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Le droit de vote des immigrés s’est invité dans le débat estival. D’abord parce qu’un obscur député LREM en mal de notoriété a eu la mauvaise idée de déposer une proposition de loi* avant de partir en vacances le 2 août ; ensuite parce que le RN, pointe avancée et vigilante de l’opposition, l’a immédiatement dénoncée.
La xénolâtrie pour seul projet
Selon le président macroniste de la commission des lois, pourraient jouir du droit de vote et de l’éligibilité aux élections municipales tous les étrangers hors Union européenne dès lors qu’ils séjourneraient en France. Notons que le texte de la proposition, visiblement bricolé sur un coin de table, ne pose aucune condition de durée ni même de réciprocité.
Nul doute que la proposition de loi constitutionnelle de Sacha Houlié, visant à accorder le droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales aux étrangers non ressortissants de l’Union européenne résidant en France, fera pschitt. On se perd en conjectures quant aux motivations qui ont poussé le jeune président de la prestigieuse commission des lois de l’Assemblée nationale à allumer la mèche en plein été. Se faire remarquer, rappeler que l’aile gauche de la Macronie existe bien dans le paysage politique ? Jouer au poisson-pilote, histoire de tester l’opinion, avec en arrière-pensée qu’une telle proposition ne peut que plaire à cette frange communautarisée de la population française, alors même que cette mesure serait de nature, selon Houlié, à faire « refluer les revendications communautaires » - ce qui reste à démontrer ? Ou bien, encore, dans un jeu de rôle du gentil et du méchant, servir de faire-valoir à Gérald Darmanin ? En tout cas, si tel n’était pas le but, on peut dire que c’est réussi !
A deux mois des élections de mi-mandat, où la victoire républicaine annoncée pourrait être très large, le FBI est venu perquisitionner, ce lundi 8 août 2022, le domicile de Donald Trump en Floride.
Mis en difficulté par la résistance russe en Ukraine, par l'inflation et la montée des prix de l'énergie, les Démocrates choisssent donc la fuite en avant. La semaine dernière, Nancy Pelosi allait provoquer la Chine à Taïwan. Cette semaine, le gouvernement de la justice s'en prend à l'ancien président américain. Un signe de plus du désarroi d'un régime aux abois - et d'autant plus dangereux.
Le retour de l’Amérique commencera en novembre avec les élections de mi-mandat, mais 2024 sera le « grand moment » dixit Donald Trump. Le Donald Trump Show revient sur scène à Dallas, au Texas, et les étincelles ont fusé. L’ancien président américain a pris la parole à la Conférence d’action politique conservatrice (CPAC), l’un des événements politiques les plus importants pour la droite américaine, faisant à nouveau allusion à sa candidature aux prochaines élections, sans dissoudre officiellement la réserve. « J’ai couru deux fois, j’ai gagné deux fois et la deuxième fois, j’ai fait bien mieux que la première… Et maintenant, il faudra peut-être recommencer » a déclaré l’ancien président à son public, à qui il a parlé pendant deux heures sur les thèmes qui lui sont chers, du vote volé au pays en déclin envahi par les migrants.
Joe Biden a remporté l’élection de 2020 grâce à 43 000 voix dans trois États.
L’élection était bien plus serrée que ce que les médias ont généralement admis. De nombreux facteurs douteux auraient pu faire pencher la balance vers une victoire de Biden, notamment les machinations du Federal Bureau of Investigation.
La longue histoire des abus du FBI
Bien que les médias dépeignent généralement le FBI comme le gentil par excellence, le bureau a une longue histoire d’intervention dans les élections présidentielles. Peu après avoir pris ses fonctions après la mort de Franklin Roosevelt, le président Harry Truman a commenté dans son journal intime : « Nous ne voulons ni Gestapo ni police secrète. Le FBI tend dans cette direction. Ils se mêlent de scandales liés à la vie sexuelle et de chantage pur et simple….. Cela doit cesser. » Mais le directeur du FBI, J. Edgar Hoover, déjoue Truman et tous les présidents suivants.
Le maire de Perpignan, ancien député et vice-président du Rassemblement national, annonce officiellement sa candidature à la présidence du parti anciennement présidé par Marine Le Pen et brigué par son actuel président par intérim Jordan Bardella. Si son nom circulait depuis plusieurs semaines, c’est désormais officiel, il affrontera Jordan Bardella à l’automne.
Âgé de 53 ans, Louis Aliot connaît bien l’appareil du parti auquel il a adhéré en 1988 après s’être engagé en faveur de Jacques Chirac. Élu conseiller régional de Midi-Pyrénées en 1998, il a, depuis, fait toute sa carrière au sein du Front national devenu Rassemblement national. L’ancien compagnon de Marine Le Pen a encore la carrure du rugbyman qu’il était et fait partie des incontournables du parti à la flamme.
Selon un nouveau sondage réalisé par la CNN et publié mardi, 75 % des démocrates et des électeurs de tendance démocrate aux États-Unis souhaitent qu’un autre candidat que l’actuel président Joe Biden représente le parti en 2024. Martelée notamment par sa gestion de l’économie américaine, la cote de popularité de Joe Biden est passée sous la barre des 30 %.