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élections - Page 701

  • Slovaquie : victoire électorale pour un nationaliste

    Marian Kotleba a créé la surprise en battant son rival du parti social-démocrate (au pouvoir), au second tour des élections régionales dont les résultats ont été publiés dimanche. Il devient donc « gouverneur » de la province de Banska Bystrica (la première du pays).

    Ex-leader du mouvement nationaliste radical «Slovenska Pospolitost» («Communauté slovaque»), Marian Kotleba est âgé de 36 ans.
    Cet instituteur dirige actuellement le relativement modeste parti nationaliste «Notre Slovaquie».

    Aupremier tour, M. Kotleba n’avait obtenu que 21,3% des voix, si bien que ses chances d’être élu au poste de gouverneur étaient généralement jugées minces par les analystes. Au second tour, il a pourtant battu son rival du parti social-démocrate Smer-SD Vladimir Manka (soutenu par l’ensemble du Système), par 55,5% des voix contre 44,5%. Son discours de fermeté face au problème rom (10% de la population…) y a joué pour beaucoup.

    La victoire électorale d’un nationaliste radical n’ayant rien renié de ses convictions, plusieurs fois victime de la répression du gouvernement slovaque, est un fait suffisamment rare pour être souligné et salué !

    PS : le Figaro, toujours plus mauvais, parle carrément d’un « néonazi »… Quant à l’uniforme, il n’est pas inspiré de ceux utilisés par les Allemands, mais de celui de la Garde Hlinka (du nom de l’abbé Hlinka, chef politique nationaliste), organisation nationaliste des années 30 et 40.

    http://www.contre-info.com/slovaquie-victoire-electorale-pour-un-nationaliste

  • Manip contre le FN: pas surprenant

    Nous l’avons déjà dit ici, nos adversaires ne manqueront pas d’entretenir régulièrement la « peur » du « danger FN » tout au long des semaines nous séparant des élections municipales et européennes. L’idéal pour alimenter le  feuilleton qui s’annonce  étant de trouver,  au sein des centaines de candidats figurant sur les listes du FN et/ou du RBM, qui « le repenti » qui « déballe »,  qui la  « brebis galeuse » qui fait tâche dans le décor et prouverait  bien que le « FN n’a pas changé ». Le microcosme qui panique devant la montée en puissance de la fronde du pays réel,  pourrait  être tenté de projeter de nouveau ses mauvais fantasmes habituels,  mis (un peu)  en veilleuse depuis l’accession de Marine à la présidence du FN.  Il n’est peut être pas non plus à exclure, comme l’a avancé Florian Philippot, que le FN puisse être  victime de manœuvres  déloyales, d’entrisme, d’infiltration…

     Manœuvres qui ne sont peut être pas à mettre en cause dans la  soudaine prise de conscience d’une ancienne du Front de Gauche (FG), la très fragile Anna Rosso-Roig qui vient d’annoncer   pourquoi elle quittait le Rassemblement Bleu Marine (RBM). Dans Libération elle  raconte qu’elle a été victime  d’une erreur d’appréciation :  «Avec toute la stratégie de communication qu’ils (les dirigeants du FN, NDLR) avaient mise en place, dit-elle, des gens comme moi ont eu l’espoir qu’ils enlèvent ce côté brutal … ».

     Ex militante CGT et du PS  à Marseille, candidate  aux municipales en 2008 puis aux législatives de 2012 sous les couleurs du Front de Gauche,  Anna Rosso-Roig avait rejoint le RBM  il ya quelques  mois.  Dans le quotidien La  Provence elle expliquait : «Marine m’a convaincue 150 000 fois », « Je ne suis pas passée au FN sur un coup de tête »,  même si l’élément déclencheur  fut  l’«  agression grave dont a été victime un de (ses) proches et qui (l’a) fait fulminer sur l’impunité de certains ».

     « La réalité n’est pas ce que me raconte le Front de Gauche », affirmait-t-elle, rappelant son opposition au mariage homosexuel en tant que «catholique pratiquante » et  ses inquiétudes «  au sujet de la montée de l’islam ». Toujours mesuré,  Jean-Luc Mélenchon disait alors évoquant ce ralliement :  «le FN fédère mieux les girouettes et les perchés que moi, je n’en suis pas jaloux. Dans ce cas précis, il fonctionne comme un vide-ordures »…

     En fait de brutalité, nous le voyons,  c’est peut être celle de nos adversaires que Mme Rosso-Roig n’a pas eu la motivation, le courage de supporter. Faire de la politique, a fortiori dans les rangs de l’opposition nationale, nécessite  d’avoir  le cuir épais

     La constance, la détermination, la loyauté, le respect de la parole donnée, autant de qualités en effet qui ne sont pas données à tout le monde. Ainsi,  en mai dernier, actant le fait que 64% des sympathisants UMP souhaitent un accord électoral avec le FN, Arnaud Cléré , un agriculteur de 35 ans, militant du parti de Jean-François Copé,  décidait de nouer  une alliance avec le Front National.  Un accord qu’il appelait de ses vœux pour les Municipales de 2014 dans sa commune   de Gamaches située dans  la vallée de la Bresle (Somme).

     Aussitôt exclu de l’UMP, il refuse d’adhérer au FN mais annonce son adhésion au parti Souveraineté indépendance et liberté (SIEL) de  Paul-Marie Coûteaux,  qui présente ses candidats sous l’étiquette RBM. Il mène alors un début de campagne sous l’étiquette divers-droite, bien décidé  à  «battre l’équipe socialo-communiste  au pouvoir depuis 30 ans »  et compose une liste de 23 personnes, dont six colistiers  catalogués officiellement  comme  frontistes.

     Pour preuve de son attachement indéfectible aux valeurs du  gaullisme,  Arnaud Cléré avait ainsi symboliquement rendu hommage le  18 juin dernier  au général De Gaulle dans le village de Huppy, en compagnie de M. Coûteaux,  et du président exécutif de son petit parti,   Karim Ouchikh. «Entre (l’UMP)  et ma ville, j’ai choisi ma ville» disait alors M. Cléré, actant que le FN y réalisait régulièrement  des scores supérieurs (environ 25%) à ceux de l’UMP (environ  15%).

    Mais voilà,  dimanche sur Twitter, il  annonce sa volonté de retourner à l’UMP et a indiqué au site  Rue 89 qu’il  a parlé à Jean-François Copé à qui il  a envoyé une lettre  dans laquelle il confesse ses fautes et  demande sa réintégration.  S’inspirant de l’histoire élaborée récemment par  Nadia Portheault, ex candidate d’origine maghrébine du FN  à la mairie de Saint-Alban qui dit faussement avoir été  victime  de propos racistes (elle est attaquée en justice par le FN pour diffamation), M. Cléré, sous la dictée de M.  Copé,  affirme  avoir « fait une erreur, celle de penser que le FN était un parti fréquentable. Quand on voit Marine Le Pen à la télévision, on ne peut pas imaginer à quoi ressemble l’arrière-boutique » (sic).

     « J’ai envoyé une lettre recommandée au FN pour dire que je renonçais à toute investiture et à toute collaboration. J’ai de bonnes chances d’être réintégré à l’UMP, mes colistiers issus de la droite saine (sic)  sont soulagés et moi aussi. J’ai un poids en moins sur le thorax. »Le FN est un parti « sectaire » et « dictatorial » poursuit-il.  « J’ai  très vite été choqué par les propos homophobes et xénophobes des militants (…). Lors d’une réunion, mi-octobre, à Hénin-Beaumont, des têtes de liste et de quelques colistiers du nord de la France, j’ai vu des tatouages de croix gammées sur deux ou trois personnes. Sur leurs bras. Après le déjeuner, j’étais reparti. Cela a été l’élément déclencheur. »

     Des propos proprement délirants affirme Bruno Gollnisch , lui qui candidat du FN depuis trente ans, n’a jamais  croisé un seul militant ou adhérent frontiste arborant ce type de tatouages. Le Secrétaire général  du FN, Steeve Briois, a mis M. Cléré  au défi d’apporter la preuve de ce qu’il avance et précisé que des suites judiciaires seront données aux affirmations de ce dernier.

     Pour donner de l’écho à  cette manœuvre d’intox,  Jean-François Copé, invité hier  du  Grand Rendez-Vous Europe 1/Le Monde/i>Télé,  a évoqué  le cas  Arnaud Cléré  qui est, selon lui, la preuve que les gens ne confondent plus l’UMP et la bête immonde tapie bien  au chaud au sein  FN. Pitoyable…

     La ficelle est certes  un peu grosse et ne trompera pas grand monde. C’est en tout cas ce que laisse entendre un sondage  réalisé par l’institut Polling Vox publié lundi pour une petite annexe du Parti socialiste,  l’Union des étudiants juifs de France (UEJF),  qui lance opportunément « un observatoire du racisme dans les discours de campagne ».

     Ainsi,  42 % des Français n’excluent pas de voter pour une liste soutenue par le Front National aux élections municipales. Parmi les sympathisants UMP, le cumul de ceux pouvant « certainement » ou « peut-être » voter pour une liste FN  atteint 59 % -contre seulement  9 % des sympathisants de gauche. Ce même sondage indique que  88 % des Français penseraient que « parmi les candidats présentés par le Front National il y a des personnes tenant des propos racistes ou antisémites », mais 40 % disent penser qu’il n’y en a pas davantage que dans les autres partis.

     Pire encore (?) et cela en dit long sur  le degré de ras-le-bol de nos compatriotes devant les oukases du système et la dictature du politiquement  correct, 30 % des sondés avouent  qu’ils ne  modifieraient pas  leur vote si un candidat pour qui ils avaient l’intention de voter tenait des propos racistes ou antisémites »… ou plus exactement,  étiquetés  comme tels par les officines dites antiracistes, ce qui (très souvent)  n’est pas la même chose affirme Bruno Gollnisch.

     C’est à cette aune qu’il faut comprendre que cette enquête indique que 64 % des sympathisants FN disent qu’ils ne modifieraient pas leur intention de vote en cas de propos racistes ou antisémites et que  60 % d’entre eux  trouvent injustifié de poursuivre en justice un candidat tenant ces propos. Ces chiffres atteignent respectivement encore 44 et 43 % parmi les sympathisants UMP (moins de 12 % chez les sympathisants de gauche).

     Le président de l’UEJF, le peu finaud militant communuataire Jonathan Hayoun,  en profite pour asséner   qu’« il n’est pas surprenant que les sympathisants FN soient les plus complaisants à l’égard des propos racistes ». « Ce parti continue de se structurer autour d’un discours qui distille la haine, attise les peurs et agite les préjugés ». Tout ce qu’on peut reprocher justement,  de manière autrement plus  fondée, à l’UEJF et aux groupuscules antipatriotiques du même tonneau.

    http://www.gollnisch.com/2013/11/25/manip-contre-le-fn-pas-surprenant/

  • L’impopularité européenne de François Hollande

    L'impopularité historique du président français est devenue transnationale, contagieuse.

    Mercredi 20 novembre, Rome. François Hollande, accompagné de dix ministres dont Jean-Marc Ayrault, est convié par le chef du gouvernement italien Enrico Letta, du PD (Partito Democratico) pour un sommet franco-italien qui doit consacrer plusieurs accords économiques bilatéraux, et surtout, sur la pression de Bruxelles, faire avancer à toutes forces le dossier de la ligne à grande vitesse qui doit relier Lyon à Turin. Il s’agit également pour François Hollande de « se placer » en vue de la présidence italienne de l’Union Européenne, qui interviendra juste après les élections européennes : la distribution des fauteuils, portefeuilles et autres sinécures aurait-elle déjà commencé ?

    Invité par son homologue italien, socialiste comme lui, pour signer de juteux contrats au pays de la dolce vita : rien de mieux pour échapper à la sinistrose française, et profiter de l’intermède pour s’afficher comme acteur de la croissance, avec son compère Letta, tous deux plus européistes que jamais. Luxe, calme et volupté en somme, le temps d’une journée.

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  • Aymeric Chauprade : à peine débarqué, déjà attaqué…

    Source : lecolonel.net – À peine une semaine après sa première apparition dans un média de grande écoute, la classe politico-médiatique est en ébullition. Aymeric Chauprade, tête de liste FN pour les Européennes de 2014, fait parler de lui, et déjà les médias officiels lui collent aux basques. À croire qu’il en inquiète plus d’un.

    Ancien professeur de géopolitique dans plusieurs universités et grandes écoles (CID, université de Neuchâtel, collège de l’enseignement militaire supérieur du royaume du Maroc etc…) Aymeric Chauprade est connu et reconnu aux quatre coins du monde comme étant un géopolitologue de renom (encore aujourd’hui, il est régulièrement invité à tenir des conférences dans de grandes écoles et universités).

    Grand défenseur des civilisations, des nations et de leur souveraineté, des peuples et de leur culture, il publie régulièrement des livres très approfondis dans son domaine, qui font date (Géopolitique : Constantes et changements dans l’histoire) très appréciés par de nombreux étudiants, mais aussi des ouvrages accessibles à un plus large public (Dictionnaire de géopolitique, avec François Thual, Chronique du choc des civilisations).

    Viré manu militari du Collège Interarmées de Défense par son ministre de tutelle pour avoir osé mettre en avant les doutes qui subsistent sur la version officielle des attentats du 11 septembre (sans pour autant adhérer aux théories de complots) dans son ouvrage Chronique du choc des civilisations (10 pages sur un livre qui en compte 300), il s’est reconverti, depuis, dans le conseil international, tout en continuant à publier des articles sur la géopolitique. Il est directeur du site Realpolitik.tv.

    Conseiller de Marine Le Pen depuis quelques années, il a officiellement rejoint le Front National en septembre dernier, et est devenu le candidat FN, en Île-de-France pour les Européennes de 2014.

    C’est donc un homme de renommée internationale, côtoyant les plus grandes instances dans le monde entier, régulièrement invité dans les plus grandes écoles et universités, que nos médias dépeignent, aujourd’hui, comme un vulgaire conspirationniste de bas étage

    À écouter ou à lire certains journalistes, il est facile de comprendre que, soit ils n’ont pas vraiment cherché à savoir qui est cet homme et d’où il vient, ce qui, vu le niveau de certains, ne serait pas étonnant ; soit, ils ont reçu des consignes, venant de très haut, pour tenter de discréditer l’un des plus brillants experts de géopolitique et de relations internationales français, ce qui est bien plus probable.

    Il ne faut pourtant pas beaucoup de temps pour comprendre que Aymeric Chauprade n’a rien d’un affreux. Il a simplement le malheur d’être, comme une majorité de Français, en lutte contre un système mondialisé devenu fou. Il n’est donc pas étonnant de voir les médias, complices de ce même système, essayer de descendre en flammes un homme voulant simplement redonner au peuple la place qu’il a perdue depuis bien longtemps.

    On peut ne pas adhérer aux idées du FN, certes, mais s’attaquer aussi bêtement à un homme ayant une réputation aussi solide, simplement parce qu’il est candidat de ce parti, prouve que les journalistes ne sont pas prêt de relever le niveau, et que l’argumentation fait défaut à bon nombre d’entre eux.

    Source : lecolonel.net

    Retrouvez Aymeric Chauprade sur Facebook : www.facebook.com/aymeric.chauprade

    http://fr.novopress.info/146244/aymeric-chauprade-peine-debarque-deja-attaque/#more-146244

  • À ceux qui critiquent le programme économique du FN…

    Avant l’euro, la France avait un solde commercial positif ; depuis l’instauration de l’euro, son solde commercial est très déficitaire.

    Il y a un bien joli tir de barrage en ce moment contre les prétendues « dérives marxisantes ou collectivistes » du FN. Le parti aurait tout faux sur le plan économique (il est vrai que c’est de plus en plus difficile de l’attaquer sur ses autres points…).

    Faux amis ou vrais adversaires, c’est la même rengaine : il faudrait condamner globalement les propositions du FN/RBM, qu’elles soient trop ou pas assez libérales – parfois même les deux, pensent certains.

    Pourtant, le constat dressé par Marine Le Pen sur l’euro est difficilement niable. La zone euro est instable et sous soins palliatifs : beaucoup de perdants et peu de gagnants. Cette « copropriété » ne tient plus que grâce à la volonté et les décisions monétaires d’un ancien employé de Goldman Sachs, expert en manipulation de comptes publics.

    Bruno Lemaire  Lire la suite...

  • Toute la presse europeene annonce la fin de François Hollande

    Si nos petits journalistes aux ordres essaient de minimiser le mandat catastrophique de Hollande et la multiplications des scandales, la presse étrangère ne se gêne pas et prévoit très vite la fin de cet individu.

    QUELQUES EXEMPLES :

    - En Espagne, El Pais considère que François Hollande « se trouve en première ligne des critiques, accusé d’ingénuité excessive dans le meilleur des cas, et de complicité dans les mensonges de son ministre, au pire ».

    - En Allemagne, le Frankfurter Allgemeine Zeitung parle d’une « odeur de fin de règne [qui] plane au-dessus de François Hollande avant même qu’il n’ait achevé la première année de son mandat ».

    - « Jusqu’à quel point la France est-elle pourrie ? » s’interroge également le Süddeutsche Zeitung, qui estime que « la plupart des Français ne croient plus que le président socialiste François Hollande arrivé au pouvoir il y a moins d’un an puisse stopper le déclin ».

    - En Irlande, le Irish Times considère que le scandale est « au moins aussi dommageable pour le socialisme français » que pour le président de la République.

    - En Angleterre, le Financial Times estime que ce genre d’affaires,« en France ont trop souvent été accueillies avec un haussement d’épaule fatigué (…). La tolérance publique est en train de s’épuiser ».

    - En Belgique même les belges nous prennent pour des pigeons et prennent Hollande pour un incompétent. « Economie en berne, manque de leadership, cote de popularité au plus bas auxquels viennent s’ajouter un scandale de corruption et de mensonge devant l’Assemblée nationale, la France est en pleine crise du pouvoir », s’indigne ainsi Le Soir, tandis que La Libre Belgique titre « Cahuzac ébranle Hollande ».

    - Aux États-Unis les observateurs sont scandalisés par la gouvernance socialiste française. « Même dans un pays qui a une longue histoire de débauche à haut niveau, l’impact politique (des retentissantes confessions de l’ancien ministre du budget) est dévastateur », souligne le Times.

    Heureusement que Hollande nous jure qu’il met en place une République moralement irréprochable, on n’ose imaginer ce que ça aurait donné sinon…

    Remercions, monsieur François Hollande, les encartés socialistes et les 10 millions de Français lobotomisés qui ont voté Hollande, pour la belle image de la France qu’ils renvoient.

    http://francelibre.tumblr.com/post/67742018376/toute-la-presse-europeene-annonce-la-fin-de-francois

  • Répression politique : Me Elie Hatem : "L'AF dérange le pouvoir."

    Trois militants d’Action française vont comparaître devant la justice républicaine, après avoir été interpellés sur les Champs-Élysées le 11 novembre dernier. Me Elie Hatem, qui est l’un de leurs avocats, a bien voulu répondre à nos questions.

    L’AF 2000 - Dans quelles circonstances nos militants ont-ils été interpellés et traduits en justice ?
    Me Elie Hatem - Nos trois jeunes militants se sont rendus sur les Champs-Elysées, à l’occasion de la cérémonie du 11 novembre. Patriotes, ils n’avaient nullement l’intention de perturber le déroulement de cette cérémonie ni de manquer de respect à la mémoire de nos soldats, lors de cette journée nationale. A l’instar d’un très grand nombre de Français, ils sont mécontents du gouvernement voire du régime républicain. Par solidarité avec les grévistes bretons et pour démontrer ce sentiment qui s’est généralisé dans la société française, ils ont eu l’idée de porter des bonnets rouges. Ils n’ont donc ni hué le Chef de l’Etat, ni porté atteinte à l’ordre public, comme il a été prétendu. Ils étaient parmi une centaine de personnes qui, en raison de ce port de bonnet, ont été interpellés.

    Que leur reproche-t-on ?
    Il se peut que les services de renseignement aient été préalablement informés de la présence d’individus aux bonnets rouges. Par conséquent, des consignes peuvent avoir été données pour les arrêter afin d’éviter d’éventuels incidents à l’instar de ceux qui se sont déroulés en Bretagne. C’est la raison qui aurait conduit les forces de l’ordre à interpeller arbitrairement plus de soixante-dix personnes dont une grande partie a été placée en garde à vue. Dans un premier temps, il a été avancé que cette opération a eu lieu à l’issue d’une perturbation du cortège du Président de la République. Or, les arrestations ont commencé avant le passage de ce cortège. Quant à nos militants, il leur a été d’abord reproché un outrage aux forces de l’ordre, dépositaires de l’autorité publique, sous prétexte qu’ils les auraient traités de « fachistes ». Néanmoins, en raison de la qualification de ces personnes, par certains médias, de « manifestants d’extrême droite », il a été absurde et incohérent de les poursuivre pour « outrage ». Ils ont donc été accusés de violence exercée à l’encontre des agents du maintien de l’ordre. En réalité, nos militants ont été surpris de se faire arrêter alors qu’ils n’ont commis aucun délit. Ils se sont débattus lors de leur arrestation musclée et de leur menottage. Ce sont nos militants qui ont été blessés lors de cette interpellation et victimes, pour certains, de plusieurs jours d’ITT (incapacité temporaire totale) qui leur ont été reconnus par les médecins de l’unité médico-judiciaire (UMJ) qui les ont examinés lors de leur garde à vue qui a duré 48 heures.

    Comment s’est déroulé leur procès ?
    A l’issue de leur garde à vue, ils ont été présentés au Parquet puis renvoyés sur le champ afin d’être jugés en comparution immédiate pour les chefs d’accusation dont je viens de vous citer. Mes confrères, Frédéric Pichon et Fabrice Delinde, et moi-même qui n’avons pas eu le temps alors d’examiner leur dossier dans la précipitation, avons demandé le renvoi de cette affaire qui sera examinée le 18 décembre prochain, en comparution immédiate... En attendant, nous nous sommes débattus devant le tribunal de la république afin d’obtenir leur libération afin qu’ils puissent comparaître librement devant cette juridiction. Cela n’a pas été facile du moins pour l’un d’entre eux, comme s’il s’agissait d’un crime de lèse-majesté.

    Etes-vous confiant pour la suite de cette affaire ? Que risquent-ils ?
    Il s’agit d’un dossier très sensible. C’est une affaire politique et non pas de droit commun. Comme vous le savez, le gouvernement a donné des instructions en vue de condamner fermement les personnes qui ont été interpellées. Il veut en faire une question de principe. Malheureusement, le parquet est inféodé au pouvoir exécutif malgré le principe de « la séparation des pouvoirs » que la propagande républicaine veut faire avaliser par l’opinion publique. Vous constaterez que seuls des militants de l’Action Française comparaîtront devant le tribunal de la république. Par expérience et pour avoir plaidé des affaires relatives à nos militants, la justice républicaine prononce des peines disproportionnées voire absurdes à leur encontre.
    Aujourd’hui, l’Action Française dérange le pouvoir républicain car, en pleine expansion, elle risque de drainer derrière elle un mouvement populaire incontrôlable. Déçus par le système, par les partis politiques et par la propagande républicaine exercée d’une manière outrancière depuis des décennies, les Français peuvent manifester un engouement pour nos idées et nos valeurs qui sont ceux du pays réel séparé par un grand fossé du pays légal. La fragilité de la république explique la dérive totalitaire de ce régime dénudé de toute légitimité, qui se permet de critiquer les régimes des autres pays... Je ne peux donc pas prévoir les sanctions qui seront octroyées par le tribunal de ce régime.

    Propos recueillis par François Marcilhac - L’AF 2874
    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Repression-politique-Me-Elie-Hatem

  • Delanoë : après Notre-Dame de Paris, la grotte de Matignon ?

    Y a-t-il une vie après la politique ? On le dit, mais bien peu de nos politiciens (et politiciennes) ne semblent vraiment pressés de le vérifier.

    Mais y a-t-il une vie après la Mairie de Paris ? Sûrement, à en croire l’actuel premier édile de la capitale qui se verrait sans doute un avenir plus national après les élections municipales. Ou même avant, pourquoi pas !

    Un avenir à Matignon, par exemple, bien qu’il s’en défende avec des mimines quelque peu excitées par l’audacieuse perspective.

    En tout cas, tel un Jack Lang parodié par Laurent Gerra, Bertrand Delanoe ne tarit pas d’éloges pour son grand ami François Hollande qui, actuellement, doit pourtant compter sur les doigts d’une seule main les soutiens à son égard. Sincères ou intéressés, il n’en est certes pas à faire le difficile.

    Sur son index haut pointé se hisse donc le Maire de Paris.

    Mardi dernier, en marge du conseil de Paris, il a tout d’abord volé à son secours en qualifiant le comportement des manifestants l’ayant copieusement conspué lors des commémorations du 11 novembre, d’« indigne et honteux ». Ça, c’était pour le minimum syndical.

    Pour le maximum vers Matignon, si « qui aime bien, châtie bien », celui qui espère beaucoup doit flatter énormément, qu’on en juge : « Ma première réaction, c’est l’amitié. Je salue une fois de plus le courage de François Hollande » ; ça, c’est envoyé, n’est-ce pas… mais est-ce reçu ? Tout le dilemme de Notre-Dame de l’Hôtel-de-ville pour quatre petits mois encore est dans cette cruelle interrogation.

    Aussi, Maître Bertrand sur un potelet perché n’hésite pas à marteler sur Europe 1, dès fois qu’il n’aurait pas été bien compris : « La France vit une crise telle qu’il y a besoin de concentrer les efforts sur des priorités : le redressement du pays, sa vitalité économique au service de l’emploi. Il ne faut pas se disperser. Et donc effectivement, le président, le Premier ministre, tous les décideurs doivent se concentrer sur l’essentiel » : Beau rappel à l’ordre qui sous-entend que les actuels concernés en place ne l’ont pas fait.

    Plus directe, Anne Hidalgo, son « Anouschka » et sa Dauphine pour lui succéder à la tête de Paris, s’était auparavant montrée, elle, plus précise encore : « Il faut une équipe sûrement plus resserrée, plus à la tâche, plus mobilisée, une vraie équipe politique », en rappelant qu’« il y a des gens sur le banc de touche » (plateau du « Grand Rendez-vous » Europe 1-Le Monde-1> télé).

    Tous les observateurs ont bien compris la fine allusion à son mentor… Mais l’Élysée, l’a-t-on compris ? C’est que même Bertrand Delanoé finirait pas douter de la jugeotte de son ami président, aussi s’est-il défendu de toute ambition excessive en précisant : « Je suis en règle générale d’accord avec Anne Hidalgo, simplement, je pense que si j’ai des suggestions à faire au président de la République ou au Premier ministre, je leur ferais à eux. »

    Voilà, c’est dit sur Europe 1, Le Monde et 1> télé ! Après cela, si son « ami François » ignore qu’après s’être employé à souligner son héroïsme, ce cher Bertrand était prêt, lui aussi, sûr de la confiance du Parti socialiste tout entier, à faire à la France le don de sa personne pour atténuer son malheur, c’est à… coiffer un bonnet rouge, lui aussi ! par Philippe Randa
    http://www.voxnr.com/cc/politique/EFlVpklpEVnBgnURyv.shtml

  • Russie : qu’est-ce que la « creativny class » ?



    Les 27% d’Alexei Navalny aux élections municipales de Moscou furent son moment de triomphe. Comparable au « bobo » (bourgeois bohème) français, le « creativny class » se caractérise par son individualisme forcené, son absence d’idées politiques et de compréhension des grands enjeux internationaux.

    Peu cultivé, il rêve d’une Europe qui n’existe pas et qu’il pense avoir découvert lors de ses vacances dans le sud de la France. La situation sociale réelle en France, il ne la connait pas, d’ailleurs il s’en moque éperdument, comme celle d’ailleurs, de ses concitoyens russes moins privilégiés que lui. Capable de passer ses vacances en Grèce sans se rendre compte que le pays est en crise, il en revient plein de ressentiments contre la Russie où le climat est beaucoup moins favorable. C’est aussi à cela que l’on reconnait le « bobo » russe, ou plutôt le « novi Russki » des années 2010 : il déteste son pays et son peuple, tout comme le « bobo » français.

    Officiellement, comme Alexei Navalny, il lutte contre la corruption. Dans la réalité, il appartient à une des classes les plus corrompues de Russie, celle du secteur tertiaire et du marketing. Les budgets de publicité ou de sponsoring finissent en grande partie dans sa poche, mais il le vaut bien. Au fond, il ne souhaite pas une Russie moderne, mais la Russie des années 90, où il aurait pu devenir millionnaire rapidement, comme son autre modèle, Mikhail Khodorkowski. C’est d’ailleurs pour cela qu’il déteste Vladimir Poutine, ce rabat joie qui a mis fin à la loterie, qui a confisqué les actifs de l’oligarque déchu pour les redonner à une société d’État.

    Il est créatif mais il ne crée rien. Le paradoxe est qu’il est le résultat de l’enrichissement de la Russie sous Vladimir Poutine, mais l’argent ne l’a pas rendu heureux, alors il est dépressif. Comme souvent les dépressifs, surtout les psychanalysés, il cherche un coupable pour son mal-être. Il a donc trouvé son idole, Alexei Navalny. Ce dernier rêve aussi de pillage comme dans les années 90. À peine nommé conseiller du gouverneur de Kirov, il crée une société pour « privatiser les profits » du groupe étatique qu’on lui a confié, comme au bon vieux temps. Grande gueule mais en fait pas très malin, ce qui était banal il y a 20 ans, ne se fait plus en 2009. Pris la main de le sac, il proteste de son innocence. Il croit d’ailleurs farouchement à sa propre innocence. Il n’a rien fait de mal car tout lui est dû. Il ne fait que prendre ce qui lui appartient. Il est l’élu, choisi par l’Occident pour apporter la vérité à une Russie arriérée qu’il déteste et qui vote Vladimir Poutine à 65%.

    Il maudit ces ouvriers d’OuralWagonZavod qui ne comprennent rien à son élection divine. D’ailleurs l’Oural ne l’intéresse pas. Une Russie limitée à Moscou et sans banlieue lui suffirait largement, à condition qu’on y autorise la Gay Pride et qu’on en chasse tous les non-russes ethniques. C’est là la différence avec le « bobo » français, qui est raciste mais qui prétend le contraire. Le « creativny class » est ouvertement raciste, détestant les Caucasiens et les Centre-asiatiques, sauf s’ils sont riches bien sûr, auquel cas il devient cosmopolite.

    Comme le « bobo », le « creativny class » n’est pas très courageux. Heureusement son gourou Alexei Navalny, tout en étant l’ami de Noël Mamère, est très proche des groupes ultra-nationalistes, qui eux n’hésitent pas à faire le coup de poing.

    Ce qui frappe le plus chez le « creativny class » c’est son absence de pensée politique. Tandis que son Président tâche d’empêcher le gouvernement américain de précipiter le Moyen-Orient et le reste du monde dans la guerre, il vote pour un candidat ouvertement financé des États-Unis. Il est vrai que le « creativny class » se moque bien des Syriens ou des Égyptiens qui ne peuvent rien pour lui. D’ailleurs du Moyen-Orient il ne connait que le « Spa » où il a passé une de ses nombreuses vacances cette année, et ça lui suffit bien.

    Rassurons-nous le « creativny class » est toujours minoritaire, et ses mobilisations sont toujours suivies de grandes périodes de déprime ; n’oublions pas qu’il est dépressif. Un gouvernement démocratique devrait toujours veiller à ne pas laisser contaminer par cette minorité le reste de la société qui est saine. Ça n’est pas toujours facile, car en Russie comme en France, le « bobo » domine dans les médias et les réseaux sociaux. C’est pour cela qu’en Russie, on le surnomme « marmotte de réseau ». Les réseaux sociaux sont en effet l’endroit idéal pour partager sa dépression avec les autres et insulter les autorités et son pays à peu de frais. C’est là enfin l’ultime point commun avec le « bobo » français : le « creativny class » déteste sa Patrie et rêve d’en partir.

    Élie Martin

    Source : Realpolitik.tv.
    http://fr.novopress.info/145837/russie-quest-ce-que-la-creativny-class-par-elie-martin/#more-145837

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