Le 20 juillet à Londres, on connaissait le résultat de la première phase de désignation, au sein du parti conservateur, du successeur de Boris Johnson. Le Comité 1922, – inventé en… 1923 – présidé par sir Graham Brady, révélait en effet, qu'après les éliminations successives de leurs 6 concurrents du départ, les deux derniers postulants en lice s'appelaient Rishi Sunak et Liz Truss. L'ex chancelier de l'Échiquier arrivait en tête avec 137 suffrages sur 357 députés, suivi de la secrétaire au Foreign Office, pour laquelle ont voté, en ce dernier tour, 113 honorables parlementaires contre 103 à Penny Mordaunt, qui était ministre du Commerce extérieur.
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Une campagne résolument de droite
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« Crise politique en Italie : Si l’extrême droite est élue, il peut y avoir un « risque de contagion » dans l’UE » !
Ndlr. Les bien-pensants, la gauche, les gauchistes, etc. ont déjà la trouille au ventre …que les patriotes et les souverainistes réaniment les nations face à l’autoritarisme violent et illégitime de l’UE.
Crise politique en Italie : Si l’extrême droite est élue, il peut y avoir un « risque de contagion » dans l’UE
DECRYPTAGE Après la démission du Premier ministre italien, Mario Draghi, l’Assemblée a été dissoute par le président, provoquant des élections législatives anticipées qui laissent présager une accession au pouvoir des partis les plus à droite
Cécile De Sèze, 20 Minutes.fr
Publié le 22/07/22 à 19h22
Le parti postfasciste présidé par Giorgia Meloni, est donné en tête dans les intentions de vote. — Piero Tenagli / IPA/SIPA
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Crise politique en Italie : Si l’extrême droite est élue, il peut y avoir un « risque de contagion » dans l’UE
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Italie : Giorgia Meloni, une anti-islam bientôt présidente du Conseil?
Giorgia Meloni, un nom à retenir
Depuis la fin de 2020, elle est la personnalité politique préférée des Italiens.
Peut-être parce qu’elle est la seule à dénoncer sans détours l’islamisation de l’Europe, et à se prononcer pour la fermeture des ports afin d’empêcher les navires d’ONG financées par Soros et sa clique de débarquer des clandestins. Avec raccompagnement des intrus au large, à la limite des eaux territoriales, par des navires de guerre.
En août 2019, alors que les autres partis italiens papotaient sur le nombre d’envahisseurs qu’on pourrait laisser passer depuis l’intrusion des navires de l’ONG Proactiva Open, elle a proposé de créer un blocus naval autour des côtes Nord- Africaines qui empêcherait l’embarquement des migrants depuis la Libye ou la Tunisie.
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L’Italie pourrait avoir une majorité politique eurasiatique en septembre, par Eric Verhaeghe
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Face au chaos de l’administration Biden, la Cour Suprême reprend la main – par Jean Goychman
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Le deuxième quinquennat de Macron à peine entamé, Le Maire, Darmanin et Philippe préparent déjà 2027
Président réélu, mais Président non rééligible en 2027, Emmanuel Macron entame à peine son quinquennat que, déjà, s’aiguisent les ambitions autour de lui. Chacun dans leur style, Bruno Le Maire , Gérald Darmanin et Édouard Philippe ont fait un pas en avant cette semaine, confirmant qu’il faudrait compter avec eux dans la bataille pour la succession. De quoi irriter les macronistes légitimistes, qui font bloc autour de la Première ministre, Élisabeth Borne . « Chacun essaie de se placer dans la course aux petits chevaux, mais ce n’est pas l’enjeu aujourd’hui », s’agace ainsi un cadre de la majorité.
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Eric Zemmour aurait-il pu faire mieux ?
De Roland Hureaux, essayiste, pour le Salon beige:
Vae victis. Le cycle présidentielles-législatives étant clos, Eric Zemmour apparait comme le grand perdant. Echec mis en relief par le succès de Marine le Pen qui semble avoir trouvé son bâton de maréchal comme chef du principal parti d’opposition.
Ce n’est pas une raison pour donner au vaincu le coup de pied de l’âne comme beaucoup ne s’en privent pas, au mépris de toute décence.
C’est cependant le moment de se demander « Aurait-il pu faire mieux ? ».
Au fond, je ne crois pas.
Il reste que sa campagne peut être analysée.
On ne saurait oublier que c’est Zemmour qui lui a imposé son rythme, qu’il a battu le record de participation aux réunions publiques (à commencer par l’admirable réunion de Villepinte). Partant de rien il a atteint un moment les 19 % d’intentions de vote et a fini à 7 %, plus que la candidate des Républicains, ce qui reste méritoire. Dans un climat de dépolitisation, son parti a recruté plus de 100 000 membres. Nous pensons que rien de tout cela ne sera perdu sans pouvoir dire comment.
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2022 : la fin des campagnes électorales ?, par Clément Martin
L’année 2022 a été riche en leçons politiques : parmi elles se dégage l’idée que l’ère des campagnes politiques arrive à son terme. Désormais, la compétition démocratique n’est plus synonyme de travail de mobilisation d’un électorat. Dans la France archipellisée, la concurrence électorale consiste de plus en plus à suivre les tendances à la hausse ou à la baisse des différents blocs socio-économiques et culturels et à mesurer leurs poids aux différents scrutins.
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Marie-France Lorho : la candidate commune de Zemmour et Le Pen !
Une candidate aux élections législatives se présente avec le soutien d’Éric Zemmour et de Marine Le Pen. Marie-France Lorho, députée sortante de Vaucluse, présente en effet l’unique particularité de revendiquer le soutien de trois partis : Reconquête, RN et Ligue du Sud (le parti fondé par Jacques Bompard, ancien maire d'Orange). Pour comprendre cela, il faut remonter aux lendemains du second tour de l’élection présidentielle.
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Etats-Unis : vers une raclée pour les Démocrates ?
De Christian Daisug dans Présent :
Les élections législatives aux Etats-Unis auront lieu dans cinq mois. Comme les Pères fondateurs l’avaient prévu, elles coupent en deux le mandat du président pour donner au peuple l’occasion de confirmer ou d’infirmer son choix de l’exécutif deux ans plus tôt. D’ordinaire, l’usure précoce du pouvoir laisse meurtri l’hôte de la Maison-Blanche : sur la colline du Capitole, le nombre des députés et sénateurs de son camp diminue. Cette fois-ci encore, le scénario prévu n’échappera pas à la règle. Et même, il l’amplifiera. Les démocrates, qui ont seulement 13 sièges d’avance à la chambre basse et un à la chambre haute, s’attendent à des coupes claires dans leurs rangs. Chez eux, les optimistes parlent de « raclée » ; les pessimistes de « désastre ». Les républicains pourraient gagner entre 50 et 70 élus à la Chambre des représentants et de 5 à 7 au Sénat. Les sondages annoncent du spectaculaire : sur dix Américains, six désapprouvent l’action du Congrès et sept la gestion du « président ». […]
https://www.lesalonbeige.fr/etats-unis-vers-une-raclee-pour-les-democrates/