absurdité de ce terme qui devrait désigner une peur pathologique, un trouble mental et qui, comme en URSS jadis, sert à criminaliser la déviance. Il y a des journalistes pour revendiquer la liberté de la presse les jours pairs et se transformer en commissaires politiques le lendemain. Je ne fus pas exclu de l'UMP car les statuts ne le permettaient pas. On me retira l'investiture pour complaire au groupe de pression si important à la veille des élections présidentielles. On investit à ma place le petit ambitieux que j'avais désigné pour me succéder et qui n'hésita pas à me trahir. Dépossédé de mon mandat, je dus affronter une série de procès. Je les gagnais tous. Je n'ai jamais été condamné et j'ai obtenu la condamnation de mes diffamateurs. La presse n'en parla pas. Elle avait désinformé à 100 %, mais elle avait gagné. Parmi les condamnés à la suite de mes plaintes ne figure pas L'Express. Le dossier avait été perdu le temps de la prescription... et c'est l'État qui a été condamné pour cette faute. La manipulation avait réussi. Ma voix s'était tue. À l'époque, François Fillon ne m'avait pas soutenu. Au contraire. En le soutenant aujourd'hui qu'il est victime d'une manœuvre analogue, je crois simplement privilégier l'intérêt supérieur de mon pays et ne donner aucune place à la rancœur.

    Faudrait-il, selon vous, que François Fillon se retire ?

    La France est une grande malade. C'est un pays dont l'Histoire et la culture sont d'une richesse exceptionnelle. Elle est malheureusement sous la coupe d'une oligarchie politique dont le niveau intellectuel et moral s'est effondré. Un microcosme médiatique nourri d'une idéologie à la fois intellectuellement nulle et terriblement destructrice rend notre nation stupide et moutonnière. Tout élan vers le redressement, le patriotisme, la fierté nationale est inhibé à la source. Dans la situation actuelle, François Fillon incarne en gaulliste l'espérance d'un renouveau. Les gauchistes font tout pour l'étouffer afin que Marine Le Pen soit seule à représenter ce renouveau possible au second tour de l'élection présidentielle et qu'elle soit, comme d'habitude, battue. Il faut donc que. François Fillon poursuive le combat. Il en va de l'intérêt supérieur du pays. François Fillon a formulé un diagnostic pessimiste, mais lucide, sur l'état de notre pays, endetté, écrasé sous la dépense publique et le poids d'un État obèse et impuissant. Ses propositions sont réalistes. Elles demandent des efforts. Ce sont les seules qui peuvent redresser le pays. Sa politique ne se limitera pas à l'économie. Sa volonté de réaffirmer l'identité de la Nation française, de limiter l'immigration, de restaurer la politique familiale, de lutter contre le terrorisme, et de retrouver des relations positives avec la Russie constituent un ensemble cohérent capable de nous arracher à la pente du déclin. Or, comme d'habitude, la pression médiatique, les coups tordus de certains médias en particulier, tentent de briser le sursaut. Le vrai débat est celui du patriotisme et du mondialisme. Je souhaite pour ma part qu'au second tour de l'élection présidentielle, il n'y ait plus que des candidats patriotes dont le plus réaliste et le moins démagogue sorte vainqueur. Le constat de l'échec européen se fera alors dans le consensus. L'hypothèse d'une remise en cause brutale est non seulement utopique, elle est dangereuse économiquement, et suicidaire politiquement car elle fera peur et favorisera la victoire de la gauche si celle-ci est présente au second tour malgré son bilan calamiteux.

    Propos recueillis par Alain Hasso monde&vie 23 février 2017

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  • Marion Maréchal Le Pen : « Si vous continuez à fermer les yeux, vos enfants en paieront le prix ! »

    On a le sentiment ces derniers jours que Marine Le Pen se « droitise ». On l’a vu lors de L’émission politique, où elle a parlé de l’école libre par exemple. Est-ce une petite victoire de la ligne Marion Maréchal ?

    Je ne crois pas qu’il faille l’analyser ainsi. Cela a été surtout une possibilité pour Marine Le Pen de clarifier ses positions. C’est une émission de deux heures et demie, on a pu aller au fond des choses et éviter les caricatures – il y en a beaucoup, souvent construites par nos adversaires de droite. Caricature sur l’augmentation du SMIC qui n’a jamais été dans le programme du Front National, caricature sur la mélenchonisation du programme économique qui est complètement absurde lorsqu’on s’y penche attentivement. Caricature, aussi, concernant une prétendue laïcisation des espaces publics qui ferait fi des racines chrétiennes de la France alors que précisément nous souhaitons dans la constitution remettre en avant et protéger ce patrimoine chrétien de la France… Ces nombreuses outrances ont été battues en brèche lors de cette émission et c’est heureux.

    Au sein du FN, vous êtes celle qui a toujours plaidé pour la politique de la main tendue vers ce que l’on appelle communément la droite hors-les-murs. Le soutien inattendu apporté par Philippe de Villiers, dimanche dernier, à Marine Le Pen (je le cite : « elle a la carrure présidentielle, sa main ne tremblera pas lorsqu’il faudra prendre des décisions douloureuses »)… c’est votre œuvre ?

    Je n’y suis pour rien, même si j’ose espérer que les relations privilégiées que j’ai nouées avec Philippe de Villiers ces derniers mois ont pu constituer un premier pas vers cette déclaration. À mon avis, la condition de la victoire de Marine Le Pen sera l’alliance du peuple de droite au sens large, des classes populaires au sens large, avec une partie de la droite conservatrice, incarnée notamment par ce que l’on qualifie de droite hors-les-murs et de personnalités comme Philippe de Villiers. L’enjeu principal de cette campagne est de réussir précisément à briser l’isolement et à ramener à nous un certain nombre de personnalités de droite. Marine Le Pen en a cité quelques-unes comme Nicolas Dupont-Aignan, Henri Guaino, ou certains députés qui ne sont plus vraiment dans la ligne politique des Républicains.

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  • Fillon vs Macron : divisions entre élus LR et UDI dans les régions

    Pendant que LR s'échine à négocier des circonscriptions, voire un ministère, avec l'UDI, les majorité LR-UDI explosent dans les régions, comme le montre cet extrait d'un communiqué de Pascal Gannat, Président du groupe FN-RBM de la Région Pays de la Loire :

    "François Bayrou vient d’annoncer son soutien à Emmanuel Macron. Un jeu d’alliance qui pourrait bouleverser la majorité régionale de Bruno Retailleau. Aujourd’hui à la Région, Les Républicains et l’UDI soutiennent François Fillon. Pourtant, certains élus UDI ont prouvé à plusieurs reprises qu’ils avaient plus de points communs avec le groupe d’opposition PS qu’avec Bruno Retailleau.

    En outre, de nombreux élus UDI dans les Pays de la Loire, tel Jean Arthuis, soutiennent déjà Emmanuel Macron. Quant aux deux élus régionaux issus du MoDem, il y a fort à parier ils prêtent eux aussi allégeance à l’ex-salarié de la banque Rothschild. C’est le nivellement par la gauche et le délitement par le centre. L’exécutif régional devra faire voter les mesures de son projet à un groupe d’élus divisés entre un camp Fillon et un camp Macron. Idem pour les élections législatives, au cours desquelles des élus régionaux investis par LR affronteront dans leurs circonscriptions des élus investis par l’UDI.

    Pour couronner le tout, il n’est pas exclu que certains élus régionaux LR, déjà divisés par la primaire, finissent par soutenir Emmanuel Macron, en cas de sondages favorables. Pour tenir sa majorité, Bruno Retailleau sera forcé de donner encore plus de gages aux élus centristes, signant ainsi son glissement définitif à gauche sur l’identité, la sécurité, la famille, l’Union européenne, le communautarisme. [...]"

    Avec Nicolas Sarkozy, l'ouverture à gauche avait eu lieu après les élections. Reconnaissons à François Fillon le mérite de la clarté avant les élections...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le règne prodigieux de Bouffon Ier se termine

    Bernard Plouvier

    Tout à l’Ouest de l’Europe se dressait autrefois un beau pays… mais ça, c’était avant ! Avant que la Nation ne soit envahie par des extra-Européens violents, haineux et dépourvus de tout respect pour les institutions et les valeurs de la République. Avant que l’État ne soit mis en coupe réglée par une racaille politicienne et sectaire, manipulée par d’étranges spéculateurs qui ont parié sur le déclin irréversible de la race européenne.

    Effectivement, le règne de Bouffon Premier se termine plus mal encore qu’il n’a débuté… c’était pourtant difficile. Mais, n’écoutant que sa malfaisance et sa jeune maîtresse, il est parvenu à ridiculiser un peu plus encore ses crétins de compatriotes qui l’avaient hissé à un niveau, hélas sans aucune mesure avec ses faibles capacités.  

    Rappelez-vous ! Son règne commence par une rixe provoquée par un groupe de gauchistes s’attaquant à un homme isolé qui a le malheur d’avoir les cheveux courts et d'aimer son pays. Une baffe et l’un des assaillants, un peu trop léger pour jouer au lutteur de foire d’autant qu’il est convalescent d’une maladie gravissime, tombe sur le trottoir et meurt d’hémorragie cérébrale. Il y a légitime défense, mais, voilà, les gauchistes sont les nervis d’un curieux ministre de l’Intérieur et l’assailli, devenu bien malgré lui meurtrier par accident, est enfermé quinze mois en prison.

    La bouffonnerie a dégénéré en drame et un groupe d’innocents est jeté en pâture à l’opinion publique : « pour sauver la Ripoublique », on démantèle plusieurs organisations populistes, qui n’étaient pour rien dans l’affaire. Le règne commence par une énorme supercherie médiatique et la mort absurde d’un jeune étudiant qui avait mieux à faire qu’à singer les gros bras.    

    On vit une ambiance de fin de règne, à la fois désastreux et ridicule. Pour fêter ce non-événement, on ne trouve rien de mieux qu’une série d’émeutes raciales, après qu’un quarteron de policiers, agacés ou abrutis, ait malmené un honorable rejeton de l’immigration africaine… un « Subsaharien », comme l’on dit de nos jours, pour éviter d’annoncer la couleur de peau, comme si elle était une tare.

    On brûle des voitures, on casse des vitrines, on gueule des slogans de haine contre les Blancs et les forces de l’ordre, enfin l’on empêche les enfants et les adolescents d’entrer dans les établissements scolaires. Bouffon Ier peut être fier de lui : même ses plus mauvais prédécesseurs – et il y avait de la concurrence – n’ont pas été aussi ridicules.

    Ni surtout aussi nuls. Car, en cette fin de règne lamentable, la France compte plus de 5 millions de chômeurs des trois catégories A, B et C ; la Dette publique atteint des records, à l’instar de la violence urbaine et du racisme dirigé contre les Blancs, ces autochtones qui sont pourtant encore majoritaires dans ce qui fut un beau pays.

    Mais il n’était beau que parce que l’on y était patriote et travailleur. Ohé, les idiots de Français ! Quand allez-vous cesser de dormir, de rêvasser entre deux tiercés et autant de bières ?

    C’est en 2017 que le changement est possible. Il est même urgent ! Car, au train où vont l’immigration extra-européenne (l’officielle et l’illégale) et la natalité des hôtes non désirés par la Nation – qui n’a jamais été consultée sur l’immigration africaine et proche-orientale -, on ne sait trop ce que sera le rapport démocratique des forces dans cinq ans. La démocratie n’est que la loi du nombre. Pas celle de l’intelligence, du travail, de la valeur, de la qualité. Rien que la toute-puissance de la quantité.  

    Bouffon Ier s’en va ! Évitons d’élire Bouffon II… car, dans les séries à épisodes les remakes sont souvent pires que la première époque. Plus lamentable que Bouffon actuel, on a du mal à le concevoir. Pourtant, au prodige d’inefficacité pourrait succéder un prodige de la super-nuisance ! Il serait judicieux d’y penser et de démontrer aux spéculateurs qu’ils se sont trompés en nous jugeant « finis ».  

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