Depuis plus d’un an, les résultats successifs aux élections partielles montrent un désintérêt grandissant des électeurs qui se réfugient en masse dans l’abstention.
La cause principale réside ici dans le fait que les partis de la mafia socialaud-démocrato-écolo-capitaliste refusent de se remettre en cause, font preuve d’un total manque d’imagination et surtout d’un aveuglement idéologique.
Ils n’ont pas su, pas voulu ou pas pu mettre leurs promesses en œuvre et se retranchent derrière les diktats de Bruxelles pour justifier leur incompétence, leur incapacité et leur veulerie. Est-ce la fin du front « ripouxblicain » ?
Évidemment les électeurs, qui sont souvent des contribuables et des parents, ouvrent lentement mais sûrement les yeux et constatent que de Brest à Bucarest et de Nice à Stockholm, les mêmes maux pourrissent le quotidien des Européens, ceci grâce en partie aux réseaux sociaux et à Internet, en sus des médias conventionnels.
Rien n’a changé depuis 40 ans ! Le mondialisme pervers accepté par nos dirigeants -au travers des accords du GATT, puis de l’OMC- a conduit nos économies dans un champ de ruines.
L’immigration sauvage, imposée par les gourous de la société multiculturelle, est un échec absolu et coûte des centaines de milliards d’euros aux contribuables européens.
L’insécurité permanente est un fléau social que les gouvernements traitent avec amateurisme, préférant appliquer le culte de l’excuse pour les délinquants, sans s’occuper de la réelle souffrance des victimes.
La multiplicité des drogues occasionne des ravages parmi notre jeunesse à qui l’on enseigne des fadaises dans nos écoles, au lieu de leur inculquer les valeurs qui ont fait la grandeur de l’Europe au travers des siècles et partout dans le monde.
Ne parlons pas de la pression fiscale qui augmente année après année, en écœurant ceux des travailleurs qui sont encore animés par une conscience professionnelle et le goût du travail bien fait. À tel point que les entrepreneurs les plus actifs vont exercer leur talent dans des pays plus accueillants.
Comment dès lors s’étonner que les partis nationalistes recueillent tous les déçus des lendemains qui déchantent ?
Pourquoi être surpris que des bataillons de mécontents rejoignent actuellement ceux qui défendent la préférence nationale d’une part, mais aussi le bien commun ? Et que la caste politico-médiatique, qui durant des décennies a craché sur les mouvements non-conformistes, soit aujourd’hui acculée à reconnaitre ses torts face à la réalité ?
Mais ce qui est absolument délicieux, c’est d’entendre certains (nes) déclarer qu’ils se sont « normalisés », alors qu’ils étaient catalogués hier comme « sulfureux », « nauséabonds », ou « infréquentables ».
Le diable s’est-il habillé en Zara ? La démocrasse est-elle en danger ?
Pieter KERSTENS
http://www.francepresseinfos.com/2013/11/dediabolisation-banalisation-ou.html#more
élections - Page 703
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Dédiabolisation, banalisation ou normalisation ?
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Leur « règle du je » contre les Français
«Dans ce scrutin, nos succès et nos victoires dépasseront le cadre des communes concernées. Plus nombreux (ils) seront, et plus le système sera tétanisé, paralysé» : Marine Le Pen a clôturé hier salle Equinoxe à Paris la Convention du FN consacrée aux municipales. Dans un discours plein d’allant, elle a pointé les récentes diversions tentées par la gauche aux affaires pour occulter son bilan catastrophique, étrillé « la politique désastreuse de ce gouvernement et de ceux qui l’ont précédé », exposé son optimise raisonné quant aux objectifs qui sont ceux de l’opposition nationale dans ce scrutin – voir l’intégralité de son intervention sur www.frontnational.com. A l’heure ou dans un effort désespéré pour retenir leurs électeurs par le col, l’UMPS et ses relais tentent une énième offensive sur le thème « le FN c’est le racisme », félicitons nous du succès judiciaire – certes en demi-teinte - remporté par la présidente du FN a-t-on appris vendredi.
Marine Le Pen a en effet obtenu de la XVIIème chambre du tribunal correctionnel de Paris que Charles (dit Haïm) Musicant, directeur de la publication du site internet du Conseil Représentatif des Instituions Juives de France (Crif), soit reconnu coupable de diffamation à son égard. M. Musicant a été condamné à 500 euros d’amende avec sursis, un euro de dommages et intérêts à la présidente du FN, ainsi que 1 500 euros de dommages et intérêts.
En cause l’article proprement délirant commis par le « philosophe » pipo(le) Bernard-Henri Lévy, «Marine Le Pen, Google, l’antisionisme et à l’arrivée, Villeurbane» sur le site de la revue littéraire qu’il dirige, La règle du jeu, repris et mis en ligne sur celui du Crif le 5 juin 2012. BHL y accusait Marine entre autres joyeusetés, de «faire systématiquement huer, dans ses meetings, des noms à consonance juive ».
Très « curieusement » ( ?), le tribunal a estimé que si BHL a certes «manqué de prudence» (sic) dans son propos, la présidente du FN ne prouvait pas qu’il avait expressément consenti à la publication de son texte sur le site internet du Crif. Il a donc été relaxé…
Bernard-Henry Lévy qui au nom de sa revue, et en partenariat avec un pseudopode du PS, SOS Racisme, organisait un événement show-biz hier en invitant des personnalités de la galaxie bobo et du tout Paris bien-pensant. En l’espèce une soirée de soutien à Christiane Taubira dans un cinéma… du quartier Saint-Germain, ça ne s’invente pas !
Hors de question en effet pour ce dernier de laisser l’initiative de ce combat à une néophyte comme la comédienne Jeanne Moreau qui a osé le devancer. Sous le titre Nous sommes tous des singes français, elle vient de signer avec le metteur en scène Bernard Murat, le Young leader Denis Olivennes, président de Lagardère Active, l’historien Benjamin Stora et la cinéaste Danièle Thompson, une tribune contre le racisme dans le Journal du Dimanche.
L’occasion était trop belle de relayer le Haut-commissariat aux droits de l’homme de l’ONU (!), qui, par la voix d’un porte-parole, vient d’évoquer à Genève l’urgence du moment, à savoir la « Une » de Minute…Ces «abus totalement inacceptables perpétrés à l’encontre d’une responsable politique connue en raison de sa couleur de peau sont une manifestation claire de la montée du racisme, de la xénophobie et de l’intolérance à l’encontre des minorités ethniques ou religieuses et des migrants dans de nombreux pays européens », a déclaré l’agence des Nations Unies.
Elle évoque encore les exigences adressées à la France par le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale, qui lui commande d’utiliser « tous les moyens possibles pour contrer une vague croissante de racisme et de xénophobie ». Propagande quand tu nous tiens…
Hier, La Règle du jeu et SOS racisme ont donc péniblement réussi à réunir 250 de leurs amis et compagnons de route -Christine Angot, Yann Moix, Caroline Fourest, Tahar Ben Jelloun, Karine Tuil, Daniel Lindenberg Dominique Sopo, la présidente de SOS Racisme Cindy Léonie…- pour accueillir Mme Taubira. «Nous sommes là pour dire notre colère face à cette montée, ce retour de l’infamie et du racisme», a déclaré Bernard-Henri Lévy.
Caroline Fourest, est également intervenue à la tribune pour pointer «un climat qui constitue un vrai problème de démocratie». Il est vrai que cette dernière y avait toute sa place. Elle figurait significativement dans le livre Les intellectuels faussaires de (l’homme de gauche) Pascal Boniface. «La grande force » de Mme Fourest, chez qui « la vigueur de l’accusation est inversement proportionnelle à la rigueur de la démonstration », est « d’enfourcher les chevaux de bataille largement majoritaires dans l’opinion et plus encore parmi les élites médiatiques» notait déjà M. Boniface.
Un constat transposable à l’ensemble des participants de ce petit raout germanopratin et bien sûr à BHL lui-même. A l’occasion de la mort du journaliste Philippe Cohen le 20 octobre dernier, le site du Nouvel Observateur a eu la bonne idée, une fois n’est pas coutume, de republier l’article d’ Aude Lancelin paru le 13 janvier 2005. Celui-ci était consacré à la sortie de la biographie que M. Cohen avait consacré à M. Lévy, cet «inventeur de la gauche folle, cette gauche pratiquant la guérilla antifasciste en luxueux ryads marocains. Cette gauche morale à domesticité… ».
Les procédés, «les réseaux BHL » y sont décrits, « les claquements de dents qu’ils inspirent. Les plumes achetées par une sole grillée chez Lipp ou par une menace ». Notamment l’accusation d’antisémitisme utilisée contre ceux qui osent le critiquer , « les arguments » de Bernard-Henri Lévy « parlant de (P. Cohen) comme d’un traître à leur commune judéité » ; ses bobards sur son séjour au Bangladesh ; ses attaques infâmes contre Soljenitsyne avant sa tentative de récupération de l’auteur de L’archipel du goulag ; « son enquête pakistanaise sur Daniel Pearl », «somme de frasques mythomanes »; « l’affaire de (sa) vraie-fausse amitié de vingt ans avec le commandant Massoud ». Un mensonge que le documentariste Christophe de Ponfilly, auteur de Massoud l’Afghan, « dénoncera dans une Lettre ouverte à Bernard-Henri Lévy. Trois grands quotidiens français refuseront de la publier… ».
En décembre 2011 nous évoquions sur ce blog cette confidence de Frédéric Haziza, journaliste à Radio J, qui avait avoué que « (Bernard Henry Lévy) (l’avait) appelé à 1h du matin pour lui déconseiller de recevoir Marine Le Pen dans son émission ».«(Une) révélation (…) (qui venait) confirmer les dires d’Alain Soral qui affirmait que Guillaume Durand l’avait désinvité suite à un coup de téléphone de BHL, reçu à 1h45 du matin. »
Le journaliste Eric Naulleau notait pareillement que les gens ont peur de BHL, qui est pourtant le maître de « l’imposture ». Un homme qui se caractérise par « l’absence totale d’œuvre », qui « essaye tous les ans un costume trop grand pour lui » ( ceux de « Mauriac », « Tocqueville » « Malraux », …) »; «un parrain qui fait régner une forme de terreur inquiétante pour la république », « un escroc intellectuel », un menteur « qui s’est fait prendre vingt fois la main dans le sac sans qu’il y ait de conséquences. »
Que ce type de personnage, auteur de l’immonde Idéologie française , prosélyte d’une France vidée de sa substance, déracinée, prenne la tête de cette croisade pitoyable de culpabilisation des Français est un formidable symbole de la déréliction intellectuelle du Système constate Bruno Gollnisch . Combien de temps encore la « règle du je » de la caste se maintiendra au pouvoir ? Une chose est certaine, la Révolution patriotique qui s’annonce se fera aussi un devoir de mettre fin à son hégémonie.
http://www.gollnisch.com/2013/11/18/leur-regle-du-je-contre-les-francais/
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Derrière l'impopularité du gouvernement, celle du Système...
Le navire France prend l’eau au point que l’on peut se demander si cela vaut encore la peine d’écoper. C’est ainsi que la situation en France est devenue telle que de simples mesurettes (écopage) ne permettront pas d’éviter de sombrer. Trop de régions, mais aussi de secteurs, sont concernés pour qu’on ne puisse raisonnablement obérer un examen généralisé de la situation en France ainsi qu’un gigantesque chantier.
Je m’étais déjà exprimé sur « le pourquoi de la chute célère de François Hollande » dans le cadre d’un article (1), quelque peu surpris qu’il n’est pas été davantage repris. J’y rappelais que François Hollande avait perdu la campagne des présidentielles de 2012. En effet, à l’orée de celle-ci, François Hollande est crédité de 60 % des suffrages. Au final, il ne bénéficie plus que de 51% des voix. Non seulement donc, il a perdu, mais de surcroît il a été laminé… Que l’on ne s’étonne donc pas de l’impopularité qui le frappe aussi bien lui que son gouvernement.
Fréquemment présent sur internet, j’y étudie les prises de position des uns et des autres, sensible à l’évolution de l’état d’esprit ambiant. J’ai pu constater le nombre croissant de pétitions sur facebook, visant aussi bien le président que son équipe gouvernementale. Peut être faudrait-il songer à ne concevoir que deux ou trois pétitions sur lesquelles on se concentrerait, ce qui aurait l’avantage d’obtenir des millions de signatures.
J’ai aussi constaté qu’on y qualifiait le gouvernement actuel de socialiste : c’est lui faire par trop d’honneur. En aucun cas, ce gouvernement n’est fondamentalement différent des précédents. C’est flagrant aussi bien en économie qu’en matière de géopolitique où l’on constate bien davantage continuité que rupture. Plus grave en ce qui concerne la stratégie, qualifier l’actuel gouvernement de « socialiste » ou de « gauche », c’est rendre pérenne le référentiel gauche/droite alors qu’il me semble flagrant que depuis bien longtemps chez nous – au sens le plus large de l’expression – il y a consensus sur le fait que ce repère n’est plus valide. Plutôt que de vilipender un ministre en déplacement en utilisant les qualificatifs de « gauchiste » ou de « socialiste », mieux vaudrait utiliser le terme de « capitaliste »… On imagine alors le désarroi dudit ministre mais aussi des ténors du centre comme de l’ump. Comme si en matière de taxes et prélèvements, Nicolas Sarkozy et les siens ne s’étaient pas eux non plus, particulièrement distingués…
Je vois mal la présidence actuelle s’en sortir sauf à revendiquer et assumer paradoxalement sa détestable politique au nom des larmes et du sang churchilliens. Encore faudrait-il que François Hollande soit un battant, ce qui n’est nullement le cas et ne risque pas de le devenir. D’ores et déjà donc, la lutte pour la conquête de l’exécutif en 2017 va très probablement opposer l’Ump et le Front National. Je ne crois d’ailleurs pas que l’impopularité touche l’actuel gouvernement en raison d’une politique qui serait spécifiquement la sienne. L’enjeu est bien plus important : dans la détestation que de plus en plus de Français éprouvent, ce n’est pas tant l’actuel gouvernement qui est visé, mais plutôt une politique récurrente qui est menée depuis plusieurs décennies. Les critiques vives et nombreuses à l’encontre du gouvernement Ayrault ne constituent qu’un voile masquant une détestation croissante pour ce que l’on peut appeler le Système. François Hollande et les siens sont en train d’être les victimes du syndrome Jospin, premier ministre puis candidat à la présidentielle, lâché à l’époque par son propre électorat en 2002. Pouvait-on naguère imaginer un candidat estampillé « socialiste » sous la barre des 17,5% ? C’est pourtant ce qu’il advint.
S’il ne s’agit pas de cesser les critiques à l’encontre du pouvoir même si seul il trouve le moyen de se tirer une balle dans le pied, force est de constater que juste après les victoires qui vont être les nôtres aux municipales et européennes, nous devons focaliser nos attaques à venir sur l’Ump qui sera très certainement le seul adversaire à pouvoir nous empêcher de gagner lors du second tour de l’élection présidentielle de 2017.Notes : -
L'exécutif n'a plus aucune légitimité
Pour le lancement officiel de la campagne municipale, Marine Le Pen a demandé la dissolution de l'Assemblée nationale. Elle a aussi fait référence aux comités d'accueil :
"L'exécutif n'a plus aucune légitimité. Il n'est plus un déplacement officiel, du président de la République ou des ministres, qui ne se fasse sous une bronca de huées et de sifflets, des sondages également, qui percent des planchers que personne encore n'avait jamais atteint !".
La présidente du FN s'en est prise à un pouvoir "sourd, aveugle, hargneux, sans éthique ni morale", qui ne "comprend pas le peuple" mais le "méprise". Marine Le Pen a décrit une France au bord de basculer dans un régime totalitaire :
"Instructions données au parquet d'extrême fermeté contre ceux qui grondent ou manifestent, arrestations préventives, arbitraires, d'opposants politiques sans aucun fondement légal, milices 'antifascistes' qui détruisent des permanences d'opposants ou commettent des violences sous l'œil impavide d'une police sommée de ne pas intervenir. L'affolement du gouvernement le pousse à la limite de l'Etat de droit".
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Nice : les Identitaires s’invitent au meeting de Christian Estrosi
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Delanoë : après Notre-Dame de Paris, la grotte de Matignon ?
Y a-t-il une vie après la politique ? On le dit, mais bien peu de nos politiciens (et politiciennes) semblent vraiment pressés de le vérifier. Mais y a-t-il une vie après la mairie de Paris ? Sûrement, à en croire l’actuel premier édile de la capitale qui se verrait sans doute un avenir plus national après les élections municipales. Ou même avant, pourquoi pas ! Un avenir à Matignon, par exemple, bien qu’il s’en défende avec des mimines quelque peu excitées par l’audacieuse perspective. En tout cas, tel un Jack Lang parodié par Laurent Gerra, Bertrand Delanoë ne tarit pas d’éloges pour son grand ami François Hollande qui, actuellement, doit pourtant compter sur les doigts d’une seule main les soutiens à son égard. Sincères ou intéressés, il n’en est certes pas à faire le difficile. Sur son index haut pointé se hisse donc le maire de Paris.Mardi dernier, en marge du Conseil de Paris, Bertrand Delanoë a tout d’abord volé à son secours en qualifiant le comportement des manifestants l’ayant copieusement conspué lors des commémorations du 11 Novembre d’« indigne et honteux ». Ça, c’était pour le minimum syndical.Pour le maximum vers Matignon, si « qui aime bien, châtie bien », celui qui espère beaucoup doit flatter énormément. Qu’on en juge : « Ma première réaction, c’est l’amitié. Je salue une fois de plus le courage de François Hollande » ; ça, c’est envoyé, n’est-ce pas… mais est-ce reçu ? Tout le dilemme de Notre-Dame de l’Hôtel-de-Ville pour quatre petits mois encore est dans cette cruelle interrogation. Aussi, Maître Bertrand sur un potelet perché n’hésite pas à marteler sur Europe 1, des fois qu’il n’aurait pas été bien compris : « La France vit une crise telle qu’il y a besoin de concentrer les efforts sur des priorités : le redressement du pays, sa vitalité économique au service de l’emploi. Il ne faut pas se disperser. Et donc effectivement, le Président, le Premier ministre, tous les décideurs doivent se concentrer sur l’essentiel. » Beau rappel à l’ordre qui sous-entend que les actuels concernés en place ne l’ont pas fait.Plus directe, Anne Hidalgo, son « Anouchka » et sa dauphine pour lui succéder à la tête de Paris, s’était auparavant montrée plus précise encore : « Il faut une équipe sûrement plus resserrée, plus à la tâche, plus mobilisée, une vraie équipe politique », en rappelant qu’« il y a des gens sur le banc de touche » (plateau du « Grand Rendez-vous » Europe 1-Le Monde-i>Télé).Tous les observateurs ont bien compris la fine allusion à son mentor… Mais à l’Élysée, l’a-t-on compris ? C’est que même Bertrand Delanoë finirait pas douter de la jugeotte de son ami président, aussi s’est-il défendu de toute ambition excessive en précisant : « Je suis en règle générale d’accord avec Anne Hidalgo ; simplement, je pense que si j’ai des suggestions à faire au président de la République ou au Premier ministre, je leur ferai à eux. »Voilà, c’est dit sur Europe 1, Le Monde et i>Télé ! Après cela, si son « ami François » ignore qu’après s’être employé à souligner son héroïsme, ce cher Bertrand était prêt, lui aussi, sûr de la confiance du Parti socialiste tout entier, à faire à la France le don de sa personne pour atténuer son malheur, c’est à… coiffer un bonnet rouge, lui aussi ! -
La droite est morte, vive la droite !
Ni droite, ni gauche ! De tels slogans peuvent être aperçus ici ou là, sur des tracts ou autocollants de mouvements au demeurant plutôt sympathiques. Là où le bât blesse, c’est que l’expression devient si banale qu’on en perd parfois de vue le sens original.
Refus de la querelle des partis
Royalistes, nationalistes, patriotes de tout poil sont familiers de l’expression « ni droite, ni gauche ». Pour les camarades royalistes d’Action française, la formule sera « Ni droite, ni gauche : Monarchie populaire » ; pour les frontistes : « Ni droite, ni gauche : Front national ».
L’avantage de ce concept, c’est qu’il permet de rejetter la querelle des partis et de mettre en avant un projet national visant le Bien commun. Là où l’alternance droit-gauche n’a accouché depuis quarante ans qu’à des catastrophes pour notre Patrie française, la formule prend tout sens, renvoyant dos à dos socialistes et partisans de l’UMP-UDI, jadis RPR-UDF. [...]
La suite sur Le Rouge et le Noir
http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-droite-est-morte-vive-la-droite
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[Elections Municipales] La gestion désastreuse de la mairie de Paris.
Le Laboratoire d’Analyse Politique de Nouvel Arbitre lance un observatoire des municipales qui vous proposera des analyses précises des enjeux attenants aux élections à venir.
Vous n’entendez pas souvent parler en bien de l’IFRAP dans les colonnes de Nouvel Arbitre. Cet organe libéral a cependant livré une analyse intéressante de la gabegie de la gestion socialiste des comptes de la mairie de Paris.
Paris ne compte que 3% de la population française mais 10% de notre produit intérieur brut. Depuis 1986 la municipalité recoupe également le département. Le budget de la capital est aujourd’hui de 7 milliards d’euros et finance des statuts professionnels souvent encore attachés à la fonction publique d’état ce qui est déjà un privilège incompréhensible pour nombre de Français. La Cours régional des Comptes d’affirmer dans son rapport : « La décision de ne pas opter pour l’équivalence générale des emplois de la ville avec ceux des agents territoriaux a , entre autres conséquences, celui d’emporter un coût budgétaire supplémentaire. ». Notons par ailleurs qu’entre 2002 et 2008 il y a eu une explosion des primes des collaborateurs de la mairie de Paris, ainsi la prime départementale pour le secrétaire générale a grimpé de 7 000 euros pour atteindre la somme rondelette de 40 000 euros.
Mais les nervis de Bertrand Delanoë nous répondraient, alertes, que l’action des bobos assemblés autour d’Anne Hidalgo fût positive pour le logement et l’action culturelle. Et en effet, on ne peut nier que bien des électeurs solfériniens seraient aujourd’hui au chômage si la mairie de Paris n’avaient construit de toute pièce une sphère pseudo culturelle qui ne survit que par les subsides très gracieusement accordés par les commissions de la Mairie. Le public, pourtant cultivé et éduqué, ne semble guère goûter aux élans du CentQuatre ou de la Maison des Métallos. Dommage pour les argumentaires de l’équipe sortante. Ainsi à la maison des Métallos consacre 90% de son budget à payer sa troupe et connaît des déficits importants tandis que le CentQuatre ne parvient pas à trouver un modèle économique viable notamment par manque de fréquentation. [...]
La suite sur Nouvel Arbitre
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Matteo Salvini (eurodéputé Ligue du Nord) pour un groupe au Parlement Européen avec le FN
PARIS (NOVOpress) – Le grand quotidien italien La Stampa a publié une interview de Matteo Salvini (photo), député italien au Parlement Européen pour la Ligue du Nord, dans laquelle il envisage de faire un groupe au Parlement Européen avec le Front National mais aussi avec les Autrichiens, les Hollandais, les Basques et les Flamands.
A la question, est-ce que Marine Le Pen, le leader du FN pense aussi à vous pour faire un groupe, il répond “Nous nous sommes déjà parlés. Mais aussi avec les Autrichiens et les Hollandais et avec tous les groupes hostiles à l’immigration et à l’euro. Il y a un terrain commun à cultiver absolument, de même qu’avec les Basques et les Flamands.”
L’interviewer lui demande alors si c’est suffisant pour former un groupe. Pour Matteo Salvini : “Pourquoi pas ? MLP est étatiste, ce n’est pas ma “sœur politique” mais il y a de nombreux points communs.”
Le premier point est-il l’adieu à l’euro ? “Nous voulons la révision de tous les traités, de Maastricht à Schengen, et la redéfinition de l’euro qui favorise uniquement l’Allemagne.” indique le député.
Le journaliste s’inquiète alors de savoir si la Lega ne risque pas un isolement ultérieur “en s’alliant avec le FN d’extrême-droite ? La Lega ne court-elle pas le risque de renforcer son image de parti de droite, radical et xénophobe ?”. La réponse est : “Cette Europe est une vraie dictature. Les médias ont déjà leurs préjugés contre nous : nous sommes dépeints comme xénophobes, racistes et populistes. Mais si en Autriche le parti fondé par Haider représente 22% des votes, pensons-nous sérieusement qu’ils sont tous racistes ?”
Matteo Salvini conclut en répondant à une question sur Lampedusa : “Nous voulons qu’il y ait une nouvelle politique de défense face à de nouvelles entrées.”
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Sarkozy nous reparle d’ouverture
En 2007, après son élection, Nicolas Sarkozy avait pratiqué l’ouverture en nommant des personnes de gauche dans le gouvernement Fillon : Bernard Kouchner, Eric Besson, Jean-Pierre Jouyet et Martin Hirsch. Une ouverture qui ne lui a pas souri puisque la gauche ne l’a pas lâché de toute la campagne présidentielle et qu’il a perdu des voix à droite.
Pourtant, hier, lors d’un déjeuner organisé dans l’immeuble Jacques Chaban-Delmas par les amis de l’ancien premier ministre, Nicolas Sarkozy a de nouveau évoqué l’ouverture : « Il avait tendu la main à l’autre rive. Cette volonté généreuse de s’ouvrir à toutes les compétences et à toutes les bonnes volontés, de quelque bord qu’elles viennent, a-t-il.....