
Trois ans après son arrivée au pouvoir, Giorgia Meloni fait taire les ricanements et les pronostics de malheur. À la tête d’un gouvernement national-conservateur, la présidente du Conseil italien a réussi là où tant d’autres avaient échoué : ramener le déficit public de la péninsule sous la barre des 3 % du PIB, seuil exigé par Bruxelles, tout en rétablissant la confiance des marchés et la crédibilité du pays.
Un retournement spectaculaire pour une Italie que la presse occidentale, à l’automne 2022, présentait comme « à la veille du chaos ».





