En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Un grand incendie s’est déclaré ce matin sur un site destiné aux demandeurs d’asile à Coolock, au nord de Dublin.
L’incendie s’est déclaré à côté d’un camp de fortune établi par des manifestants anti-immigration qui s’opposaient à ce qu’un entrepôt désaffecté soit utilisé pour héberger des demandeurs d’asile.
En Espagne, la tension entre le parti conservateur national VOX et le Partido Popular (PP) de centre-droit a atteint de nouveaux sommets et un possible point de rupture, VOX menaçant de se retirer des gouvernements régionaux avec le PP si ce dernier accepte une proposition de redistribution des migrants mineurs non accompagnés à travers l’Espagne.
Après la formation des « Patriotes pour l’Europe », 4e groupe au Parlement européen, regroupant 84 eurodéputés issus notamment du RN, du Fidesz hongrois, du FPÖ autrichien et de la Lega italienne, et présidé par Jordan Bardella, voici « L’Europe des nations souveraines ».
L’Union européenne n’a pas renoncé à l’idée de mettre fin prématurément à la présidence de la Hongrie au sein de la communauté.
Un vote ouvert sur la question de la destitution de Viktor Orban de la présidence du Conseil de l’UE obligerait Bruxelles à reconnaître la division au sein de l’union. Il faut s’attendre à ce que les pays membres de l’Union européenne commencent à fouiller dans le «linge sale» de la politique nationale hongroise, cherchant un prétexte pour imposer des sanctions contre Budapest. Auparavant, le ministre polonais des Affaires étrangères, Radoslaw Sikorski, avait déclaré que l’UE avait trouvé des «idées créatives» contre la Hongrie.
Les équilibres commencent à se stabiliser au sein du Parlement européen, un mois après les élections européennes. Le Parti populaire européen (PPE), au sein duquel siègent Les Républicains menés par François-Xavier Bellamy, reste la première force politique à Strasbourg, avec 188 députés. Derrière, en deuxième place, on trouve toujours le groupe des Socialistes et Démocrates, avec 136 élus.
Courageux Orban, le président hongrois, à peine à la présidence de l’union européenne, a pris son bâton de pèlerin pour essayer de faire sortir l’Europe d’une guerre qui ne sert à rien. Il est parti voir Poutine, puis Xi JingPing, tenter simplement de renouer le dialogue. Mais il n’a pas de mandat européen pour négocier évidemment, tout passe par la grande prêtresse qui marchande des millions de vaccins par SMS sans consulter personne et elle n’est pas contente, évidemment, signe qu’elle veut la guerre. Tout comme les autres protagonistes européens, dont le nôtre, Macron, qui n’est pas non plus content, lui aussi, veut la guerre mais on le savait. L’avion d’Orban est pisté, surveillé et le président hongrois est marqué à la culotte, signe que cette Europe fait la guerre à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur, contre ses propres membres qui n’ont pas décidé de marcher au pas.