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Europe et Union européenne - Page 635

  • Les 5 conséquences catastrophiques de l’invasion migratoire

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°186 – août 2017)

    L’immigration non européenne a commencé dans les années soixante. Quatre décennies plus tard, on peut estimer le nombre des immigrés non européens d’ores et déjà présents sur le territoire métropolitain à au moins 15 millions de personnes. L’immigration se poursuit au rythme actuel d’au moins 400 000 immigrés supplémentaires par an (entrées légales, illégales, naissances, les décès et départs étant déduits). Le phénomène est comparable dans la plupart des pays d’Europe occidentale.

    A ce rythme, les peuples européens, d’Europe occidentale du moins, seront mis en minorité sur leur propre sol d’ici le milieu du siècle. Ce phénomène de Grand remplacement se traduira par un processus de tiers-mondisation, d’ensauvagement de décadence. Il s’ensuivra la disparition de la civilisation européenne.

    De façon plus précise et concrète, l’invasion en cours entraîne et entraînera une dégradation continue des différents aspects de  notre vie quotidienne : 

    • L’immigration entraîne une dégradation des conditions de vie

    Provoquant par définition une augmentation importante de la population, l’immigration se traduit par une hausse continue du prix du logement dans les agglomérations, une extension de l’urbanisation, un accroissement des coûts et des temps de transport,  un accroissement de la pollution.

    Rappelons que la population française métropolitaine, qui était de 40 millions après la guerre, a explosé depuis : 50 millions dès 1968 ; 60 millions en 2002 ; 63 millions en 2016. La plupart des familles autochtones n’ayant que deux enfants, la population aurait dû depuis longtemps se stabiliser : du fait de l’immigration, elle continue de croître fortement.

    Dans quelques années, dans ces conditions, seuls les ménages à haut revenu pourront habiter dans des endroits vivables.

    • L’immigration exerce une pression à la baisse sur les salaires

    L’immigration permet aux employeurs de pratiquer des salaires faibles dans tous les secteurs qui utilisent des emplois manuels et d’exécution (BTP, transport et livraison, services à la personne, restauration, nettoiement…). Les immigrés acceptent ces niveaux de salaires, pour eux élevés rapportés au niveau de vie dans les pays d’origine : une fois convertis en monnaie locale, la partie de leur salaire que les immigrés envoient dans le pays d’origine représentent des sommes considérables et font vivre les familles « restées au pays ».

    S’est ainsi mis en place un système pervers. Les Français (y compris ceux qui sont issus de l’immigration) fuient les emplois manuels et d’exécution, tentent d’accéder à un emploi public (par exemple dans les collectivités locales) et à défaut choisissent l’assistanat.

    Les Français sont incités à refuser les emplois manuels du fait des salaires faibles mais aussi parce que la proportion des immigrés sur les chantiers BTP ou dans les entreprises de services est telle qu’elle est devenue dissuasive pour les Français de souche.

    La mise en place du travail détaché ces dernières années a encore accru l’ampleur du phénomène de dumping social.

    • L’immigration provoque la ruine des systèmes sociaux et des services publics

    D’ores et déjà la sécurité sociale, l’hôpital, l’éducation nationale, le système de retraite et le système de logement social ont commencé à imploser sous le poids de l’immigration, débordés qu’ils sont par le nombre, par les difficultés sociales inhérentes aux populations immigrées et par leurs comportements incivils et délinquants.

    Les systèmes publics ont été jusqu’ici maintenus à peu près à flot en étant financés par la dette, passée en trois décennies de 5 % à 96 % du PIB. Cette dette se traduit par une augmentation des intérêts versés aux banques qui prêtent à l’Etat : une somme équivalant à la totalité du produit de l’impôt sur le revenu est ainsi engloutie dans le paiement des intérêts.

    Dans quelques années, seuls les membres de la classe supérieure pourront se soigner correctement, scolariser leurs enfants dans un contexte favorable et disposer à leur retraite d’un niveau de vie confortable. Malheur aux autres, et en particulier aux familles de salariés, qui, accablées d’impôts, seront évincées des services publics et des protections dont elles bénéficient jusqu’à présent. 

    • L’immigration alimente une augmentation continue de l’insécurité et de la délinquance

    Selon les statistiques officielles, 3,5 millions de crimes et délits sont commis chaque année. Les enquêtes de « victimation » montrent que ce nombre est en réalité trois fois plus élevé, un grand nombre de délits n’étant pas portés à la connaissance de la police. Une grande partie de ces crimes et délits sont commis par des étrangers ou par des personnes originaires de l’immigration.

    Si l’immigration se poursuit et si une partie des immigrés présents ne sont pas reconduits (en particulier les clandestins et les étrangers et naturalisés condamnés), la délinquance continuera à croître. Dans les années qui viennent des centaines de milliers de Français autochtones seront victimes de cambriolages, de braquages, d’agressions, de car-jacking, de home-jacking, de coup de couteaux, de viols…

    Dans les temps à venir, seules les personnes disposant de revenus élevés pourront se protéger de la délinquance en habitant dans des endroits sécurisés.

    • L’immigration conduit la population de souche européenne à baisser les yeux dans son propre pays

    L’invasion migratoire nous contraindra de plus en plus à adopter une attitude de réserve et de soumission, qui prendra plusieurs aspects :

    Nous devrons rester vigilants en toutes circonstances pour éviter les rencontres malencontreuses. Changer de trottoir, changer de voiture dans le métro, s’interdire certains lieux, proscrire certains horaires, éviter de croiser le regard d’une personne issue de la « diversité »…

    Nous devrons cohabiter, dans les différents compartiments de notre vie, avec des personnes issues de la « diversité ». Dans le cadre professionnel, un nombre croissant de nos collègues auront une origine différente de la nôtre, les quotas de la «  discrimination positive » imposant progressivement la diversité dans tous les secteurs et à tous les niveaux. A l’hôpital et dans les maisons de retraite, nous serons soignés de plus en plus souvent par des personnels issus de l’immigration, ce qui rendra la position de faiblesse dans laquelle la fréquentation de ces lieux nous place par nécessité, encore plus délicate et pénible à supporter.

    Les responsables des entreprises de travaux auxquelles nous devront faire appel, les commerçants auxquels nous nous adresserons, les conseillers des banques auprès desquels nous solliciterons un emprunt, les fonctionnaires des guichets devant lesquels nous nous présenterons, tous seront de plus en plus fréquemment issus de la diversité. Il en sera de même des policiers qui nous toiseront et nous verbaliseront. Nous devrons côtoyer au quotidien des voisins de palier diversifiés. Certains des membres de nos propres familles seront issus de l’immigration ou du métissage. Nous serons souvent mal à l’aise lorsque nous rencontrerons toutes ces personnes, compte tenu de leur origine différente et de leur fréquente hostilité latente que nous ressentirons.

    Dans ces conditions, nous devrons rester constamment vigilants et méfiants, taire nos opinions et nos réactions, prendre garde en toute circonstance, même dans les lieux les plus privés, aux propos que nous tiendrons. Nous devrons faire allégeance à l’idéologie universaliste ou à tout le moins rester cois sur le sujet. Il nous sera défendu d’exprimer la nostalgie que suscite en nous la pensée de la France« d’avant ». Nous devrons, à l’inverse, accepter sans réagir les revendications, les comportements d’affirmation et les provocations de diverses natures que les communautés d’origine immigrée multiplieront, bien conscientes qu’elles sont de participer à une entreprise historique d’invasion.

    **

    Il serait conforme à la morale que les immigrationnistes soient les seuls à supporter les conséquences de l’immigration : il n’en est rien bien entendu, malheureusement.

    Les immigrationnistes d’un certain âge peuvent espérer que le rythme de la dégradation ne sera pas trop élevé et qu’il leur permettra de terminer leur vie sans subir trop lourdement les effets de la tiersmondisation en cours. Il n’en sera pas de même des jeunes. La plupart d’entre eux ne disposeront pas de l’argent nécessaire pour se protéger des effets de l’invasion qu’ils auront souhaitée. Compte-tenu de leur espérance de vie, ils paieront de longues années durant les conséquences de leurs positions suicidaires. Ce ne sera que justice.

    Cette chronique reprend et actualise celle parue en avril 2012.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • L’ISLAM? IL FAUT PRENDRE DES PRÉCAUTIONS AVEC LA VÉRITÉ. MARSAUD CLAQUE LA PORTE DE BFMTV

    Une vidéo fait le buzz sur les réseaux sociaux. Celle où l’on voit Alain Marsaud, ancien magistrat antiterroriste et ancien député LR, quitter, désabusé, le plateau de BFM TV devant l’incroyable cécité des deux journalistes présents et de leur second invité, lui aussi journaliste.

    Le matin, Alain Marsaud s’était déjà accroché avec Alain Marschall sur RMC, l’équivalent radio de la chaîne télé, et pareillement propriété de Patrick Drahi, l’éternel ami d’Emmanuel Macron. Cause de ces accrochages ? Barcelone, bien sûr. Et peut-être même, implicitement, Sept-Sorts. Mais les autorités françaises n’ont vu, dans ce dernier acte, qu’une malheureuse bousculade due à un déséquilibré dont le nom nous a été épargné, mais qu’on sait algérien, donc forcément un peu musulman… Mais cela est une autre histoire qui refera parler d’elle le moment venu.

    Donc, vendredi, en début de soirée, sur le plateau de BFM TV, nous avions, en face du duo paritaire des deux journalistes, en l’occurrence Alexis Cuvillier et Caroline Dieudonné, Alain Marsaud et le journaliste Anthony Bellanger, chroniqueur forcément de gauche puisqu’il commente l’actualité internationale sur France Inter. Je mentionne ce que pense de ce dernier un lecteur de Boursorama prénommé Ddrek, qui le décrit comme « un petit arrogant, la chevelure grisonnante, maniéré et bavard qui a eu cette phrase culte : il faut prendre des précautions avec la vérité ». Une phrase qui allait déclencher le buzz grâce au départ brutal de l’ancien magistrat.

    Alain Marsaud est l’auteur de cette réplique indiscutable : « À force de ne pas nommer l’ennemi, l’ennemi nous vaincra. » Eh bien, justement, qui nomme cet ennemi ? Personne, bien entendu. Personne de la sphère du politiquement correct, dont heureusement Alain Marsaud ne fait pas partie car il va oser prononcer cette phrase qui tue. Qui tue ses trois interlocuteurs : 

    « Nous sommes en guerre contre l’islamo-fascisme. Personne n’a dit que c’était un attentat islamiste. Personne ne parle d’islamisme radical. On a peur de quoi, bon sang ? Pas un seul journaliste ou responsable politique n’a dit, depuis deux jours, que c’était un attentat islamiste ! »

    Et le chevelu maniéré de s’énerver à son tour et de lui rétorquer : « Vous dites absolument n’importe quoi, tout le monde sait que ce sont des attentats islamistes. Les journalistes ne sont pas là pour dire ce que vous voulez mais pour dire les choses telles qu’elles sont. » Et de poursuivre sa diatribe : « Vous êtes libre de faire le commentaire que vous voulez, ils sont libres de faire leur métier. Leur travail, c’est de prendre des précautions avec la vérité ! »Anthony Bellanger aurait mieux fait de dire que le travail de ces journalistes-là, et lui en particulier, est de travestir la vérité. Puis, sur un ton péremptoire, comme si c’était lui le maître sur le plateau, il lance un martial : « Continuons ! »

    À ce moment-là, Marsaud, stupéfait, réfléchissant à ce qu’il va répondre, se lève en disant : « Si c’est pour me traiter comme ça, vous continuerez sans moi. » Et il quitte le plateau. Dire qu’un tel expert s’est fait blackbouler de l’Assemblée… Il y a de quoi se poser des questions sur l’intelligence des électeurs, quand on sait qu’ils lui ont préféré, à 70 %, la macroniste Amal Amélia Lakrafi !

    Une fois de plus, l’information se limite à ce que la bien-pensance exige. L’islamisme intégriste n’existe pas, il est donc inutile et vain de le nommer.

    http://www.bvoltaire.fr/lislam-faut-prendre-precautions-verite-marsaud-claque-porte-de-bfmtv/

  • Espagne : les djihadistes n'avaient «pas d'antécédents terroristes»

    L'enquête avance rapidement et la police découvre que l'attentat à Barcelone devait être bien plus sanglant si les terroristes étaient parvenus à leurs fins :

    "La cellule terroriste semblait envisager un scénario plus sanglant encore. Les complices ont d'abord tenté de fabriquer au moins une bombe à l'aide de plusieurs bouteilles de propane et d'explosifs artisanaux dans une maison d'Alcanar, une ville à une cinquantaine de kilomètres au sud de Barcelone. Mercredi soir, cette habitation avait été soufflée par une explosion, d'abord attribuée à une fuite de gaz, faisant un mort et sept blessés. Vendredi, le chef de la police, Josep Lluis Trapero a confirmé que «les auteurs préparaient depuis quelque temps dans ce bâtiment d'Alcanar les attentats de Barcelone». «C'était un groupe dont nous ignorons le nombre exact (…). Beaucoup sont identifiés». De son côté, un magistrat de l'Audience nationale, le parquet, Javier Zaragoza, a assuré que les djihadistes n'avaient «pas d'antécédents terroristes» mais constituaient un «réseau structuré».

    [...] Si les Mossos d'Esquadra, la police de Catalogne, ont confirmé détenir quatre personnes «en lien avec les attentats», au moins trois autres étaient en fuite selon une fiche de recherche diffusée vendredi. La police a d'abord longuement cherché le chauffeur de la camionnette blanche utilisée sur les Ramblas. De sources officieuses, l'homme est identifié comme Moussa O., un Marocain de 17 ans. Il aurait en fait trouvé la mort avec quatre complices dans une fusillade avec la police à Cambrils, selon la presse espagnole. Le jeune homme, résidant légal en Espagne, se serait radicalisé ces dernières années. Sur un réseau social, il avait ainsi fait part de son intention de «tuer les infidèles pour ne laisser que les bons musulmans».

    Selon les derniers éléments de l'enquête, il se serait enfui des lieux en prenant le conducteur d'une voiture en otage. Une demi-heure après l'attentat des Ramblas, cette Ford Focus a forcé un barrage à la sortie est de la capitale catalane, renversant un sergent. Elle devait être retrouvée, deux kilomètres plus loin, son chauffeur mort au volant, tué de plusieurs coups de couteau. Considéré dans un premier temps comme un suspect potentiel, cet homme, qui n'avait pas été identifié vendredi après-midi, était désormais plutôt vu comme la quinzième victime du tueur.

    Les deux autres fuyards ont, pour leur part, été identifiés jeudi dans la soirée. Il s'agirait des conducteurs d'une seconde camionnette, une Fiat, louée en même temps que celle abandonnée sur les Ramblas. Ce van, longuement traqué, a été retrouvé sur le parking d'un fast-food de Vic, une commune située à une cinquantaine de kilomètres au nord de Barcelone. À l'intérieur, les Mossos ont découvert la carte d'identité d'un certain Younès A., un Marocain de 22 ans. Ce dernier pourrait être accompagné d'un autre individu, Mohamed H., 20 ans. Les deux hommes habitaient les environs de Ripoll. Le ministre français de l'Intérieur, Gérard Collomb, a tout de même ordonné vendredi le renforcement des contrôles à la frontière franco-espagnole. Le dernier homme recherché est un Marocain, Saïd A, 18 ans.

    Les enquêteurs, très prudents, n'ont pas confirmé d'éventuels liens, ni entre les fuyards, ni avec les personnes arrêtées. Seule certitude, l'une d'elles est Driss O., le frère de Moussa O. C'est avec les papiers de ce jeune homme que la camionnette des Ramblas a été louée. Ce Marocain de 28 ans, a été interpellé vendredi soir à Ripoll, la petite ville à cent kilomètres au nord de Barcelone où il habite. Aux policiers, l'homme a affirmé s'être fait voler ses papiers quelques jours auparavant. Il n'avait cependant pas porté plainte. Driss O., s'il n'était pas connu pour des faits en liens avec le terrorisme, était fiché après avoir effectué un mois de détention préventive en 2012 dans le cadre d'une affaire d'agression sexuelle. Le second suspect placé en garde à vue est un proche de Driss O. Ce Marocain de 30 ans a été interpellé, vendredi à l'aube, également à Ripoll. Le troisième, est également un résident de cette cité. Des perquisitions étaient en cours vendredi après-midi dans une demeure de la ville.

    Le dernier djihadiste incarcéré a été appréhendé à Alcanar. Selon la police, il s'agit d'un citoyen espagnol né à Melilla, une enclave espagnole en plein Maroc. Cet homme, âgé d'une vingtaine d'années, serait l'un des blessés de la maison d'Alcanar. Il aurait lui aussi loué une camionnette.

    Les policiers se concentraient en parallèle sur les cinq terroristes tués dans la foulée de l'équipée sauvage de Cambrils. Ils avaient tout d'abord lancé leur Audi A3 noire, dans les rues entourant le port de cette station balnéaire très fréquentée. La voiture avait ensuite pris la fuite, plein sud, avant d'être bloquée à un barrage de police. Les terroristes, dont certains étaient équipés de fausses ceintures explosives, sont alors sortis de la voiture pour attaquer les forces de l'ordre avec des armes blanches. Ils ont été tous abattus. Trois d'entre deux ont été identifiés. Le caractère visiblement improvisé de cette dernière attaque renforce l'hypothèse des enquêteurs. Dans leur refuge d'Alcanar, les complices souhaitaient sans doute mettre au point une ou deux bombes de forte puissance. Ils voulaient ensuite les placer dans les camionnettes louées et envoyer ces engins piégés à Barcelone. Josep Lluis Trapero a affirmé que «les terroristes souhaitaient déclencher des bombes». «L'explosion de la maison d'Alcanar a sans doute permis de l'éviter». «Ils se sont alors rabattus sur un plan B de manière désespérée.» Un plan B qui a fait 14 victimes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • BARCELONE : QUE LES COUPABLES (LES VRAIS) SOIENT ENFIN DÉVOILÉS

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    Ce n’est pas un attentat qui a été commis hier à Barcelone : c’est une action de guerre commise par un ennemi qui veut nous anéantir.

    L’ennemi vient encore de frapper à Barcelone, où l’on compte, au moment d’écrire ces lignes, 13 morts et environ 80 blessés, dont certains très graves. Le moment est venu de dévoiler enfin les coupables – les vrais.

    Et les vrais coupables, les coupables premiers, ne sont ni l’Arabe né à Marseille (un certain Driss Oukabir, déjà arrêté), ni les deux autres tués par la police, ni tout le reste de complices… et de commanditaires. Eux ne sont rien d’autre, finalement, que l’ennemi. Et avec l’ennemi qui vous déclare la guerre, les culpabilités n’ont strictement rien à voir. Les prêchi-prêcha de la moralité non plus. Les cierges qui seront bientôt allumés et les peluches qui seront déposées par les Bisounours de toujours, encore moins. Ce n’est pas un attentat qui a été commis hier à Barcelone, c’est une action de guerre commise par un ennemi qui veut nous anéantir : l’empêcher de le faire, l’abattre avant qu’il n’y parvienne, voilà notre devoir le plus simple, le plus élémentaire. Un point, c’est tout.

    Or, ce n’est pas de combattre l’ennemi, c’est de l’accueillir qu’il s’agit pour les véritables coupables de notre déroute. Ce Carles Puigdemont, par exemple, président sécessionniste de la Generalitat de Catalunya (Généralité de Catalogne) qui, lorsque le sang des tués et des blessés est encore tout frais sur les Ramblas de Barcelone, a eu l’outrecuidance de déclarer, après avoir essuyé une larme : « La Catalogne a toujours été terre de paix et d’accueil. Nous ne permettrons pas qu’ils nous empêchent de l’être toujours. »

    Non seulement ils accueillent l’ennemi les bras ouverts, mais voilà que lorsque celui-ci frappe, ils osent encore insister sur leur complicité coupable. Pas la moindre mise en question, pas l’ombre d’une interrogation sur l’impossibilité de la société « multiculturelle » qu’ils ont eu le rêve fou de vouloir bâtir. Et le bâtir en faisant majoritairement appel, en Catalogne, à l’immigration arabe et musulmane, de préférence aux immigrés provenant de l’Amérique espagnole, qui ont, eux, le tort de parler la langue que les séparatistes haïssent et qu’ils voudraient voir disparaître de leur territoire. (C’est, d’ailleurs, peine perdue, car la plupart des « nouveaux Catalans » venus remplacer les anciens finissent, malgré les aides considérables qui leur sont allouées, par apprendre l’espagnol. Que voulez-vous ! Six millions de personnes en Catalogne, face aux 500 millions parlant l’espagnol de par le monde, ça fait quand même une petite différence !)

    C’est pour que les populations visées par les actes de guerre continuent à les considérer comme de simples attentats qu’il faut certes condamner, mais qui ne devraient nous faire tomber ni dans l’islamophobie ni dans le rejet de la fraternité multiculturelle, c’est pour cela que les autorités ont lancé ce soir des appels (inutiles, au demeurant) pour qu’on évite de faire circuler les images les plus frappantes de la tuerie. Mais les images ont circulé et circuleront. La censure n’a jamais empêché la vérité d’éclore ni les peuples de se révolter pour retrouver leur liberté et leur identité bafouées.

     Écrivain et journaliste espagnol El Manifiesto
  • L’Espagne frappée de plein fouet par le terrorisme - Journal du Vendredi 18 Août 2017

  • 26 Français parmi les victimes à Barcelone

    26 Français ont été blessés dont 11 grièvement dans l'attentat revendiqué par l'État islamique, a annoncé le Quai d'Orsay.

    Une troisième personne a été arrêtée en relation avec les attaques de Barcelone et de Cambrils, a annoncé la police espagnole aujourd'hui.

    La police recherche toujours un homme en fuite. Il pourrait s'agit du conducteur de la camionnette qui a renversé des dizaines de personnes à Barcelone et s'est enfui en courant. Un témoin l'a décrit comme "un homme très jeune, d'une vingtaine d'années, au visage mince".

    Le bilan s'élève à 13 morts et une centaine de blessés à Barcelone et sept blessés dans la station balnéaire de Cambrils où la police a tué cinq "terroristes présumés".

    Un Marocain, Driss Oukabir, a été arrêté jeudi à Ripoll à une centaine de km au nord de Barcelone, tandis qu'un Espagnol à l'identité non révélée né à Melilla, enclave espagnole au Maroc, a été arrêté à Alcanar, à 200 km au sud de Barcelone, après l'explosion mercredi soir d'une maison dont la police croit que les occupants préparaient un engin explosif.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Voyage au bout de la machine à migrants - Orages d'acier - 25/09/2016

  • La Suède interdit les vaccinations obligatoires

    La Suède est pourtant un pays occidental très avancé scientifiquement. Cette décision démontre donc que les résultats scientifiques et les réactions biologiques du corps humain ne sont pas les mêmes en France qu’en Suède ! On peut dire également que les scientifiques et autres médecins suédois sont incompétents voire des imbéciles et des ignorants ! Pourtant, ces derniers publient dans les plus belles et les plus prestigieuses publications scientifiques mondiales ! 
    La déclaration de Robert F. Kennedy Jr. éminent juriste, spécialiste du droit de l’environnement, se suffit à elle-même et traduit sa perception de la dangerosité des vaccins de par les conservateurs et autres adjuvants utilisés. Elle donne froid dans le dos : « Si vous prenez un flacon de ce vaccin et qu’il vous arrive de le briser, vous devez vous en débarrasser selon les règles légales qui sont d’application pour les produits dangereux. Vous devez, en outre évacuer le bâtiment où l’accident s’est produit. Pourquoi auriez-vous l’audace d’injecter ce produit dans le corps d’un enfant ? » ! 
    Et pourtant nos responsables en charge de la Santé des Français n’en ont cure. Attendent-ils une catastrophe nationale pour réagir raisonnablement ? 
    Il est important d’indiquer que si certains effets se manifestent assez tôt, permettant de déduire une relation de cause à effet évidente, les effets délétères se produisent souvent à distance de la dernière injection si bien que l’on ne pensera pas à incriminer les vaccinations. 
    Notamment en fonction de « graves problèmes de santé » et le fait que pareilles lois violeraient les droits constitutionnels des citoyens qui doivent avoir leur mot à dire dans leurs soins de santé (Extraits) 
    La Suède a rejeté les vaccinations obligatoires, après avoir évoqué « de graves problèmes de santé », ainsi que le fait que l’obligation violerait les droits constitutionnels des citoyens de choisir ce qui peut ou non convenir à leur propre santé. 
    Le 10 mai 2017, le Parlement Suédois a rejeté sept motions qui auraient inclus des vaccinations obligatoires dans la loi. Le Parlement a fait savoir « Si nous introduisions des vaccinations obligatoires ou forcées, cela violerait notre [Constitution Suédoise] » 
    Notant également « la résistance massive à toute forme de coercition en matière de vaccination », le Parlement a aussi fait référence aux « réactions indésirables graves et fréquentes » chez les enfants qui reçoivent les vaccinations. 
    « Le NHF Suède a fait parvenir une lettre au Comité en expliquant que l’introduction de vaccinations obligatoires ou forcées telles qu’elles ont été soumises dans la requête d’Arkelsten violerait la Constitution. De nombreuses autres personnes ont fait parvenir une correspondance au Parlement et interpellé les politiciens et le Parlement. Les politiciens n’ont pu faire que remarquer qu’il existait une résistance massive à toutes les formes de coercition en matière de vaccination. parlement-suedois 
    « Le NHF Sweden a également fait ressortir à quel point les réactions indésirables peuvent être fréquentes au cours d’une année de vaccination. […] En outre, il convient de tenir compte que chaque groupe d’âge recevra deux fois le vaccin ROR, de sorte que les effets secondaires seront multipliés par deux. Il convient aussi de ne pas oublier, qu’en outre des réactions indésirables similaires s’appliquent à d’autres vaccins. 
    « Dans la lettre, nous avons même inclus une liste exhaustive d’additifs trouvés dans les vaccins – substances qui ne sont pas des aliments pour la bonne santé et ne doivent certainement pas se retrouver dans le corps des bébés ou des enfants. Nous avons également inclus pour les législateurs une très importante liste d’études qui démontrent que la vaccination est une mauvaise idée. 
    La décision judicieuse du Parlement Suédois fait fi, et va à l’encontre de ce qui se passe aux États-Unis comme dans les autres pays occidentaux. Big Pharma tient les législateurs sous sa coupe ; elle leur dicte sa politique en utilisant les médias corrompus pour calmer les dissidents. 
    Robert F. Kennedy Jr. s’est récemment manifesté dans le Show Tucker Carlson où il a courageusement exposé « l’état de cette mafia sans loi » que représente Big Pharma et leur « très lucrative » escroquerie vaccinale. 
    « L’industrie pharmaceutique est si puissante, a expliqué RFK Jr. Elle donne 5,4 milliards de dollars par an aux médias. Elle s’est débarrassée des avocats… Elle a été réellement capable de contrôler le débat et de réduire des gens comme moi au silence. » 
    Quand on lui a demandé comment il était possible que la situation soit à ce point si mauvaise, Robert F. Kennedy Jr. a expliqué : « que le Congrès accordait à Big Pharma une immunité légale globale » lorsqu’il s’agit des vaccins. 
    Big Pharma est devenue la loi après que le président Reagan ait signé la loi sur les dommages liés aux vaccins infantiles. Ces gens peuvent ainsi mettre des ingrédients toxiques dans les vaccins. Ces éléments peuvent gravement endommager la santé de vos enfants- mais il est impossible de les poursuivre en justice. 
    « Ce que vous devez comprendre, c’est que le régime des vaccins a considérablement changé depuis 1989. La raison pour laquelle il a changé, c’est que le Congrès sous l’influence de l’industrie pharmaceutique, a fait ce qui n’a jamais été réalisé pour aucune autre industrie – le Congrès a accordé une immunité légale générale pour tous les fabricants de vaccins. 
    « Donc peu importe les protocoles, peu importe l’absence de contrôle de la qualité, peu importe la toxicité des ingrédients ou les dommages graves qui peuvent être causés aux enfants, il vous est impossible d’entamer des poursuites à leur encontre. 
    « Il n’y a donc pas de témoignage, pas de découverte, pas de recours collectifs et… tout à coup les vaccins deviennent éminemment rentables. » 
    Les énormes profits de cette industrie non réglementée ont fait en sorte que les compagnies Big Pharma se sont engagées à produire de nouveaux vaccins parfois inutiles qui sont injectés dans le corps des jeunes enfants – souvent plus de dix à la fois. 
    « C’est devenu une véritable ruée vers l’or pour l’industrie pharmaceutique d’ajouter de nouveaux vaccins au schéma de vaccinations. » 
    Mais à quel prix ? L’industrie du vaccin, en vertu de ses propres règles – ou plutôt en vertu de l’absence de règles – nous rend impossible l’accès aux faits. Depuis longtemps, le Président Trump demande une enquête indépendante sur la sécurité des vaccins. Robert F Kennedy Jr. a fait la même demande. 
    […] « J’ai reçu trois vaccins et j’étais donc tout à fait en ordre. J’ai maintenant 63 ans. Pour pouvoir être en ordre mes enfants ont dû recevoir 69 doses de 16 vaccins. 
    Nombre de ces vaccins ne concernent même pas les maladies transmissibles. Prenons l’exemple de l’hépatite B qui s’attrape par des rapports sexuels non protégés ou chez des personnes qui partagent des aiguilles. – Pourquoi donc administrons-nous ce vaccin à un enfant le premier jour de sa vie ? Et, en outre, il contient du mercure ! » 
    Tucker demande : « Nous administrons vraiment ce vaccin à des enfants ? » 
    « Nous continuons à leur administrer ce vaccin. Le mercure a été retiré de trois vaccins, mais il reste présent dans le vaccin contre la grippe et on en trouve encore dans plusieurs vaccins distribués dans le monde. Il faut savoir qu’il s’agit de la plus puissante neurotoxine non radioactive connue.
    « Comment est-il possible que nous injections pareil produit à des enfants ? 
    Robert F. Kennedy Jr. a essayé de mettre cette situation scandaleuse dans un contexte. 
    « Si vous prenez un flacon de ce vaccin et qu’il vous arrive de le briser, vous devez vous en débarrasser selon les règles légales qui sont d’application pour les produits dangereux. Vous devez, en outre évacuer le bâtiment où l’accident s’est produit. Pourquoi auriez-vous l’audace d’injecter ce produit dans le corps d’un enfant ? » 

  • 2e attaque terroriste en Espagne cette nuit

    Six civils et un policier ont été blessés cette nuit quand des terroristes ont foncé dans la foule dans une station balnéaire de Catalogne (nord-est de l'Espagne), avant d'être abattus par la police, quelques heures après l'attentat qui a fait 13 morts à Barcelone.

    La voiture a fauché des piétons vers minuit sur la promenade de bord de mer à Cambrils, une ville touristique à 120 km au sud de Barcelone. Un des civils blessés est dans un état critique.

    Les cinq occupants de la voiture ont été tués. Certains d'entre eux portaient des ceintures d'explosifs.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les commissaires européens se déplacent en avions-taxis payés par les contribuables

    L’organisation indépendante Access Info Europe a dévoilé les montants des dépenses de voyages des commissaires européens, mais elle n’a pu les obtenir que pour les deux premiers mois de 2016. Pour les autres mois de 2016, la Commission européenne a refusé de divulguer les chiffres, ce qui laisse penser qu’elle n’a communiqué que la période de dépenses les moins élevées.

    Sur deux petits mois (janvier et février 2016), les 28 commissaires européens ont dépensé environ un demi-million d’euros en frais de voyages.

    Il s’agit de 261 déplacements officiels dans 26 pays de l’UE (y compris pour les sessions au Parlement de Strasbourg) et 23 pays non membres de l’UE.

    Les éléments les plus marquants sont :

    . 75.000 euros pour un déplacement à Bakou (Azerbaïdjan) de Federica Mogherini, deuxième vice-présidente de la Commission européenne et Haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, avec un avion affrété tout spécialement pour elle.

    .  26.351 euros pour un aller-retour à Rome en avion-taxi de Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, les 25 et 26 février 2016.

    . 51.000 euros pour le vol ramenant Jean-Claude Juncker du sommet du G20 en Turquie.

    On vous passe le détail des nuits d’hôtel de Jean-Claude Juncker à
    500 euros la nuitée, hors frais de repas.

    http://www.medias-presse.info/les-commissaires-europeens-se-deplacent-en-avions-taxis-payes-par-les-contribuables/78840/