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Europe et Union européenne - Page 630

  • François Hollande ridiculisé par Beata Szydło, Premier ministre de Pologne…

    Utilisée à bon escient, l’ironie, en politique, est une arme de destruction massive.

    Du haut d’un taux de popularité qui ne l’élève pas bien haut, et l’empêche en tout cas d’avoir l’horizon dégagé, le François Hollande qui achève cahin-caha son mandat est volontiers donneur de leçons. Mieux : il est un homme en croisade. On se souvient de sa récente tirade contre Marine Le Pen. On l’a vu, plus récemment, réclamer, en compagnie d’Angela Merkel, une « Europe à plusieurs vitesses ».

    Les douze étoiles sur le bouclier, le heaume ayant remplacé le casque de moto, le regard moins aguerri que celui de Saint Louis, François Hollande, à défaut d’entrer par la grande porte dans l’histoire de son pays, entend probablement laisser une trace dans le cheminement d’une Europe en capilotade.

    Pas plus qu’en interne le succès n’est pourtant au rendez-vous. En témoigne l’incident survenu lors du sommet européen qui s’est tenu à Bruxelles, ce 10 mars. Alors qu’il venait de tempêter contre les pays de l’Est européen, et plus particulièrement la Pologne, « l’un des plus grands bénéficiaires des fonds structurels européens », le Président français eut à subir, selon le Guardian, le feu grégeois de Beata Szydło, Premier ministre polonais :

    « Je suis supposée prendre au sérieux le chantage d’un président dont le taux de popularité est à 4 % et qui ne sera bientôt plus président ?

    Utilisée à bon escient, l’ironie, en politique, est une arme de destruction massive. Le problème, dans l’affront subi par François Hollande des œuvres de Beata Szydło, est qu’il est également une gifle infligée à la France – un des membres fondateurs de l’Europe – par la Pologne, pays ayant récemment adhéré au cénacle et qui défend des valeurs trop peu défendues par les contrées historiques.

    Beata Szydło est membre de Droit et Justice, parti fondé au tournant du siècle par les frères Kaczyński. Elle devint présidente du Conseil des ministres en novembre 2015 après la victoire de ses troupes lors des élections législatives. Arrivée au pouvoir, elle se montre sceptique non seulement envers les directives européennes, mais aussi les politiques migratoires laxistes : dans la foulée des attentats de Bruxelles, elle refuse ainsi d’accueillir des migrants sur le territoire polonais.

    De son côté, François Hollande ne cesse plus de tomber de Charybde en Scylla, créatures qui, pour lui, prennent les visages de Marine Le Pen et de Beata Szydło. La politique qu’il mène, et qui est aujourd’hui reprise par un Macron qui ne doit sa popularité qu’au fait d’être encore fringant – pour combien de temps ? —, est aujourd’hui discréditée. Cela ne l’empêche pas de vouloir l’imposer, contre les vents et les marées de l’Histoire.

    http://www.bvoltaire.fr/gregoryvandenbruel/francois-hollande-ridiculise-beata-szydlo-premier-ministre-de-pologne,318890

  • La levée de l’immunité de Marine? Une médiocre ignominie!

    Explication de vote du 2 mars 2017 de  Bruno Gollnisch sur le  Rapport Ferrara (A8-0047/2017) portant sur la levée d’immunité de Marine Le Pen

    «  Quand le sage montre la lune du doigt, l’imbécile regard le doigt  » dit en substance un proverbe réputé chinois.

    Ainsi, celle qui dénonce Daesh en montrant les monstruosités commises par cette organisation est accusée d’atteinte à la dignité humaine. Et c’est elle qui est poursuivie en justice  ! Et ce Parlement donne la main à cela  ! C’est une médiocre ignominie  !

    Ce l’est d’autant plus que la procédure a été pour le moins désinvolte  : l’opinion initiale était fondée sur la croyance que la famille d’une victime avait porté plainte, ce qui n’a jamais été le cas. Le rapport a été adopté dans l’urgence, pour pouvoir passer en plénière à un moment certainement jugé politiquement opportun, sans étudier le fait que l’Assemblée Nationale avait maintenu l’immunité deGilbert Collard, poursuivi pour les mêmes raisons.

    La vérité est que vous êtes désireux d’apporter votre petite pierre minable à la persécution judiciaire dont est victime un mouvement politique en tête des sondages pour les prochaines élections. Vous ajoutez la partialité politique à l’ingérence. Ne vous étonnez pas des retours de bâton.

  • La mort programmée de la société occidentale

    Bernard Plouvier

    Qu’on le veuille reconnaître ou non est sans importance : l’Occident, né lors de la grande Renaissance des XVe–XVIe siècles, fut une société qui, au temps de sa splendeur, était dominée par le mâle européen, conquérant & civilisateur. La veulerie des sous-hommes d’Europe et d’Amérique du Nord est seule responsable du déclin de la société occidentale, débuté lors des années 1965 sq.

    Ce déclin s’est accéléré depuis le changement d’ère, lorsque l’on est passé, en Occident, d’une société où guerres et politique allaient de pair avec l’organisation économique à notre actuelle société globalo-mondialiste où les Blancs produisent de moins en moins ce qu’ils consomment, font de moins en moins de rejetons, laissent envahir leurs patries d’allogènes violents et sous-évolués, enfin donnent à la femme un rôle disproportionné à ses capacités, au nom d’une soi-disant égalité inconnue de la Nature, où seule existe la complémentarité entre sexes et caractères.

    Implanter la Charî’a médiévale et obscurantiste en Occident serait aussi stupide que d’y vénérer la Théorie du genre. Ne plus réprimer durement la criminalité, tolérer la délinquance sont deux autres exemples de la pourriture d’une société où (re)deviennent « élus du peuple » des canailles financières (parfois déjà condamnées pour leurs turpitudes) et des crapules sexuelles… certains, même, cumulant ces caractéristiques comme ils le font avec les sinécures dorées.

    Non seulement les Nations occidentales tolèrent les émeutes raciales ou les cités de non-droit sur le sol de leurs patries, mais en outre l’on assiste à la diabolisation de la police et de l’Armée. Jamais nos grands-pères, tout discutables fussent-ils dans leurs actions ou leurs pensées, n’auraient toléré que des non-Européens mettent à sac nos villes, violent impunément des Européen(ne)s et remettent en cause les forces de l’ordre. On voit mal un de Gaulle, pourtant peu performant, dans ce rôle permissif… il est vrai qu’il n’aurait pas redistribué la manne institutionnelle à son Yvonne, pas plus qu’il n’encombrait les magazines avec sa vie privée.

    De nos jours, en cette France où le meurtre de policiers et de gendarmes est devenu une banalité, un petit plaisir pour arsouille de l’immigration exotique, l’on monte en épingle la moindre bavure policière, au point de condamner à la prison des « flics » qui tentent de faire respecter un minimum d’ordre dans une Ripoublique où bien des ministres, voire des Présidents, mériteraient de goûter au régime carcéral… le nombre de ministres et de sous-ministres du sieur Hollande qui furent ou sont des repris de justice ou des mères de trafiquants de drogue dépasse tout ce que l’on avait connu auparavant, et l’on n’évoque même pas le cas de certain(e)s honorables député(e)s socialistes.  

    Qu’il y ait des ratés dans une société où règne un ordre strict, c’est inévitable. L’Armée pas plus que les forces de police ne sont jamais entièrement constituées d’hommes probes, efficaces, zélés, intelligents. Mais, comme l’écrivait un authentique génie de notre culture occidentale : il vaut mieux préférer une injustice à un désordre.

    En notre époque, molle du fait de sa grotesque féminisation, dans cet Occident où dominent les pitres et où nul génie ne s’est manifesté depuis près d’un siècle, cette phrase de Goethe paraît le summum de l’intolérable. Alors que c’est notre veulerie qui est intolérable.    

    2017 est l’année d’un espoir de renouveau pour les libres citoyens des USA. Pourquoi cette année serait-elle obligatoirement celle de la poursuite de la dégringolade en France ?

    SN BP Populisme 2017 01.jpg

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  • Immigration, prudence politique et bien commun

    Le dernier numéro de L'Homme Nouveau revient sur le livre de Laurent Dandrieu sur l'Eglise et l'immigration, avec un passionnant débat entre l'auteur et l'abbé Vénard, aumônier militaire. Philippe Maxence revient ensuite sur l'enseignement du catéchisme concernant ce sujet. Extrait :

    6a00d83451619c69e201b7c8df8c26970b-250wi.jpg"[...] Il est certain que dans l’ordre individuel, le commandement du Christ à propos de l’accueil de l’étranger (Mt 25, 35) oblige toujours et l’Église en a même fait une oeuvre de miséricorde. Mais l’immigration déplace l’accueil des étrangers au plan politique. Il ne s’agit plus seulement de recevoir celui qui frappe à ma porte et que je ne connais pas, mais de permettre à un nombre important d’étrangers de vivre et de s’installer sur le sol d’une autre nation que la leur.

    Face à ce problème politique soulevé par l’immigration de masse, l’autorité politique ne peut agir qu’en fonction du bien commun dont elle est la garante et qui est sa fin. Le Catéchisme de l’Église catholique indique bien l’obligation d’accueil dans son n. 2241. Mais celui-ci ne précise pas cependant que cet accueil doit être définitif, ni non plus qu’il ne doit pas s’effectuer au regard de certains critères. Surtout, le même numéro contient cette incise : « autant que faire se peut ». Il ne s’agit pas seulement d’une clause de style, mais d’une indication liée au jugement prudentiel que doit exercer le détenteur de l’autorité politique. Si les conditions ne sont pas réunies, cette obligation de l’accueil des étrangers peut donc être suspendue ou limitée. Selon quel critère ? Le Catéchisme l’indique dans la suite du n. 2241 :

    « Les autorités politiques peuvent en vue du bien commun dont elles ont la charge subordonner l’exercice du droit d’immigration à diverses conditions juridiques, notamment du respect des devoirs des migrants à l’égard du pays d’adoption. L’immigré est tenu de respecter avec reconnaissance le patrimoine matériel et spirituel de son pays d’accueil, d’obéir à ses lois et de contribuer à ses charges. »

    Le problème soulevé par le discours ecclésiastique contemporain ne réside pas seulement dans l’oubli de ces éléments doctrinaux, mais dans l’oubli constant de la primauté du bien commun au profit d’un droit absolu des personnes dont on constate qu’il va en définitive contre le bien des pays et des personnes elles-mêmes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Christian Kamtchueng Le manifeste de la raison objective 3/3

  • Christian Kamtchueng Le manifeste de la raison objective 2/3

  • Levée de boucliers contre le Turc Erdogan qui veut faire campagne en Europe

    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Le 16 avril prochain, les Turcs sont appelés aux urnes pour plébisciter leur président Erdogan. Le référendum porte sur une réforme constitutionnelle visant à présidentialiser davantage la République turque, notamment en supprimant le poste de Premier ministre.

    Au-delà des polémiques sur le caractère autoritaire du régime turc, ce sont les manifestations prévues en Europe qui inquiètent. Dans les pays à forte immigration turque, les partisans de l’AKP, le parti islamiste dit modéré au pouvoir, entendent organiser des rassemblements en faveur du « oui » au référendum. Des hommes politiques turcs sont même conviés : le ministre des Affaires étrangères turc prévoyait ainsi de se rendre aux Pays‑Bas ce samedi.

    Mais cette propagande électorale turque n’est pas du goût des dirigeants européens. En Allemagne, en Autriche, aux Pays‑Bas, les gouvernements s’opposent à ces rassemblements et à l’invitation d’officiels turcs. Ils craignent les débordements, notamment avec les opposants à Erdogan. Ils ne veulent pas non plus faciliter le plébiscite de ce dernier.

    La pression des partis populistes est aussi pour quelque chose dans ces décisions, qui émanent de gouvernements « politiquement corrects ». Le PVV (le Parti de la liberté néerlandais), le FPÖ autrichien, l’AFD allemande réclament une position de fermeté face à la Turquie. Ces rassemblements électoraux pourraient en effet accroître l’emprise du régime turc sur les immigrés turcs, concourant à faire de ces derniers, une cinquième colonne de l’Etat turc. En période électorale ou pré-électorale, les dirigeants européens préfèrent prendre les devants.

    http://fr.novopress.info/

  • Général Antoine Martinez : comment inverser l'islamisation de l'Europe