Jeudi 4 septembre, Volodymyr Zelensky sera reçu à l’Élysée par le président de la République en présence d’un certain nombre de ce que l’on appelle (au choix) « les partenaires européens » ou la « coalition des volontaires » - soit en « physique », soit en « distanciel », comme au temps apocalyptique du Covid-19. Au cours de ce sommet, qui devrait leur permettre d’annoncer qu’ils sont prêts pour donner des « garanties de sécurité » à l’Ukraine, les Européens et leur alliés (une trentaine de pays en tout) risquent fort, à rebours de ce qu’ils voudraient, de donner une nouvelle preuve de leur impuissance collective.







