Vous trouverez via notre page Twitter le sondage du jour sur les affaires autour du chef de l’Etat.
[Sondage TVL] Rothschild, Mc Kinsey, Alstom, Pfizer : est-ce la fin des haricots pour Emmanuel Macron ?
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[Sondage TVL] Rothschild, Mc Kinsey, Alstom, Pfizer : est-ce la fin des haricots pour Emmanuel Macron ?
Cette campagne présidentielle, aseptisée par le pouvoir, est une mascarade de plus dans un quinquennat de faux-semblants. La France, ouverte aux quatre vents, se libanise, s’endette, s’appauvrit. Mais ces désastres ne sont toujours pas débattus. A dix jours du premier tour, la France officielle continue de ronronner, avec les encouragements d’un président-candidat devenu expert en évitements. Alors qu’un choix de civilisation est à faire entre mondialistes et souverainistes, déracinés et enracinés, progressistes et populistes (ces mots différents désignant la même alternative), le Système se fait prioritairement l’écho du réchauffement climatique, du chèque énergie, de la ristourne pour les carburants, du sort des « mamans solos », des prothèses auditives, etc.
En déplacement de campagne à Dijon ce lundi, le président de la République a demandé « un peu de bienveillance » au cours de la campagne électorale, faisant indubitablement référence au slogan « Macron assassin » scandé brièvement lors du meeting d’Eric Zemmour au Trocadéro ce dimanche. Un slogan qui ne passe pas chez celui qui méprise à longueur d’entretiens et de déplacements ses concitoyens, qui n’a pas hésité à envoyer les troupes policières éborgner des gilets jaunes, à discriminer les Français qui ne se plient à sa dictature sanitaire et vaccinale ni à les « emmerder » pour reprendre sa propre expression.
La campagne officielle commence, pour une durée très courte. Celle du premier tour n'accorde à l'écoute citoyenne qu'une petite quinzaine de jours. Nous serons privés, pendant la moitié de ce petit parcours des sondages qui, non seulement rendent littéralement difformes les humeurs, les rumeurs et les intentions véritables de vote, mais les orientent.
Pendant qu’Éric Zemmour remplissait le Trocadéro, une agression de plus avait lieu contre le camp national en Guadeloupe, où Marine Le Pen a été violemment prise à partie. Aux deux candidats de la droite ne restent que 15 jours pour déjouer les sondages et convaincre les abstentionnistes, tout est encore possible.
Le Président-candidat était, ce lundi, en campagne à Dijon, une journée consacrée au thème de la jeunesse et de la formation professionnelle. Accompagné du sénateur ex-socialiste François Patriat et du maire de la ville, François Rebsamen, nouvellement rallié à sa cause, il devait commencer sa visite par un déjeuner au lycée des Marcs-d'Or, avec des élèves et des professeurs. Les journalistes n'ont pas eu le droit de le suivre : pour des questions « de neutralité du service public en période de campagne », selon son équipe. Étrange neutralité, qui ne concerne apparemment pas le candidat Macron.
Au nombre de vues sur Youtube, il n’y a pas photo :
Mac Kinsey, le scandale de trop !
” Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark” . Cette formule célèbre tirée du Hamlet de Shakespeare est souvent utilisée lorsqu’une odeur de scandale commence à stimuler le sens olfactif de l’opinion publique. Il semblerait que le covid, dangereux pour l’odorat, ait des effets collectifs sur ceux qui fabriquent l’opinion publique. A moins que ce ne soit l’odeur de la poudre qui à partir de l’Ukraine se répande sur l’Europe et empêche de de sentir autre chose. Or, un remugle insistant émane de l’Etat français, et de la caste qui le dirige autour d’un homme qui en est la caricature.