Europe et Union européenne - Page 316
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La Commission européenne a accordé 36,5 millions d’euros entre 2014 et 2019 à des associations islamistes
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Grèce : le gouvernement octroie une aide financière aux migrants afin de les inciter à retourner dans leur pays d’origine
Grèce : le gouvernement octroie une aide financière aux migrants afin de les inciter à retourner dans leur pays d’origine
Le gouvernement grec a commencé à octroyer 2.000 euros aux demandeurs d’asile situés sur différentes îles de la mer Égée pour les inciter à retourner dans leur pays d’origine.
Le programme de retour volontaire et de réintégration, qui est financé par l’Union européenne (UE), vise à soutenir les demandeurs d’asile qui souhaitent retourner dans leur pays. En même temps, il aide les îles de la mer Égée, dont beaucoup sont submergées par les migrants.
Le programme a été initialement mis en place en mars, mais il est resté largement inactif en raison de la fermeture des frontières causée par l’épidémie du Coronavirus.
Cette annonce a également coïncidé avec la vague de milliers de migrants qui ont tenté de passer en Grèce au début de l’année, parce que le président turc Recep Tayyip Erdoğan avait ouvert sa frontière avec l’Europe.
Breitbart via Protothema
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Génération identitaire a eu le tort d’avoir raison trop tôt
La France et l’Italie vont créer une brigade commune à leur frontière pour lutter contre les filières de passeurs qui y font transiter les migrants, a annoncé, vendredi 31 juillet à Rome, le ministre de l’intérieur français, Gérald Darmanin.
Au printemps 2018, le mouvement Génération identitaire avait mené une opération fortement médiatisée, dans les Alpes contre l’immigration illégale.
https://www.lesalonbeige.fr/generation-identitaire-a-eu-le-tort-davoir-raison-trop-tot/
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Jacques Sapir : « Une Europe en décomposition ? ».
Source : https://fr.sputniknews.com/
Au cinquième jour de négociations, le sommet européen a débouché sur un accord de plan de relance commun. Un événement dont Jacques Sapir retient l’aspect politique plus qu’économique, et qu’il voit comme symptomatique de la crise de l’UE. Analyse.
Le déroulement du Conseil européen des 17-21 juillet apparaîtra, avec un peu de recul, comme un moment important de la décomposition de l’Union européenne. La presse l’a présenté comme dominé par l’affrontement entre les membres «frugaux» et les pays du sud. Ce n’est pas faux, mais c’est aussi extrêmement réducteur, comme nous l’avions noté avec Bruno Amable dans l’émission Russeurope Express en juin dernier. Car les véritables perdants ont été l’Allemagne et la France, qui ont dû accepter de passer sous les fourches caudines du «club des frugaux». La question des montants en jeu fut âprement discutée. Mais c’est s’aveugler sur le cours réel des choses que de se focaliser sur ces montants. Le problème fut, et reste, fondamentalement politique.
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Les sanctions contre la Russie pénalisent… la France, par Nikola Mirkovic.
Source : https://www.bvoltaire.fr/
Il y a dix jours, comme le rapportait Les Échos, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a promis des sanctions pour les entreprises partenaires du projet de gazoduc Nord Stream 2 alors qu’en décembre, des premières sanctions américaines avaient déjà visé le projet.
Or, les sanctions économiques de Washington et Bruxelles contre la Russie ne sont pas efficaces, c’est ce que soulignait déjà un rapport du Sénat français de 2018 intitulé : « France-Russie : dialogue parlementaire pour rétablir la confiance ». Elles n’ont pas amélioré la situation en Ukraine et Moscou a décidé de répliquer par une politique d’interdiction d’importation de produits alimentaires provenant de pays imposant ces sanctions. D’après un article du Financial Times de février dernier, contre toute attente, ces sanctions ont été quasiment une aubaine pour la Russie qui en a profité pour réduire ses dépenses budgétaires superflues, intensifier sa production agricole nationale et noué des partenariats avec de nouveaux pays notamment en Afrique et en Asie. Pour le Financial Times, les résultats russes sont « impressionnants ».
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Un collectif de médecins Allemands alerte sur la mise en scène mortifère du coronavirus
Conférence de presse ACU (Commission d' enquête extra-parlementaire) :
- Dr. Heiko Schöning, "Médecins pour éclairsissenment", Allemagne/Hambourg,
- Dr. Bodo Schiffmann : médecin ORL, reconnu internationalement et récompensé professionnellement dans les magazines spécialisé, expert en vertige médical,
- Prof. Martin Haditsch (Autriche) : spécialiste en microbiologie, virologie et épidémiologie des infections, médecin généraliste sur l'éclaircissement et nécessité du "lockdown" et ses conséquences.
Source : acu2020.org
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Inquiétude en Italie : environ 11 000 migrants ont débarqué la semaine du 20 juillet
Environ 11 000 migrants ont débarqué en Italie la semaine du 20 juillet, la moitié arrivant de Tunisie. La ministre italienne de l’Intérieur fait part de sa «vive inquiétude» face à ce phénomène en pleine pandémie de Covid-19.
«Les débarquements autonomes sur les côtes italiennes se sont plus que multipliés en très peu de temps», note le ministère, en faisant référence aux petits bateaux qui traversent la Méditerranée depuis les côtes d’Afrique du Nord sans être interceptés.
(…) «L’UE doit se saisir de cette question immédiatement» et opérer une répartition des nouveaux arrivants, «en particulier durant cette phase de risque sanitaire élevé», a déclaré le ministre italien des Affaires étrangères, Luigi Di Maio, sur son compte Facebook.
RT via https://www.tvlibertes.com/actus/inquietude-en-italie-environ-11-000-migrants-ont-debarque-en-italie-la-semaine-du-20-juillet
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Déferlante migratoire : c'est reparti !
Alors que le futur Calife Erdogan menace de rouvrir les digues à un nouveau déferlement migratoire vers l'Europe, les arrivées massives ont repris en Italie et s'accroissent de jour en jour. Profitant d'une moindre vigilance italienne, due à la crise sanitaire et à l'éviction de Matteo Salvini du ministère de l'Intérieur l'automne dernier, 11 000 clandestins essentiellement venus de Libye et de Tunisie ont ainsi traversé la Méditerranée et débarqué à Lampedusa la semaine dernière. Le flux se poursuit et s'amplifie au rythme minimum de 300 illégaux par jour.Il n'est pas encore trop tard pour endiguer, puis inverser cet envahissement.Chacun de nous est face a ses responsabilités. Personne de notre camp n'a le droit de céder au découragement et de baisser les bras. Les solutions sont politiques. Politiques toujours. Politiques seulement. Le reste relève du rêve et de l'illusion. Nous n'avons plus le temps pour la métapolitique, les réflexions stratosphériques, les stratégies sur 10 ans... Plus le temps non plus des querelles ni des polémiques. Il y a urgence ! -
La France lésée à Bruxelles avec le consentement de Macron ! par Olivier Piacentini
par Olivier Piacentini, essayiste (ses livres ici) :
Dès l’annonce de l’accord à Bruxelles concernant le plan de relance européen, après quatre jours d’âpres négociations, Macron, le gouvernement, et les médias de concert ont plongé dans une véritable euphorie : une salve de satisfecits, cocoricos, congratulations et oufs de soulagement s’est déversée sur l’ensemble de la presse et de la classe politique.
Pays du nord frugaux, pays du sud cigales, tout le monde a trouvé son bonheur, l’Europe est sauvée.
Macron s’est empressé de venir sur TF1 rendre compte de ce qu’il nous présente comme un succès sans précédent, historique.
Sauf qu’au delà de l’avancée certaine de l’Europe sur la voie de l’intégration, pour nous Français ce plan d’aide est une véritable Bérézina, l’abandon complet de nos intérêts nationaux au profit de ceux des autres.Pour la première fois, l’Europe va emprunter des fonds, 750 milliards, les répartir entre pays en fonction des sommes négociées, et rembourser ces sommes de façon commune. Cela est nouveau.
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Sainte-Sophie : la redoutable nullité politique de l’Union européenne
La chronique de Philippe Randa
Si en France (et pas que !), beaucoup se désespèrent du nombre d’églises désaffectées, faute souvent tout autant de fidèles que de curés disponibles, voire vendues parfois pour être transformées en lieux d’activités bien étrangères à la moindre spiritualité, il est beaucoup moins courant qu’une basilique, convertie en mosquée, puis, 5 siècles plus tard, en musée comme « offrande à l’humanité », redevienne lieu de prières musulman.
Le monde catholique s’est ému du sort de l’ex-basilique de Sainte-Sophie – et Françoise Monestier s’en est même à juste titre indignée dans les colonnes de Présent –, mais également l’Église orthodoxe russe : « Nous constatons que l’inquiétude des millions de Chrétiens n’a pas été entendue, a regretté son porte-parole Vladimir Legoïda (selon l’agence Interfax) (…) La paix et la concorde entre les religions sont des questions extrêmement fragiles et complexes et qui ne peuvent supporter des décisions irréfléchies et purement politiques. »