élections - Page 60
-
5 ans de plus avec MACRON : pour les familles, c'est NON !
-
« Il n’y aura pas d’alliance ». Jordan Bardella (RN) refuse tout rapprochement avec Eric Zemmour
Invité de BFMTV ce matin, Jordan Bardella a fermé la porte à tout rapprochement avec Eric Zemmour. « Il n’y aura pas d’alliance », a lâché le numéro un par intérim du RN.
Une déclaration qui intervient après qu’Eric Zemmour, Marion Maréchal et deux autres cadres du parti Reconquête ! ont officiellement appelé à une union des droites en vue des prochaines élections législatives.
-
Débat Marine Le Pen-Emmanuel Macron : Une femme face au robot
« Emmanuel Macron, laissez-la parler ! » Il est 22h50 et Léa Salamé rappelle le président de la République à l’ordre. C’est dur d’arrêter le robot présidentiel. Marine Le Pen fait face à une machine. Une machine coupante, méprisante, technoïde et froide, une machine nommée Emmanuel Macron.
Elle s’est mise en route dès les premières minutes du grand débat d'entre-deux tours, à quelques jours du deuxième tour de l'élection présidentielle de 2022. Marine Le Pen a évoqué le peuple qui a souffert cinq ans, son besoin de protection, son souci de pouvoir d’achat, son besoin de justice. Macron admet que la période a été difficile. Il y a eu la pandémie, le retour de la guerre sur le sol européen. Mais au fond, il s’en moque. Il veut que le pays devienne une grande puissance écologique, il veut une Europe plus forte. Il veut, en somme, développer ce qui a provoqué le malheur des Français. Le ton est donné.
-
Technocrates contre populistes
En ce 20 avril, les médias concentrent leur attention sur le débat qui doit opposer, match retour de 2017, les deux derniers candidats restés en lice pour l'élection.
Les partisans de leurs 10 concurrents éliminés au soir du 10 avril en appellent déjà aux deux tours du prochain scrutin.
Le Mélenchon, arrivé troisième, pense légitime d'imposer sa loi son appareil et surtout sa personne à toute la gauche. Il préempte le ralliement des électeurs écolos et socialistes, au-delà des élus. Il gomme en particulier les réticences laïcistes pour imposer sa propre politique d'alliance avec les communautaristes de l'islam.
-
Zemmour appelle le RN, DF et les Républicains opposés à Macron à former une coalition pour battre la coalition des gauches et de Macron aux législatives
Voilà une bonne nouvelle pour ceux qui craignent la division des forces de droite au 1er tour des législatives, division qui pourrait empêcher un certain nombre de candidats de cette tendance d’accéder au 2e tour.
Zemmour a en effet appelé à la constitution d’une coalition des droites pour battre les gauches, c’est-à-dire les candidats de la République en marche (vers la dictature totalitaire et la poursuite de la décadence) et de la France insoumise (à l’ordre divin et naturel).
N’étant membre d’aucun des partis ci-dessus, je leur propose de se répartir les 577 circonscriptions proportionnellement aux résultats du 1er tour de la présidentielle.
-
La quinzaine de la haine médiatique : le pluralisme, perdu de vue
La quinzaine de la haine bat son plein. Comme en 2002, comme en 2017, et malgré une campagne de premier tour active mais sereine pour Marine Le Pen, Éric Zemmour jouant le rôle de paratonnerre, le système tout entier se ligue contre elle. Dans cette deuxième phase de l’élection, elle avance à découvert et devient la cible préférée d’une haine moralement obligatoire. Presse, institutions, sportifs, médecins, philosophes et hommes d’Église, tous se lèvent, avec la violence d’un tsunami, pour repousser aux périphéries du vote la candidate souverainiste.
-
Pourquoi le débat d’entre-deux-tours Marine Le Pen-Emmanuel Macron peut rebattre les cartes
Mercredi soir, des millions de Français seront suspendus devant le moment clé de cette campagne présidentielle. Les acteurs sont les mêmes qu’il y a cinq ans, mais le film risque d’être très différent. Le duel démarrera à 21 heures, il sera retransmis sur TF1, France 2, LCI et FranceInfoTV. On connaît les thèmes dans le désordre : le pouvoir d’achat, bien sûr, les retraites, la place de la France dans le monde, l’immigration, la sécurité, la laïcité. Emmanuel Macron et Marine Le Pen seront aussi interrogés sur leur manière de gouverner. Si le débat respecte ces chapitres et si les deux candidats se respectent tout court, ce sera déjà une première différence de taille avec le débat de 2017. Macron avait écrasé de son mépris son adversaire, coupant ses propos sans la laisser parler, injuriant la candidate et ses électeurs. Deuxième différence : les arbitres. En 2017, les journalistes Nathalie Saint-Cricq et Christophe Jakubyszyn avaient été débordés par la violence du choc entre Macron et Le Pen. Demain, Gilles Bouleau et Léa Salamé auront évidemment tiré les enseignements de ce naufrage. Les Français sont en droit d’espérer qu’ils parviennent à installer un dialogue plus équitable.
-
LE DERNIER FIL D'ACTU AVANT LA FIN DU MONDE
-
La Macronie fébrile !
Un vent d’inconfort souffle sur la Macronie depuis le lendemain du premier tour, si le scénario de ce dernier a très nettement tourné à l’avantage d’Emmanuel Macron le 9 avril dernier, force est de constater que le scénario du second tour n’est pas celui qu’avaient envisagé les stratèges de Jupiter.
En cause ? La réalité du terrain. Si sur le papier, l’idée d’aller dès lundi matin sur les terres de prédilection du RN à Denain dans le Nord était une bonne idée, dans les faits l’Elysée s’est aperçu qu’on ne pouvait pas prévoir les réactions spontanées des passants. Beaucoup plus complexe de paraître digne lorsque les débats ne sont pas organisés en amont dans des salles lambrissés avec des élus et « militants » triés sur le volet ! Las. Emmanuel Macron a paru fébrile, « fatigué, les yeux rouges et je dirais boosté » a témoigné sur BFM TV l’un de ceux qui l’avaient interpellé. Il faut dire qu’Emmanuel Macron a passé cinq ans dans un Elysée bunkerisé à enchaîner les affaires et les crises sociales.
-
[Tribune] Électeurs LR, il faut battre Emmanuel Macron et donc voter Marine Le Pen !
Bravo aux patriotes pour la forte mobilisation au premier tour de l'élection présidentielle 2022 ! En effet, la somme des résultats obtenus par chacun des candidats du camp patriote, national, conservateur et souverainiste confirme la tendance du basculement idéologique vers la droite dite « forte » ou « dure ». On peut le dire aujourd'hui : plus que jamais, le camp patriote est installé dans le paysage politique en France. D'ailleurs, comment aurions-nous pu en douter, puisque depuis des années, toutes les enquêtes d'opinion ne font que confirmer le phénomène de droitisation de la société.