
En feignant d’ouvrir un faux débat sur le partage de notre arme nucléaire avec les autres États membres de l’UE, Macron joue contre la souveraineté de la France sous prétexte d’un danger russe qui menacerait nos intérêts vitaux.
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En feignant d’ouvrir un faux débat sur le partage de notre arme nucléaire avec les autres États membres de l’UE, Macron joue contre la souveraineté de la France sous prétexte d’un danger russe qui menacerait nos intérêts vitaux.

Laurence Trochu, ancienne porte-parole de François Fillon et actuelle présidente du Mouvement Conservateur, sera en 5ème position sur la liste Reconquête menée par Marion Maréchal. Elle explique au JDD :
[…] En soutenant Marion Maréchal et Reconquête, les Conservateurs portent le flambeau de la droite civilisationnelle que Les Républicains ont délaissée, trahie, piétinée. Depuis 2020 avec la préparation des Municipales, puis des Départementales et Régionales, il est flagrant que la stratégie d’infusion des idées au sein de LR ne peut plus fonctionner. J’étais membre des instances de ce parti et j’ai vu comment les barons locaux ont vendu à la découpe leurs territoires à Macron, avec le silence complice ou même les encouragements des cadres dirigeants.
Selon le président français, les pays occidentaux devraient « légitimement » se poser la question de l’envoi d’un contingent en Ukraine en cas de demande de Kiev et d’avancée significative des forces du Kremlin.
Macron sans enfants, Macron va-t-en-guerre avec les enfants des autres. Le président français Emmanuel Macron a une nouvelle fois réitéré que l’envoi de troupes terrestres en Ukraine ne peut être exclu a priori dans un entretien avec The Economist : « Si les Russes parvenaient à percer les lignes de front et s’il y avait une demande ukrainienne, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, on devrait légitimement se poser la question. »

On se souvient du NON des Français au traité européen de Maastricht en 2005, qui contrariait les plans d’une élite, déjà à la manœuvre, pour la promotion de l’Europe qui nous est donnée à voir aujourd’hui. Echaudé par ce NON, Nicolas Sarkozy, qui s’était fendu d’un discours menaçant sur un nouvel ordre mondial « auquel personne, je dis bien personne, ne pourra s’opposer », avait décidé de faire ratifier le traité de Lisbonne, qui n’était jamais qu’une reprise de celui de Maastricht refusé, uniquement par les parlementaires, réunis en congrès à Versailles. Tablant sur le fait que les parlementaires seraient suffisamment déconnectés, ou « déconnectables » de leurs électeurs, pour ne pas voter comme eux. Ce fut chose faite. Mais un juriste, Patrice André, fait sensation sur les réseaux sociaux, en révélant récemment que la procédure veut que, par son vote, le congrès autorise le président à ratifier, c’est à dire, signer le traité de Lisbonne, or Sarkozy ne l’a jamais signé.

Une manifestation de musulmans de Hambourg, samedi dernier, est passée relativement inaperçue en France, mais elle n’en finit plus de secouer l’Allemagne, qui sort ainsi d’une espèce de torpeur pétrie d’idéologie humaniste molle. Des dizaines de musulmans radicaux ont défilé dans une rue de Hambourg, la célèbre ville-port, en réclamant rien moins que l’instauration d’un Califat, c’est à dire, le passage de la république allemande à une république islamique, avec évidemment, l’instauration de la charia, la loi coranique. Pour son premier jour de campagne électorale, Scholz a donc été gâté, il en est tombé des nues et a « condamné » l’événement, se figurant sans doute que sa condamnation verbale allait impressionner les intéressés. Sa Ministre de l’Intérieur, Nancy Faeser, a trouvé l’événement « incroyable », elle aussi tourneboulée et à vrai dire, en état de KO debout. Sinon, l’ensemble des Allemands trouve cela « scandaleux ».

« Nous devons être clairs sur le fait que notre Europe est aujourd’hui mortelle », a déclaré le président français Emmanuel Macron dans un discours prononcé cette semaine. « Elle peut mourir, et cela ne dépend que de nos choix. Mais ces choix doivent être faits maintenant. »
Ce que Macron présente comme un besoin urgent de ressusciter l’UE intervient alors qu’il a lui-même passé près de sept ans au pouvoir, ayant même été président du Conseil de l’Union européenne en 2022. On lui doit la nomination et la confirmation de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, décrite par Forbes l’année dernière comme la femme la plus puissante du monde. Ou, comme certains pourraient le dire, une bureaucrate non élue et omnipotente dont l’autoritarisme supranational supplante le processus démocratique des États membres. Ou, comme d’autres pourraient le dire après le discours de Macron, l’incompétente infirmière sur le lit de mort de l’UE.

“La question d’une éventuelle assistance au retour des citoyens ukrainiens en âge de servir dans l’armée qui séjournent en Pologne nécessite des accords bilatéraux. La Pologne est prête à de tels pourparlers”, a déclaré le ministère polonais de la Défense nationale.
” Je ne suis pas surpris que les autorités ukrainiennes fassent tout pour envoyer des soldats au front. Les besoins sont énormes – a commenté cette semaine le vice-Premier ministre et ministre de la Défense nationale Władysław Kosiniak-Kamysz . – C’est le devoir de chaque citoyen d’un pays donné (…), les citoyens ukrainiens ont des devoirs envers l’État. Nous suggérons depuis longtemps que nous pouvons également aider la partie ukrainienne à garantir que ceux qui sont soumis au service militaire aillent en Ukraine “, a déclaré Władysław Kosiniak-Kamysz .