Ce mercredi 13 avril, Cyril Hanouna confrontait la chroniqueuse et directrice de publication de Public à l’humoriste Yassine Belettar, qui de son côté, a indiqué qu’il voterait Emmanuel Macron, estimant pour sa part qu’il était impensable de voir l’extrême-droite au pouvoir. Au cours du débat, Delphine Wespiser a toutefois recadré l’humoriste sur sa propension à assimiler systématiquement Marine Le Pen à son père, Jean-Marie. “Tu restes sur quelque chose d’avant quand tu dis ‘Ok c’est Marine, mais elle s’appelle Le Pen’. Attention, ce n’est pas son père comme toi, tu n’es pas tes parents. On n’est pas pareil et c’est bien pour ça qu’elle a un peu coupé avec son père parce que lui, c’était lui, elle, c’est quelque chose d’autre“, a tout d’abord estimé Miss France 2012.
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Delphine Wespiser, ex-Miss France : “Marine Le Pen, ce n’est pas le diable (…) Ça me plairait une femme présidente. Les gens ont le droit de voter pour quelqu’un d’autre que Macron, qui a fait son temps” (video)
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Accusée d’autoritarisme par E. Macron, Marine Le Pen rappelle qu’il « est l’homme de la répression brutale de toutes les manifestations »
Alors qu’elle répondait, sur France 2, aux propos d’Emmanuel Macron, l’accusant d’autoritarisme et de non-respect de la liberté de la presse, notamment pour son refus de recevoir les journalistes de l’émission « Quotidien » lors de la soirée électorale de premier tour à son quartier général, Marine Le Pen a rappelé qu’Emmanuel Macron « est l’homme de la répression brutale de toutes les manifestations ».
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Organisation des élections en France : comment la fraude électorale a été rendue possible…
Une jeune femme dont la tâche était le contrôle du bon fonctionnement des élections vous explique comment, depuis 2017, la fraude électorale a été rendue possible à grande échelle.
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Soutien de Sarkozy à Macron : dernier clou dans le cercueil
C’est bien connu : il y a ceux qui jouent du piano et ceux qui les déménagent. On sait, désormais, à quelle profession appartient Valérie Pécresse, qui a écrasé de son score Anne Hidalgo dans la catégorie des moins de 5 % à l’élection présidentielle. Pendant que la présidente de la région Île-de-France s’échinait à faire campagne au nom des « valeurs de la droite et du centre », qu’elle tentait de ranimer la flamme de l’ancien volcan (« Il est temps d’avoir une gaulliste à l’Élysée », clamait-elle en février, en nous apprenant, du coup, qu’elle était gaulliste), le virtuose de la droite Kärcher™ des années 2000 était enfermé dans sa tour d’ivoire médiatique. La statue du commandeur resta de marbre face au naufrage qui se pointait à l’horizon pour celle qui avait été son ministre et, tout comme lui, issue de cette belle et grande « famille politique » des LR, comme ils disent.
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Après le premier tour : l'avis de Philippe Randa
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Vous vous attendiez aux résultats du 1er Tour de l’élection présidentielle ?
Depuis des mois, c’est l’ordre d’arrivée que donnaient les instituts de sondage avec unanimité, du moins pour le trio de tête ; on ne peut pas véritablement parler de surprise, même pour ceux, dont je faisais parti, qui n’en était pas convaincu. Ce qui m’a surpris, toutefois, c’est le score important d’Emmanuel Macron : j’imaginais que la détestation du personnage et de son gouvernement était telle que son score se situerait beaucoup plus bas… de même pour ceux de Marine Le Pen ou de Jean-Luc Mélenchon, même si le tiercé de tête devait être celui-là.
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Lyon : Un groupe d’extrême-gauche a envahi la mairie du 1er arrondissement, cassé des isoloirs, dégradé des panneaux d’affichages de candidats et interrompu la fin du dépouillement (MàJ)
C’est vers 21 h 15 que le mouvement a commencé. Une centaine de personnes, issues de l’ultra-gauche, se sont réunies place de la Croix-Rousse pour protester contre la sélection d’Emmanuel Macron et Marine Le Pen en vue du second tour de l’élection présidentielle. Des tirs de mortier ont été constatés. Le groupe a ensuite pris la direction du centre par les pentes, dégradant, au passage, du mobilier urbain.
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Didier Maïsto : Vote d’une partie de l’électorat Mélenchon pour Le Pen : « Je comprends cette décision »
L'ancien président de Sud Radio et soutien de Jean-Luc Mélenchon revient sur la défaite de ce dernier et sur le second tour qui offre un choix cornélien pour l'électorat « insoumis ».
Marc Eynaud. Jean-Luc Mélenchon échoue aux portes du second tour. Vous étiez l’un de ses soutiens, comment avez-vous réagi, suite à cette défaite ?
Didier Maïsto. Ce sont des sentiments un peu peinés d’avoir porté aussi haut ce programme. Échouer à quelques voix, c’était infiniment faible comme écart. J’en veux beaucoup aux sondeurs qui ont consciemment minimisé le vote de Jean-Luc Mélenchon. La dynamique des derniers jours était excellente, les meetings étaient pleins, que ce soit dans les grandes villes, dans la France périphérique ou dans les campagnes. Ce n’est pas la même chose de présenter Jean-Luc Mélenchon comme le 2e homme que comme « l’homme qui peut battre Emmanuel Macron ». Évidemment, il y a cette déception-là, mais on a semé des graines, on a un programme certes pacifique, mais révolutionnaire à bien des égards. On a creusé un sillon et, maintenant, il faut continuer à creuser et à avancer dans toutes ces belles choses que nous avons défendues.
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Jordan Bardella développe une proposition phare de Marine Le Pen sur le pouvoir d’achat : « Nous rendrons une TVA à 0% sur un panier de 100 produits pour faire en sorte que le reste à vivre ne soit plus un reste à survivre »
Au micro de RTL ce mercredi 13 avril, Jordan Bardella, président du Rassemblement National défendait les mesures de sa candidate, notamment sur le pouvoir d’achat et l’économie.
Jordan Bardella répondait à Alba Ventura sur la proposition de créer un panier de 100 produits avec une TVA à 0% : « Nous rendrons une TVA à 0% sur un panier de 100 produits pour faire en sorte que le reste à vivre ne soit plus un reste à survivre »
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Vingt ans après : vers un « front républicain » des traîtres et des cocus
A peine les deux protagonistes du second tour connus, alors même que le dépouillement des votes n’était pas terminé, le premier réflexe de la quasi-totalité des candidats éliminés a été, dans un bel ensemble, d’appeler à « faire barrage à l’extrême droite » en votant pour Emmanuel Macron le 24 avril. S’il fallait encore une preuve de l’affolement apeuré qui s’empare du système des copains et des coquins à la perspective de l’élection d’un président patriote, celle-ci suffirait amplement.
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Madame « 20 h 02 » a frappé !
Dès l’annonce des résultats de l’élection présidentielle, l’inénarrable Valérie Pécresse a révélé son ignominie.
Après avoir clamé son rejet d’Emmanuel Macron tout au long de la campagne, après avoir fait croire à ses électeurs cocus qu’elle pensait pis que pendre du président sortant et après s’être pitoyablement fracassée dans cette élection perdue d’avance, voici qu’elle nous annonce « honteuse et confuse« … qu’elle se rallie au plus grand imposteur que notre histoire ait connu depuis bien longtemps !