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élections - Page 702

  • Municipales à Marseille – C’est l’histoire d’un sondage presque inutile…

    Communiqué de presse de Stéphane Ravier, conseiller régional, tête de liste FN-Marseille Bleu Marine à l’élection municipale de Marseille

    Passons sur la méthodologie retenue par Le Parisien qui admet lui-même qu’elle est grossière.

    Passons sur l’erreur factuelle du Parisien qui indique que Gaudin a effectué « deux mandats » alors qu’il termine le troisième.

    Le Parisien ne peut affirmer que Mennucci gagnera car Le Parisien ne peut ignorer qu’en 1983 Gaudin a perdu en réalisant un score supérieur à celui de Defferre…

    Le Parisien ne peut faire passer une estimation de second tour (en effet où sont les autres candidats ?) pour un sondage de premier tour.

    A contrario, Le Parisien admet ce que nous ressentons chaque jour sur le terrain, au contact de nos compatriotes : une belle montée en puissance pour le Front National et son programme !

    Nous affirmons donc que tout reste ouvert et que le Front National remportera une ou plusieurs mairies de secteur.

    Et s’il y aura finalement bien un maire élu en mairie centrale, personne et pas plus Le Parisien que n’importe qui d’autre ne peut prévoir de qui il s’agira, excepté peut-être Eugène Caselli qui promettait que Mennucci ne serait « jamais maire de Marseille » !

    A Marseille, ce sont les Marseillais qui auront le dernier mot, pas Le Parisien !

    Source  http://www.nationspresse.info/communiques-de-presse/municipales-a-marseille-cest-lhistoire-dun-sondage-presquinutile

  • Les "passerelles" sont le cauchemar de la gauche

    De Jean Cochet dans Présent :

    "La gauche de plus en plus obnubilée par le FN… [...] Ainsi Le Monde daté de mardi, qui exhibe son obsession en une et dénonce les nouvelles « passerelles » en train de s’édifier entre le FN et la droite de l’ex-majorité. Il suffit que deux candidats à des élections municipales, l’un UMP et l’autre FN, au lieu de s’injurier, se saluent courtoisement sur un marché, pour que, même s’ils échangent en souriant quelques propos ironiques, les flics de la pensée, ou leurs indics, parlent de « passerelles » s’établissant entre la droite molle et la droite dite dure par contraste avec la première. Deux militants de bords adverses, qui se connaissent depuis longtemps, se serrent-ils la louche lorsqu’ils se croisent dans la rue ? Aussitôt la gauche, Le Monde en tête, les soupçonne de vouloir construire des « ponts » mobiles électoraux. Ou pire encore : d’envisager de « réunir » les deux familles politiques séparées. En oubliant que, si les dirigeants de l’UMP s’en sont éloignés et même souvent les ont reniées, leurs électeurs gardent néanmoins « des valeurs communes » avec ceux de la droite nationale. Comme le leur avait rappelé en son temps, et avec opportunisme, Charles Pasqua lui-même.

    Droitisation de la droite ?

    Mais ces « passerelles », qui obnubilent la gauche et ses médias, ne sont pas toutes de l’ordre du fantasme. Il en existe bel et bien. De nombreux responsables UMP, poussés par leurs électeurs, surtout dans le sud de la France, tentent aujourd’hui des rapprochements « donnant donnant » avec le FN. Ciblé par les snipers du Monde, Roland Chassain représente l’un de ces exemples emblématiques. Ex-parlementaire, ce candidat UMP aux législatives de 2012 dans la XVIe circonscription des Bouches du Rhône s’était, lors du second tour, désisté en faveur de la candidate FN, Valérie Laupies. Un cas triplement symbolique. Valérie Laupies vient non seulement de la gauche, mais aussi du monde enseignant. On comprend l’inquiétude que provoque cette force d’attraction croissante du FN, dont certains se demandent avec angoisse où elle s’arrêtera. Combien de Roland Chassain et de Valérie Laupies en puissance ? La question turlupine aussi bien l’UMP que le PS.

    Roland Chassain dit avec bon sens qu’il se sent « plus proche de Marine Le Pen que des socialistes ». C’est le cas, à l’UMP, de beaucoup de ses militants et sympathisants, qui n’hésitent plus désormais à proclamer une telle évidence. Roland Chassain milite donc ouvertement « pour une union des droites », en dépit de la ligne contraire affichée par les dirigeants de son parti. « Les cadres parisiens sont trop frileux », déplore l’hérétique. [...] Alors qu’en fait, ce que la gauche redoute le plus, c’est la droitisation de la droite. Que celle-ci redevienne elle-même…

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/les-passerelles-sont-le-cauchemar-de-la-gauche.html

    [...] Comme le souligne avec ironie Benoît Kandel, conseiller général UMP des Alpes Maritimes, à qui son parti reproche une entrevue avec la présidente du Front national : « Si tous les élus UMP qui rencontrent Marine Le Pen sont exclus, il n’y aura bientôt plus grand monde dans le parti. » A l’exception de quelques résidus socialo-chiraquiens et centro-juppéistes. [...]"

  • Hollande : little big man

    « Mais en France », François Hollande a manifestement de moins en moins de supporters et de plus en plus de sifflets.
    En mai 1968, alors que la « chienlit » s’installe dans le pays, le général De Gaulle s’envole mystérieusement pour Baden-Baden. Pour prendre du champ face aux événements ? Pour s’assurer du soutien de l’armée ? Nul ne sait car les principaux acteurs de ce déplacement ont emporté son secret dans l’au-delà. Toujours est-il que le chef de l’Etat en reviendra plus déterminé et qu’il mettra rapidement un terme aux événements, en dissolvant l’Assemblée nationale. Le voyage à Baden-Baden est une Fuite de Varennes qui a réussi.
    Le cauchemar du CRIF
    Il se trouve que M. Cukierman, président du CRIF, publiait le même jour une tribune dans Le Monde où il nous faisait part de son pire cauchemar pour 2017 : voir « notre pays sombrer dans un régime où le populisme refuse les opinions minoritaires, rejette ce qui s’écarte de ses normes, redéfinit à sa sauce les droits et libertés » et de conclure, des fois qu’on n’aurait pas bien compris : « Face au FN réveillons-nous ! » Certes, il ne nous dit pas qu’il faut voter PS, mais le cœur y est.
    Et puis, comme le hasard fait bien les choses, voilà que « la France » décide de s’opposer à l’accord international qui se dessine autour du nucléaire iranien. Au point que John Kerry crie « Vive le Frouance ! » – avec l’accent –, ce qui doit sans doute nous rassurer pleinement sur le bien-fondé de cette posture.
    François Hollande s’est même fendu d’une déclaration en hébreu à son arrivée à Tel Aviv : « Je resterai toujours l’ami d’Israël », des fois que ses hôtes n’auraient pas bien compris le message.
    En tout cas, Benjamin Netanyahu, premier ministre d’Israël, déclare que « François Hollande est un ami, un ami d’Israël et nous le recevrons en tant que tel, en déroulant le tapis rouge » (Les Echos du 5 novembre 2013).
    Beaucoup d’amis mais de moins en moins d’électeurs
    Notre président normal a donc beaucoup d’amis, mais à l’étranger seulement. Car, comme sous la IVe République, la France n’a jamais autant d’amis que quand elle se couche et quand elle s’aligne. Voilà même l’ONU qui trouve que le « racisme » monterait dans notre pays et qui vient fort à propos supporter la campagne que tente de lancer, avec ses gros godillots, un Parti socialiste tétanisé par la débâcle électorale qui s’annonce.
    Mais en France, François Hollande a manifestement de moins en moins de supporters et de plus en plus de sifflets.
    Le petit télégraphiste
    Croit-il qu’en jouant le petit télégraphiste d’intérêts qui ne sont pas les nôtres il gagnera un sursis politique ? Espère-t-il, par exemple, un soutien du Mossad ou un tir de drones US qui permettraient de se débarrasser de ses adversaires politiques ? Pense-t-il, comme Louis XVI fuyant sur la route de Varennes, que les étrangers sauveront sa couronne ? Le pire n’est jamais sûr.
    Mais nous ne sommes plus en 1968 : François Hollande n’a pas la stature de Charles De Gaulle et B. Netanyahu n’est pas le général Massu. Il est douteux que les chars Merkava israéliens franchissent la Méditerranée pour protéger un locataire du Faubourg-Saint-Honoré assiégé par les Bonnets rouges. Comme il est douteux  que le 7e de cavalerie US arrive à temps pour sauver notre little big man national.
     Michel Geoffroy, 19/11/2013
    http://www.polemia.com/hollande-little-big-man/

  • Pitoyable : Dominique de Villepin se dit prêt à soutenir un retour de Nicolas Sarkozy

    Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour redevenir (Premier ?) ministre !

    Pour l’ancien premier ministre, le président sortant a « une véritable opportunité » de revenir en politique en profitant du besoin des Français « d’attendre un sauveur ».

    La hache de guerre est-elle enterrée entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy ? Dans une interview lundi à la Radio Télévision Suisse (RTS), l’ex-premier ministre de Jacques Chirac avance qu’il pourrait « peut-être » soutenir son ennemi de toujours si celui-ci décidait de revenir en 2017. À la condition toutefois que ce dernier porte un « projet de rassemblement innovant et à la mesure des enjeux français ». Si la sortie peut surprendre après des années d’un duel acharné entre les deux hommes, pour le villepiniste Jean-Pierre Grand, l’ancien chef du gouvernement ne fait qu’agir en « homme d’État ». « Ces derniers sont peu nombreux aujourd’hui, mais ils privilégient toujours l’intérêt de la France. C’est ce que fait Dominique de Villepin. Il fait passer l’intérêt du pays avant tout », assure au Figaro le maire UMP de Castelnau-le-Lez.

    Pour Dominique de Villepin, Nicolas Sarkozy bénéficie aujourd’hui d’une « véritable opportunité » de revenir sur le devant de la scène politique, les Français étant dans l’attente d’« un sauveur » dans un contexte de « fronde sociale ». « Est-ce qu’il a envie de revenir en politique ? s’interroge-t-il. Lui seul peut le dire. Mais je pense qu’il a envie. » « Je crois qu’il est attendu sur un chemin politique original, différent, inventif, créatif. Je crois que c’est le secret espoir des Français, qu’à un moment donné quelqu’un va bousculer le jeu, changer la donne », poursuit-il.

    Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pitoyable-Dominique-de-Villepin-se

  • Pour Hollande, Minute et Mohamed Merah même combat !

    Arrêtez de ricaner bêtement. Quoi qu’on en dise, François Hollande est encore président de la République.

    Lundi, interrogé sur la chaîne BFMTV aux côtés du président israélien sur les propos racistes contre la ministre de la Justice, François Hollande a assuré qu’il ne laisserait « jamais en paix ceux qui se mettent du côté de l’antisémitisme et du racisme », et fait le lien entre les attaques racistes contre Christiane Taubira et les tueries de Toulouse début 2012. Comme le rapporte Libération, « le président de la République a assuré que les tueries de Toulouse en 2012 et les attaques racistes dont a été victime Christiane Taubira participaient de la même dynamique ».

    Arrêtez de ricaner bêtement. Quoi qu’on en dise, François Hollande est encore président de la République.

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  • Francs-Macs et Front Nat, je t’aime moi non plus !

    Chronique hebdomadaire de Philippe Randa

    Que serait la vie politique française sans la Franc-Maçonnerie ? La même chose, sans doute, mais cette absence serait cruellement ressentie par certains médias. C’est tout de même bien commode pour remplir les colonnes en période « d’infos maigres »… ou pour relever le fumet d’enquêtes « de fond » (sic !), un peu comme un cuisinier rajoute une pincée de ci ou un chouïa de ça pour pimenter le ragoût.

    Ainsi donc, Le Figaro nous entretient des « passerelles entre marinistes et Francs-maçons », soit de l’attrait qu’exercerait le « nouveau Front national » et sa blonde Présidente, sur les « Frères la gratouille », comme les appelait en son temps l’ex-président François Mitterrand, montrant ainsi tout le sérieux qu’il leur accordait.

    « La détestation des réseaux d’influence maçonniques était, à l’époque de Jean-Marie Le Pen, une tradition » écrit le quotidien. Vraiment ?

    L’affirmation, en tout cas, est habituelle quand on parle du FN ou de la FM. Mais appréhender la Franc-Maçonnerie en France comme un bloc monolitique, justement et contrairement aux pays anglo-saxons, relève tout simplement de l’ignorance ou du mensonge.

    Car la France fait justement figure « d’exception maçonnique » et il est bien dommage que bien des éminents observateurs omettent la plupart du temps de le rappeler.

    Lorsque le commun des citoyens de l’hexagone entend parler de Franc-Maçonnerie, il songe indéniablement au Grand Orient (GO), certes la plus ancienne (1773), longtemps quasiment seule à exister (jusqu’en 1894 quand se forme la Grande Loge de France ), en tout cas la plus importante en nombre avant que la Grande Loge Nationale Française (GLNF, créée en 1913) ne finisse, quelques années durant, par la dépasser en nombre de Frères (en 2012, un tiers de ses membres firent scission pour fonder la Grande Loge de l’Alliance Maçonnique française [GL-AMF])…

    Le GO, redevenue certes la plus importante des obédiences maçonniques françaises (environ 50 000 membres), a de tout temps interdit l’appartenance au Front national, mais un tel ukase n’a jamais été lancé dans aucune autre obédience.

    Et pour cause, les autres obédiences d’importance (plus de 80 000 membres, donc aux effectifs plus nombreux) interdisent, telle la GLF « de s’occuper de controverse touchant à des questions politiques ou religieuses », telle la GLNF qui, interdisant tout débat politique en interne, a de ce fait, refusé très officiellement d’appeler à voter contre Jean-Marie Le Pen en 2002… et désormais la Gl-AMF qui « refuse toute prise de position politique ou sociétale. »

    Pour la petite histoire, le « monsieur justice » de Marine Le Pen, l’avocat Valéry Le Douguet, favorable à la peine de mort et hostile au mariage homosexuel, a été exclu du Grand Orient… où il avait été initié peu de temps auparavant.

    « Les Frères prônent la tolérance, mais, visiblement, ils ne l’appliquent pas en leur sein », a-t-il fustigé son ancienne obédience.

    Ou alors, contrairement à ce que croient beaucoup d’obsédés du complot, ce ne seraient donc pas les Francs-Maçons qui infiltreraient le Front national, mais… le contraire ! Pourquoi pas !

    Le GADLU (Grand Architecte de l’Univers) doit en rire encore !

    Cette chronique a été publié sur le site du Boulevard Voltaire (www.bvoltaire.fr). Voir également celle de ce jour : Nos écoles sont-elles de futurs sas de naturalisation ?

    © Philippe Randa est écrivain, chroniqueur politique et éditeur (www.francephi.com). Ses chroniques sont libres de reproduction à la seule condition que soit indiquée leur origine, c’est-à-dire le site www.francephi.com, « Espace Philippe Randa ».

  • Quand la République est mise à toutes les sauces….

    Nos gouvernants ne semblent plus avoir d’autre recours que de se draper dans les plis d’une République qu’ils confondent avec eux-mêmes.

    Pareille à un hamburger insipide auquel seule la sauce — ketchup, moutarde, mayonnaise… — donne un semblant de goût, la République, depuis quelques semaines, devient pour nos gouvernants du fast-food UMPS une sorte de fond d’assiette qu’on recouvre, en fonction des circonstances, avec la sauce du jour…

    Des citoyens excédés, en colère contre les taxes — et peut-être aussi contre cet impôt déguisé que représente le matraquage arbitraire des automobilistes sous couvert de diminution des morts sur la route —, détruisent des radars et des portiques ? « Atteinte à la République ! »

    Le président de cette même République, au sommet de l’impopularité, sifflé et hué à deux reprises le même jour, pendant les célébrations du 11 Novembre ? « Insulte faite à la République. »

    Des manifestations diverses de salariés licenciés que les bons syndicats ron-ron ne contrôlent plus, ou d’agriculteurs, de patrons au bord de la faillite dégénèrent ? C’est le fait de l’extrême droite qui « met en péril la République »

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  • Aube dorée : le Congrès juif mondial derrière la répression ? Nouvelles en France

    La video ci-dessous montre que le « Congrès juif mondial » a mis la pression sur la Grèce pour que soit réprimé le mouvement nationaliste Aube dorée, qui s’est pourtant démocratiquement développé. Quelques semaines après, le président et le n°2 du parti, bien que députés, étaient emprisonnés pour des motifs farfelus… Puis les fonds publics coupés, suite à une loi spéciale…
    Le Congrès juif mondial (certains affirmeront tout de même qu’il n’y a pas de lobby juif) exige maintenant que soit réprimé le dynamique parti hongrois Jobbik (2e partie de la video). Les résistants magyars doivent s’attendre à des moments difficiles.

     

    hommageConcernant l’Aube dorée : après les Parisiens, des militants lyonnais appartenant au GUD ont rendu hommage aux deux patriotes grecs assassinés. (photo ci-contre)
    C’était la semaine dernière, devant le consulat de Grèce à Lyon.

     

    Par ailleurs, un maillot circule actuellement, reprenant un thème à la mode, qu’on peut se procurer ici chez Patriote Productions.

    http://www.contre-info.com/aube-doree-maillot-de-soutien-et-hommage

     

     

     

     

     

     

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  • 11 Novembre 2013 : communiqué de soutien aux jeunes interpellés d’André Pertuzio, Vice-président de l’Amicale des Résistants du 11 Novembre 1940

    La jeunesse en révolte

    Le 11 novembre 1940 étudiants et lycéens ont défié l’occupant sur les Champs-Élysées et à l’Arc de Triomphe. Pourquoi ? Essentiellement parce qu’ils étaient des patriotes humiliés par la défaite et que leur jeunesse les poussait à l’action.

    Le 11 novembre 2013, on célébrait l’armistice victorieux de 1918 et les survivants de 1940 se réunissaient devant la plaque qui leur est consacrée sur les Champs-Élysées. Mais il y eut aussi des jeunes gens qui s’en prirent au chef de l’État et le sifflèrent.

    Pourquoi ? Parce qu’ils étaient aussi des patriotes humiliés, indignés par la dégradation et l’abaissement de leur patrie dont ils rendaient responsable, ainsi qu’il est normal, le chef de l’État, précisément parce qu’il est le chef et, par là même, responsable. Ils le manifestèrent en le sifflant, ce qui était sans doute une impolitesse mais rien de plus. Au demeurant le Figaro du 13 novembre soulignait que nombre de chefs d’É- tat ont eu à en essuyer de pires et qu’aucun ne fut à l’abri de l’outrage. Pensons égale- ment à la couverture de l’hebdomadaire Marianne traitant le président Sarkozy de «  voyou ». Aucune poursuite judiciaire ne fut alors engagée.

    Dans le cas présent, il serait scandaleux de vouloir traîner devant les tribunaux de jeunes patriotes que leurs sentiments et leur jeunesse même ont poussés à réagir comme le firent leurs aînés dans un tout autre contexte il est vrai. Leur condamnation par la justice serait une navrante injustice. Il faut donc protester par tous les moyens en notre pouvoir et dé- fendre ces jeunes gens qui sont l’avenir de notre patrie.

    André Pertuzio, Vice-président de l’Amicale des Résistants du 11 Novembre 1940

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?11-Novembre-2013-communique-de

  • Et si le FN détenait les clés de Marseille ?

    Jean-Claude Gaudin tentera-t-il, d’ici le premier tour, un rapprochement avec un FN qui, piloté par Marine Le Pen, a le vent en poupe ?

     
     

    Les sondages se suivent et se ressemblent. Alors que les prochaines élections municipales s’annoncent difficiles pour un président et une majorité désormais minoritaires, et que se profilent déjà dans la foulée des élections européennes désastreuses pour le PS, deux enquêtes d’opinion successives indiquent que les socialistes sont en mesure de l’emporter en mars 2014 dans la deuxième ville de France. Un rayon de soleil méditerranéen dans un ciel désespérément plombé. La reconquête de la cité phocéenne si longtemps gérée par feu Gaston Defferre contrebalancerait d’un point de vue psychologique, à supposer que Lyon et Paris restent aux mains de la gauche, des résultats globalement négatifs. Ce n’est pas sans raison que Jean-Marc Ayrault, grattant des fonds de tiroirs qui, paraît-il, étaient vides, a réussi à dégager trois milliards d’euros, ou de promesse d’euros, pour Marseille.

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