élections - Page 61
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ANNE HIDALGO CLASH BRIGITTE MACRON !
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Sanctionner la campagne elle-même
La campagne officielle commence, pour une durée très courte. Celle du premier tour n'accorde à l'écoute citoyenne qu'une petite quinzaine de jours. Nous serons privés, pendant la moitié de ce petit parcours des sondages qui, non seulement rendent littéralement difformes les humeurs, les rumeurs et les intentions véritables de vote, mais les orientent.
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Curée de campagne 3: l'analyse de la présidentielle 2022
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Présidentielle 2022 – Dernière ligne DROITE
Pendant qu’Éric Zemmour remplissait le Trocadéro, une agression de plus avait lieu contre le camp national en Guadeloupe, où Marine Le Pen a été violemment prise à partie. Aux deux candidats de la droite ne restent que 15 jours pour déjouer les sondages et convaincre les abstentionnistes, tout est encore possible.
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En visite à Dijon pour parler de l’éducation, Emmanuel Macron se paie la tête des Français
Le Président-candidat était, ce lundi, en campagne à Dijon, une journée consacrée au thème de la jeunesse et de la formation professionnelle. Accompagné du sénateur ex-socialiste François Patriat et du maire de la ville, François Rebsamen, nouvellement rallié à sa cause, il devait commencer sa visite par un déjeuner au lycée des Marcs-d'Or, avec des élèves et des professeurs. Les journalistes n'ont pas eu le droit de le suivre : pour des questions « de neutralité du service public en période de campagne », selon son équipe. Étrange neutralité, qui ne concerne apparemment pas le candidat Macron.
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Le choc des meetings
Au nombre de vues sur Youtube, il n’y a pas photo :
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ATTENTION, UN RÉCIDIVISTE EST EN TRAIN DE CHAPARDER L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE ! (III)
Mac Kinsey, le scandale de trop !
” Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark” . Cette formule célèbre tirée du Hamlet de Shakespeare est souvent utilisée lorsqu’une odeur de scandale commence à stimuler le sens olfactif de l’opinion publique. Il semblerait que le covid, dangereux pour l’odorat, ait des effets collectifs sur ceux qui fabriquent l’opinion publique. A moins que ce ne soit l’odeur de la poudre qui à partir de l’Ukraine se répande sur l’Europe et empêche de de sentir autre chose. Or, un remugle insistant émane de l’Etat français, et de la caste qui le dirige autour d’un homme qui en est la caricature.
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Ces signes qui montrent que Macron ne fera pas 30 % le 10 avril
Il est déjà réélu et ses partisans se concentrent, nous apprend Le Figaro, vendredi soir, sur la soirée de sa réélection et le jour de sa passation de pouvoir avec lui-même : « Selon des sources concordantes dans l'entourage du Président, le décorum devrait être identique aux prédécesseurs. Pas de tapis rouge dans la cour et d'arrivée remarquée à l'Élysée : le chef de l'État réélu descendrait de son bureau jusqu'à la salle des fêtes, où le président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius le proclamerait officiellement Président réélu, avant le 13 mai au soir, date d'expiration du mandat actuel. »
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Aux risques de l'abstention
On ne rappellera jamais assez le rôle du glorieux élu radical-socialiste corrézien Henri Queuille (1884-1970) dans notre histoire politique. Membre du Comité Français de libération de 1944, il allait assez tôt devenir le mentor du regretté car regrettable François Mitterrand. Sa place dans le conditionnement présent de la démocratie française mérite donc d'être rappelée. Au nombre de ses glorieux apophtegmes, cet homme professait ainsi, fondamentalement, qu'il "n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout".
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Selon Le Point, Nicolas Sarkozy a déjeuné avec Bruno Le Maire afin de recruter un maximum de députés LR pour le compte de Macron : au moins 60 députés LR (sur les 100) pourraient s’allier avec LREM
Nicolas Sarkozy ne devrait pas soutenir Valérie Pécresse. Ni officiellement Emmanuel Macron, du moins c’est peu probable avant le premier tour. Mais l’ancien chef de l’État mise sur une réélection de l’actuel locataire de l’Élysée.
Alors, dans la coulisse, le dernier grand fauve de la droite joue les entremetteurs pour créer les conditions d’un accord entre Les Républicains – ou ce qu’il en restera après la présidentielle – et Emmanuel Macron en vue des élections législatives.