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élections - Page 703

  • À ceux qui critiquent le programme économique du FN…

    Avant l’euro, la France avait un solde commercial positif ; depuis l’instauration de l’euro, son solde commercial est très déficitaire.

    Il y a un bien joli tir de barrage en ce moment contre les prétendues « dérives marxisantes ou collectivistes » du FN. Le parti aurait tout faux sur le plan économique (il est vrai que c’est de plus en plus difficile de l’attaquer sur ses autres points…).

    Faux amis ou vrais adversaires, c’est la même rengaine : il faudrait condamner globalement les propositions du FN/RBM, qu’elles soient trop ou pas assez libérales – parfois même les deux, pensent certains.

    Pourtant, le constat dressé par Marine Le Pen sur l’euro est difficilement niable. La zone euro est instable et sous soins palliatifs : beaucoup de perdants et peu de gagnants. Cette « copropriété » ne tient plus que grâce à la volonté et les décisions monétaires d’un ancien employé de Goldman Sachs, expert en manipulation de comptes publics.

    Bruno Lemaire  Lire la suite...

  • Toute la presse europeene annonce la fin de François Hollande

    Si nos petits journalistes aux ordres essaient de minimiser le mandat catastrophique de Hollande et la multiplications des scandales, la presse étrangère ne se gêne pas et prévoit très vite la fin de cet individu.

    QUELQUES EXEMPLES :

    - En Espagne, El Pais considère que François Hollande « se trouve en première ligne des critiques, accusé d’ingénuité excessive dans le meilleur des cas, et de complicité dans les mensonges de son ministre, au pire ».

    - En Allemagne, le Frankfurter Allgemeine Zeitung parle d’une « odeur de fin de règne [qui] plane au-dessus de François Hollande avant même qu’il n’ait achevé la première année de son mandat ».

    - « Jusqu’à quel point la France est-elle pourrie ? » s’interroge également le Süddeutsche Zeitung, qui estime que « la plupart des Français ne croient plus que le président socialiste François Hollande arrivé au pouvoir il y a moins d’un an puisse stopper le déclin ».

    - En Irlande, le Irish Times considère que le scandale est « au moins aussi dommageable pour le socialisme français » que pour le président de la République.

    - En Angleterre, le Financial Times estime que ce genre d’affaires,« en France ont trop souvent été accueillies avec un haussement d’épaule fatigué (…). La tolérance publique est en train de s’épuiser ».

    - En Belgique même les belges nous prennent pour des pigeons et prennent Hollande pour un incompétent. « Economie en berne, manque de leadership, cote de popularité au plus bas auxquels viennent s’ajouter un scandale de corruption et de mensonge devant l’Assemblée nationale, la France est en pleine crise du pouvoir », s’indigne ainsi Le Soir, tandis que La Libre Belgique titre « Cahuzac ébranle Hollande ».

    - Aux États-Unis les observateurs sont scandalisés par la gouvernance socialiste française. « Même dans un pays qui a une longue histoire de débauche à haut niveau, l’impact politique (des retentissantes confessions de l’ancien ministre du budget) est dévastateur », souligne le Times.

    Heureusement que Hollande nous jure qu’il met en place une République moralement irréprochable, on n’ose imaginer ce que ça aurait donné sinon…

    Remercions, monsieur François Hollande, les encartés socialistes et les 10 millions de Français lobotomisés qui ont voté Hollande, pour la belle image de la France qu’ils renvoient.

    http://francelibre.tumblr.com/post/67742018376/toute-la-presse-europeene-annonce-la-fin-de-francois

  • Répression politique : Me Elie Hatem : "L'AF dérange le pouvoir."

    Trois militants d’Action française vont comparaître devant la justice républicaine, après avoir été interpellés sur les Champs-Élysées le 11 novembre dernier. Me Elie Hatem, qui est l’un de leurs avocats, a bien voulu répondre à nos questions.

    L’AF 2000 - Dans quelles circonstances nos militants ont-ils été interpellés et traduits en justice ?
    Me Elie Hatem - Nos trois jeunes militants se sont rendus sur les Champs-Elysées, à l’occasion de la cérémonie du 11 novembre. Patriotes, ils n’avaient nullement l’intention de perturber le déroulement de cette cérémonie ni de manquer de respect à la mémoire de nos soldats, lors de cette journée nationale. A l’instar d’un très grand nombre de Français, ils sont mécontents du gouvernement voire du régime républicain. Par solidarité avec les grévistes bretons et pour démontrer ce sentiment qui s’est généralisé dans la société française, ils ont eu l’idée de porter des bonnets rouges. Ils n’ont donc ni hué le Chef de l’Etat, ni porté atteinte à l’ordre public, comme il a été prétendu. Ils étaient parmi une centaine de personnes qui, en raison de ce port de bonnet, ont été interpellés.

    Que leur reproche-t-on ?
    Il se peut que les services de renseignement aient été préalablement informés de la présence d’individus aux bonnets rouges. Par conséquent, des consignes peuvent avoir été données pour les arrêter afin d’éviter d’éventuels incidents à l’instar de ceux qui se sont déroulés en Bretagne. C’est la raison qui aurait conduit les forces de l’ordre à interpeller arbitrairement plus de soixante-dix personnes dont une grande partie a été placée en garde à vue. Dans un premier temps, il a été avancé que cette opération a eu lieu à l’issue d’une perturbation du cortège du Président de la République. Or, les arrestations ont commencé avant le passage de ce cortège. Quant à nos militants, il leur a été d’abord reproché un outrage aux forces de l’ordre, dépositaires de l’autorité publique, sous prétexte qu’ils les auraient traités de « fachistes ». Néanmoins, en raison de la qualification de ces personnes, par certains médias, de « manifestants d’extrême droite », il a été absurde et incohérent de les poursuivre pour « outrage ». Ils ont donc été accusés de violence exercée à l’encontre des agents du maintien de l’ordre. En réalité, nos militants ont été surpris de se faire arrêter alors qu’ils n’ont commis aucun délit. Ils se sont débattus lors de leur arrestation musclée et de leur menottage. Ce sont nos militants qui ont été blessés lors de cette interpellation et victimes, pour certains, de plusieurs jours d’ITT (incapacité temporaire totale) qui leur ont été reconnus par les médecins de l’unité médico-judiciaire (UMJ) qui les ont examinés lors de leur garde à vue qui a duré 48 heures.

    Comment s’est déroulé leur procès ?
    A l’issue de leur garde à vue, ils ont été présentés au Parquet puis renvoyés sur le champ afin d’être jugés en comparution immédiate pour les chefs d’accusation dont je viens de vous citer. Mes confrères, Frédéric Pichon et Fabrice Delinde, et moi-même qui n’avons pas eu le temps alors d’examiner leur dossier dans la précipitation, avons demandé le renvoi de cette affaire qui sera examinée le 18 décembre prochain, en comparution immédiate... En attendant, nous nous sommes débattus devant le tribunal de la république afin d’obtenir leur libération afin qu’ils puissent comparaître librement devant cette juridiction. Cela n’a pas été facile du moins pour l’un d’entre eux, comme s’il s’agissait d’un crime de lèse-majesté.

    Etes-vous confiant pour la suite de cette affaire ? Que risquent-ils ?
    Il s’agit d’un dossier très sensible. C’est une affaire politique et non pas de droit commun. Comme vous le savez, le gouvernement a donné des instructions en vue de condamner fermement les personnes qui ont été interpellées. Il veut en faire une question de principe. Malheureusement, le parquet est inféodé au pouvoir exécutif malgré le principe de « la séparation des pouvoirs » que la propagande républicaine veut faire avaliser par l’opinion publique. Vous constaterez que seuls des militants de l’Action Française comparaîtront devant le tribunal de la république. Par expérience et pour avoir plaidé des affaires relatives à nos militants, la justice républicaine prononce des peines disproportionnées voire absurdes à leur encontre.
    Aujourd’hui, l’Action Française dérange le pouvoir républicain car, en pleine expansion, elle risque de drainer derrière elle un mouvement populaire incontrôlable. Déçus par le système, par les partis politiques et par la propagande républicaine exercée d’une manière outrancière depuis des décennies, les Français peuvent manifester un engouement pour nos idées et nos valeurs qui sont ceux du pays réel séparé par un grand fossé du pays légal. La fragilité de la république explique la dérive totalitaire de ce régime dénudé de toute légitimité, qui se permet de critiquer les régimes des autres pays... Je ne peux donc pas prévoir les sanctions qui seront octroyées par le tribunal de ce régime.

    Propos recueillis par François Marcilhac - L’AF 2874
    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Repression-politique-Me-Elie-Hatem

  • Delanoë : après Notre-Dame de Paris, la grotte de Matignon ?

    Y a-t-il une vie après la politique ? On le dit, mais bien peu de nos politiciens (et politiciennes) ne semblent vraiment pressés de le vérifier.

    Mais y a-t-il une vie après la Mairie de Paris ? Sûrement, à en croire l’actuel premier édile de la capitale qui se verrait sans doute un avenir plus national après les élections municipales. Ou même avant, pourquoi pas !

    Un avenir à Matignon, par exemple, bien qu’il s’en défende avec des mimines quelque peu excitées par l’audacieuse perspective.

    En tout cas, tel un Jack Lang parodié par Laurent Gerra, Bertrand Delanoe ne tarit pas d’éloges pour son grand ami François Hollande qui, actuellement, doit pourtant compter sur les doigts d’une seule main les soutiens à son égard. Sincères ou intéressés, il n’en est certes pas à faire le difficile.

    Sur son index haut pointé se hisse donc le Maire de Paris.

    Mardi dernier, en marge du conseil de Paris, il a tout d’abord volé à son secours en qualifiant le comportement des manifestants l’ayant copieusement conspué lors des commémorations du 11 novembre, d’« indigne et honteux ». Ça, c’était pour le minimum syndical.

    Pour le maximum vers Matignon, si « qui aime bien, châtie bien », celui qui espère beaucoup doit flatter énormément, qu’on en juge : « Ma première réaction, c’est l’amitié. Je salue une fois de plus le courage de François Hollande » ; ça, c’est envoyé, n’est-ce pas… mais est-ce reçu ? Tout le dilemme de Notre-Dame de l’Hôtel-de-ville pour quatre petits mois encore est dans cette cruelle interrogation.

    Aussi, Maître Bertrand sur un potelet perché n’hésite pas à marteler sur Europe 1, dès fois qu’il n’aurait pas été bien compris : « La France vit une crise telle qu’il y a besoin de concentrer les efforts sur des priorités : le redressement du pays, sa vitalité économique au service de l’emploi. Il ne faut pas se disperser. Et donc effectivement, le président, le Premier ministre, tous les décideurs doivent se concentrer sur l’essentiel » : Beau rappel à l’ordre qui sous-entend que les actuels concernés en place ne l’ont pas fait.

    Plus directe, Anne Hidalgo, son « Anouschka » et sa Dauphine pour lui succéder à la tête de Paris, s’était auparavant montrée, elle, plus précise encore : « Il faut une équipe sûrement plus resserrée, plus à la tâche, plus mobilisée, une vraie équipe politique », en rappelant qu’« il y a des gens sur le banc de touche » (plateau du « Grand Rendez-vous » Europe 1-Le Monde-1> télé).

    Tous les observateurs ont bien compris la fine allusion à son mentor… Mais l’Élysée, l’a-t-on compris ? C’est que même Bertrand Delanoé finirait pas douter de la jugeotte de son ami président, aussi s’est-il défendu de toute ambition excessive en précisant : « Je suis en règle générale d’accord avec Anne Hidalgo, simplement, je pense que si j’ai des suggestions à faire au président de la République ou au Premier ministre, je leur ferais à eux. »

    Voilà, c’est dit sur Europe 1, Le Monde et 1> télé ! Après cela, si son « ami François » ignore qu’après s’être employé à souligner son héroïsme, ce cher Bertrand était prêt, lui aussi, sûr de la confiance du Parti socialiste tout entier, à faire à la France le don de sa personne pour atténuer son malheur, c’est à… coiffer un bonnet rouge, lui aussi ! par Philippe Randa
    http://www.voxnr.com/cc/politique/EFlVpklpEVnBgnURyv.shtml

  • Russie : qu’est-ce que la « creativny class » ?



    Les 27% d’Alexei Navalny aux élections municipales de Moscou furent son moment de triomphe. Comparable au « bobo » (bourgeois bohème) français, le « creativny class » se caractérise par son individualisme forcené, son absence d’idées politiques et de compréhension des grands enjeux internationaux.

    Peu cultivé, il rêve d’une Europe qui n’existe pas et qu’il pense avoir découvert lors de ses vacances dans le sud de la France. La situation sociale réelle en France, il ne la connait pas, d’ailleurs il s’en moque éperdument, comme celle d’ailleurs, de ses concitoyens russes moins privilégiés que lui. Capable de passer ses vacances en Grèce sans se rendre compte que le pays est en crise, il en revient plein de ressentiments contre la Russie où le climat est beaucoup moins favorable. C’est aussi à cela que l’on reconnait le « bobo » russe, ou plutôt le « novi Russki » des années 2010 : il déteste son pays et son peuple, tout comme le « bobo » français.

    Officiellement, comme Alexei Navalny, il lutte contre la corruption. Dans la réalité, il appartient à une des classes les plus corrompues de Russie, celle du secteur tertiaire et du marketing. Les budgets de publicité ou de sponsoring finissent en grande partie dans sa poche, mais il le vaut bien. Au fond, il ne souhaite pas une Russie moderne, mais la Russie des années 90, où il aurait pu devenir millionnaire rapidement, comme son autre modèle, Mikhail Khodorkowski. C’est d’ailleurs pour cela qu’il déteste Vladimir Poutine, ce rabat joie qui a mis fin à la loterie, qui a confisqué les actifs de l’oligarque déchu pour les redonner à une société d’État.

    Il est créatif mais il ne crée rien. Le paradoxe est qu’il est le résultat de l’enrichissement de la Russie sous Vladimir Poutine, mais l’argent ne l’a pas rendu heureux, alors il est dépressif. Comme souvent les dépressifs, surtout les psychanalysés, il cherche un coupable pour son mal-être. Il a donc trouvé son idole, Alexei Navalny. Ce dernier rêve aussi de pillage comme dans les années 90. À peine nommé conseiller du gouverneur de Kirov, il crée une société pour « privatiser les profits » du groupe étatique qu’on lui a confié, comme au bon vieux temps. Grande gueule mais en fait pas très malin, ce qui était banal il y a 20 ans, ne se fait plus en 2009. Pris la main de le sac, il proteste de son innocence. Il croit d’ailleurs farouchement à sa propre innocence. Il n’a rien fait de mal car tout lui est dû. Il ne fait que prendre ce qui lui appartient. Il est l’élu, choisi par l’Occident pour apporter la vérité à une Russie arriérée qu’il déteste et qui vote Vladimir Poutine à 65%.

    Il maudit ces ouvriers d’OuralWagonZavod qui ne comprennent rien à son élection divine. D’ailleurs l’Oural ne l’intéresse pas. Une Russie limitée à Moscou et sans banlieue lui suffirait largement, à condition qu’on y autorise la Gay Pride et qu’on en chasse tous les non-russes ethniques. C’est là la différence avec le « bobo » français, qui est raciste mais qui prétend le contraire. Le « creativny class » est ouvertement raciste, détestant les Caucasiens et les Centre-asiatiques, sauf s’ils sont riches bien sûr, auquel cas il devient cosmopolite.

    Comme le « bobo », le « creativny class » n’est pas très courageux. Heureusement son gourou Alexei Navalny, tout en étant l’ami de Noël Mamère, est très proche des groupes ultra-nationalistes, qui eux n’hésitent pas à faire le coup de poing.

    Ce qui frappe le plus chez le « creativny class » c’est son absence de pensée politique. Tandis que son Président tâche d’empêcher le gouvernement américain de précipiter le Moyen-Orient et le reste du monde dans la guerre, il vote pour un candidat ouvertement financé des États-Unis. Il est vrai que le « creativny class » se moque bien des Syriens ou des Égyptiens qui ne peuvent rien pour lui. D’ailleurs du Moyen-Orient il ne connait que le « Spa » où il a passé une de ses nombreuses vacances cette année, et ça lui suffit bien.

    Rassurons-nous le « creativny class » est toujours minoritaire, et ses mobilisations sont toujours suivies de grandes périodes de déprime ; n’oublions pas qu’il est dépressif. Un gouvernement démocratique devrait toujours veiller à ne pas laisser contaminer par cette minorité le reste de la société qui est saine. Ça n’est pas toujours facile, car en Russie comme en France, le « bobo » domine dans les médias et les réseaux sociaux. C’est pour cela qu’en Russie, on le surnomme « marmotte de réseau ». Les réseaux sociaux sont en effet l’endroit idéal pour partager sa dépression avec les autres et insulter les autorités et son pays à peu de frais. C’est là enfin l’ultime point commun avec le « bobo » français : le « creativny class » déteste sa Patrie et rêve d’en partir.

    Élie Martin

    Source : Realpolitik.tv.
    http://fr.novopress.info/145837/russie-quest-ce-que-la-creativny-class-par-elie-martin/#more-145837

  • Gabegie bruxelloise, Prix Sakharov, dédiabolisation... : les vérités de Gollnisch

  • Municipales à Marseille – C’est l’histoire d’un sondage presque inutile…

    Communiqué de presse de Stéphane Ravier, conseiller régional, tête de liste FN-Marseille Bleu Marine à l’élection municipale de Marseille

    Passons sur la méthodologie retenue par Le Parisien qui admet lui-même qu’elle est grossière.

    Passons sur l’erreur factuelle du Parisien qui indique que Gaudin a effectué « deux mandats » alors qu’il termine le troisième.

    Le Parisien ne peut affirmer que Mennucci gagnera car Le Parisien ne peut ignorer qu’en 1983 Gaudin a perdu en réalisant un score supérieur à celui de Defferre…

    Le Parisien ne peut faire passer une estimation de second tour (en effet où sont les autres candidats ?) pour un sondage de premier tour.

    A contrario, Le Parisien admet ce que nous ressentons chaque jour sur le terrain, au contact de nos compatriotes : une belle montée en puissance pour le Front National et son programme !

    Nous affirmons donc que tout reste ouvert et que le Front National remportera une ou plusieurs mairies de secteur.

    Et s’il y aura finalement bien un maire élu en mairie centrale, personne et pas plus Le Parisien que n’importe qui d’autre ne peut prévoir de qui il s’agira, excepté peut-être Eugène Caselli qui promettait que Mennucci ne serait « jamais maire de Marseille » !

    A Marseille, ce sont les Marseillais qui auront le dernier mot, pas Le Parisien !

    Source  http://www.nationspresse.info/communiques-de-presse/municipales-a-marseille-cest-lhistoire-dun-sondage-presquinutile

  • Les "passerelles" sont le cauchemar de la gauche

    De Jean Cochet dans Présent :

    "La gauche de plus en plus obnubilée par le FN… [...] Ainsi Le Monde daté de mardi, qui exhibe son obsession en une et dénonce les nouvelles « passerelles » en train de s’édifier entre le FN et la droite de l’ex-majorité. Il suffit que deux candidats à des élections municipales, l’un UMP et l’autre FN, au lieu de s’injurier, se saluent courtoisement sur un marché, pour que, même s’ils échangent en souriant quelques propos ironiques, les flics de la pensée, ou leurs indics, parlent de « passerelles » s’établissant entre la droite molle et la droite dite dure par contraste avec la première. Deux militants de bords adverses, qui se connaissent depuis longtemps, se serrent-ils la louche lorsqu’ils se croisent dans la rue ? Aussitôt la gauche, Le Monde en tête, les soupçonne de vouloir construire des « ponts » mobiles électoraux. Ou pire encore : d’envisager de « réunir » les deux familles politiques séparées. En oubliant que, si les dirigeants de l’UMP s’en sont éloignés et même souvent les ont reniées, leurs électeurs gardent néanmoins « des valeurs communes » avec ceux de la droite nationale. Comme le leur avait rappelé en son temps, et avec opportunisme, Charles Pasqua lui-même.

    Droitisation de la droite ?

    Mais ces « passerelles », qui obnubilent la gauche et ses médias, ne sont pas toutes de l’ordre du fantasme. Il en existe bel et bien. De nombreux responsables UMP, poussés par leurs électeurs, surtout dans le sud de la France, tentent aujourd’hui des rapprochements « donnant donnant » avec le FN. Ciblé par les snipers du Monde, Roland Chassain représente l’un de ces exemples emblématiques. Ex-parlementaire, ce candidat UMP aux législatives de 2012 dans la XVIe circonscription des Bouches du Rhône s’était, lors du second tour, désisté en faveur de la candidate FN, Valérie Laupies. Un cas triplement symbolique. Valérie Laupies vient non seulement de la gauche, mais aussi du monde enseignant. On comprend l’inquiétude que provoque cette force d’attraction croissante du FN, dont certains se demandent avec angoisse où elle s’arrêtera. Combien de Roland Chassain et de Valérie Laupies en puissance ? La question turlupine aussi bien l’UMP que le PS.

    Roland Chassain dit avec bon sens qu’il se sent « plus proche de Marine Le Pen que des socialistes ». C’est le cas, à l’UMP, de beaucoup de ses militants et sympathisants, qui n’hésitent plus désormais à proclamer une telle évidence. Roland Chassain milite donc ouvertement « pour une union des droites », en dépit de la ligne contraire affichée par les dirigeants de son parti. « Les cadres parisiens sont trop frileux », déplore l’hérétique. [...] Alors qu’en fait, ce que la gauche redoute le plus, c’est la droitisation de la droite. Que celle-ci redevienne elle-même…

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/les-passerelles-sont-le-cauchemar-de-la-gauche.html

    [...] Comme le souligne avec ironie Benoît Kandel, conseiller général UMP des Alpes Maritimes, à qui son parti reproche une entrevue avec la présidente du Front national : « Si tous les élus UMP qui rencontrent Marine Le Pen sont exclus, il n’y aura bientôt plus grand monde dans le parti. » A l’exception de quelques résidus socialo-chiraquiens et centro-juppéistes. [...]"

  • Hollande : little big man

    « Mais en France », François Hollande a manifestement de moins en moins de supporters et de plus en plus de sifflets.
    En mai 1968, alors que la « chienlit » s’installe dans le pays, le général De Gaulle s’envole mystérieusement pour Baden-Baden. Pour prendre du champ face aux événements ? Pour s’assurer du soutien de l’armée ? Nul ne sait car les principaux acteurs de ce déplacement ont emporté son secret dans l’au-delà. Toujours est-il que le chef de l’Etat en reviendra plus déterminé et qu’il mettra rapidement un terme aux événements, en dissolvant l’Assemblée nationale. Le voyage à Baden-Baden est une Fuite de Varennes qui a réussi.
    Le cauchemar du CRIF
    Il se trouve que M. Cukierman, président du CRIF, publiait le même jour une tribune dans Le Monde où il nous faisait part de son pire cauchemar pour 2017 : voir « notre pays sombrer dans un régime où le populisme refuse les opinions minoritaires, rejette ce qui s’écarte de ses normes, redéfinit à sa sauce les droits et libertés » et de conclure, des fois qu’on n’aurait pas bien compris : « Face au FN réveillons-nous ! » Certes, il ne nous dit pas qu’il faut voter PS, mais le cœur y est.
    Et puis, comme le hasard fait bien les choses, voilà que « la France » décide de s’opposer à l’accord international qui se dessine autour du nucléaire iranien. Au point que John Kerry crie « Vive le Frouance ! » – avec l’accent –, ce qui doit sans doute nous rassurer pleinement sur le bien-fondé de cette posture.
    François Hollande s’est même fendu d’une déclaration en hébreu à son arrivée à Tel Aviv : « Je resterai toujours l’ami d’Israël », des fois que ses hôtes n’auraient pas bien compris le message.
    En tout cas, Benjamin Netanyahu, premier ministre d’Israël, déclare que « François Hollande est un ami, un ami d’Israël et nous le recevrons en tant que tel, en déroulant le tapis rouge » (Les Echos du 5 novembre 2013).
    Beaucoup d’amis mais de moins en moins d’électeurs
    Notre président normal a donc beaucoup d’amis, mais à l’étranger seulement. Car, comme sous la IVe République, la France n’a jamais autant d’amis que quand elle se couche et quand elle s’aligne. Voilà même l’ONU qui trouve que le « racisme » monterait dans notre pays et qui vient fort à propos supporter la campagne que tente de lancer, avec ses gros godillots, un Parti socialiste tétanisé par la débâcle électorale qui s’annonce.
    Mais en France, François Hollande a manifestement de moins en moins de supporters et de plus en plus de sifflets.
    Le petit télégraphiste
    Croit-il qu’en jouant le petit télégraphiste d’intérêts qui ne sont pas les nôtres il gagnera un sursis politique ? Espère-t-il, par exemple, un soutien du Mossad ou un tir de drones US qui permettraient de se débarrasser de ses adversaires politiques ? Pense-t-il, comme Louis XVI fuyant sur la route de Varennes, que les étrangers sauveront sa couronne ? Le pire n’est jamais sûr.
    Mais nous ne sommes plus en 1968 : François Hollande n’a pas la stature de Charles De Gaulle et B. Netanyahu n’est pas le général Massu. Il est douteux que les chars Merkava israéliens franchissent la Méditerranée pour protéger un locataire du Faubourg-Saint-Honoré assiégé par les Bonnets rouges. Comme il est douteux  que le 7e de cavalerie US arrive à temps pour sauver notre little big man national.
     Michel Geoffroy, 19/11/2013
    http://www.polemia.com/hollande-little-big-man/

  • Pitoyable : Dominique de Villepin se dit prêt à soutenir un retour de Nicolas Sarkozy

    Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour redevenir (Premier ?) ministre !

    Pour l’ancien premier ministre, le président sortant a « une véritable opportunité » de revenir en politique en profitant du besoin des Français « d’attendre un sauveur ».

    La hache de guerre est-elle enterrée entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy ? Dans une interview lundi à la Radio Télévision Suisse (RTS), l’ex-premier ministre de Jacques Chirac avance qu’il pourrait « peut-être » soutenir son ennemi de toujours si celui-ci décidait de revenir en 2017. À la condition toutefois que ce dernier porte un « projet de rassemblement innovant et à la mesure des enjeux français ». Si la sortie peut surprendre après des années d’un duel acharné entre les deux hommes, pour le villepiniste Jean-Pierre Grand, l’ancien chef du gouvernement ne fait qu’agir en « homme d’État ». « Ces derniers sont peu nombreux aujourd’hui, mais ils privilégient toujours l’intérêt de la France. C’est ce que fait Dominique de Villepin. Il fait passer l’intérêt du pays avant tout », assure au Figaro le maire UMP de Castelnau-le-Lez.

    Pour Dominique de Villepin, Nicolas Sarkozy bénéficie aujourd’hui d’une « véritable opportunité » de revenir sur le devant de la scène politique, les Français étant dans l’attente d’« un sauveur » dans un contexte de « fronde sociale ». « Est-ce qu’il a envie de revenir en politique ? s’interroge-t-il. Lui seul peut le dire. Mais je pense qu’il a envie. » « Je crois qu’il est attendu sur un chemin politique original, différent, inventif, créatif. Je crois que c’est le secret espoir des Français, qu’à un moment donné quelqu’un va bousculer le jeu, changer la donne », poursuit-il.

    Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pitoyable-Dominique-de-Villepin-se