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élections - Page 625

  • Devoir de mémoire : quand Alain Juppé soutenait une intervention militaire en Syrie

    23/08/2014 – PARIS (via RTL)
    On ne peut que frémir, au vu de la situation des Chrétiens d’Orient ou des Yazidis et de la réalité de l’Etat islamique, à l’écoute des propos d’Alain Juppé – candidat à la primaire UMP pour l’élection présidentielle de 2017- il ya presqu’un an. Interrogé le 5 septembre 2013 par Jean-Michel Apapthie, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Nicolas Sarkozy s’est glissé dans la peau d’un va-t-en-guerre en Syrie ressortant de nombreux bobards bellicistes. Mais surtout Alain Juppé s’est servi des bombardements contre la Serbie en 1999, avec les conséquences que l’on connaît, pour justifier une action militaire contre la Syrie.

  • « immigration et élections » Intervention de Philippe Gibelin

     

    www.nationalite-citoyennete-identite.com

  • Le tandem Hollande-Valls perd toute crédibilité aux yeux des Français

    Selon un sondage de l’IFOP/JDDle Président Hollande perd encore un point dans les sondages avec seulement  17% d’opinions favorables, et le Premier ministre, Manuel Valls, est en chute libre avec 36% de bonnes opinion seulement. 

    Le chef de l’Etat en dépassant pour la cinquième fois les 80% de mécontents est minoritaire dans toutes les catégories y compris chez les sympathisants socialistes (-13%).

    Manuel Valls perd neuf points, sa plus forte baisse depuis qu’il est Premier Ministre, il chute de quinze points en deux mois., mais de 20 en trois mois. Comme Hollande, il perd dans toutes les catégories d’âges et catégories sociales,  y compris au Parti Socialiste.

    Emilie Defresne

    http://medias-presse.info/le-tandem-hollande-valls-perd-toute-credibilite-aux-yeux-des-francais/14425

  • Juppé, bon maire, mais piètre ministre. Et président ?

    Depuis le 20 août, Alain Juppé ne cache plus ses ambitions présidentielles. Et ses quatre mandats à la mairie de Bordeaux lui donnent du crédit tant la réhabilitation de cette ville est une réussite que tout le monde peut admirer. Et les expériences politiques nationales passées – ministre du budget, des affaires étrangères à deux reprises, écologie, défense, et enfin premier ministre – font de lui un challenger sérieux.

    Pourtant un bref retour en arrière s’impose. En 1997, alors qu’il est premier ministre de Jacques Chirac, Alain Juppé atteint des sommets d’impopularité et parvient à paralyser complètement le pays. Pourquoi ?

    Chantre de la mondialisation et du traité de Maastricht, Alain Juppé durant les deux années de son gouvernement s’est révélé être un ultra libéral : privatisations nombreuses, hausse de CSG, création de la CRDS, gèle des prestations familiales, explosion de l’ISF ; en somme une augmentation de la pression fiscale à en rendre jaloux les socialistes !

    Alain Juppé, c’est aussi les « affaires » : l’appartement dans lequel son fils est logé voit son loyer être diminué sur sa demande. Lui-même s’installe dans un logement de 189 m² et fait réaliser des travaux de plusieurs millions de francs au frais du contribuable. Une information pour prise illégale d’intérêt est ouverte, Alain Juppé se voit contraint de quitter son luxueux logement.

    En 1999, Alain Juppé est mis en examen pour « abus de confiance, recel d’abus de biens sociaux, et prise illégale d’intérêt ». En 2004, le tribunal de Nanterre le condamne à dix-huit mois de prison avec sursis dans l’affaire des emplois fictifs de la Mairie de Paris. Le 1 décembre 2004, la peine est réduite à quatorze mois de prison avec sursis et un an d’inéligibilité.

    Européiste, immigrassioniste, partisan du « front républicain », promoteur de la culture de mort (avortement, PACS, mariage homosexuel, etc…) Juppé est un Chirac en plus jeune : la girouette tourne dans le sens du vent. Rien dans son passé ne permet de dire ni de penser qu’il fera un bon président, bien au contraire, il a toutes les caractéristiques d’une génération usée qui cherche à se recycler en appliquant avec des mots différents la même politique que celle qui nous mène dans le gouffre depuis 40 ans.

    Xavier Celtillos

    http://medias-presse.info/juppe-bon-maire-mais-pietre-ministre-et-president/14365

  • Le Figaro envisage la démission de François Hollande en 2016. Et si la réalité rattrapait la fiction ?

    Pour son feuilleton de politique-fiction de l’été, Le Figaro nous livre ce matin une pleine page qui envisage le scénario de la démission de François Hollande avant la fin de son mandat !

    Fiction ou Anticipation ? Au-delà du voeu de beaucoup de Français, l’impopularité de François Hollande cumulée à son incapacité à réaliser ses promesses en matières économiques et sociales pourrait bien le pousser dans les cordes.

    Mais que se passerait-il alors ?

    Le Figaro envisage un scénario dans lequel Jean-Pierre Raffarin devient président par intérim. Avec une campagne électorale très hostile à l’immigration durant laquelle Marine Le Pen donne le ton, tandis qu’à gauche comme à droite, les ténors radicaliseraient leurs discours, Manuel Valls se voulant à la droite de la gauche..

    Amusant. Prophétique ?

    http://medias-presse.info/le-figaro-envisage-la-demission-de-francois-hollande-en-2016-et-si-la-realite-rattrapait-la-fiction/14362

  • Robert Ménard, maire de rupture, au risque de la fracture

    Le changement, c'est maintenant : ce slogan aurait dû être le sien.   

    Il paraît qu’il existe un comité de vigilance consacré aux seules mairies dirigées par le FN et par Robert Ménard. La multitude des autres serait donc, par nature, irréprochable ?

    Les élus, selon Libération, « profitent de l’été pour prendre des arrêtés aussi démagogiques qu’illégaux, contre les jeunes, les prostituées ou les mendiants. Florilège de la bêtise ».

    On n’est pas obligé d’être convaincu par une charge aussi partiale que prévisible.

    Robert Ménard, depuis qu’au grand dam de beaucoup il est devenu maire de Béziers, fait l’objet d’une attention négative toute particulière. Et ce défaut de bienveillance systématique fait que ses décisions et son action ne sont jamais examinées comme il conviendrait, mais caricaturées au seul motif qu’elles émanent de lui.

    Ces préventions, qui excluent toute bonne foi, interdisent aussi de s’interroger lucidement et objectivement sur la dernière initiative de Robert Ménard : convier tous les Biterrois à une messe célébrée en ouverture de la feria le 13 août.

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  • « Objectif 51 % » pour le Front National

    Le Front National  met en place sa stratégie de conquête guidée par le slogan «Objectif 51% pour le second tour de la présidentielle». Pour y arriver, le FN mise notamment sur des collectifs destinés à émettre de propositions sectorielles.

    Le FN avait déjà présenté le collectif Racine, destiné aux enseignants et  et le collectif Marianne, destiné aux étudiants. A partir de septembre, au rythme d’une par mois, quatre nouvelles structures feront leur apparition. Les jeunes actifs, cadres et créateurs d’entreprises seront la cible du premier nouveau collectif qui  sera présentée à Fréjus lors de l’université d’été du FNJ les 4 et 5 septembre. Ensuite, en novembre, le Front national prévoit un collectif consacré aux professionnels de l’espace maritime français. En décembre, un autre collectif visera l’écologie et à la transition énergétique.

    Début 2015, le FN devrait inaugurer un collectif supplémentaire dédié au champ social.

    Cette stratégie de Marine Le Pen et Florian Philipot est néanmoins contrecarrée en ce moment par l’effet désastreux des propos des ténors du parti à l’égard de la Ligue de Défense Juive.

    http://medias-presse.info/objectif-51-pour-le-front-national/14171

  • Une rentrée «offensive» pour le Front national

    Avec 2017 en ligne de mire, les cadres frontistes sont guidés par le slogan «Objectif 51% pour le second tour de la présidentielle».

    Chateau

    Après le monde enseignant (collectif Racine) et celui des étudiants (Marianne), le Front national lancera, dès le mois de septembre, au rythme d'une par mois, quatre nouvelles structures, destinées à investir la société civile.
    La première, consacrée aux jeunes actifs, cadres et créateurs d'entreprises, sera présentée à Fréjus lors de l'université des jeunes (FNJ) prévue les 4 et 5 septembre. En novembre, le Front national prévoit également de lancer un collectif dédié à l'espace maritime français. «Cela représente 11 millions de kilomètres carrés, souligne le vice-président Florian Philippot. Nous proposerons la valorisation politique, économique, militaire et diplomatique de la mer, source de richesses pour la France.»
    Le parti frontiste envisage un troisième collectif en décembre, qui sera dédié à l'écologie et à la transition énergétique. Marine Le Pen avait demandé à Philippe Murer, proche de l'économiste Jacques Sapir et membre du groupe d'économistes franco-allemands signataires de l'appel de Düsseldorf (pour sortir de l'euro), d'animer ce nouveau groupe qui travaillera également sur les relances économiques.
    Début 2015, le parti consacrera une quatrième structure associative à l'ensemble du champ social. Réforme de Pôle emploi, politiques liées à la dépendance, régime du paritarisme en matière de gestion sociale… «Nous souhaitons approcher de plus en plus des thématiques de proximité», explique Florian Philippot en promettant des positions «offensives» au fil des prochains mois sur de nombreux sujets. Non seulement le FN entend critiquer régulièrement le gouvernement, mais il souhaite apparaître «en pointe» sur divers débats, à l'image des nombreux communiqués qu'il n'a pas cessé de diffuser tout au long de l'été.
    Pépinières de propositions

    La lecture de cette production estivale, mêlant réactions politiques, analyses et commentaires, révèle la diversité des thèmes sur lesquels le Front national maintiendra la pression. Parmi la cinquantaine de communiqués diffusés entre le 1er juillet et le 12 août, onze sont par exemple consacrés à l'Union européenne, neuf à la politique du gouvernement, cinq aux questions internationales, quatre au monde agricole, quatre à la réforme pénale et à la sécurité, trois aux problèmes sociaux, trois à la réforme territoriale, deux aux PME, deux à l'immigration… sans oublier la défense nationale, l'éducation ou le sport.
    Jusqu'au congrès des 29 et 30 novembre à Lyon, le parti de Marine Le Pen entend ainsi s'afficher comme une force de propositions tout en revendiquant une place de «principal opposant» à ce qu'il définit comme le «système UMPS».
    Avec 2017 en ligne de mire, guidés par le slogan «Objectif 51% pour le second tour de la présidentielle», les cadres frontistes miseront sur une stratégie de rassemblement et d'ouverture en s'appuyant sur ces collectifs conçus comme des pépinières de propositions. Le 16 juillet, Bertrand Dutheil de La Rochère, conseiller république et laïcité de Marine Le Pen, cofondateur du Rassemblement bleu Marine (RBM), rappelait l'ambition de cette structure destinée à élargir l'assise électorale du FN. «La majorité des responsables qui se disent de gauche aujourd'hui méprisent tous les sujets qui sont au cœur du peuple de France», estimait cet ex-chevènementiste, avant d'appeler les «républicains de gauche» et d'autres à rejoindre son mouvement: «Avec Marine Le Pen, le RBM souhaite agréger tous les citoyens qui ont pris conscience du naufrage vers lequel nous conduisent les différentes composantes de l'UMPS.»
    Si le Front national se croit capable de remporter la région Nord-Pas-de-Calais aux régionales en 2015, il s'appuiera sur son congrès de novembre pour déterminer les cibles des combats à venir. Et le 30 août, les «oubliés» de Brachay seront les premiers spectateurs de la rentrée politique du parti. En 2012, 72,09% des électeurs de ce village de Haute-Marne avaient voté Marine Le Pen.

    Emmanuel Galiero

    Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EupZAyAZlZcNqoGaAd.shtml

  • « Une réalité que nous payons très cher »

    Quand le FN parle de Système UMPS il ne s’agit pas d’une simple figure de rhétorique. Les Français le constatent encore à l’occasion des élections sénatoriales, alors que les déclarations des fraternelles humanistes, des politiciens de tous bords se multiplient pour exhorter les conseillers municipaux et les maires des petites communes à ne pas permettre l’élection d’un sénateur FN. Ce scrutin, qui se déroulera le 28 septembre, n’est pas favorable au FN mais «les meilleures chances des listes Bleu Marine pour nos villes et nos villages se situent dans le Var, les Bouches-du-Rhône avec Stéphane Ravier et le Vaucluse» rappelait  Michel Guiniot,  le directeur de la campagne du FN pour les sénatoriales, hier sur le site du JDD. Et ce journal de citer avec raison David Rachline, maire de Fréjus, comme un des mieux placés pour entrer au Sénat. Le jeune édile frontiste, indiquait  Var Matin il y a quelques jours, croit en ses chances car « la plupart des élus savent que l’UMP n’est pas une force d’opposition pour combattre le PS, la véritable opposition étant constituée par le FN ». «  Le Sénat est trop coûteux et pas nécessaire. Mais tant qu’il existe, il est indispensable que le FN y soit représenté. C’est une question de simple démocratie ». Démocratie qui n’est pas du goût notamment  du sénateur maire de Toulon, Hubert Falco, qui conduit la liste UMP. « La logique républicaine varoise, c’est trois sénateurs UMP et un sénateur PS » a-t-il persiflé,  rapporte  le JDD.

     Pour autant nous pouvons peut être nous réjouir de la large identité de vue de la classe politique sur la nécessité de soutenir les Irakiens, et plus spécifiquement les minoritésKurdes, Chrétiennes et Yézidis menacées par l’offensive des milices de l‘Etat islamique (EI). Alors que l’aviation américaine intervient pour freiner  la progression des  colonnes de djihadistes menaçant notamment  leur consulat situé à Erbil, capitale du kurdistan irakien, une aide humanitaire a déjà été consentie par notre pays  et sont évoquées également deslivraisons d’armes. Marine Le Pen avait réclamé de son côté  « une aide logistique et un soutien dans le domaine du renseignement », précisant que la lutte contre l’abjection terroriste « ne peut et ne doit se limiter à des discours et des déclarations d’intention ».

     Il convient aussi de  noter que le voudrait-elle, la France serait bien incapable d’intervenir  militairement en Irak, même a minima et de manière autre que symbolique, au vu de nos engagements opérationnels actuels en Afrique, mais surtout de l’état général de notre outil militaire.

     Bruno Gollnisch le rappelait déjà en 2003,  « notre pays consacre une part dérisoire du budget national à la défense. C’est à l’échelle d’une nation une imprudence comparable à celle d’un particulier qui ne consacrerait aucun budget ni à sa sécurité, ni à ses assurances.La défense est toujours trop chère lorsqu’on est dans une situation de paix ; en situation de crise, c’est évidemment un autre problème… ».

     Les coupes sombres opérées dans le budget de notre défense, la paupérisation de nos armées qui s’est accélérée de manière dramatique sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, ont été  poursuivies sous celui du tout aussi atlantiste  François Hollande.

     En ce sens les jérémiades d’un ex ministre de la Défense du même tonneau comme le centriste Hervé Morin, ou de l’actuel maire de Bordeaux et ex ministre des Affaires étrangèresAlain Juppé dénonçant sur son blog  le « génocide » des Chrétiens et « l’effacement honteux  de la France et de l’Europe sur la scène internationale » seraient risibles si la situation n’était pas aussi grave. Et que dire de la déclaration de Laurent Fabius, en déplacement ces dernières heures à Erbil ?

     Certes, après avoir rencontré  à Bagdad son homologue Hussein Chahristani,  le ministre des Affaires étrangères était dans son rôle quand il a dénoncé le « califat de la haine» établi par les djihadistes sur une partie du sol irakien et syrien et en soulignant que les combattants irakiens qui les affrontent ne menaient «pas simplement un combat pour eux-mêmes», mais «un combat pour les libertés qui nous concerne tous». Pour autant,  comment le croire quand il affirme dans le même temps que « la France ne laisse jamais tomber ses amis» !

     Exemple récent,  Bachar el Assad invité d’honneur de Nicolas Sarkozy lors des cérémonies du 14 juillet 2008, n’est certainement pas du même avis que M. Fabius,  lui dont le pays est justement toujours la proie du fanatisme islamo-terroriste encouragé, financé et largement suscité par les apprentis sorciers de l’axe atlantiste  Washington-Londres-Paris-Ankara et leurs alliés du Golfe.

     Le 29 juillet dans le long discours qu’il a prononcé à l’occasion de sa réélection, le président syrien ne s’est pas contenté de fustiger la traitrise du « frère » Recep Tayyip Erdogan. Le Premier ministre turc islamo-conservateur a d’ailleurs  été confortablement élu président ce  dimanche. Et ce dès le premier tour d’un scrutin disputé pour la première fois au suffrage universel direct, malgré les scandales financiers, les critiques sur la « dérive autoritaire » du régime.

     Bachar el Assad a logiquement remercié «  l‘Iran, la Chine, la Russie », « ces pays qui ont respecté les décisions du peuple syrien tout au long de trois longues années et ont justement défendu toutes les conventions de la Charte des Nations Unies  relatives au respect de la souveraineté des États et à la non-ingérence dans leurs affaires intérieures ».

     Mais il a surtout dénoncé l’aveuglement des occidentaux face à l’extrémisme islamiste et l’incapacité, même des chancelleries de la vieille Europe, à appréhender la nature de la résistance syrienne. «Celui qui cherche à prévoir le comportement et les réactions d’un peuple de vieille tradition, devrait disposer d’une  même profondeur historique et civilisationnelle pour comprendre où résident sa solidité et sa résistance, qualités qui  se manifestent clairement lors des grandes crises et à la faveur d’étapes historiques décisives  (…) » .

     Bref a-t-il affirmé, « un pays ne se définit pas uniquement par sa surface, sa démographie, ses finances ou son pétrole. Un pays est d’abord une civilisation, une culture, et un peuple conscient de son rôle historique  de sa  souveraineté, et de la nécessité de relever les défis du présent pour construire l’avenir ».

     Bachar el Assad, comme l’opposition nationale en France et  les analystes les plus lucides l’avaient annoncé, a également rappelé que l’«invasion de l’Irak»  (par l’armée américaine et ses supplétifs en 2003, NDLR), «(fut) le point de départ du sacre du confessionnalisme et de la partition. Nous étions réellement inquiets d’une telle évolution dangereuse et, à notre avis, inéluctable. C’est désormais une réalité que nous payons très cher ».

     Difficile de lui donner tort sur ce point.

    http://gollnisch.com/2014/08/11/realite-payons-tres-cher/