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entretiens et videos - Page 529

  • Politique & Eco n° 250 – A la recherche d’un nouveau modèle économique

    Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Pierre Sabatier agronome et économiste, membre des Econoclastes.
    A la recherche d’un nouveau modèle économique

    1) Peut-on encore retrouver de la croissance ?

    – L’Europe spectatrice impuissante de l’affrontement Chine/USA
    – Chine : une économie en difficulté
    – Mais remise en cause de la domination US
    – Une partie de l’intelligentsia américaine a basculé du côté de Trump
    – Conserver le leadership ?
    – L’Occident a voulu la délocalisation, il en paye désormais le prix
    – L’Europe et les USA importent l’inflation chinoise
    – Deux puissances pragmatiques en compétition et une Europe qui rêve encore de coopération
    – Les taux bas sont amenés à durer
    – L’absence de croissance rend inévitable le recours à ces taux

    2) Obsolescence du modèle et révolution démographique

    – Le vieillissement des pays riches
    – La richesse dépend de la consommation, laquelle diminue avec le vieillissement
    – L’erreur de Hollande contre la politique familiale
    – Efficacité démontrée de la politique familiale en France
    – Il faut acter une croissance faible
    – Les entreprises n’ont plus de nouveau clients issus de la croissance démographique, il leur faut donc se prendre des parts de marché entre elles
    – Quid de la politique Keynésienne ?
    – Quand la dette n’est pas un problème pour aujourd’hui !
    – A terme cependant, le risque d’hyper inflation
    – Le dollar est-il substituable ?
    – L’Amérique finance ses déficits en siphonnant l’épargne mondiale

    3) Pistes pour un nouveau modèle, les territoires en question

    – Quelque chose ne tourne pas rond, Gilets Jaunes, élections etc
    – La révolution numérique de l’ordre des moyens, non des fins
    – Le gâteau à se partager reste le même
    – La non-acceptation du caractère inégalitaire des revenus
    – Un modèle né en 1945 devenu inadapté
    – L’hélicoptère monétaire, un effet d’aubaine sans lendemain
    – Un modèle trop concentré, monopolistique sur le plan économique et géographique
    – Rappel historique, la France et les USA au début du XXème siècle : de puissantes réformes face au mécontentement social
    – Analogie avec les années 1900, de l’urgence de retrouver un nouveau modèle
    – Les périphéries ne croient plus en la parole politique
    – Quand la cohésion sociale dépend de la cohésion territoriale
    – Refaire la société et la nation, l’avenir doit plonger ses racines dans les territoires
    – Le local : un atout et non un poids !

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n-250-a-la-recherche-dun-nouveau-modele-economique

  • Lille : Marc-Philippe Daubresse (LR) et les islamistes

  • La culture du viol , c’est du cinéma (Cette année là n°15)

  • Génération Identitaire Lyon aux côtés des SDF

  • Communisme égale nazisme, c’est enfin admis !

    Communisme égale nazisme, c'est enfin admis.jpeg

    Directeur de recherches au CNRS, Stéphane Courtois est considéré comme l'un des spécialistes mondiaux de l'histoire des totalitarismes. La publication de son Livre noir du communisme(1), vendu à plus d'un million d'exemplaires, en a également fait un polémiste de choc. Avec son tout nouveau Dictionnaire du communisme(2), l'historien dépasse la seule dimension criminelle du communisme. Il répond aux questions sur son passé maoïste, la confiscation de l'historiographie par les marxistes... et Guy Môquet

    Le Choc du mois : Commençons, si vous le voulez bien, par les questions sur votre itinéraire et vos convictions. Vos adversaires vous présentent comme l'historien autoproclamé du communisme représentant la droite catholique. Ailleurs, on peut lire que vous êtes un ancien mao. Qui a raison ?

    Stéphane Courtois : J’ai effectivement lu avec beaucoup de surprise, dans un article du Nouvel Observateur de juillet 2006, que j'étais « l’idéologue de la droite catholique ». Pour cela, il eut d'abord fallu que je sois catholique, ce qui n'est pas le cas, même si je donne un cours d'histoire du communisme dans une université catholique de Vendée - c'est d'ailleurs l'honneur de ces catholiques de faire passer l'appréciation des compétences professionnelles avant les appartenances religieuses. Et serais-je stigmatisé de la même manière si j'étais de « la gauche catholique » ?

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