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Europe et Union européenne - Page 631

  • AFFRONTEMENTS AVEC LA POLICE, VIOLS, CRIMINALITÉ : ÉTÉ NORMAL POUR LES MIGRANTS D’ITALIE

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    L’actualité de ces dernières semaines aura – de nouveau – mis à dure épreuve les discours angéliques sur les bienfaits de l’immigration et la réalité de l’intégration. Entre deux reportages vantant la bonté de Mamadou qui fait du jardinage bio pour nourrir les Italiens et le civisme d’Habib qui lave son pot de yaourt avant de le jeter au tri (véridique), elle était plutôt faite d’émeutes avec la police, de viols à répétition et d’agressions dans les transports en commun.

    Le 24 août, à Rome, une centaine de réfugiés mettaient à feu et à sang la place de l’Indépendance pour protester contre la proposition de relogement de la mairie, alors qu’ils occupaient illégalement un immeuble depuis 2013 (où furent retrouvés plusieurs milliers d’euros d’argent liquide et des biens de luxe). De violents affrontements eurent lieu avec les forces de l’ordre, qui essuyèrent jets de pierres, de cocktails Molotov, mais aussi de bouteilles de gaz. Les sempiternels gardiens de la bonne conscience, qui dénoncèrent l’utilisation des canons à eau pour calmer les émeutiers, ne purent que se taire devant les images où est clairement visible l’attaque contre la police. Seules quatre personnes ont été interpellées.

    Des images parlant d’elles-mêmes aussi, celles qui montrèrent un groupe de Subsahariens jetant à terre et rouant de coups un chauffeur de bus. Étrangement, les gardiens de la bonne conscience n’ont pas commenté l’incident. 

    Silence analogue quant au viol, d’une rare violence, perpétré quelques jours plus tard à Rimini (le quotidien La Repubblica a quand même produit un article dénonçant… les commentaires à caractère raciste publiés sur la page Facebook d’un des violeurs !). Une bande de quatre « jeunes » (dont trois mineurs) – deux Marocains, un Nigérian et un Congolais (à qui le statut de réfugié avait été refusé) – massacrèrent un couple de touristes polonais, violant la jeune femme à tour de rôle, et étouffant son compagnon en lui mettant la tête dans le sable. Non contents de leur agression, que la police a qualifiée de « brutale et bestiale », ils s’en prirent à un transsexuel péruvien rencontré quelques centaines de mètres plus loin, le sodomisant six fois. La Pologne a demandé l’extradition des quatre auteurs.

    Le problème, ce n’est pas – seulement – que ces « faits divers » soient tous l’œuvre d’hôtes d’origine étrangère, immigrés de fraîche date ou nés en Italie. Mais plutôt qu’ils bénéficiaient tous de la solidarité et de la générosité du pays d’accueil. Pire : dans le cas des frères marocains, malgré la décision d’expulsion de toute leur famille tombée en 2014 (ils faisaient l’objet de plusieurs plaintes), ils vivaient aux frais de la princesse, mairie et Caritas s’acquittant de leur loyer, de leurs factures d’énergie et de leurs courses.

    On pourra alors rétorquer que de nombreux délits ont été commis par des Italiens durant la même période. Certes. Or, si de tels crimes sont difficilement prévisibles, il est néanmoins possible et impératif de contrôler les entrées sur son territoire, comme cela fut le cas des siècles durant. Ces racailles (aucune ne provenant d’une zone de guerre) n’avaient rien à faire sur le sol italien. La politique de la porte ouverte et de l’argent facile ne pourra que drainer vers nos contrées ce que la démographie explosive africaine produit de pire. Puisque les gens bien, eux, quand ils ne s’engagent pas pour l’amélioration de leur lieu de vie, restent au moins chez eux, auprès de leur famille 1.

    Notes:

    1. Rappelons que, selon l’UNHCR, sept migrants sur dix qui débarquent en Italie sont des hommes dont l’âge est compris entre 18 et 34 ans. 

    http://www.bvoltaire.fr/affrontements-police-viols-criminalite-ete-normal-migrants-ditalie/

  • Quand la liberté a disparu…

    Plaire aux cénacles euromondialistes, écouter les injonctions de Bruxelles, ne pas froisser Angela Merkel, partenaire indispensable pour poursuivre méthodiquement la mue de l‘Europe, malgré les résistances des peuples, vers l’avènement d’un fédéralisme européiste placé sous la tutelle de l’idéologie libérale-libertaire … Le site euractiv notait l’évidence en soulignant que « les ordonnances réformant le marché du travail en France », présentées la semaine  dernière par le Premier ministre Édouard Philippe et le ministre du Travail, Muriel Penicaud, « font la joie de la Commission européenne » et du « Medef » (…). « Elles ont d’ailleurs été chaleureusement accueillies par Pierre Gattaz, qui les qualifie de  première étape importante  pour  conforter la confiance des chefs d’entreprise » (…). « L’extrême droite (sic) a dénoncé le texte comme une escroquerie » mais « les mesures en question sont en revanche perçues comme un gage de confiance par les partenaires européens. » Le vice-chancelier allemand, Sigmar Gabriel  avait déjà salué cette réforme  le 30 août,  à la sortie du conseil des ministres français où il avait  été invité à siéger, le symbole n’échappera à personne… Et « la Commission européenne ne tarit pas d’éloge sur la réforme, en des termes encore plus élogieux que lors de la présentation de la loi El Khomri en 2016. »

    Ouest France rapportait pour sa part les propos du porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, martelant ce qui fut un des fils conducteurs de la campagne d’Emmanuel Macronhors l’europe de bruxelles et l’euro point de salut pour la France. Mercredi dernier, M. Castaner a déclaré « qu’il faudra une volonté forte de la France et de l’Allemagne  pour réformer la zone euro. » « La réforme de l’Union européenne et de la zone euro supposera de trouver un équilibre entre les positions française, allemande et les autres mais des propositions tièdes mettraient l’Europe en péril » (sic).  Propositions tièdes qui ne sont pas non plus de mise dans la volonté des gauleiters de l’Europe nouvelle d’imposer toujours plus avant  une police de la pensée. Le tout  sous couvert de lutte contre  les propos haineux et la désinformation. Bassesses et mensonges dont les grands médias sont souvent  remplis à l’encontre de leurs adversaires du moment,  en fonction des objectifs de leurs vrais  patrons.

    Mariya Gabriel, 38 ans, Bulgare, francophone, spécialiste des relations internationales et membre du PPE (Parti populaire européen),  est la nouvelle commissaire au numérique entrée en fonction en juillet. Euractiv  nous prévient aussi qu’elle s’apprête « à prendre une des premières mesures de son mandat : mettre sur pied un groupe d’experts sur les  fake news  »  (fausses nouvelles). La jeune femme « a cependant indiqué n’être pas encore certaine qu’il faille passer des lois européennes sur la question.  Il est prématuré de parler de législation , a-t-elle jugé. Elle a toutefois l’intention de  dire très clairement que les plateformes (Internet) ont une obligation de diligence , un terme juridique signifiant que les sociétés en ligne, comme Facebook ou Twitter devraient prendre des mesures pour surveiller les posts de leurs utilisateurs. »

    « Le mois prochain, la Commission européenne devrait annoncer des mesures instaurant des obligations communes pour le retrait de contenus illégaux publiés sur les réseaux sociaux(…).  Certains États membres font pression pour que la Commission annonce ces nouvelles mesures sur les fausses nouvelles et les contenus illégaux en ligne. L’Allemagne a même introduit une loi nationale plus tôt dans l’année, selon laquelle les médias sociaux risquent jusqu’à 50 millions d’euros d’amende s’ils ne retirent pas les contenus illégaux, comme les propos haineux. D’autres pays européens envisagent de suivre cet exemple. »

    « Il est évident que nous avons besoin d’une approche européenne, en plus des pratiques et lois nationales », estime Mariya Gabriel. « Si nous ne mettons rien en place, les exemples d’abus ne feront que se multiplier. Il est réellement important d’assurer ce type de cohérence au niveau européen. » C’est Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, est il indiqué « qui avait demandé à sa nouvelle commissaire de se pencher sur la question des  fake news  dans la lettre de mission qu’il lui a adressée en mai ( …):  La Commission doit examiner les défis que créent les plateformes en ligne pour nos démocraties en ce qui concerne la dissémination d’informations fausses et initier une réflexion sur ce qui pourrait être fait au niveau européen pour protéger les citoyens , avait-il écrit. » Protéger les citoyens?... On se pince ! 

    Cette lutte pour un contrôle accru des canaux d’information échappant aux grands groupes capitalistiques  et à la pensée dominante a été voulue et initiée par les gardiens d’un Système de plus en plus illégitime et sans soutien populaire. Nous le notions déjà avec la mise en place il y a quelques mois  d’un  decodex hébergé par Le Monde et financé par le « Fonds Google »,  créant l’amalgame et la confusion,   lançant des anathèmes et des avertissements contre les sites dissidents. Nous citions alors Laurent Berruyer qui, sur son blogue Les Crises, tirait un premier bilan de ce decodex : « le  service de vérification des faits (du Monde) ne pouvait qu’aboutir à sa transformation insidieuse en une sorte de Ministère de la Vérité qui prétend dire le Vrai.» Dans les faits «une Police de la pensée, car toute autorité prétendant dire le Vrai ne peut accepter de voir son autorité remise en question, dans le cas où des personnes persistent volontairement dans l’erreur. Un tel Pouvoir constitué est donc toujours tenté d’abuser de ses prérogatives. »

    Cette prise en main par la Commission européenne avec le soutien servile de gouvernements communiant dans la même frousse et les mêmes obsessions n’est pas pour nous surprendre. Cette dérive orwellienne ira en s’intensifiant si les Européens se laissent museler sans broncher. A terme, toute idée qui ne sera pas strictement conforme à la pensée mondialiste pourrait être considérée comme illégale, toute information contraire à la doxa multiculturalisteprogressiste pourrait être taxée… de fausse information appelant à la haine. D’ores et déjà le  fait notamment de défendre les identités nationales, le  modèle familial,  nos valeurs civilisationnelles helléno-chrétiennes vous entraîne de facto dans le camp des parias, des mauvais citoyens à rééduquer.  Nous avons pour cela en France une déjà abondante législation dite antiraciste et dernièrement encore a été créé un délit d’entrave numérique  à l’IVG…

    Bruno Gollnisch a tiré la sonnette d’alarme sur la nouvelle offensive en cours contre la liberté d’expression qui vise principalement le camp national, la mouvance patriotique, à empêcher tout sursaut vital,  à briser les défenses immunitaires du peuple français. Il pense que le Front National doit rester en pointe dans ce combat pour nos libertés françaises, conviction qu’il continue d’illustrer au sein des instances frontistes. Le grand écrivain indien Rabindranath Tagore écrivait certes avec raison qu’« on ne s’attire que des ennuis à vouloir ouvrir les yeux de qui ne veut pas voir ». Mais si le FN a longtemps prêché dans le désert,  ce n’est plus le cas aujourd’hui, ses constats sur les menaces multiformes pesant sur notre avenir sont aujourd’hui assez largement partagés. Français qui sentent, qui ressentent plus ou moins clairement la grande vérité de cette sentence de  Chateaubriand : « quand la liberté a disparu, il reste un pays, mais il n’y a plus de patrie. »

    https://gollnisch.com/2017/09/04/liberte-a-disparu/

  • “Si quelqu’un crie ‘Allah Akbar’, nous l’abattrons”, prévient le maire de Venise

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    L’édile de droite Luigi Brugnaro affirme que sa ville est plus sûre que Barcelone, frappée par un attentat meurtrier, la semaine dernière. 
    Le maire de Venise Luigi Brugnaro assure que sa ville est plus sûre que Barcelone, où 13 personnes sont mortes dans un attentat, la semaine dernière, rapporte le Times. Lors d’une conférence à Rimini, dans le nord-est de l’Italie, l’édile de droite, réputé pour son franc-parler, a même menacé de faire tirer sans sommation sur les suspects de terrorisme.
    “À l’opposé de Barcelone, où ils n’ont pas installé de protections, nous restons sur nos gardes”, a-t-il déclaré sous les applaudissements. “Si quelqu’un court sur la place Saint-Marc en criant ‘Allah Akbar’, nous l’abattrons”, a prévenu le maire. “Nous enverrons les terroristes directement chez Allah avant qu'ils ne puissent nous faire du mal”, a-t-il conclu.
  • PARTOUT, ANGELA MERKEL EN CAMPAGNE ÉLECTORALE EST HUÉE ET SIFFLÉE !

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    Des opposants à la politique de la chancelière la huent et la sifflent, tout en tenant en main des panneaux portant des slogans contestant sa politique.

    La chancelière allemande chrétienne-démocrate Angela Merkel, quasi assurée malgré une chute de popularité de rester aux commandes du pays à l’issue des élections législatives du dimanche 24 septembre 2017, est en tournée électorale. Elle tient, au fil des jours, des meetings à différents endroits. Cette promenade ne se déroule cependant pas sous les meilleurs auspices. En effet, des opposants à la politique de la chancelière la huent et la sifflent, tout en tenant en main des panneaux portant des slogans contestant sa politique.

    Que ce soit à Bitterfeld-Wolfen, à Brandenbourg-sur-la-Havel, à Ludwigshafen ou à Erlangen, les opposants sont au rendez-vous et se font entendre.

    Ce mercredi 30 août, Angela Merkel débarquait, en fin de journée, à Ludwigshafen, la deuxième ville la plus peuplée de la Rhénanie-Palatinat. Au sein de cette cité de 160.000 habitants se trouve le siège originel et principal du géant de la chimie BASF. Pourtant, le centre-ville a fortement changé au cours des dernières années. Les commerces de pitas turcs, les magasins de produits à bon marché, les agences de paris sportifs et les bars à chicha y sont de plus en plus nombreux. Dans le centre piétonnier de la cité, le peuple allemand originel est devenu minoritaire.

    Le rassemblement électoral organisé par le parti d’Angela Merkel, la CDU, avait pour objet de permettre à la chef du gouvernement de tenir un discours durant trente minutes. À 17 h pile, celle-ci est apparue devant le public, sous haute protection policière. Immédiatement, les sifflements ont retenti et se sont prolongés durant une grande partie du discours. La chancelière a été copieusement huée.

    Les spectateurs étaient composés, pour un quart, de membres du parti, protégés par la police et des barrières. Derrière ceux-ci figuraient les autres personnes appartenant au public. Un quart étant venu pour écouter l’exposé, un autre quart étant composé de musulmans, certains d’entre eux applaudissant frénétiquement des paroles du discours et, le quart restant, d’opposants pour la plupart proches du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD).

    Les phrases creuses de la chancelière, telles que « Pour un pays au sein duquel nous vivons bien et volontiers » et « La CDU veut expulser immédiatement les criminels étrangers », n’ont pas pu, malgré l’installation audio mise en place par le parti, être plus audibles que les huées et sifflets des opposants.

    Les applaudissements des membres de la CDU ou des musulmans, parmi lesquels figuraient des femmes en tchador ou portant des voiles, n’ont pas pu non plus couvrir, par leurs applaudissements, les sifflets et les huées visant la politique d’asile pratiquée par la chancelière.

    Celle-ci a ensuite quitté les lieux par un passage situé derrière la scène, sans se mêler au public. Seule la présidente de la CDU de Rhénanie-Palatinat, Julia Klöckner, a osé sortir de la zone protégée derrière les barrières afin de se mêler aux électeurs.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • "La Pologne est et restera fidèle à son héritage chrétien"

    Dans le dernier numéro de La Nef, Yves Daoudal évoque la Pologne (article en accès libre) :

    6a00d83451619c69e201bb09beed42970d-250wi.jpg"[...] On ne comprend rien à la Pologne si l’on ne prend pas la mesure du « fait religieux ». Et si l’on ne prend pas la mesure du patriotisme irrigué par la foi. La Pologne avait été un grand pays d’Europe, et elle avait disparu de la carte politique pendant plus d’un siècle. C’est le clergé qui était le mieux à même de maintenir la flamme polonaise. Et quand la Pologne ressuscita, notamment par les efforts du grand pianiste Paderewski (cela aussi, c’est polonais…) elle fut bientôt soumise au joug soviétique, et c’est encore le clergé qui maintint la flamme. Cela culmina avec la célébration du millénaire du baptême de la Pologne, en 1966. Le pouvoir communiste avait lui aussi organisé des célébrations, et tout tenté pour réduire celles de l’Église. Peine perdue. Au milieu des innombrables manifestations, il apparut de façon spectaculaire que la personne qui représentait véritablement la nation polonaise était le primat de Pologne, le cardinal Wyszynski. D’ailleurs on ne le désigna plus, à partir de ce moment-là, que sous le titre de « Primat du Millénaire ».

    L’an 2016, c’était le 1050e anniversaire du baptême de la Pologne : l’occasion de parfaire, en quelque sorte, la célébration de 1966, en montrant, cette fois, l’union catholique de la nation polonaise, comme une sorte de revanche de l’histoire, en hommage au primat du millénaire. Cela fut facilité par le fait qu’en octobre 2015 les élections législatives avaient porté au pouvoir le PiS, le parti Droit et Justice qui, au fil du temps, est devenu le grand parti de droite, absorbant la plupart des mouvements patriotes catholiques (il ne reste que Droite de la République, de Marek Jurek, mais qui est électoralement associé au PiS). Élections qui, d’autre part, voyaient la disparition complète des députés de gauche… La seule grande formation d’opposition est la Plate-forme civique (PO), parti libéral qui, chez nous, serait qualifié de droite. Parti dont le chef était Donald Tusk, aujourd’hui président du Conseil européen...

    Du 14 au 16 avril 2016, la présidence, le gouvernement et l’Église ont ainsi organisé conjointement trois jours de célébrations. Au programme, une assemblée plénière de l’épiscopat polonais, une grand-messe solennelle dans la cathédrale de Gniezno, lieu du baptême du roi Mieszko, premier évêché de Pologne et toujours siège primatial, et à Poznan, la ville la plus proche, une session extraordinaire du Parlement polonais, avec le gouvernement, un légat apostolique, le nonce apostolique, le primat et les évêques, de nombreux prêtres, des représentants de Parlements étrangers, des ambassadeurs…

    Le président de la République, Andrzej Duda, prononça un discours qui, chez nous, serait tout simplement impensable. En voici les premiers mots :

    « Le baptême de Mieszko Ier est l'événement le plus important de toute l'histoire de l'État polonais et de la nation polonaise. Je ne dis pas : ce fut, je dis : c’est, car la décision prise par notre premier souverain historique a prédéterminé tout l'avenir de notre pays. Notre héritage chrétien continue de façonner les destinées de la Pologne et de chacun d'entre nous, nous le peuple polonais, jusqu'à ce jour. C’est ce que saint Jean-Paul II avait en tête quand il a observé : “Sans le Christ, on ne peut pas comprendre l'histoire de la Pologne.” »

    Il rappelait ensuite longuement les célébrations du millénaire et le rôle joué par le cardinal Wyszynski, puis il détaillait « les trois piliers de la civilisation chrétienne » : la philosophie grecque, le droit romain, le noyau de la pensée chrétienne : le Décalogue et l’Évangile, qui sont « devenus les piliers de l’identité et de la culture polonaises ». Ayant évoqué les épreuves que la Pologne a connues au cours des siècles, et les dernières d’entre elles, le nazisme puis le communisme, ainsi que les défis de notre temps, il concluait, après une citation de Jean-Paul II :

    « Voilà pourquoi, pour rendre hommage à nos prédécesseurs prévoyants d'il y a 1050 ans, je voudrais dire catégoriquement aujourd'hui que, conformément aux instructions de notre grand compatriote, la Pologne est et restera fidèle à son héritage chrétien. Car c’est dans cet héritage que nous avons une base solide et éprouvée pour l'avenir. »

    [...] Le 1050e anniversaire du baptême de la Pologne eut comme point d’orgue le 19 novembre l’« acte de réception de Jésus-Christ comme Roi et Seigneur », au sanctuaire de la Divine Miséricorde, près de Cracovie, par les évêques, le président de la République et des membres du gouvernement et du Parlement, en présence de dizaines de milliers de personnes, au cours d’une grand-messe. [...] Dans une lettre pastorale, les évêques ont expliqué qu’« il n’est pas nécessaire d’introniser le Christ au sens de le placer sur un trône et de lui donner le pouvoir ou de le proclamer. En effet, Il est le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs pour toujours ». Cependant, aujourd’hui « nous assistons à une tendance croissante de laisser Dieu en marge de la vie, ou même de s’éloigner de Dieu », ce qui Le prive du culte qui Lui est dû. Par conséquent « il est urgent d’introniser le Christ dans le cœur des fidèles, en ranimant la foi vivante et la vie de foi ». Dans son homélie, le cardinal Dziwisz, archevêque de Cracovie (et ancien secrétaire de Jean-Paul II), a déclaré : « Nous invitons Jésus dans nos cœurs, nos familles, nos communautés, notre environnement, et dans tout ce qui constitue la Pologne. » Ajoutant que personne ne devrait avoir peur de proclamer cela. Et Mgr Czaja, le président des comités pour l’intronisation, a ajouté : « Il est nécessaire de respecter clairement la loi de Dieu, afin que la loi de l'homme ne prime pas sur elle. » Les évêques proclamèrent l’Acte de réception de Jésus-Christ comme Roi et Seigneur, acte qui dès le lendemain, dimanche, fut également proclamé dans toutes les paroisses du pays. [...]"

    Michel Janva

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  • Propagande de l'UE pour soutenir l'adhésion de la Serbie et du Kosovo

    Lu ici :

    "Bruxelles a décidé d'allouer plus de deux millions d'euros pour une campagne d'information en Serbie et au Kosovo, qui aura pour but de sensibiliser la population à l'intégration au sein de l'UE, selon une information exclusive de RT.

    [...] Le projet prévoit une variété d'activités axées sur l'information et la communication : la publication d'articles dans les langues des deux pays sur internet et les réseaux sociaux, l'organisation d'événements publics de divertissement et de journées thématiques pour les citoyens, ainsi que la production de produits dérivés faisant la promotion de l'intégration européenne. [...]

    Interrogé par RT en russe, le politologue russe Vladimir Bruther estime qu'en finançant une telle campagne d'information, l'UE tente en réalité de résoudre un problème crucial, celui du statut du Kosovo. Depuis 2008, une trentaine de pays ne reconnaissent pas l'indépendance de cet Etat, dont la Serbie et la Russie pour qui le Kosovo reste partie intégrante de l'Etat serbe."

    Michel Janva

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  • Cent fois sur l’occupation, remettez votre évacuation !

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    La chronique de Philippe Randa

    Ils sont (re)venus/Ils sont tous là /Avec des demandes d’asiles plein les bras…

    Où ? Porte de la Chapelle, à Paris, en ce mois d’août, bien sûr ! 2 500 migrants s’étaient réinstallés pour le plus grand déplaisir des riverains jusqu’à leur évacuation, par 350 policiers à la veille du week-end : « 2 376 hommes, 60 femmes, et 23 mineurs », a précisé Didier Leschi, directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII).

    Cent fois sur l’occupation, remettez votre évacuation ! dirait un Nicolas Boileau contemporain.

    Un peu de toutes les nationalités, comme d’habitude : de l’Afghans, du Soudanais, du Somalien et de l’Érythréen « dont la plupart, clandestins, ne sont même pas éligibles au droit d’asile », tempête Philippe Goujon, qui en a hérité de 450 dans le XVe arrondissement, pour la plus grande joie de ses administrés, on n’en doute pas.

    « C’est la troisième fois qu’un gymnase du 15e est choisi, sans que j’en sois informé, pour être transformé en campement de migrants », ajoute-t-il, taclant au passage le nouveau locataire de l’Élysée : « Je regrette que le nouveau président de la République suive la même politique d’absence de maîtrise de l’immigration que son prédécesseur… »

    Regrette-t-il désormais d’avoir repris, dans l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle, le communiqué de presse des Républicains mentionnant que « l’abstention ne peut être un choix » et qu’il fallait faire barrage à Marine Le Pen ?

    Sans doute pas, un élu Les Républicains, ça ne regrette jamais rien… C’est même à ça qu’on les reconnaît !

    Source EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’ENTRÉE DE TERRORISTES ISLAMISTES PARMI LES « MIGRANTS » SE CONFIRME

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    Il n’est plus possible – aujourd’hui – d’avoir une politique migratoire qui ne tienne pas compte de la sécurité des Français.

    Salah Abdeslam, survivant du commando ayant commis les attentats du 13 novembre 2015 et qui croupit en prison à Fleury-Mérogis, aurait convoyé, en 2015, treize terroristes, formés par l’État islamique, depuis la Hongrie, nous apprend, le 14 août, le journal hongrois Magyar Idök. Ce fut, notamment, le cas pour trois membres du commando du Bataclan – Ismaël Omar Mostefaï, Foued Mohamed-Aggad et Samy Amimour -, récupérés par Abdeslam, le 17 septembre 2015. Ils s’étaient infiltrés dans la zone Schengen par la frontière entre la Hongrie et la Serbie, dissimulés parmi les flots de migrants.

    Comble de l’ineptie, Salah Abdeslam aurait même profité de l’assistance involontaire des nombreux bénévoles qui venaient en aide aux migrants à Budapest ! Il a même séjourné, à deux reprises, dans l’appartement du membre d’une organisation humanitaire. Pour compléter le tableau, il faut se souvenir qu’un Irakien, Ammar Ramadan Mansour Mohamad al Sabaawi, l’un des terroristes du Stade de France, avait aussi pris la route des Balkans. L’un de ses frères, Ahmad, inquiète toujours les services de renseignement qui estiment plausible qu’il ait aussi gagné l’Europe en vue d’y conduire des attaques.

    Le premier enseignement de cette information, c’est que nous avons la preuve que d’autres terroristes que ceux du Bataclan se sont mêlés et se mêlent encore sans doute aux « migrants », malgré tout ce que peuvent dire les thuriféraires des bienfaits liés à l’immigration massive, en premier lieu notre Président, Emmanuel Macron. Et nous continuons à faire fi de cette situation, quitte à dégrader le niveau de sécurité des Français. Souvenons-nous, aussi, que la branche libyenne de l’État islamique avait menacé, dès février 2015, d’envoyer 500.000 migrants sur les côtes italiennes afin de créer un désastre humanitaire si se précisait une intervention militaire internationale en Libye. 

    Combien sont rentrés par la Libye ? Je crois que personne ne le sait vraiment, pas même Europol qui annonçait, en 2016, de manière intempestive entre 3.000 et 5.000 terroristes infiltrés en Europe. Mais ce qui est sûr, c’est que l’État islamique revendique toujours ce qu’il fait. Si le flot d’immigration par la Libye a diminué actuellement grâce à l’action des gardes-côtes libyens, la situation d’insécurité qui y règne ne garantit absolument pas l’avenir. Circonstance aggravante : une nouvelle voie d’immigration par le Maroc semble s’ouvrir.

    Le second enseignement, c’est qu’après les attentats du 13 novembre 2015, nous sommes toujours incapables de remettre en cause le dysfonctionnement des accords de Schengen sur le contrôle des frontières extérieures de l’Union européenne et de reprendre le contrôle de nos propres frontières, alors que le Belge Abdelhamid Abaaoud – la tête du réseau des attentats du 13 novembre 2015 – s’était confié à une de ses proches en indiquant que la France était une vraie passoire et qu’il avait lui-même introduit quatre-vingt-dix terroristes !

    Le troisième enseignement, c’est que nous ne tenons pas compte des deux premiers enseignements et restons béats devant ce flot continu de migrants. Macron a un amour immodéré pour l’immigration qu’il veut mieux accueillir, particulièrement la migration algérienne qu’il veut accélérer.

    Les centres d’identification (hubs) au Niger, au Tchad et en Libye proposés par notre Président ne sont que des leurres et ne fonctionneront pas car ils seront fuis par les nouveaux migrants transitant par ces pays. D’ailleurs, les chefs d’État africains lui ont dit, lundi, que seul l’argent consacré au développement pouvait inverser la tendance ! Une fin de non-recevoir polie. Il n’est plus possible, aujourd’hui, d’avoir une politique migratoire qui ne tienne pas compte de la sécurité des Français.

    http://www.bvoltaire.fr/lentree-de-terroristes-islamistes-parmi-migrants-se-confirme/

  • Travailleurs détachés : le plombier polonais se rebiffe

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LAXISME DE LA JUSTICE ALLEMANDE FACE AUX VIOLS COMMIS PAR LES MIGRANTS

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    La justice accorde des circonstances atténuantes aux agresseurs qui se voient frappés de peines très légères.

    Alors que les agressions sexuelles perpétrées par les migrants sur les Allemandes se poursuivent, la justice accorde des circonstances atténuantes aux agresseurs, qui se voient frappés de peines très légères.

    Un individu de nationalité gambienne, entré illégalement en Allemagne en 2014 et vivant, depuis lors, en tant que réfugié à Fribourg-en-Brisgau, au Bade-Wurtemberg, avait été condamné en première instance à huit mois d’emprisonnement pour avoir tenté, durant une demi-heure, de violer une Allemande de 17 ans, l’acte ayant été évité au dernier moment suite à l’intervention de colocataires de la victime alertés par les cris de celle-ci. Le Gambien est allé en appel et la justice a réduit fortement la peine : il est seulement frappé, ce 23 août 2017, de cinquante heures de prestations sociales (et contraint à trois entretiens au sein de l’association de conseils pour le planning familial, la pédagogie sexuelle et les conseils sexuels Pro Familia), son avocat, payé aux frais du contribuable, ayant plaidé le fait que son client présente de bonnes possibilités d’intégration. L’agresseur a décidé, devant le tribunal, de ne pas s’excuser auprès de sa victime.

    Un Irakien de 23 ans ayant violé, le 6 août 2017, une Munichoise de 22 ans a, par contre, ce même jour, accepté devant un tribunal de lui présenter des excuses. La victime avait dansé toute la nuit lors d’une soirée organisée au bord du lac de Starnberg, dans les environs de Munich. Elle s’était ensuite rendue à la station de train local où l’Irakien, ayant lui aussi pris part à cette soirée, l’avait abordée en lui faisant croire qu’il connaissait un chemin plus court, l’avait entraînée vers une prairie, l’avait jetée à terre, lui avait tenu la bouche fermée et l’avait violée.

    Le 23 août 2017, à 2 h du matin, au sein de l’ancien jardin botanique à Munich, des passants ont été alertés par des cris. Ils ont vu une étudiante allemande de 17 ans en train d’être violée par un Afghan de 18 ans. La police, prévenue, a été contrainte de tirer un coup de feu en l’air afin de pouvoir capturer l’individu alors en fuite.

    Ce 20 août 2017, à Dortmund, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, une Allemande a été violée dans les toilettes de la discothèque Maquina par un Africain demandeur d’asile.

    Les hôpitaux ne sont pas épargnés. Mojtaba H., un Afghan demandeur d’asile de 30 ans, est jugé à Hambourg pour avoir pénétré par une fenêtre au sein d’une clinique durant la nuit afin de commettre une agression sexuelle, le viol étant évité suite à l’intervention d’une infirmière, malgré le fait que l’agresseur ait eu le culot de lui prétendre être le petit ami de la victime.

    Pendant ce temps, le journaliste anti-islamisation Michael Stürzenberger a été condamné, ce 18 août 2017, à Munich, à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social pour avoir publié sur Facebook une photo historique montrant les collusions ayant existé entre un pan de l’islam et le national-socialisme, la juge estimant, entre autres, qu’il a ainsi stigmatisé les musulmans.

    La justice allemande est devenue une institution de république bananière où les peines les plus légères frappent les migrants coupables des pires délits pendant que certains patriotes se voient condamnés pour délit d’opinion.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog