
Au nombre de vues sur Youtube, il n’y a pas photo :
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Au nombre de vues sur Youtube, il n’y a pas photo :
Mac Kinsey, le scandale de trop !
” Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark” . Cette formule célèbre tirée du Hamlet de Shakespeare est souvent utilisée lorsqu’une odeur de scandale commence à stimuler le sens olfactif de l’opinion publique. Il semblerait que le covid, dangereux pour l’odorat, ait des effets collectifs sur ceux qui fabriquent l’opinion publique. A moins que ce ne soit l’odeur de la poudre qui à partir de l’Ukraine se répande sur l’Europe et empêche de de sentir autre chose. Or, un remugle insistant émane de l’Etat français, et de la caste qui le dirige autour d’un homme qui en est la caricature.
Il est déjà réélu et ses partisans se concentrent, nous apprend Le Figaro, vendredi soir, sur la soirée de sa réélection et le jour de sa passation de pouvoir avec lui-même : « Selon des sources concordantes dans l'entourage du Président, le décorum devrait être identique aux prédécesseurs. Pas de tapis rouge dans la cour et d'arrivée remarquée à l'Élysée : le chef de l'État réélu descendrait de son bureau jusqu'à la salle des fêtes, où le président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius le proclamerait officiellement Président réélu, avant le 13 mai au soir, date d'expiration du mandat actuel. »
On ne rappellera jamais assez le rôle du glorieux élu radical-socialiste corrézien Henri Queuille (1884-1970) dans notre histoire politique. Membre du Comité Français de libération de 1944, il allait assez tôt devenir le mentor du regretté car regrettable François Mitterrand. Sa place dans le conditionnement présent de la démocratie française mérite donc d'être rappelée. Au nombre de ses glorieux apophtegmes, cet homme professait ainsi, fondamentalement, qu'il "n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout".
Nicolas Sarkozy ne devrait pas soutenir Valérie Pécresse. Ni officiellement Emmanuel Macron, du moins c’est peu probable avant le premier tour. Mais l’ancien chef de l’État mise sur une réélection de l’actuel locataire de l’Élysée.
Alors, dans la coulisse, le dernier grand fauve de la droite joue les entremetteurs pour créer les conditions d’un accord entre Les Républicains – ou ce qu’il en restera après la présidentielle – et Emmanuel Macron en vue des élections législatives.
Entre la guerre en Ukraine, la fièvre nationaliste corse, les élections présidentielles qui arrivent, la radicalisation de la vie politique en France, il y avait énormément de sujets que Breizh-info voulait aborder en cette fin mars avec Alain de Benoist. C’est chose faite dans un entretien ci-dessous.
Breizh-info.com : Tout d’abord, que vous inspirent le déplacement de Gérald Darmanin en Corse et l’évocation d’une autonomie possible pour la Corse ?
La démocratie française est fragile. Or la guerre en Ukraine accentue son mal-être. Le chef de l’État s’abrite derrière le conflit pour refuser de débattre, sinon avec des interlocuteurs choisis. La stratégie de la peur produit les effets anesthésiants escomptés, avec un ralliement des uns derrière l’homme en place et un renoncement des autres à aller voter.
Le Président Emmanuel Macron commémorait, dimanche, devant les caméras, les dix ans des attentats perpétrés par Mohammed Merah à Toulouse. Pourtant, paradoxalement, les thèmes du terrorisme, de la sécurité ou de l’immigration ont disparu de sa campagne.
Mercredi soir, la représentante LR à l’élection présidentielle était invitée au micro de Cyril Hanouna dans son émission politique. En 5e position, Face à Baba recueille 1,1 million de téléspectateurs, moins que Marine Le Pen (1,4), Jean Luc-Mélenchon (1,8) et surtout Eric Zemmour (2,2).
Pour cette quatrième émission en prime-time, le Face à Baba avec Valérie Pécresse obtient 5,3% de part d’audience.
Audiences Prime à retrouver dans le détail sur JeanMarcMorandini.com