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élections - Page 368

  • Un lobby LGBT avec Fillon : veut-il vraiment perdre ?

    François Fillon pense sans doute que les militants LMPT lui sont tellement acquis qu'il peut faire n'importe quoi, entre ses alliances à l'UDI, son rejet de Charles Millon ou encore la création d'un mouvement LGBT :

    "Une nouvelle composante est en passe de venir s'ajouter au dispositif de campagne de François Fillon: un mouvement de soutien d'homosexuels pour la campagne du candidat de la droite est dans les tuyaux.Cette initiative sera confiée à Benoît-Olivier Boureau, banquier chez Rothschild et impliqué dans le comité de soutien parisien de la campagne de François Fillon. Contacté par Le Figaro, lui-même n'a pas donné suite à nos sollicitations jusqu'ici.

    Il a en revanche pris contact avec Pierre Danon, à la tête du pôle de campagne société civile auprès de François Fillon. «Il m'a demandé si c'était bien à moi qu'il fallait s'adresser. J'ai répondu que je serai ravi d'accueillir cette initiative et de le publier si elle est solide et sérieuse, ce dont je ne doute pas», confirmait au Figaro mercredi soir l'ex-patron de Numéricable, qui a notamment supervisé le rassemblement du Trocadéro. Le chef de file des Jeunes avec Fillon confirme la nouvelle. «C'est une très bonne chose, ça devrait permettre d'élargir notre audience, alors qu'on essaie de le faire passer pour un extrémiste en arguant de la radicalisation de sa campagne», salue Cédric Rivet-Sow."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pays-Bas : l’échec des populistes - Journal du jeudi 16 mars 2017

  • Pays-Bas : la droite populiste continue sa progression électorale

    Aux Pays-Bas avaient lieu hier des élections législatives. A l’issue du scrutin, les libéraux de droite du Premier ministre restent en tête, avec environ 30 sièges. Mais ils en perdent une dizaine. Le parti du populiste Geert Wilders continue sa progression vers le pouvoir, avec 19 sièges, soit 4 de plus qu’aujourd’hui. Au grand soulagement pour les médias et pour les élites oligarchiques !

    Ces résultats clôturent une campagne électrique lors de laquelle les thèmes de l’islam, de l’immigration, de l’identité ont été mis au centre du débat. Une campagne qui reflète l’esprit des Néerlandais, qui placent clairement l’immigration, la défense de l’Etat néerlandais et la question de la place de l’islam dans leur société au cœur de leurs préoccupations.

    D’où le succès de Geert Wilders, qui exprime une révolte populaire occidentale plus large contre la globalisation, les frontières ouvertes et le multiculturalisme.

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  • Marine Le Pen -"François Fillon a un programme brutal pour la France et les français" [14/03/2017]

  • Quand le Front national donne des leçons de démocratie à la classe politique…

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    Marine Le Pen qui apporte son parrainage personnel à Henri Guaino, et Louis Aliot appelant les élus, Front national ou non, à faire de même de Philippe Poutou, tel est le feuilleton du jour. Lequel est, sur le fond, plus anecdotique qu’autre chose, mais qui, sur la forme, n’en finit plus d’agiter des cerveaux médiatiques déjà passablement en voie de surchauffe et d’hébétude caractérisée.

    D’où cette question inlassablement posée par ces derniers : Marine Le Pen est-elle une « véritable » démocrate ? Question à laquelle on serait tentés de répondre : mais qu’est-ce qu’un « véritable » démocrate ? Dominique Strauss-Kahn ? Jérôme Cahuzac ? Denis Baupin ? Serge Dassault ? Voire même le roi d’Arabie saoudite, devant lequel est déroulé tapis rouge, ou émir du Qatar avec tapis volants déroulés ?

    D’ailleurs, François Fillon est-il lui même un « véritable » démocrate, lui dont le viatique se résume à ce seul « Mon principal adversaire est Marine Le Pen » ? Tout cela est-il « véritablement » démocrate, s’agissant en fait d’une sorte de hold-up électoral : les électeurs de l’ancien Premier ministre pensaient voter pour un programme civilisationnel, un substrat de valeurs conservatrices et libérales. Et voilà qu’ils apprennent qu’ils en sont réduits à jouer les harkis de Ras l’front et autres officines d’extrême gauche plus ou moins zadistes, tandis qu’un Charles Millon, pourtant artisan de la victoire fillonesque aux primaires est congédié, tel un vulgaire laquais – voire, à ce sujet, l’excellent article de Gabrielle Cluzel dans notre édition d’hier. Hold-up électoral, donc, et ici doublé d’un évident déni de démocratie.

    Car il en va aussi de la démocratie comme de l’amour : seules comptent les preuves d’amour et de… démocratie.

    Preuves pour le moins tangibles qui viennent, ici, d’être administrées par le loup-garou frontiste. Louis Aliot : « Il y a des petits candidats aujourd’hui et qui sont tout à fait représentatifs, comme monsieur Poutou, qu’on le veuille ou non, qui représente un pan de l’opinion française. » Réponse du candidat du Nouveau Parti anticapitaliste : « Il y a des soutiens dont on se passerait bien et même que nous refusons. » 

    Là, on voit bien que la gauche et l’extrême gauche ont du mal à digérer que la majeure partie de la classe ouvrière soit passée avec armes et bagages du côté lepéniste. Les pauvres en cols bleus ne seraient donc pas de « véritables » démocrates ? C’est à croire.

    Même réponse du côté de Jean-Luc Mélenchon, auquel le Front national avait également proposé un coup de main, qui évoque un « bobard » et déplore que « les médias reprennent pour la énième fois la thèse de la “porosité” de nos électorats, alors que la preuve du contraire a été donnée cent fois ». Tiens donc. Où et quand, peut-on savoir ? La vérité, c’est que la réalité de cette passerelle électorale est au moins cent fois démontrée depuis des décennies, tout comme une autre porosité est en train de poindre : celle des déçus de François Fillon en direction de Marine Le Pen. Laquelle assure, à propos de la signature offerte à Henri Guaino, que tout cela a tout simplement été fait « au nom du pluralisme politique », notion qui semble échapper à messieurs Mélenchon et Fillon.

    Au fait, que pensent nos « démocrates » professionnels des trente-trois parrainages d’élus polynésiens apportés à la même Marine Le Pen ? Eux aussi ne seraient pas de « véritables » démocrates ? Ils iront l’expliquer de visu à ces fiers gaillards n’ayant pas l’habitude de se battre à coups de colliers de fleurs ou de ukulélés, et encore moins rompus aux élégances « démocratiques » de Saint-Germain-des-Prés et de ses proches environs.

    Bonne chance, les gars ! Nos prières vous accompagnent…

    http://www.bvoltaire.fr/nicolasgauthier/front-national-donne-lecons-de-democratie-a-classe-politique,319116

  • Enquête sur le FN : le garde du corps de Marine Le Pen hors de cause

    Thierry Légier, le garde du corps de Marine Le Pen, placé en garde à vue mercredi 22 février dans le cadre de l'enquête sur les assistants parlementaires du Front national au Parlement européen, a été relâché dans la soirée sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui. Au même moment, Marine Le Pen était l'invitée du 20 heures de TF1. 
    On l'avait pourtant accusé d'occuper un emploi fictif. Thierry Légier, garde du corps de Jean-Marie Le Pen puis de Marine Le Pen - depuis 1992 - a été relâché mercredi 22 février, alors que le Parlement européen et la justice française soupçonnaient son emploi d'assistant parlementaire européen, fin 2011, d'être fictif. Sa garde à vue a été levée sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui. 
    La justice « ne doit pas perturber » l’élection 
    En parallèle, Marine Le Pen était l'invitée du journal de 20 heures de Gilles Bouleau. Si elle a rapidement évoqué cette affaire en « contestant formellement les faits » et en demandant à la justice de ne pas « perturber la présidentielle », elle est surtout revenue sur les attaques contre son programme économique.
    Elle a ainsi brocardé les conclusions d'un rapport, celui de l'institut Montaigne, que le journal Les Échos a repris, mercredi 22 février, pour mettre en garde les Français sur l'éventuelle dangerosité du programme politique du FN. 
    « Avoir une monnaie nationale permettrait à notre pays d'avoir sa liberté politique et économique. (...) L'euro est la monnaie des banquiers, pas du peuple, qui a vécu la baisse de son pouvoir d'achat et le chômage de masse », a-t-elle déclaré. Et de poursuivre, de sa traditionnelle verve souverainiste : « Je veux rendre au peuple sa monnaie, ses frontières, l'autorité des lois votées par ses représentants, sa liberté économique. » 

  • Conférence présidentielle n°4 : « La citoyenneté » | Marine 2017

  • Je ne veux pas de vos 500 euros, Monsieur Macron, par Thibault Damilly

    Ce soir, j’ai trouvé un tract « Emmanuel Macron, le candidat du travail » dans ma boîte aux lettres. J’ai résisté au réflexe de le jeter immédiatement au feu et je l’ai ouvert. Pour Monsieur Macron, les Français (en a-t-il déjà vu ?) semblent n’avoir pas d’autre horizon que celui de l’argent gagné et aussitôt dépensé : ce tract ne parle que d’économie.En voici la première proposition :

    « Je supprimerai des cotisations payées par les salariés. Tous les travailleurs verront leurs revenus et leur pouvoir d’achat augmenter. Résultat : 250 € par an de gain de pouvoir d’achat pour un salarié au SMIC. Près de 500 € par an pour un salarié à 2000 € par mois. »

    J’ai bien lu ? Il me promet 500 € par an ? Lui qui déclare par ailleurs que l’immigration est une chance ?

    500€ par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de ce que me coûte l’école privée de ma fille pour lui éviter de connaître trop tôt les joies du vivre-ensemble ?

    500€ par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de ce que je paie pour une alarme avec intervention destinée à protéger ma maison des cambriolages qui touchent tout mon village ?

    500€ par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de la voiture que ma femme a dû acheter pour aller au travail depuis qu’elle ne veut plus prendre les transports en commun suite à une agression ?

    500 € par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de ce que je dois payer pour la moindre visite médicale dans une clinique qui ne ressemble pas à un hôpital du tiers-monde ?

    500 € par an ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de la semaine de vacances hors de prix que je paie à ma famille parce que la station balnéaire populaire de mon enfance est devenue aussi invivable que Trappes ?

    500€ par an enfin ? Mais qu’est-ce que c’est à côté de l’emprunt sur 25 ans que j’ai dû contracter pour pouvoir vivre dans un coin où je ne me sente pas étranger dans mon propre pays ? Coin qui ne s’avère pas si tranquille puisque visiblement, on ne peut plus être tranquille nulle part en France !

    Tout Français a l’intuition que le coût global de l’immigration est exorbitant mais aucune des études sur le sujet ne s’accordent puisque toutes sont militantes, que ce soit pro ou anti-immigration. Mais une chose est sûre, chacun est capable de faire le bilan de ce que lui coûte cette stratégie permanente de l’évitement. Logement, école privée, assurances, alarme, porte blindée, santé, transports : ce coût est écrasant et une grande partie des Français ne peut tout simplement pas se le permettre.

    Monsieur Macron, je ne suis pas un mendiant qui vote pour un candidat qui lui promet quelques centaines d’euros à la fin de l’année. Non. Ce que j’attends de la personne qui va diriger la France est beaucoup plus simple et doit vous paraître fou, inouï, révolutionnaire : je veux vivre honnêtement de mon travail, paisiblement avec ma famille et dans un pays qui reste le mien.

    Thibault Damilly

    Texte publié par Les Identitaires

    http://fr.novopress.info/204239/je-ne-veux-pas-de-vos-500-euros-monsieur-macron-par-thibault-damilly-identitaires/