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Europe et Union européenne - Page 317

  • Politique & Eco n°280 avec Charles Gave – Etats-Unis – Europe : le grand basculement de la puissance

    Aux Etats-Unis, un risque de basculement institutionnel grave… Avec l’élection de Joe Biden, l’Amérique restera-t-elle une nation démocratique ? Y a-t-il eu fraude ou pas ? Ceux qui pensent qu’il y a eu fraude se font traiter de complotistes et de demeurés mentaux par tous les médias qui nous annonçaient que Trump allait se faire battre alors qu’il a obtenu plus de voix qu’en 2016 !
    Qui est Joe Biden ? Un parfait ectoplasme, sans aucun intérêt, mais qui traîne un nombre de casseroles inimaginables.
    Que va faire Trump qui reste le président jusqu’au 20 Janvier ? On saura le 6 janvier s’il reste président ou s’il va devoir laisser la place. Si Biden est élu et si vous avez aimé l’impérialisme américain, vous allez adorer les impérialismes turc, chinois ou iranien.

    L’Europe et La France : vers une économie zombie engendrée par la destruction de la monnaie. L’augmentation de la masse monétaire (voulue par la BCE) n’est pas l’augmentation de la richesse. Entreprises et banques zombies prospèrent au détriment des entrepreneurs véritables et accélèrent la désindustrialisation (Italie, France). Le QE (assouplissement monétaire) condamne les monnaies européenne et américaine et offre de belles perspectives aux monnaies asiatiques (sauf Yen)… Le signe du déclin ?

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n280-avec-charles-gave-etats-unis-europe-le-grand-basculement-de-la-puissance

  • La Commission européenne souhaite régulariser 34 millions de migrants présents dans l’Union Européenne

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    La Commission européenne voudrait régulariser 34 millions de migrants. C’est ce qu’il ressort notamment de son plan d’action « pour l’intégration et l’inclusion » que l’on peut consulter librement ici.

    Un plan d’action présenté le 24 novembre 2020, par cette commission, non élue donc, mais qui entend faire la pluie et le beau temps des peuples européens.

    La Commission estime dans ce plan « que les obstacles à la participation et à l’inclusion des immigrants dans les sociétés européennes doivent être supprimés »

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  • Oui à l'autonomisme NON À l'indépendantisme ! 2/2

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    Pourquoi l'Union européenne est-elle de plus en plus détestée ? Précisément parce qu'elle devient jacobine et oligarchique. Elle accomplit en grand avec les États-nations ce que ces mêmes États avaient accompli en petit avec les régions : elle concentre le pouvoir, uniformise les coutumes et favorise une langue unique (hier le français, aujourd'hui l'anglais). Loin d'être un horizon commun de rassemblement pour les peuples qu'elle fédère, elle se transforme en marâtre qui étouffe ses enfants sous une multitude de directives, de recommandations et d'ordonnances. Elle veut décider de tout, par en haut, au lieu de laisser les peuples prendre leurs propres décisions, par en bas. D'où la tentation souverainiste. En redevenant maîtres d'eux-mêmes, les peuples espèrent reconquérir leurs responsabilités perdues. Ils veulent rapprendre à se conduire en adultes.

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  • Oui à l'autonomisme NON À l'indépendantisme ! 1/2

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    Par paresse intellectuelle, on confond communément autonomisme et indépendantisme. L'un demande davantage de pouvoir l'autre réclame le pouvoir Ce qui n'est pas la même chose. Or si l'on veut conjurer le spectre de la balkanisation et du séparatisme, c'est la légitime demande d'autonomie des peuples qu'il importe d'exaucer.

    La guerre entre les régions et l'État remonte à loin. Le républicanisme français a traditionnellement horreur des identités, qu'il juge incompatibles avec les lumières de la raison. Cette stigmatisation provoque chez nombre de militants régionalistes un rejet presque irréconciliable. Notre pays compte d'innombrables partis et mouvements d'émancipation, en métropole (Pays Basque et Bretagne), en Méditerranée Corse) ou dans l'outre-mer (Nouvelle-Calédonie et Polynésie). Depuis la fin du XIXe siècle, la Bretagne a joué un rôle moteur dans ces révoltes, de Lemercier d'Erm à Olier Mordrel et Fransez Debauvais. Les partis régionalistes et indépendantistes alsaciens furent particulièrement actifs dans les années 1920-1930, et l'on pourrait évoquer aussi le puissant mouvement occitan, le Félibrige provençal ou les Flamands de France.

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  • L'expatriation militante, qu'est-ce que c'est ? Anatoly Livry 07/2020. Vers un nouveau nationalisme.

  • Thibaud Gibelin : « Le rôle de Viktor Orban a été de dire non » à Bruxelles

    La fracture est consommée entre Viktor Orban et l’Union européenne. Même si les Hongrois et les Polonais devraient parvenir à un compromis sur le gigantesque plan de relance de 750 milliards, les divergences restent profondes. Épaulé par Varsovie, le Premier ministre hongrois a rejeté le critère du respect de l’état de droit, condition des subventions européennes.

    Dans le collimateur de Bruxelles depuis la crise migratoire, le populisme de Viktor Orban prend-il sa revanche sur l’Europe occidentale et libérale? L’analyse pour Sputnik de Thibaud Gibelin, doctorant, diplômé en histoire et en sciences politiques, auteur de l’essai «Pourquoi Viktor Orban joue et gagne», publié aux éditions Fauves.

    https://fr.novopress.info/220042/thibaud-gibelin-le-role-de-viktor-orban-a-ete-de-dire-non-a-bruxelles/

  • La révolte des pays d’Europe centrale*

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    Par Zdzisław Krasnodębski **

    En 2007, au moment de la crise financière, le feu de la critique a été clairement porté sur les pays du Sud européen. A refait alors surface la conviction de l’existence de profondes divergences entre, d’un côté, l’Europe du Nord, post-protestante et ascétique, et de l’autre, l’Europe du Sud, sybarite, dépensière, laxiste sur l’équilibre budgétaire et les lois.

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  • Il y a 40 ans, le 12 décembre 1980, notre camarade Juan Ignacio Gonzalez, Chef du Front de la Jeunesse à Madrid, était assassiné

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    Il y a 40 ans était assassiné à Madrid Juan Ignacio Gonzales, responsable national espagnol du Front de la Jeunesse. Nous étions de la même génération, nous menions le même combat. Depuis, ce crime n'a jamais été élucidé. Les tueurs, s'ils sont encore de ce monde, sont toujours en liberté.

    Depuis 40 ans, les camarades et amis espagnols de Juan Ignacio se battent sans relâche pour que la vérité finisse par éclater. Pour marquer ce triste anniversaire, ils ont demandé à tous les mouvements, associations et revues qui, à travers l'Europe, continuent le combat de publier aujourd'hui le communiqué ci-dessous. 

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