Le Nouvel Observateur, l’OBS, pour faire “chébran” offre toujours le spectacle d’une prétention sans mesure : la gauche caviar aime à se parer de références culturelles et à s’enorgueillir de l’autorité des spécialistes reconnus. C’est ainsi que récemment Marc Lazar, professeur d’histoire et de sociologie politique qui dirige le Centre d’histoire de Sciences-Po et préside la School of Government de la Luiss (Libre Université internationale des Etudes sociales, Rome), a été brandi comme un étendard dans la guerre sainte contre Marine Le Pen. Il est l’auteur, avec Ilvo Diamanti, d’un ouvrage au titre barbare : “Peuplecratie”. En bon français, et avec l’équilibre de ses deux racines grecques, le mot est “démocratie”, mais ce néologisme moche entend justement souligner la dérive de la démocratie en France et en Europe.
élections - Page 61
-
LE DANGER N’EST PAS LE POPULISME, MAIS L’OLIGARCHIE QUE NOUS SUBISSONS !
Lien permanent Catégories : actualité, élections, France et politique française, lobby 0 commentaire -
MEETING RATE ET DESERTE DE MACRON A MARSEILLE : LE 2è TOUR SE PRESENTE MAL
-
Après un contact téléphonique entre Gérard Larcher et son homologue algérien et l’appel de la Grande mosquée de Paris à voter Macron, le quotidien El Watan estime que «les Français d’origine algérienne peuvent faire basculer le résultat de l’élection»
Dans un article sur l’élection présidentielle en France, intitulé « L’Algérie a choisi son camp », le quotidien algérien El Watan estime que « les deux candidats en lice pour le second tour sont conscients que, quoique minoritaires, les Français d’origine algérienne peuvent faire basculer le résultat de l’élection. » Le président Macron avait besoin de signaux d’Alger pour la communauté algérienne en France. En trois jours, il a eu deux signaux envoyés par Alger. Le premier est venu du président du Conseil de la nation (Sénat) Salah Goudjil. Mercredi, il a eu un entretien téléphonique avec son homologue français Gérard Larcher.
-
Sarkozy, Jospin, MEDEF : le vieux monde au secours de Macron
Emmanuel Macron devait tout dynamiter. En poussant la France à « penser printemps », en se voulant « disruptif », en envoyant à l'Assemblée un mélange d'ambitieux de seconde zone et de vieux politicards sans convictions, il avait, disait-on, bouleversé les équilibres. Comme un vertigineux trou noir, il a fait disparaître la gauche en 2017 et la droite en 2022. Le nouveau monde, c'est donc du vide, un vide fascinant, qui absorbe tout et ne rend rien.
-
Jordan Bardella dans « C à vous » : « Pourquoi ne dites-vous pas que les études utilisées pour dézinguer notre projet économique sont réalisées par des soutiens d’Emmanuel Macron ? »
Jordan Bardella sur le plateau de « C à vous » : « Pourquoi ne dites-vous pas que les études utilisées pour dézinguer notre projet économique sont réalisées par des soutiens d’Emmanuel Macron ? ».
Lien permanent Catégories : économie et finance, élections, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
Débrief 1er tour : Marine Le Pen peut-elle battre Macron ? #ToutsaufMacron
-
Premier tour des élections, analyse et le duel Macron-le Pen du second tour par Charles Gave.
-
« Un danger pour les familles » : La Manif pour tous appelle à faire barrage à Emmanuel Macron
BI – Natalité, filiation, droits de l’enfant, éducation, solidarité, justice, dignité, fin de vie, éthique… le bilan et le programme d’Emmanuel Macron sont particulièrement inquiétants pour les familles. Premier lieu de solidarité et refuge pour les plus vulnérables, irremplaçable pour accueillir, aimer et éduquer les enfants, la famille mérite d’être soutenue par une politique ambitieuse au contraire de la politique désastreuse menée depuis 2017, marquée par la déconstruction anthropologique et les régressions éthiques, ainsi que par l’exclusion d’un nombre croissant de familles des bénéfices de la politique familiale.
-
Election présidentielle : les masques tombent.
Au moins les choses sont claires depuis le premier tour et bien que nous les ayons démasquées depuis longtemps (mais tout le monde ne lit pas, hélas, le blogue du CER !). Le grand capital et la finance apatride et cosmopolite se retrouvent, main dans la main, avec… le syndicat CFDT (dont le secrétaire général Laurent Berger n’est pas à un reniement près) pour soutenir, sans état d’âme, la candidature d’Emmanuel Macron dont le quinquennat précédent peut se résumer à la seule expression de
PRÉSIDENT DES RICHES ET MÊME DES TRÈS RICHES.
-
Le front républicain, ou la pensée obligée
Les antisystème ont remporté, sans surprise, le premier tour de la présidentielle. Marine Le Pen (23,15 %), Jean-Luc Mélenchon (21,95 %), Éric Zemmour (7,07 %), Nicolas Dupont-Aignan (2,06 %) rassemblent près de 55 % des suffrages. Outre cet électorat de rupture, les abstentionnistes représentent 26,31 %. En décembre, un sondage avait fait apparaître que les trois quarts des Français étaient prêts à un vote protestataire.