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entretiens et videos - Page 532

  • Jean-Yves Le Gallou : « Si le réchauffement climatique est dû à l’homme, alors il faut lutter contre le libre-échange et l’immigration ! »

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    Le réchauffement climatique est-il une réalité ? Et si oui, l’Homme est-il en cause ? Alors que le climato-fanatisme semble balayer tout débat sur la question (Marche pour le climat, succès mondial de Greta Thunberg, etc.).
    Découvrez cet entretien avec Jean-Yves Le Gallou sur ces questions… brûlantes !

    Un phénomène observable incontestable

    Polémia : Tout d’abord, est-ce que le réchauffement climatique est une réalité ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est assurément une réalité en Europe. C’est une réalité depuis la sortie du petit âge glaciaire, c’est-à-dire depuis un peu plus de deux siècles. On voit par exemple que les glaciers reculent en Europe et dans d’autres parties du monde.
    Il y a donc incontestablement un phénomène réel et qu’on peut d’ailleurs observer à vue humaine quand on se rend dans les Alpes. A Chamonix, par exemple, les phénomènes glaciaires amplifient l’impression que l’on peut avoir du réchauffement. On voit incontestablement que les glaciers fondent et que des éboulements ont lieu suite au dégel du permafrost.
    Donc, oui, à vue humaine, il y a réchauffement climatique.

    Polémia : Est-ce que ce réchauffement climatique est global et touche l’ensemble de la planète ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est aussi assez probable. Mais c’est plus difficile à établir de manière certaine.
    Il y a un certain nombre d’études qui tendent à montrer que le température moyenne du globe augmente mais un certain nombre de scientifiques posent la question de savoir quelle est la pertinence du sens de « moyenne climatique mondiale ». Comment l’établit-on ? Sur quelle durée ? Comment on agrège les données partielles dans le temps ? C’est une vraie question épistémologique.

    La température a toujours varié !

    Polémia : Si l’on part du principe que la température augmente, est-ce inévitablement un drame total ou bien existe-t-il quelques bénéfices ?

    Jean-Yves Le Gallou : Il y a deux choses à prendre en compte. D’abord, dans le temps, la température – en tout cas là on l’on peut avoir des éléments permettant de l’apprécier – a toujours varié !

    L’exemple des Alpes est particulièrement parlant. Les glaciers reculent depuis 1830, voire même 1780. Ils ont ré avancé de 1945 à 1975 et reculent à nouveau depuis.
    Mais, aujourd’hui, il y a des cols qui sont encore en glace et où pourtant les troupeaux passaient à sec au Moyen-Âge ou à l’époque romaine ! Il y a toujours eu des alternances de périodes de chaud et de froid.

    Polemia : Alors, est-ce que le réchauffement est catastrophique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Pas nécessairement ! La révolution néolithique était une conséquence du réchauffement et l’émergence vers la civilisation que nous connaissons est postérieure à la fin de l’âge glaciaire !

    On peut même voir des effets positifs au réchauffement. On peut rester en terrasse plus longtemps car il fait chaud plus longtemps. En général, on a tendance à préférer les climats méditerranéens aux climats océaniques car ils sont plus chaleureux et souvent jugés plus agréables à vivre.

    Sur le plan des conséquences, il peut y avoir des conséquences négatives et positives.

    Par exemple, un pays comme la Russie voit plutôt d’un bon œil le réchauffement climatique qui augmenterait la production de blé et libérerait des routes maritimes.

    Ce qui est inquiétant, c’est qu’un homme de médias comme Verdier, qui était le Monsieur Météo du service public, ait tout simplement été viré car il avait évoqué certains aspects positifs du réchauffement climatique.

    C’est dramatique ! Quand on vire un présentateur météo lorsque ses convictions climatiques ne conviennent pas, on se pose la question de savoir dans quel pays on est…

    Le réchauffement climatique, un argument politique bien pratique

    Polémia : Est-ce qu’il y a des effets négatifs ?

    Jean-Yves Le Gallou : Certainement. Mais on parle sans savoir. C’est beaucoup utilisé comme argument pour faire passer des politiques publiques.
    Si on vous parle d’un problème mondial, on va légitimer une « gouvernance » mondiale plus forte. Et si on vous parle d’un problème majeur cela va permettre d’imposer de nouvelles taxes. Et puis le catastrophisme climatique c’est aussi un moyen de contrôle des populations. Certains sujets sont interdits, d’autres deviennent obsessionnels.

    On va aussi vous dire qu’on est obligé d’accepter l’immigration car il y a des problèmes climatiques.

    Je pense qu’il y a derrière tout cela une malhonnêteté foncière. Aujourd’hui, le réchauffement climatique est dans l’épaisseur du trait. Par rapport aux extrêmes climatiques (tempêtes, canicules, grands froids, etc.) le léger réchauffement qu’on a pu constater ne change pas grand-chose.

    D’ailleurs, il y a eu, il y a quelques années, une étude officielle de plusieurs ministères (Agriculture, Environnement, Intérieur) sur l’impact du réchauffement climatique sur les feux de forêt en France.

    Un impact a été trouvé,susceptible d’entraîner une extension des feux de forêt vers la façade atlantique mais pas pour maintenant, seulement à horizon 2035 ou 2050. Pourquoi une telle distance dans le temps ? Parce qu’il y a une énorme inertie !

    Donc, quand on nous parle aujourd’hui de migrations climatiques, c’est un mensonge total !

    Peut-être qu’il pourrait y avoir des déplacements de population liés au changement climatique. Peut-être. Mais dans 20 ou dans 30 ans minimum ! Quand on dit que cela se passe aujourd’hui, on ment, on fait de la propagande !

    Le vrai problème est que, derrière une observation qu’on peut considérer comme probable, on ne sait pas si l’origine est anthropique, volcanique ou astronomique…

    Peut-être dit vrai ce qui peut-être librement contesté !

    Polémia : Pour le GIEC et ceux qui s’en réclament, le rôle de l’homme est quand même prépondérant.

    Jean-Yves Le Gallou : Ça, c’est la doxa politico-médiatique ! Je pense que c’est très difficile de parler de consensus scientifique pour une raison très simple : tous ceux qui ont une opinion différente n’ont accès ni aux médias ni aux crédits de recherche !

    Il y a un certain nombre de scientifiques qui défendent la thèse du réchauffement d’origine anthropique mais il y a aussi d’autres scientifiques qui mettent en avant deux facteurs naturels majeurs : le volcanisme et le rôle de l’astre solaire. Deux facteurs qui ne dépendent pas de l’homme.

    La thèse officielle est celle d’une origine anthropique. Cependant, je crois que, dans la pensée européenne, peut-être dit vrai ce qui peut-être librement contesté !

    Je ne dis pas que la thèse du réchauffement anthropique est fausse. Mais il est difficile de la dire vraie puisque il existe un interdit qui pèse sur la thèse contraire.

    Il faudrait équilibrer les crédits de recherche pour arriver à une situation honnête. Sachant qu’une bonne partie de ce qu’on présente comme les résultats scientifiques du GIEC sont quand même des modèles mathématiques qu’on fait tourner.

    Un climatologue aujourd’hui, c’est quelqu’un qui est derrière son ordinateur et qui fait tourner des modèles.
    Or, un modèle repose sur les données qu’on a choisi d’y intégrer.Avoir un culte fétichiste de ce genre de recherches est parfaitement dangereux. On trouve… ce qu’on veut trouver.

    Polémia : Faut-il parler de réchauffement climatique ou de dérèglement climatique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Parler de réchauffement climatique, c’est relativement objectif. Le dérèglement climatique c’est de la propagande : on joint dans le même mot un phénomène – le réchauffement qui s’inscrit dans un cycle climatique de plus ou moins longue durée – et des extrêmes catastrophiques qui ont toujours existé. Le tout dans un grand confusionnisme ! Ainsi sous l’oreille béate des médias François Hollande avait rangé les tsunamis parmi les conséquences du « dérèglement climatique » (sic). Rappelons qu’un tsunami a pour origine un tremblement de terre,c’est-à-dire la tectonique des plaques. Rien à voir avec le temps qu’il fait. On voit bien à travers cet exemple à quel point le conformisme étouffe l’esprit critique.

    Lutter contre le mondialisme et l’immigration

    Polémia : Est-ce que, malgré tout, l’extraction massive des matières comme le pétrole ou le gaz – très longtemps prisonnières du sol – ne joue pas un rôle dans le réchauffement climatique ?

    Jean-Yves Le Gallou : Ce qui est vrai, c’est que des éléments carbonés prisonniers du sol depuis des millénaires voire des millions d’années, sont extraits et vont être extraits.
    Cette extraction joue-t-elle un rôle dans le réchauffement climatique ? C’est une autre question.

    Ce qui est certain quant à l’impact de l’homme sur la nature, c’est la disparition d’un certain nombre d’espèces animales. Mais cela n’a rien à voir avec le réchauffement climatique !

    Polémia : Généralement, les populations conscientisées sur le réchauffement climatique sont les populations européennes et notamment les élites. Est-ce que certaines autres populations (chinoises, indiennes, etc.) ne polluent pas aujourd’hui plus que les Européens ?

    Jean-Yves Le Gallou : Bien sûr, tout est centré sur la culpabilisation des Européens, y compris pour faire accepter l’immigration…

    Or, si l’on accepte que le carbone est mauvais, le problème, c’est le rejet de carbone, c’est l’empreinte carbone.
    A ce moment-là, il faut évidemment lutter contre deux choses. Il faut d’abord s’opposer au mondialisme qui entraîne la multiplication des échanges commerciaux mondiaux mais il faut aussi lutter contre l’immigration !

    En effet, l’empreinte carbone d’un Africain en Afrique est évidemment bien inférieure à celle d’un Africain en Europe !

    Donc, si on voulait prendre des mesures efficaces pour limiter l’empreinte carbone moyenne de l’humanité, il faudrait notamment empêcher l’immigration et même organiser la remigration. Et limiter le libre-échange.

    Tribune reprise du site Polémia

    https://fr.novopress.info/213991/jean-yves-le-gallou-si-le-rechauffement-climatique-est-du-a-lhomme-alors-il-faut-lutter-contre-le-libre-echange-et-limmigration/

  • Un policier révèle les méthodes étonnantes utilisées contre les Gilets Jaunes.

  • Général Vincent Desportes : « Cette décision d’utiliser Sentinelle est politiquement et humainement dangereuse. »

    Le général Vincent Desportes analyse la décision et les risques d’utiliser les militaires de l’opération Sentinelle pour les manifestations de samedi prochain : « On risque de se retrouver dans des situations compliquées. »

  • Table ronde avec des Gilets Jaunes patriotes de terrain.

  • Charlotte d’Ornellas : « Assimiler Éric Zemmour au tueur de Nouvelle-Zélande est insupportable ! »

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    Lors d’un débat sur CNews, Yassine Belattar s’en est pris à Éric Zemmour dont les propos, selon lui, auraient inspiré Brenton Tarrant au même titre que la théorie du Grand Remplacement.

    Retour sur ce débat, qui avait pour thème « Qu’est-ce qu’être français ? », avec Charlotte d’Ornellas au micro de Boulevard Voltaire.


    Le débat entre Eric Zemmour, polémiste, et Yasmine Belattar, humoriste, mais également polémiste à ses heures sur les réseaux sociaux, avait été annoncé depuis plusieurs jours et beaucoup l’attendaient. Un débat houleux et tendu. Qu’en avez-vous retiré ?

    La question posée était très intéressante : qu’est-ce qu’être Français ?
    Au-delà des personnalités qui aiment le débat, et notamment le débat télévisé, que sont Eric Zemmour et Yasmine Belattar, il y avait vraiment deux visions très différentes de ce qu’est être Français. D’un côté, Eric Zemmour a défendu, comme toutes ces dernières années, le modèle assimilationniste. Il a commencé cette émission en disant que pour lui, être Français c’était avoir adopté tout ce qui fait l’Histoire de France. Il est passionné par cette Histoire et la connaît bien. Ce sont aussi les 1500 ans qui ont précédé la création de la République française.
    De l’autre côté, Yasmine Belattar qui a une vision très légaliste de l’appartenance à la France. Il y a ce qui est permis par la loi et ce qui n’est pas permis. Puisqu’il respecte les lois aujourd’hui telles qu’elles sont dans le pays, cela fait de lui un Français.
    Ce sont deux visions très différentes. D’un côté, on a un attachement beaucoup plus charnel à ce qu’est la France, et de l’autre côté, un des tenants de la vision multiculturaliste de la France. La France est un terrain sur lequel toutes les cultures peuvent vivre telles qu’elles sont aujourd’hui sans devoirs par rapport au pays d’origine et avec tous les droits d’expression.
    Deux visions s’affrontaient ce matin et depuis de nombreuses années, bien au-delà des personnalités qui étaient sur le plateau.
    Ces deux personnalités qui s’affrontent sont deux personnalités à part entière. Représentent-ils vraiment quelque chose ?
    Est-ce la France de la patrie charnelle d’un côté et l’aspect mondialisé de l’autre ?
    Monsieur Belattar a déclaré qu’il se sentait européano-africain ou africano-européen.

    Ce qui était intéressant dans ce débat c’est qu’ils ont des parcours qui pourraient être assez similaires. Ils viennent pour l’un de l’Algérie et pour l’autre du Maroc à l’origine. En revanche, ils ont des parcours très différents. Eric Zemmour s’est assimilé complètement à la culture française. Yasmine Belattar se dit aujourd’hui : ‘’ j’ai le droit de rester comme je suis dans mes origines et dans ma tradition culturelle différente de la France tout en étant Français’’.
    C’est intéressant de comparer des parcours très différents. Quand Eric Zemmour lui dit que c’est un choc de génération, je crois que c’est assez juste. Eric Zemmour ne fait que répéter ce qu’était le discours républicain de l’assimilation. On a tendance à l’oublier aujourd’hui, mais c’est quand même la République qui a prôné l’assimilation pendant de très nombreuses années. Yasmine Belattar représente le pendant beaucoup plus progressiste que mondialiste sur ce débat précis qui est de dire ‘’ je viens d’un peu partout’’. Quand Yasmine Belattar nous dit : ‘’ je suis afro-européen, je me sens autant Italien que Malien, que Sénégalais et qu’Espagnol’’. À la fin, on comprend bien que cela ne veut rien dire. Quand Eric Zemmour lui répond :‘’ moi, je suis Français point barre’’. Yasmine Belattar lui répond : ‘’ c’est bien cela votre problème !’’.
    Les frontières sont trop étroites et finalement on est ce qu’ on veut où on veut. En réalité, dans la vision de Yassine Belattar, il y a un côté totalement relativiste et totalement déraciné.
    Bien que le thème portait sur l’être Français, le public a davantage retenu la séquence où Yassine Belattar assimile les propos d’Eric Zemmour et l’attentat de Nouvelle-Zélande. Peut-on assimiler Eric Zemmour à la théorie du Grand remplacement et aux agissements de ce terroriste ?

    Quand Yassine Belattar dit : ‘’vous avez fait tuer 50 personnes en Nouvelle-Zélande’’, c’est insupportable ! On dit souvent que les propos d’Eric Zemmour sont violents. Je ne vois pas alors comment on peut qualifier ceux de Yassine Belattar à son encontre.
    On a affaire aux mêmes personnes qui nous expliquent d’un côté que l’islam et ses textes, qui pourtant contiennent des appels explicites à la violence, ne peuvent pas être tenus pour responsable des attentats islamistes, et de l’autre que Renaud Camus, et sa théorie du Grand remplacement, serait responsable de l’attentat de Christchurch. C’est totalement incohérent et profondément malhonnête.
    Je ne crois pas que ce sont les idées qui tuent. Toute théorie peut être discutée rationnellement. Et les gens peuvent être d’accord avec le constat dressé ou la théorie du Grand remplacement, selon le sens que l’on met derrière ces mots-là et ne pas cautionner le meurtre de Nouvelle-Zélande.
    C’est donc malhonnête et injuste. On sent bien que certains sont contents de se concentrer sur certaines tueries plutôt que sur d’autres. Soit il y a une cohérence et je veux bien discuter des idées qui conduisent à cela.
    En réalité, Eric Zemmour fait partie des gens qui disent qu’une société multiculturelle est une société multiconflictuelle et que des personnalités, au nom de certaines théories, vont aller tuer les uns ou les autres parce qu’ils seraient représentants de ce qu’ils veulent viser. On voit bien que le tueur de Christchurch est bien plus un miroir des djihadistes, qu’il n’est un disciple d’Eric Zemmour. Dire le contraire n’a aucun sens et est totalement malhonnête.

    http://www.bvoltaire.fr/charlotte-dornellas-assimiler-eric-zemmour-au-tueur-de-nouvelle-zelande-est-insupportable/

  • Saccages des Champs-Elysées : Delpuech, le fusible idéal ? – Journal du mardi 19 mars 2019

     

    Saccages des Champs-Elysées : Delpuech, le fusible idéal ?

    Après un samedi noir sur les Champs-Elysées, le gouvernement devait montrer des signes de retour aux commandes. C’est le préfet Delpuech qui fait les frais de la démonstration. A quelques jours de sa retraite, il est limogé. Une manière de sauver la place des autres, à commencer par Christophe Castaner.

    Raphaël Glucksmann : le mondialiste qui sent la rose

    Après avoir conseillé la Géorgie et l’Ukraine, après avoir navigué sur l’échiquier politique français, Raphaël Glucksmann a réussi son OPA. Qui est donc cet essayiste tout juste investi pour mener une liste de rassemblement avec le Parti Socialiste, réponse dans cette édition.

    Trump-Bolsonaro : première étape d’une romance ?

    Donald Trump reçoit Jair Bolsonaro à la Maison Blanche. Pour les deux présidents élus contre les médias, c’est la première étape d’un rapprochement.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/saccages-des-champs-elysees-delpuech-le-fusible-ideal-journal-du-mardi-19-mars-2019

  • Ouverture des assises de la France des Gilets Jaunes.

  • Zoom – François Boulo : l’avocat des Gilets Jaunes sans filtre sur TVL

     

    Porte-parole des Gilets Jaunes de Rouen, le très médiatique avocat François Boulo fait le point sur la révolte des Gilets Jaunes. Il reprend, sans filtre, sur le débat national, les manifestations sur le climat, les violences policières, les pillages de l’extrême-gauche. Un entretien important alors que l’on annonce la fin de la révolte des Gilets jaunes.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-francois-boulo-lavocat-des-gilets-jaunes-sans-filtre-sur-tvl

  • Stéphane Ravier : « Il faut rétablir la peine de mort pour ces salauds »

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    Une étudiante de 21 ans a été poignardée à mort devant une bouche de métro à Marseille. Réaction au micro de Boulevard Voltaire de Stéphane Ravier, sénateur des Bouches-du-Rhône.

  • Le Samedi Politique : Philippe de Villiers sur la déconstruction européenne

     
     

    Dans un nouvel ouvrage mené en forme d’enquête, Philippe de Villiers revient aux sources de la construction européenne. Il plonge au cœur du mythe de ce que l’histoire a nommé les Pères Fondateurs de l’Europe, Jean Monnet et Robert Schuman, pour proposer une lecture inédite : l’ADN de l’Union Européenne porte en elle les racines de la déconstruction.

    A quelques mois des élections, il décrypte les étapes successives qui ont rythmé l’UE pour la dessiner telle qu’elle est aujourd’hui : morcelée, tiraillée et dévitalisée.

    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-philippe-de-villiers-sur-la-deconstruction-europeenne