
Après vingt-cinq années acquises à la cause de l’extrême gauche au sein des black blocs, il s’est repenti et témoigne dans Le Figaro :
Gaspard est un pseudonyme qu’il s’est lui-même attribué pour les besoins de cette interview. Il tient à faire référence, non sans une petite note d’humour et de sarcasme, à ses anciens camarades de «lutte».

