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élections - Page 60

  • LR : la consigne de vote de Valérie Pécresse ne passe pas

     

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    […] Depuis 2017, le parti est écartelé entre un ligne conservatrice, très à droite, incarnée notamment par Laurent Wauquiez ou Éric Ciotti, et une ligne plus modérée, celle portée pendant la campagne par Valérie Pécresse. La contre-performance de la candidate fait inévitablement resurgir ces lignes de fracture. Le parti doit-il jouer, une fois encore, la carte du “Front républicain” contre le Rassemblement national ? S’opposer à Emmanuel Macron ? Ou tenir une ligne “ni, ni” ? Lorsqu’elle monte sur scène, 20 minutes après l’annonce des résultats, la présidente de la région Île-de-France a fait son choix :

    « Malgré les profondes divergences que j’ai martelées tout au long de la campagne, je voterai en conscience Emmanuel Macron pour empêcher l’arrivée au pouvoir de Mme Le Pen et le chaos qui en résulterait. »

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  • Près de 12 millions d’abstentionnistes

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    Le parti de l’abstention demeure le premier parti de France avec près de 12 millions de votants, auxquels il faut ajouter plus de 500 000 votes blancs. Voici les résultats officiels :

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  • Emmanuel Macron et Marine Le Pen qualifiés pour le second tour de la présidentielle

    Emmanuel Macron (28%) et Marine Le Pen (24%) se sont qualifiés pour le second tour de l’élection présidentielle. Derrière eux, Jean-Luc Mélenchon à 20%, Eric Zemmour à 7%, Valérie Pécresse serait à 5%. Anne Hidalgo, à 2%, appelle à voter pour Emmanuel Macron au deuxième tour.

  • Éric Zemmour contre les sondages : la surprise est-elle possible ?, par Clément Martin

    Éric Zemmour

    Après un départ de campagne fulgurant, la campagne du candidat de Reconquête ! a subi une baisse importante dans les sondages depuis l’invasion russe de l’Ukraine. À l’approche du premier tour, les soutiens d’Éric Zemmour déclarent avec ferveur que ces enquêtes sont fausses et que l’énergie et la mobilisation de ses militants sont un indicateur plus pertinent des chances de leur candidat de passer le premier tour, et, peut-être, de remporter l’élection. Un point s’impose.

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  • Les citoyens face à la fraude électorale potentielle

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    Nous avions signalé ici une initiative de contrôle de l’élection par les citoyens. Un lecteur me signale un autre système de contrôle, mais surtout détaille comment pourrait fonctionner la fraude:

    Comment une fraude pourrait-elle avoir lieu lors de la compilation des résultats par le ministère ?

    Au 1er tour en 2017, 36.000.000 votes ont été exprimés. Supposons le même chiffre en 2022. Pour dépasser d’un point un concurrent à 21% contre 20%, il faut 360.000 voix d’avance. C’est-à-dire environ 5 voix d’écart par bureau de vote (il y en a 69.000). Il suffit dans chaque bureau de vote que 5 voix « Z » soient transformées en 5 voix « M » pour inverser l’ordre des deux candidats : « Z » passerait de 21% à 20% et « M » de 20% à 21%.

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  • La présidentielle face au front « antisystème »

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    Yvan Rioufol

    Dimanche soir, les « antisystèmes » pourraient bien être les vainqueurs du premier tour. L’addition des abstentions et des votes  de rupture (de Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen en passant par Éric Zemmour) s’annonce majoritaire. Emmanuel Macron a d’ailleurs pressenti ce risque, potentiellement révolutionnaire : samedi, lors de son unique meeting parisien, le président- candidat a accusé à plusieurs reprises le « système » en le rendant coupable d’entraver sa politique. En réalité, s’il est un dirigeant qui symbolise le pouvoir établi, c’est lui. Les sondages le donnent en tête dimanche et gagnant in fine.  Toutefois, la fronde électorale demeure une réalité indomptable. Le chef de l’État redoute ce « populisme » contre lequel il a construit son mandat. Depuis, ce courant « dégagiste » a pris de l’ampleur.

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  • Nouveau succès écrasant de Viktor Orbán en Hongrie : pourquoi un tel résultat ?

    Viktor Orbán

    Dimanche 3 avril se tenaient des élections législatives en Hongrie. Pour la quatrième fois d’affilée, la formation politique de Viktor Orbán remporte une majorité des deux tiers au Parlement. Afin de comprendre ce triomphe inattendu, remettons brièvement le scrutin de dimanche en perspective.
    Découvrez cette analyse de Thibaud Gibelin, essayiste, professeur invité au Mathias Corvinus Collegium, auteur de Pourquoi Viktor Orban joue et gagne – Résurgence de l’Europe centrale.

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  • QUI PEUT SAUVER LA FRANCE ? (1) LIBERTÉ POLITIQUE ÉPISODE 5

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    Dans son dernier roman Anéantir, Michel Houellebecq note qu’« on attend traditionnellement en France d’un président de la République qu’il ait un minimum de vision historique ». L’air de rien, cette idée est sans doute la clef de l’élection présidentielle prochaine. Ou les Français se rattacheront à cette tradition et choisiront le candidat qui possède une vision historique, ou ils se conformeront à cette fatalité que le général de Gaulle avait voulu repousser de toutes ses forces : « celle des peuples qui n’ont plus assez de forces pour se tenir debout et qui se couchent pour mourir. » L’enjeu est de taille. Il suppose que le peuple français ait toujours assez de forces pour exister ou non. Et s’il les possède encore, qu’il se tourne vers celui qui a une vision historique à la hauteur de l’enjeu.

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  • Que va devenir LR après la défaite de Pécresse : du macronisme, se renouveler ou disparaître ?

    Que va devenir LR après la défaite de Pécresse : du macronisme, se renouveler ou disparaître ?

    La cause semble entendue depuis la défaite de François Fillon en 2017 : un nouvel échec pour la candidate LR menace le parti de disparition. Tout l’enjeu de l’élection pour l’ex-UMP est de réussir à terminer devant Eric Zemmour, pour tenter d’éviter l’implosion.

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