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élections - Page 702

  • Le franc-maçon Jérôme Peyrat ne pourra pas faire gagner NKM

    Nathalie Kosciusko-Morizet se fait du souci pour l’élection à la Mairie de Paris. Alors qu’il ne fait aucun doute qu’Anne Hidalgo rassemblera toutes les voix de gauche et d’extrême gauche au second tour, il est certain que celle que l’on nomme NKM ne réunira pas la droite autour d’elle, loin de là.

    Et ce n’est pas son équipe de campagne qui pourra inverser la tendance. Son mentor, le franc-maçon Jérôme Peyrat (51 ans), est chargé des relations avec les partis potentiellement alliés ainsi que les organisations communautaires, qu’elles soient juives ou homosexuelles.

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  • L’UOIF appelle les musulmans à s’inscrire sur les listes électorales “avant qu’il ne soit trop tard” [vidéo]

    PARIS (NOVOpress) – Le communautarisme musulman n’est plus un fantasme mais bel et bien une réalité. Pour preuve, cette vidéo où Hassan Iquioussen, membre de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), et imam de la mosquée d’Escaudain dans le Nord, appelle les jeunes musulmans à s’inscrire sur les listes électorales.

    Et ce au nom d’une conception particulière de la laïcité : « L’avenir n’est pas toujours glorieux pour les citoyens de confession musulmane aujourd’hui qui sont stigmatisés en permanence par certains politiques qui sont sans foi ni loi, qui trahissent les principes de notre République ».

    http://fr.novopress.info/

  • Une nouvelle droite contestataire qui échappe aux états-majors

    « Contestataire » rime indubitablement avec « identitaire » : de quoi inquiéter le cadre partisan.
    « Bonnets rouges », anti-mariage pour tous, « pigeons »… Les multiples mouvements de protestation rassemblent des forces de droite, qui s’expriment en dehors du cadre partisan. « Face à une gauche clouée au sol, qui n’arrive plus à avoir prise sur la société, la contestation est passée à droite », analyse le politologue Gaël Brustier. Selon lui, le moteur de ce « populisme identitaire » serait notamment alimenté par les « paniques morales » d’une partie de la population confrontée à « un ordre social et symbolique bouleversé ». « La droite sociétale a pris goût à la contestation avec la Manif pour tous. Des mouvements catégoriels ont embrayé après », remarque le politologue Roland Cayrol.
    Il y a un an, Jean-François Copé rêvait que l’UMP devienne « le seul lieu de résistance » à la politique de François Hollande. Le patron du parti évoquait la possibilité d’organiser des manifestations de droite contre la politique gouvernementale. Il se disait prêt à « appeler le peuple de France à défiler » pour exprimer son opposition. Pari raté : l’UMP ne parvient pas à canaliser la « résistance » citoyenne.
    Des Français sortent d’eux-mêmes dans la rue pour crier leur colère contre l’action de l’exécutif, sans se soucier des responsables de l’UMP. Pour ces opposants de tout poil, le principal parti d’opposition n’apparaît pas en mesure d’offrir un débouché politique à leur lutte. « Les manifestants ne sont plus inféodés à notre parti, car ils ont le sentiment que l’on ne porte pas assez leurs revendications », observe le maire du Puy-en-Velay (Haute-Loire), Laurent Wauquiez, qui a défilé contre le mariage pour tous.
    Voir des militants UMP investir la rue reste une petite nouveauté. Pour autant, ce n’est pas la première fois que certaines « clientèles » traditionnelles de la droite se font entendre autrement que dans les urnes. De la manifestation géante en faveur de l’école libre, le 24 juin 1984 à Paris, aux défilés de gendarmes en tenue – une première – fin 2001, en passant par le saccage du bureau de Dominique Voynet par des agriculteurs, le 8 février 1999, et différents cortèges de médecins, artisans ou commerçants, la gauche au pouvoir a déjà connu son lot de mouvements hostiles, et parfois violents.
    Revendications diverses
    La nouveauté depuis dix-huit mois, de La Manif pour tous aux « bonnets rouges », c’est que ces corporations et groupes sociaux sont descendus dans la rue de manière accélérée, au point d’être quasiment juxtaposés.
    Chacun porte une revendication différente. Le mouvement de La Manif pour tous, qui rassemble des milieux conservateurs et catholiques, repose sur la défense des valeurs familiales. Celui des « bonnets rouges », lancé par une trentaine d’entrepreneurs bretons, vise à dénoncer la mise en place de l’écotaxe et la pression fiscale. Ceux qui manifestent contre la hausse de la TVA prévue au 1er janvier 2014 défendent leurs secteurs respectifs, comme les professionnels de la filière équestre. M. Cayrol ne perçoit pas de mouvement homogène, mais seulement « des poches de contestation qui s’additionnent ».
    Ferment d’union
    Certains opposants rêvent, eux, d’une « union des luttes » et se mêlent à plusieurs combats. Le 9 novembre, trois membres du Printemps français – la frange la plus radicale de La Manif pour tous – ont ainsi été interpellés à Paris après avoir mené une action contre un portique écotaxe. Sur Internet, l’opposition au mariage gay a servi de ferment d’union entre les divers « indignés » de droite (libéraux économiques, catholiques, soutiens de l’UMP, de l’extrême droite…).
    Il n’est pas rare de retrouver des jeunes militants du courant UMP de la droite populaire dans des actions du Printemps français, ou affichant leur soutien aux « bonnets rouges » bretons. L’opposition à François Hollande reste le principal moteur de ces opposants, qui rêvent de chasser du pouvoir un président considéré comme illégitime. Pour les plus radicaux, c’est même un but en soi.
    Si les avis divergent sur le degré d’homogénéité des mouvements récents, chacun s’accorde sur le fait que les partis de droite ne sont pas vraiment en phase. « Comme pour le mariage pour tous, la droite autant que le FN semblent être largement dépassés par les nouvelles actions militantes », note Raphaël Stainville, journaliste au Figaro Magazine et coauteur, avec Vincent Trémolet de Villers, d’Et la France se réveilla (Editions du Toucan, 288 p., 18 euros). « Le quinquennat Sarkozy a provoqué des frustrations, souligne Jérôme Fourquet, de l’IFOP. La droite sous-estime la radicalisation et l’exaspération de son électorat. »
     Samuel Laurent, Alexandre Lemarié et Jean-Baptiste de Montvalon
    Le Monde, 22/01/2013
    http://www.polemia.com/une-nouvelle-droite-contestataire-qui-echappe-aux-etats-majors/

  • Mais où sont donc passé les républicains de gauche ?

     

    Mais où sont donc passé les républicains de gauche ?
    Mais où sont donc passé les républicains de gauche ?
    Par Bertrand Dutheil de La Rochère
    Président de Patrie et Citoyenneté
    Voilà deux ans que quelques républicains de gauche ont fait le choix d’apporter leur modeste soutien à Marine Le Pen en vue de l’élection présidentielle de 2012. Souvent, ils venaient de la galaxie chevènementiste. Certains appartenaient encore au MRC (Mouvement républicain et citoyen). En annonçant publiquement leur choix, ils en ont été immédiatement exclus au mépris des statuts. A l’heure des négociations avec le Parti socialiste pour obtenir quelques miettes, il n’était pas question d’ouvrir un débat politique interne sur le fond. Le conformisme bêlant dans le sillage de la bienpensance ne pouvait être que la seule réponse, avec le bannissement de ceux qui tiraient les conséquences de la fusion entre droite archaïque et gauche obsolète dans le mondialisme et l’européisme.
    Il y a deux ans précisément, son candidat naturel ayant sombré dans un hôtel new-yorkais, la gauche établie s’interrogeait gravement pour départager, lors de primaires ouvertes, les deux « bébés Delors », selon la formule de Jean-Pierre Chevènement, la fille par le sang ou le fils par l’esprit. Il y avait aussi quelques comparses, qui ne voyaient dans cette procédure qu’une étape utile pour leur avenir carriériste. Depuis, entrés au gouvernement, ces auxiliaires se disputent le ministère du verbe creux et impuissant pour se hisser au premier rang. En communication, l’important n’est pas d’agir, mais d’être vu.
    Au terme de ces primaires, le « peuple de gauche » a donc choisi François Hollande. Celui-ci a ensuite bénéficié du fort rejet du président sortant. Puis, les Français lui donnèrent une confortable majorité à l’Assemblée nationale. Toutefois, Martine Aubry avait profité de sa fonction de première secrétaire du Parti socialiste pour signer un accord avec les Verts, qui leur donne une capacité de nuisance bien au-delà de leur audience dans l’électorat.
    Cette majorité de gauche comprend aussi trois députés membres du MRC, le sortant réélu et deux nouveaux. Avec son président d’honneur, Jean-Pierre Chevènement, toujours sénateur, ce courant républicain de gauche est donc représenté par quatre parlementaires. Mais, en dehors des intéressés, de leurs amis et des spécialistes de la vie politique, qui le sait ?
    Pourtant, ils disposent d’une véritable autonomie. Apparentés au groupe socialiste, les trois députés MRC ont la liberté de vote, et ils s’en servent. Certes, ils ont adopté le budget, mais le contraire les aurait exclus de la majorité. Et puis, aujourd’hui, le vote du budget a-t-il encore vraiment de l’importance ? Le Parlement a été dépouillé de ce fondement historique du parlementarisme au profit d’une instance non élue : la Commission de Bruxelles.
    En revanche, sur les trois dossiers les plus emblématiques des dix-huit premiers mois de la présidence de François Hollande, ils se sont exprimés selon leurs convictions. Ils se sont prononcés contre le projet de loi qui autorise la ratification du traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG) au sein de l’Union économique et monétaire. Sur le mariage pour tous, deux se sont abstenus, seul le troisième a émis un vote positif. Enfin, sur une éventuelle intervention militaire en Syrie, ils ont publiquement regretté que le Parlement ne puisse donner son avis, et le leur aurait été négatif. Au Sénat, Jean-Pierre Chevènement a confirmé ces orientations. Mais qui s’en est aperçu ?
    Certes, le TSCG, qui avait été préparé par Nicolas Sarkozy, a été voté massivement par l’UMP. N’ayant pas compté, les trois voix du MRC ont disparu. Certes, l’abstention sur le mariage pour tous n’est pas une position compréhensible. Certes, n’ayant pas de groupe à l’Assemblée, le MRC n’y a pas disposé de temps de parole pour s’exprimer sur le dossier syrien. Mais, au Sénat, Jean-Pierre Chevènement a dénoncé en termes clairs l’aventurisme et le bellicisme du Président de la République. Sont-ce donc les circonstances qui ont rendu le MRC invisible ou l’écartèlement entre ses positions républicaines et son appartenance à cette majorité écolo-socialiste ?
    Pour apparaître, il ne suffit pas de rappeler à l’ordre, en vain d’ailleurs, Cécile Duflot qui, paraphrasant le célèbre aphorisme de Jean-Pierre Chevènement en le détournant, a déclaré : « Une ministre, ça agit, ça ouvre sa gueule et ça ne démissionne pas ». Mais ce gouvernement n’est qu’une foire aux vanités et aux ambitions personnelles.
    Pour apparaître, il faut éviter des signes politiques qui brouillent l’image et le message. En août 2013, à La Rochelle, à l’université d’été du Parti socialiste, Marie-Françoise Bechtel, député de l’Aisne et première vice-présidente du MRC, a déclaré : « Nous considérons que l’axe du redressement économique de la France est le bon ». En septembre 2013, pour son université d’été, le MRC a eu comme invité principal Manuel Valls, ministre qui, au-delà de ses vaines rodomontades sur la sécurité, s’est toujours prononcé pour l’ultralibéralisme et pour l’européisme.
    A l’inverse, la Fondation Res publica, présidée par Jean-Pierre Chevènement, a publié, début septembre, une très intéressante et très pertinente étude de Jacques Sapir et de Philippe Murer intitulée : Les scenarii de dissolution de l’euro. Elle détaille l’impact sur l’économie de la France, et celle des principaux pays de la zone Euro, de différents scénarii de dissolution de la monnaie unique, procédant de différentes hypothèses de coopération monétaires et de différentes options de politique économique pour la France.
    Un tel positionnement erratique est évidemment incompréhensible. Alors, les postures parlementaires du MRC sont prises pour des manifestations sporadiques de mauvaise humeur, sans conséquence.
    Néanmoins, ces marques, quasi clandestines, d’indépendance déplaisent au sommet de l’État. Ainsi, Le Monde du dimanche 8 septembre 2013 a publié la liste des bénéficiaires de réserves parlementaires transitant par le ministère des Affaires étrangères. Dans cette liste, figurent les fondations présidées par Valéry Giscard d’Estaing, Robert Hue et Jean-Pierre Chevènement. Ce dernier a immédiatement démenti, en faisant remarquer que les trois ont « en commun une attitude de grande prudence quant aux frappes militaires envers la Syrie. » Et il termine son communiqué par cette phrase : « Il me parait peu croyable que le Ministère des Affaires étrangères ait pu communiquer de son propre chef un quelconque fichier au Monde. »
    Il s’agit donc d’une liberté surveillée. Dans ces conditions, se pose la question : à quoi sert le MRC ? Au mieux, à rien ; au pire, il n’est que l’alibi souverainiste d’une gauche mondialiste ! Et, au-delà, surgit l’interrogation encore plus fondamentale : peut-on réformer le système de l’intérieur ?
    Depuis un demi-siècle, Jean-Pierre Chevènement s’y emploie, d’abord au sein du Parti socialiste avec le CERES puis Socialisme et République, ensuite à côté des autres formations de gauche, avec le MDC puis le MRC. Sa stratégie d’influence pour « peser » est un échec répété. Aujourd’hui, l’ancien président du très européiste club Témoin est président de la République. Il n’a pas abandonné ses rêveries idéologiques d’il y a trente ans et plus.
    Au sein de la droite établie, il y eut aussi des tentatives de réformer le système de l’intérieur. Philippe Seguin en eut le projet. Il s’y essaya. Puis, devant l’impossibilité de la tâche, il abandonna et se réfugia dans la présidence de la cour des Comptes. Charles Pasqua ou Philippe de Villiers ont créé ensemble ou séparément de petites formations politiques qui restaient dans le système. Ils ont été rapidement marginalisés.
    Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée. On ne peut pas être à la fois dedans et dehors. Le système est certes vermoulu dans son principe, mais il est encore suffisamment puissant pour absorber individuellement les forces de contestation. Il a encore des hochets à distribuer. Ainsi, si le MRC, dont l’immense majorité des Français ignore l’existence, a trois députés et un sénateur, le Rassemblement Bleu Marine, dont la candidate a obtenu un peu moins du cinquième des suffrages, n’a que deux députés et aucun sénateur. C’est le prix à payer, aujourd’hui, pour être hors du système. C’est le prix à payer, temporairement, pour pouvoir contester le système. C’est le prix à payer pour changer le système le moment venu
    Changer le système ! Changer de système ! Mais l’ère historique des révolutions est terminée ! Les illusions perdues gisent sous les décombres du mur de Berlin. Alors, foin de révolution ! Et vive la restauration ! Aujourd’hui, la rupture est dans la restauration républicaine. Une restauration n’est pas un retour à l’identique. D’ailleurs, à l’identique de quoi ? Le choix d’une période de référence serait toujours arbitraire. La restauration républicaine, c’est la mise en œuvre, dans les conditions du monde actuel, des fondements de la nation française et des principes de la République, cette République dont le socle repose sur la citoyenneté.
    Un citoyen doit pouvoir subvenir à ses propres besoins et à ceux des siens par son travail. C’est-à-dire qu’il doit avoir un emploi correspondant à ses talents et à l’utilité commune, donc un emploi digne et durable, digne pour sa personne et durable pour la société. Les emplois subventionnés, qui ont pour objectif de faire baisser artificiellement les chiffres du chômage, sont des escroqueries politiques qui ont un coût économique exorbitant. La République a besoin d’emplois productifs dans les conditions de l’économie du XXIe siècle par l’intrication de l’innovation et de la réindustrialisation. Alors, pourront être développés, dans des conditions correctes, des emplois utiles dans les services.
    La République suppose une séparation entre espace public et sphères privées. Le souverain par la loi délimite la première en tant que de besoin, y assurant l’égalité entre les citoyens. Son étendue varie selon le temps et le pays. Tout le reste appartient aux secondes pour permettre la liberté des personnes. Aujourd’hui, en France, la religion, les origines ethniques ou les orientations sexuelles ont été transférées de l’espace public vers la sphère privée de chacun. N’existe ainsi qu’une seule communauté : la communauté nationale, dans laquelle doivent être assimilés tous les Français dans une même République, régie par la loi. Ensuite, chacun dans son particulier cultive comme il l’entend ses centres d’intérêt, en respectant la liberté d’autrui.
    La formation du citoyen dans sa double composante implique une Ecole qui transmet aux élèves les connaissances nécessaires, une Ecole qui place en son centre cette transmission. Plus qu’un service public, l’Ecole est un service organique de la République. Elle institue le citoyen. Elle lui donne les moyens de gagner sa vie et d’appréhender le monde. Elle n’est pas un lieu de vie où l’enfant, placé au centre, construit par lui-même son savoir. Il faut donc redresser l’Ecole de la République.
    Parmi les candidats à la dernière élection présidentielle, seule Marine Le Pen a repris et reprend toujours ces trois points fondamentaux. Ils constituent la base de tout programme républicain dans la France actuelle. Elle propose de donner à la République les moyens de son ambition en rétablissant la souveraineté de la nation française, en la délivrant des différentes bureaucraties et judicatures européistes, en lui redonnant la maîtrise de ses prérogatives régaliennes, à commencer par la monnaie.
    Il a donc fallu choisir entre la gauche établie contre la France ou la France contre la gauche établie. Les républicains de gauche qui ont choisi le deuxième terme de l’alternative, avec Marine Le Pen, se retrouvent, au sein du Rassemblement Bleu Marine, dans Patrie et Citoyenneté. Deux ans après s’être déclarés, déplorant le bilan désastreux de François Hollande en moins d’un an et demi de mandat, ils invitent à les rejoindre tous ceux qui voulaient encore donner une dernière chance aux socialistes et à leurs différents supplétifs. Qu’ils ne tardent pas, car la situation de la France, notre patrie et notre avenir, devient dramatique !
  • Le surprenant succès des Jeunes UDC

    L'acceptation de l'initiative des Jeunes UDC bernois en faveur d'un durcissement des conditions de naturalisation a surpris la droite et crée la consternation de la gauche.

    Personne ne s'attendait à un tel résultat. Sa mise en oeuvre pourrait être problématique. Cette initiative, qui prive les délinquants et les bénéficiaires de l'aide sociale du droit de cité, a été acceptée dimanche par 55,8% des votants. Même l'arrondissement bilingue de Bienne, qui vote traditionnellement à gauche, a soutenu cette modification de la constitution cantonale.

    Appel au rejet

    A l'exception de l'UDC, tous les partis politiques ont appelé au rejet de cette initiative, mais sans pour autant se mobiliser. Le comité interpartis en faveur du non est resté discret durant la campagne.

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  • La droite saura-t-elle profiter des mouvements contestataires ?

    De Guillaume Bernard sur Atlantico :

    "L’orientation globale des campagnes de Nicolas Sarkozy a été la conséquence de la « droitisation » du pays et non l’inverse. Les récents mouvements de « la manif pour tous » ou des « bonnets rouges » ne sont que des manifestations d’une évolution plus ancienne et plus profonde, ce que j’ai proposé d’appeler le « mouvement dextrogyre » qui s’enracine dans trois causes : l’effondrement du régime soviétique, la multiplication des attentats islamistes et l’emballement incontrôlé de la mondialisation. Les partis politiques sont touchés par le dextrogisme mais ils n’en sont pas la cause même s’ils peuvent, naturellement, l’accompagner voire l’accélérer. [...]

    La « droite forte » est une des illustrations de la radicalisation des esprits ; le fait que cette motion soit arrivée en tête lors des élections internes à l’UMP est l’une des illustrations du mouvement dextrogyre. Cependant, la force de ce que l’on peut appeler, pour l’instant, la « droite contestataire » vient de ce qu’elle réunit des personnes qui considèrent que, désormais, leurs différences ne doivent plus les empêcher de s’allier. Cela dépasse donc les partis politiques. Les « bonnets rouges » réunissent des catégories sociales considérées jusqu’à présent comme antagonistes (patrons et salariés, ouvriers et agriculteurs) ; « la manif pour tous » rassemble des personnes aux options partisanes différentes (des électeurs allant de la démocratie chrétienne au Front national). L’écœurement et la colère les conduisent à se rapprocher.  [...]

    Il est assez logique que les mouvements de contestation favorisent l’opposition au détriment de la majorité gouvernementale et qu’ils poussent à l’alternance. Cela dit, étant donné qu’aucun parti ni groupe d’influence ne canalise l’actuel mouvement d’indignation, il est assez probable que la droite ne pourra en profiter électoralement qu’à la condition que ses candidats (à la présidentielle, aux législatives, etc.) fasse l’effort d’incarner ces idées et ces aspirations avec une certaine netteté et fidélité. Nombre d’électeurs de droite ont été enthousiasmés par la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007 et ont, ensuite, été frustrés par le décalage entre le discours et les actes.

    Avec la crispation des enjeux politiques, un grand nombre d’électeurs se sont rendus compte d’une distorsion (parfois très profonde) entre leurs convictions et celles de leurs élus (y compris pour ceux pour lesquels ils s’étaient prononcés, faisant confiance à une « étiquette »). Beaucoup ne le tolèrent plus. Il est assez probable que pour éviter une progression de la défiance des citoyens envers les partis politiques, ceux-ci devront renouveler une partie non négligeable de leurs cadres et des personnes qu’ils investissent."

    La droite ne tire pas profit des mauvais sondages de l’exécutif parce qu’elle fait une mauvaise analyse de la situation en se complaisant dans la segmentation du discours et la quête d’une addition d’électorats distincts au détriment d’un discours global sur l’intérêt national. Il est en effet tentant de mettre en exergue que chacun des actuels mouvements de contestation axe son discours sur des thèmes différents (fiscalité, mœurs) et que leurs revendications sont disparates. Il n’y aurait donc aucune homogénéité mais seulement une juxtaposition de contestations. Il est vrai qu’il n’existe pas (encore ?) d’unité organisationnelle à ces différents combats. Mais il existe cependant un fond « doctrinal » commun (même s’il n’est pas explicitement formulé) : que cela se traduise par une dénonciation de la mondialisation ou du progressisme social, il y a une même demande de repères identitaires stables pour redevenir maître de son destin. Il s’agit, là, d’une droite qui est bien plus que « contestataire » et nullement réductible au « conservatisme » : la droite qui est en train de (re)naître et de se (re)constituer peu à peu, c’est une droite réactionnaire qui n’est, aujourd’hui, incarnée par aucun parti politique à lui seul puisqu’elle est présente, à divers degrés, dans plusieurs d’entre eux."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • Slovaquie : victoire électorale pour un nationaliste

    Marian Kotleba a créé la surprise en battant son rival du parti social-démocrate (au pouvoir), au second tour des élections régionales dont les résultats ont été publiés dimanche. Il devient donc « gouverneur » de la province de Banska Bystrica (la première du pays).

    Ex-leader du mouvement nationaliste radical «Slovenska Pospolitost» («Communauté slovaque»), Marian Kotleba est âgé de 36 ans.
    Cet instituteur dirige actuellement le relativement modeste parti nationaliste «Notre Slovaquie».

    Aupremier tour, M. Kotleba n’avait obtenu que 21,3% des voix, si bien que ses chances d’être élu au poste de gouverneur étaient généralement jugées minces par les analystes. Au second tour, il a pourtant battu son rival du parti social-démocrate Smer-SD Vladimir Manka (soutenu par l’ensemble du Système), par 55,5% des voix contre 44,5%. Son discours de fermeté face au problème rom (10% de la population…) y a joué pour beaucoup.

    La victoire électorale d’un nationaliste radical n’ayant rien renié de ses convictions, plusieurs fois victime de la répression du gouvernement slovaque, est un fait suffisamment rare pour être souligné et salué !

    PS : le Figaro, toujours plus mauvais, parle carrément d’un « néonazi »… Quant à l’uniforme, il n’est pas inspiré de ceux utilisés par les Allemands, mais de celui de la Garde Hlinka (du nom de l’abbé Hlinka, chef politique nationaliste), organisation nationaliste des années 30 et 40.

    http://www.contre-info.com/slovaquie-victoire-electorale-pour-un-nationaliste

  • Manip contre le FN: pas surprenant

    Nous l’avons déjà dit ici, nos adversaires ne manqueront pas d’entretenir régulièrement la « peur » du « danger FN » tout au long des semaines nous séparant des élections municipales et européennes. L’idéal pour alimenter le  feuilleton qui s’annonce  étant de trouver,  au sein des centaines de candidats figurant sur les listes du FN et/ou du RBM, qui « le repenti » qui « déballe »,  qui la  « brebis galeuse » qui fait tâche dans le décor et prouverait  bien que le « FN n’a pas changé ». Le microcosme qui panique devant la montée en puissance de la fronde du pays réel,  pourrait  être tenté de projeter de nouveau ses mauvais fantasmes habituels,  mis (un peu)  en veilleuse depuis l’accession de Marine à la présidence du FN.  Il n’est peut être pas non plus à exclure, comme l’a avancé Florian Philippot, que le FN puisse être  victime de manœuvres  déloyales, d’entrisme, d’infiltration…

     Manœuvres qui ne sont peut être pas à mettre en cause dans la  soudaine prise de conscience d’une ancienne du Front de Gauche (FG), la très fragile Anna Rosso-Roig qui vient d’annoncer   pourquoi elle quittait le Rassemblement Bleu Marine (RBM). Dans Libération elle  raconte qu’elle a été victime  d’une erreur d’appréciation :  «Avec toute la stratégie de communication qu’ils (les dirigeants du FN, NDLR) avaient mise en place, dit-elle, des gens comme moi ont eu l’espoir qu’ils enlèvent ce côté brutal … ».

     Ex militante CGT et du PS  à Marseille, candidate  aux municipales en 2008 puis aux législatives de 2012 sous les couleurs du Front de Gauche,  Anna Rosso-Roig avait rejoint le RBM  il ya quelques  mois.  Dans le quotidien La  Provence elle expliquait : «Marine m’a convaincue 150 000 fois », « Je ne suis pas passée au FN sur un coup de tête »,  même si l’élément déclencheur  fut  l’«  agression grave dont a été victime un de (ses) proches et qui (l’a) fait fulminer sur l’impunité de certains ».

     « La réalité n’est pas ce que me raconte le Front de Gauche », affirmait-t-elle, rappelant son opposition au mariage homosexuel en tant que «catholique pratiquante » et  ses inquiétudes «  au sujet de la montée de l’islam ». Toujours mesuré,  Jean-Luc Mélenchon disait alors évoquant ce ralliement :  «le FN fédère mieux les girouettes et les perchés que moi, je n’en suis pas jaloux. Dans ce cas précis, il fonctionne comme un vide-ordures »…

     En fait de brutalité, nous le voyons,  c’est peut être celle de nos adversaires que Mme Rosso-Roig n’a pas eu la motivation, le courage de supporter. Faire de la politique, a fortiori dans les rangs de l’opposition nationale, nécessite  d’avoir  le cuir épais

     La constance, la détermination, la loyauté, le respect de la parole donnée, autant de qualités en effet qui ne sont pas données à tout le monde. Ainsi,  en mai dernier, actant le fait que 64% des sympathisants UMP souhaitent un accord électoral avec le FN, Arnaud Cléré , un agriculteur de 35 ans, militant du parti de Jean-François Copé,  décidait de nouer  une alliance avec le Front National.  Un accord qu’il appelait de ses vœux pour les Municipales de 2014 dans sa commune   de Gamaches située dans  la vallée de la Bresle (Somme).

     Aussitôt exclu de l’UMP, il refuse d’adhérer au FN mais annonce son adhésion au parti Souveraineté indépendance et liberté (SIEL) de  Paul-Marie Coûteaux,  qui présente ses candidats sous l’étiquette RBM. Il mène alors un début de campagne sous l’étiquette divers-droite, bien décidé  à  «battre l’équipe socialo-communiste  au pouvoir depuis 30 ans »  et compose une liste de 23 personnes, dont six colistiers  catalogués officiellement  comme  frontistes.

     Pour preuve de son attachement indéfectible aux valeurs du  gaullisme,  Arnaud Cléré avait ainsi symboliquement rendu hommage le  18 juin dernier  au général De Gaulle dans le village de Huppy, en compagnie de M. Coûteaux,  et du président exécutif de son petit parti,   Karim Ouchikh. «Entre (l’UMP)  et ma ville, j’ai choisi ma ville» disait alors M. Cléré, actant que le FN y réalisait régulièrement  des scores supérieurs (environ 25%) à ceux de l’UMP (environ  15%).

    Mais voilà,  dimanche sur Twitter, il  annonce sa volonté de retourner à l’UMP et a indiqué au site  Rue 89 qu’il  a parlé à Jean-François Copé à qui il  a envoyé une lettre  dans laquelle il confesse ses fautes et  demande sa réintégration.  S’inspirant de l’histoire élaborée récemment par  Nadia Portheault, ex candidate d’origine maghrébine du FN  à la mairie de Saint-Alban qui dit faussement avoir été  victime  de propos racistes (elle est attaquée en justice par le FN pour diffamation), M. Cléré, sous la dictée de M.  Copé,  affirme  avoir « fait une erreur, celle de penser que le FN était un parti fréquentable. Quand on voit Marine Le Pen à la télévision, on ne peut pas imaginer à quoi ressemble l’arrière-boutique » (sic).

     « J’ai envoyé une lettre recommandée au FN pour dire que je renonçais à toute investiture et à toute collaboration. J’ai de bonnes chances d’être réintégré à l’UMP, mes colistiers issus de la droite saine (sic)  sont soulagés et moi aussi. J’ai un poids en moins sur le thorax. »Le FN est un parti « sectaire » et « dictatorial » poursuit-il.  « J’ai  très vite été choqué par les propos homophobes et xénophobes des militants (…). Lors d’une réunion, mi-octobre, à Hénin-Beaumont, des têtes de liste et de quelques colistiers du nord de la France, j’ai vu des tatouages de croix gammées sur deux ou trois personnes. Sur leurs bras. Après le déjeuner, j’étais reparti. Cela a été l’élément déclencheur. »

     Des propos proprement délirants affirme Bruno Gollnisch , lui qui candidat du FN depuis trente ans, n’a jamais  croisé un seul militant ou adhérent frontiste arborant ce type de tatouages. Le Secrétaire général  du FN, Steeve Briois, a mis M. Cléré  au défi d’apporter la preuve de ce qu’il avance et précisé que des suites judiciaires seront données aux affirmations de ce dernier.

     Pour donner de l’écho à  cette manœuvre d’intox,  Jean-François Copé, invité hier  du  Grand Rendez-Vous Europe 1/Le Monde/i>Télé,  a évoqué  le cas  Arnaud Cléré  qui est, selon lui, la preuve que les gens ne confondent plus l’UMP et la bête immonde tapie bien  au chaud au sein  FN. Pitoyable…

     La ficelle est certes  un peu grosse et ne trompera pas grand monde. C’est en tout cas ce que laisse entendre un sondage  réalisé par l’institut Polling Vox publié lundi pour une petite annexe du Parti socialiste,  l’Union des étudiants juifs de France (UEJF),  qui lance opportunément « un observatoire du racisme dans les discours de campagne ».

     Ainsi,  42 % des Français n’excluent pas de voter pour une liste soutenue par le Front National aux élections municipales. Parmi les sympathisants UMP, le cumul de ceux pouvant « certainement » ou « peut-être » voter pour une liste FN  atteint 59 % -contre seulement  9 % des sympathisants de gauche. Ce même sondage indique que  88 % des Français penseraient que « parmi les candidats présentés par le Front National il y a des personnes tenant des propos racistes ou antisémites », mais 40 % disent penser qu’il n’y en a pas davantage que dans les autres partis.

     Pire encore (?) et cela en dit long sur  le degré de ras-le-bol de nos compatriotes devant les oukases du système et la dictature du politiquement  correct, 30 % des sondés avouent  qu’ils ne  modifieraient pas  leur vote si un candidat pour qui ils avaient l’intention de voter tenait des propos racistes ou antisémites »… ou plus exactement,  étiquetés  comme tels par les officines dites antiracistes, ce qui (très souvent)  n’est pas la même chose affirme Bruno Gollnisch.

     C’est à cette aune qu’il faut comprendre que cette enquête indique que 64 % des sympathisants FN disent qu’ils ne modifieraient pas leur intention de vote en cas de propos racistes ou antisémites et que  60 % d’entre eux  trouvent injustifié de poursuivre en justice un candidat tenant ces propos. Ces chiffres atteignent respectivement encore 44 et 43 % parmi les sympathisants UMP (moins de 12 % chez les sympathisants de gauche).

     Le président de l’UEJF, le peu finaud militant communuataire Jonathan Hayoun,  en profite pour asséner   qu’« il n’est pas surprenant que les sympathisants FN soient les plus complaisants à l’égard des propos racistes ». « Ce parti continue de se structurer autour d’un discours qui distille la haine, attise les peurs et agite les préjugés ». Tout ce qu’on peut reprocher justement,  de manière autrement plus  fondée, à l’UEJF et aux groupuscules antipatriotiques du même tonneau.

    http://www.gollnisch.com/2013/11/25/manip-contre-le-fn-pas-surprenant/

  • L’impopularité européenne de François Hollande

    L'impopularité historique du président français est devenue transnationale, contagieuse.

    Mercredi 20 novembre, Rome. François Hollande, accompagné de dix ministres dont Jean-Marc Ayrault, est convié par le chef du gouvernement italien Enrico Letta, du PD (Partito Democratico) pour un sommet franco-italien qui doit consacrer plusieurs accords économiques bilatéraux, et surtout, sur la pression de Bruxelles, faire avancer à toutes forces le dossier de la ligne à grande vitesse qui doit relier Lyon à Turin. Il s’agit également pour François Hollande de « se placer » en vue de la présidence italienne de l’Union Européenne, qui interviendra juste après les élections européennes : la distribution des fauteuils, portefeuilles et autres sinécures aurait-elle déjà commencé ?

    Invité par son homologue italien, socialiste comme lui, pour signer de juteux contrats au pays de la dolce vita : rien de mieux pour échapper à la sinistrose française, et profiter de l’intermède pour s’afficher comme acteur de la croissance, avec son compère Letta, tous deux plus européistes que jamais. Luxe, calme et volupté en somme, le temps d’une journée.

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  • Aymeric Chauprade : à peine débarqué, déjà attaqué…

    Source : lecolonel.net – À peine une semaine après sa première apparition dans un média de grande écoute, la classe politico-médiatique est en ébullition. Aymeric Chauprade, tête de liste FN pour les Européennes de 2014, fait parler de lui, et déjà les médias officiels lui collent aux basques. À croire qu’il en inquiète plus d’un.

    Ancien professeur de géopolitique dans plusieurs universités et grandes écoles (CID, université de Neuchâtel, collège de l’enseignement militaire supérieur du royaume du Maroc etc…) Aymeric Chauprade est connu et reconnu aux quatre coins du monde comme étant un géopolitologue de renom (encore aujourd’hui, il est régulièrement invité à tenir des conférences dans de grandes écoles et universités).

    Grand défenseur des civilisations, des nations et de leur souveraineté, des peuples et de leur culture, il publie régulièrement des livres très approfondis dans son domaine, qui font date (Géopolitique : Constantes et changements dans l’histoire) très appréciés par de nombreux étudiants, mais aussi des ouvrages accessibles à un plus large public (Dictionnaire de géopolitique, avec François Thual, Chronique du choc des civilisations).

    Viré manu militari du Collège Interarmées de Défense par son ministre de tutelle pour avoir osé mettre en avant les doutes qui subsistent sur la version officielle des attentats du 11 septembre (sans pour autant adhérer aux théories de complots) dans son ouvrage Chronique du choc des civilisations (10 pages sur un livre qui en compte 300), il s’est reconverti, depuis, dans le conseil international, tout en continuant à publier des articles sur la géopolitique. Il est directeur du site Realpolitik.tv.

    Conseiller de Marine Le Pen depuis quelques années, il a officiellement rejoint le Front National en septembre dernier, et est devenu le candidat FN, en Île-de-France pour les Européennes de 2014.

    C’est donc un homme de renommée internationale, côtoyant les plus grandes instances dans le monde entier, régulièrement invité dans les plus grandes écoles et universités, que nos médias dépeignent, aujourd’hui, comme un vulgaire conspirationniste de bas étage

    À écouter ou à lire certains journalistes, il est facile de comprendre que, soit ils n’ont pas vraiment cherché à savoir qui est cet homme et d’où il vient, ce qui, vu le niveau de certains, ne serait pas étonnant ; soit, ils ont reçu des consignes, venant de très haut, pour tenter de discréditer l’un des plus brillants experts de géopolitique et de relations internationales français, ce qui est bien plus probable.

    Il ne faut pourtant pas beaucoup de temps pour comprendre que Aymeric Chauprade n’a rien d’un affreux. Il a simplement le malheur d’être, comme une majorité de Français, en lutte contre un système mondialisé devenu fou. Il n’est donc pas étonnant de voir les médias, complices de ce même système, essayer de descendre en flammes un homme voulant simplement redonner au peuple la place qu’il a perdue depuis bien longtemps.

    On peut ne pas adhérer aux idées du FN, certes, mais s’attaquer aussi bêtement à un homme ayant une réputation aussi solide, simplement parce qu’il est candidat de ce parti, prouve que les journalistes ne sont pas prêt de relever le niveau, et que l’argumentation fait défaut à bon nombre d’entre eux.

    Source : lecolonel.net

    Retrouvez Aymeric Chauprade sur Facebook : www.facebook.com/aymeric.chauprade

    http://fr.novopress.info/146244/aymeric-chauprade-peine-debarque-deja-attaque/#more-146244