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élections - Page 368

  • Marion Maréchal-Le Pen : « Avec Macron, nous aurons une majorité socialiste »

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    Invitée hier du journal de 13 heures de TF1, Marion Maréchal-Le Pen a expliqué que si Emmanuel Macron était élu, nous aurions le mois suivant – et pour cinq ans – une majorité socialiste. Tandis que si Marine Le Pen était élue, les Français, « par souci de cohérence », lui donneraient une majorité pour gouverner, laquelle ferait entrer à l’Assemblée des candidats issus de la « société civile » ainsi que des candidats d’ouverture, comme dans le Var, où un maire sans étiquette est soutenu par le Front national – il s’agit de Pierre Jugy, maire de Tourtour, candidat dans la 8e circonscription du Var. L’élue du Vaucluse n’exclut pas que soient nouées « des alliances avec un certain nombre de candidats, des sortants », qui seraient « compatibles » avec la vision de la France que porte Marine Le Pen.

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  • L’agonie d’un régime

    Bernard Plouvier

    Durant les années 1780 sq., l’on assista en France à la déliquescence de l’État, mal administré par son chef, un excellent homme, cultivé, pieux et bon, mais un être indécis, faible, velléitaire : Louis XVI, trop influencé par une épouse idiote et inculte, futile et dépensière. Leur martyre, débuté en août 1792, et celui, plus ignoble encore, de leurs enfants sont dignes de pitié, mais ne rachètent en rien les erreurs commises, que la Nation française paya au prix fort.

    Un scénario identique fut joué en Russie, lors du règne désastreux d’un tsar imbécile et inculte, marié à une hystérique… là aussi, les malheurs de despotes ineptes ne furent rien en comparaison des souffrances inouïes endurées par le peuple, de 1917 aux années 1990.

    En dépit de la guérilla civile liée au règlement hypocrite, machiavélique, de la question algérienne, où l’une des rares victoires militaires en matière de guerre coloniale fut bradée pour des raisons politiciennes, la Ve République avait une certaine tenue lors des dix premières années de son fonctionnement.

    Le chef de l’État était digne dans sa vie privée, s’il fut toute sa vie effroyablement sectaire, au point de ne jamais tenter d’unir la Nation. Ni en 1944, ni en 1958, ni en 1962, il ne se donna la peine d’esayer : le bon peuple était prié de vénérer le chef infaillible, point-barre. Toutefois, l’époque était favorable : les progrès techniques (en grande partie hérités des années 1940-58) s’accumulaient, tandis que le chômage était nul du fait d’une croissance économique continue.

    Seule la finance cosmopolite tentait de miner l’État, surtout après les commentaires désabusés de son chef en 1967. De Gaulle, pour une fois clairvoyant, avait compris qu’à trop humilier les musulmans en soutenant l’État impérialiste d’Israël, l’on risquait de les pousser à utiliser le pétrole comme d’une arme économique : ce fut vérifié à partir de 1973.

    Entretemps, la France avait durement payé les prophéties de son chef. Dès la fin de 1967, l’on assistait à une sourde offensive contre le Franc, au moyen d’exportations massives de capitaux et de spéculations monétaires. Elles révélèrent pleinement leur nocivité durant le second semestre de 1968, après que l’État gérontocratique ait été secoué par la chienlit du printemps (où l’élément juif fut surreprésenté).

    De 1969 aux années actuelles, l’État français a subi une détérioration et dans la dignité personnelle des chefs démocratiquement élus et dans l’efficacité gouvernementale. Avec Mitterrand, la France fut vendue au grand patronat multinational et l’État ex-gaullien, fier de son indépendance et de son originalité, devint un pion de l’économie globale, un petit élément de la mondialisation de la vie politique et sous-culturelle.

    Si Chirac ne s’est pas associé à la 2e guerre d’Irak, c’est parce que ses compromissions de chef de gouvernement avec Saddam Hussein l’en empêchaient. Fort habilement, la propagande médiatique masqua une corruption par de beaux arguments humanistes, qui faisaient de la France, déjà largement envahie de mahométans, un pays officiellement sensible aux malheurs des Palestiniens… chose fort utile, quand on courtise les émirs du pétrole.

    Depuis les années 1980, l’État est mis en coupe réglée par des coteries qui s’intéressent davantage à leur enrichissement personnel qu’au Bien commun. Et le phénomène atteint de nos jours des sommets.

    Alors que le chômage bat, d’année en année, des records qui ridiculisent par leur ampleur ce que l’on avait connu dans les années trente de funeste mémoire, alors que la France est envahie d’allogènes violents au point que deux milliers de cités de non-droit déshonorent le sol français et que les trafics d’armes et de stupéfiants n’ont jamais été aussi florissants, alors que les Français autochtones souffrent d’insécurité permanente agrémentée d’attentats terroristes plus meurtriers que nos routes et autoroutes en un week-end chargé, nos excellences affichent leurs scandales sexuels et financiers, se bornant, en contrepartie de très hauts revenus puisés dans les caisses de l’État, à mener une politique dictée par les groupes multinationaux.

    Plus que jamais, la politique française affiche une corruption diffuse, non seulement à Paris mais aussi en province, dans les partis de gouvernement comme dans la haute administration.

    Inefficacité, inaptitude à gouverner, corruption et comportement de débauché(e)s, la Ve République agonise dans la pourriture et l’ineptie. Le régime se meurt, à l’instar des monarchies française ou tsariste, des satrapies communistes et des dictatures du Tiers-Monde. Aux Français d’en tirer les conclusions logiques.       

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  • Oubliez la présidentielle, c’est aux législatives qu’on va vraiment rigoler !

    L’élection présidentielle est le scrutin phare de la VeRépublique parce que le cœur du pouvoir politique se trouve à l’Élysée. C’est, du moins, ainsi que les Français voient la fonction présidentielle. Pourtant, s’ils lisaient soigneusement la Constitution, ils apprendraient que c’est le Premier ministre qui dirige l’action du gouvernement et conduit la politique de la nation, et même – contrairement à une idée reçue – que c’est lui et non le président de la République qui est responsable de la Défense nationale (articles 20 et 21).

    Certes, le plus souvent, le président de la République est aussi le chef de la majorité parlementaire, son Premier ministre lui est donc totalement dévoué et c’est bien à l’Élysée que tous les pouvoirs se concentrent. Mais il suffit que les élections législatives ne lui donnent pas de majorité et voilà qu’il perd tout, hors quelques prérogatives mineures ou liées à des circonstances improbables. La Ve République a connu trois cohabitations et, à chaque fois, c’est bien de Matignon et non de l’Élysée qu’était gouvernée la France. A fortiori après le traité de Lisbonne, en l’absence de majorité pour le soutenir, le candidat qui sortira vainqueur du prochain scrutin, quel qu’il soit, sera un président de la République croupion. J’en profite, ici, pour rappeler à certains doux rêveurs que pour légiférer par ordonnance (art. 38), il faut au préalable obtenir le vote d’une loi d’habilitation. Quant à recourir au 49-3, il faut encore que le Parlement s’abstienne de censurer le gouvernement.

    Quel candidat peut raisonnablement espérer obtenir une majorité à l’Assemblée nationale en juin prochain ? Aucun, sauf…

    En temps normal, l’attribution des investitures pour les législatives au sein des grandes coalitions de gauche et de droite donne déjà lieu à des marchandages houleux, mais rien de commun avec ce qui se profile cette fois-ci. Au vu des résultats lors des dernières régionales, il était raisonnable d’anticiper, pour les législatives de 2017, que le FN au soir du premier tour serait en ballottage favorable dans plus de 150 circonscriptions, mais c’était avec l’hypothèse que la gauche et la droite iraient au combat comme deux blocs unis. Or, nous en avons été les témoins, les primaires ont littéralement fait voler en éclat tant le PS que les Républicains. À gauche, les amis de Mélenchon, les frondeurs (amis d’Hamon) et les ralliés à Macron semblent irréconciliables. À droite, c’est peut-être pire encore entre les centristes et les juppéistes d’une part, qui semblent plus proches que jamais, les fillonistes qui ont pour eux la légitimité des primaires et les sarkozystes qui ne savent plus sur quel pied danser.

    Si ces deux blocs gauche/droite abordent les législatives en ordre dispersé, alors – tenez vous bien – le FN virerait en tête à l’issue du premier tour dans plus de 400 circonscriptions et avec une marge conséquente sur le suivant dans plus de 200. Ce serait un véritable tsunami frontiste et même, dans de très nombreux cas, le FN pourrait être le seul à franchir la barre de 12.5 % des inscrits. En résumé, si à droite comme à gauche on ne se rabiboche pas au lendemain de la présidentielle, l’hypothèse, incroyable il y a quelques mois, d’une majorité frontiste à l’Assemblée nationale n’est pas exclue. Le paradoxe, c’est qu’une victoire de Marine Le Pen à la présidentielle serait de nature à inciter la gauche comme la droite à resserrer les rangs alors qu’une défaite de Marine Le Pen donnerait lieu à des batailles de chiffonniers pour se partager le gâteau.

    Cela rejoint l’idée dont je me suis fait l’écho dans ces colonnes à plusieurs reprises, à savoir que l’optimum pour le camp des patriotes est davantage une défaite honorable de Marine Le Pen à la présidentielle, suivie d’un coup d’éclat aux législatives, plutôt qu’une victoire qui déboucherait sur une impasse.

    http://www.bvoltaire.fr/christopheservan/oubliez-presidentielle-cest-aux-legislatives-quon-va-vraiment-rigoler,318669

  • #LeVraiMacron : Quand Macron dévoile (enfin) son programme...

  • Civitas lance sa campagne pour les législatives de juin prochain

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    Carl Lang au cours de son intervention

    Samedi s'est déroulée à l'Espace Jean Monnet à Rungis, lieu bien connu des lecteurs de Synthèse nationale, la 1ère fête du Pays réel organisée par l'Institut Civitas présidée par Alain Escada. Ce fut l'occasion pour lui de donner le coup d'envoie de la campagne du mouvement catholique et national en vue des élections législatives de juin prochain. Civitas présentera en effet des candidats comme ce sera aussi le cas du Parti de la France et des Comités Jeanne présidés par Jean-Marie Le Pen. Un accord d'unicité de candidature est donc réalisé entre ces différentes formations. 

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    Alain Escada, Président de Civitas

    Cette entente s'est matérialisée dans l'après-midi par un meeting rassemblant un public nombreux au cours duquel prirent respectivement la parole Carl Lang, Président du PdF, Jean-Marie Le Pen et Alain Escada.

    Synthèse nationale était aussi invité à la fête et, toute la journée, notre stand a été visité par de nombreux amis. Ignace, le fameux dessinateur auteur de l'album Apocalypse Flamby cliquez ici que nous avons publié en décembre dernier, et Alban d'Arguin, à qui nous devons un brillant réquisitoire contre ce scandale d'Etat que sont les éoliennes, dernièrement édités cliquez là, dédicacèrent à tour de bras leurs ouvrages respectifs.

    Bravo et merci à Alain Escada et à Civitas pour cette belle réunion amicale tenue dans l'esprit de nos journées nationales et identitaires annuelles cliquez ici. Rappelons au passage que la XIe du genre se déroulera le dimanche 1er octobre à Rungis justement...

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    Jean-Marie Le Pen arrive au stand de Synthèse nationale

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    Carl Lang et Alban d'Arguin se sont entretenus sur les ravages produits par les éoliennes

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    Amicales retrouvailles sur le stand de Synthèse

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    Un public nombreux et attentif

    Nous publierons très prochainement les interventions politiques de la journée.

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  • Marine Le Pen accuse BFMTV de soutenir Macron « de manière éhontée »

    Source : OJIM – Marine Le Pen accuse BFMTV de soutenir Macron « de manière éhontée »

    Invitée sur BFMTV le 5 mars dernier, Marine Le Pen a accusé directement la chaîne d’information en continu de soutenir Emmanuel Macron.

    Parfois surnommée « BFMacron » sur les réseaux sociaux, la chaîne détenue par le milliardaire franco-israélien Patrick Drahi est souvent accusée de favoriser le candidat d’« En Marche ». Ainsi dernièrement l’hebdomadaire Marianne avait-il mis en évidence la surexposition de Macron sur BFM TV par rapport aux autres candidats. En effet, depuis sa déclaration de candidature, l’ancien ministre de François Hollande a vu tous ses meetings diffusés en intégralité sur la chaîne info, cumulant 440 minutes d’antenne, soit plus que François Fillon, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon réunis !

    Profitant de sa présence sur le plateau de BFM Politique, la présidente du Front National a donc accusé plusieurs médias, dont BFMTV et RMC, d’être des « soutiens de M. Macron ». Face aux protestations du journaliste, celle-ci a tout d’abord évoqué le passage de Bernard Mourad de la branche médias d’Altice (multinationale fondée par Patrick Drahi) à l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron. Qui plus est, le rachat de SFR par Altice, refusé dans un premier temps par Arnaud Montebourg, a ensuite été autorisé lors de l’arrivée de l’ancien banquier d’affaires au ministère de l’Économie. « Tout le monde sait que les médias de Patrick Drahi, dont BFMTV, soutiennent Emmanuel Macron de manière éhontée », a-t-elle ajouté avant de sortir quelques chiffres pour le prouver.

    « Il ne faut pas prendre les Français pour des idiots. Ils voient bien aujourd’hui la tonalité qui fait que M. Macron est le chouchou des médias », a-t-elle poursuivi.

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  • Discours de Marine Le Pen à Châteauroux (11/03/2017) | Marine 2017

  • Pour la première fois, le G20 ne compte pas condamner le protectionnisme

    Peu de gens le savent mais avant même que les sommets au sommet ne se réunissent et que tous les mamamouchis dînent ensemble, les équipes, elles, travaillent bien en amont, et plusieurs jours avant, les communiqués de « fin » de sommets sont déjà connus.

    Bon, des esprits chagrins se poseraient logiquement la question de dépenser plein de sous et de « bilan carbone » alors que tout le monde est déjà d’accord et qu’un bon échange par « Skype » suffirait.

    Mais c’est ainsi.

    Il n’empêche que cette année, pour la première fois depuis sans doute 30 ans, les mamamouchis réunis lors du prochain G20 pourraient « s’abstenir de condamner explicitement le protectionnisme, selon un projet de communiqué de la réunion de la semaine prochaine, qui s’engage seulement à préserver un commerce international juste et ouvert. Une première qui semble être liée à l’élection de Donald Trump ».

    De la mondialisation au commerce juste et ouvert !

    Voilà une belle motion de synthèse qui en dit très long et bien plus que les biens longs discours sur la réalité de ce combat de titans dont je vous parle régulièrement entre les mondialistes et les souverainistes.

    Nous passons donc à un commerce juste et ouvert. Je pense que nous sommes tous pour l’ouverture… à condition évidemment qu’elle soit juste et se fasse sur des bases équitables.

    Autant d’éléments cruciaux qui manquent terriblement à la globalisation telle qu’elle nous a été vendue et qui est catastrophique pour l’ensemble des peuples.

    Source

    http://www.voxnr.com/8548/pour-la-premiere-fois-le-g20-ne-compte-pas-condamner-le-protectionnisme