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Europe et Union européenne - Page 635

  • L’AfD entre au Parlement du Schleswig-Holstein

    Le coprésident fédéral de l’AfD Jörg Meuthen est content du résultat : son parti entre pour la douzième fois d’affilée dans le Parlement d’un Land.

    Lors des élections pour le Parlement du Schleswig-Holstein qui se sont déroulées ce dimanche 7 mai 2017, le parti patriotique AfD a obtenu 5,9 % et entre au sein de cette assemblée.

    Au Schleswig-Holstein, l’État fédéré le plus au nord de l’Allemagne, les thèmes centraux de l’AfD n’ont pas joué un rôle prépondérant dans les résultats des élections. En effet, la question de la crise des réfugiés et celle de l’intégration des migrants ne touchent pas fortement cette partie du pays qui compte peu d’immigrés. Par conséquent, la tâche du parti patriotique était ardue, mais celui-ci est arrivé malgré tout à franchir le seuil électoral des cinq pourcents nécessaires afin de siéger au sein du Parlement du Land.

    Le parti a dû faire face à d’autres difficultés : lors de la campagne, des gauchistes ont attaqué les pneus des voitures de cadres du parti ainsi que les affiches. Les gérants de débits de boissons et hôtels acceptant d’accueillir les rassemblements de l’AfD ont également été pris à partie par ces gens.

    Le coprésident fédéral de l’AfD Jörg Meuthen est content du résultat : son parti entre pour la douzième fois d’affilée dans le Parlement d’un Land.

    L’AfD dispose désormais de cinq des 59 sièges du Parlement du Schleswig-Holstein. Les scores des différents autres partis varient légèrement par rapport au scrutin précédent, à l’exception de celui des Pirates, qui s’effondre complètement. Ces derniers ne siègent plus désormais au sein de cette assemblée, qui compte dorénavant six partis : les chrétiens-démocrates de la CDU arrivés premiers, les sociaux-démocrates du SPD, qui sont en deuxième position, les écologistes, les libéraux-centristes du FDP, l’AfD, ainsi que le parti de la minorité danoise SSW qui est dispensé du seuil électoral de cinq pourcents.

    Selon un sondage Infratest dimap, l’AfD a avant tout attiré les suffrages d’électeurs masculins qui ont réalisé peu d’études et qui sont chômeurs.

    Le scrutin au Schleswig-Holstein, qui compte moins de trois millions d’habitants, était l’avant-dernier avant les élections législatives du 24 septembre 2017. Les électeurs du Land le plus peuplé d’Allemagne, la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, qui compte dix-huit millions d’habitants, éliront ce 14 mai 2017 le Parlement de leur Land. L’éventuelle entrée de l’AfD au sein de cette assemblée sera un des éléments majeurs de ce scrutin pouvant servir de tremplin au parti patriotique en vue des législatives.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • L’allégeance de la France ou le retour de l’Empire Allemand

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    Emmanuel Macron se rendra à Berlin pour sa première visite à l'étranger...

    Le président du Lander France a réservé sa première visite internationale en 2012 à la chancelière, que dis-je, à l’Empereur Merkel. Nous avions vu à l’époque un petit marquis local venu prêter allégeance et prendre ses instructions auprès du seigneur de la grande Europe, Dame Merkel.

    Le 8 mai 2017, jour anniversaire de la capitulation allemande, le petit marquis Hollande fera sa dernière visite à… l’impératrice de Berlin. La boucle est bouclée. En politique tout est symbole. Dame Merkel ne se déplace pas. Elle reçoit ses sujets au cœur de son Empire. Nul doute qu’il viendra rendre des comptes sur sa gestion du Länder dont il a eu la charge pendant 5 ans. Nul doute qu’il présentera le 8 mai à l’Impératrice le nouveau petit marquis du Lander France afin que lui aussi prenne ses lettres de créances. Nul doute que ses premières instructions seront de maintenir coûte que coûte la monnaie allemande sur ce territoire. Symbole de souveraineté et de domination économique de notre temps. C’est à Berlin et Franc fort (sans rire), que l’on décide de battre monnaie.

    Deux guerres mondiales, des millions de morts, deux victoires, pour en arriver là. Marie-France Garaud parle sans détour du 4me Reich … En Marche. Poilu de 14 réveille toi ! Seigneur Du Guesclin, Saint Jeanne, résistant du Vercors au SECOURS ! Avec l’Allemagne, l’histoire nous a montré que ce n’était jamais la der des ders.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Large victoire de Theresa May aux élections: c’est une vaste adhésion britannique au Brexit

    Large défaite du parti travailliste qui milite contre le Brexit, au Royaume-uni! Voilà bien une nouvelle dont le Système médiatico-politique français s’est bien gardé de trop parler, alors que pourtant cela n’entravait en rien les règles de la campagne électorale française. Le Parti de Theresa May est sorti victorieux des élections locales anticipées qui ont eu lieu jeudi en Grande-Bretagne. Où sont-ils ceux qui nous ont rebattu les oreilles à coup de sondages selon lesquels les britanniques se mordraient les doigts d’avoir voté pour la sortie de leur pays de l’Union européenne ? Hein, Ruth Elkrief ? Quel silence abyssal tout-au-long de la journée! Pourtant cette nouvelle ne rentre pas dans le règlement de la campagne électorale française!

    Voilà des élections qui renforcent le premier ministre britannique en vu des négociations pour le Brexit! Les conservateurs qui négocient le Brexit ont remporté vendredi 5 mai une large victoire populaire aux élections locales anticipées britanniques avec 28 des 88 conseils qui étaient à renouveler à travers le pays, obtenant 1 900 sièges, soit un gain de 558 par rapport aux précédentes élections.

    Le parti travailliste de gauche qui était opposé au brexit, principal parti d’opposition, essuie en revanche un revers de taille, avec une perte de 320 sièges et seulement 9 conseils remportés.

    Sondages ?

    Une nouvelle fois, on nous ment! Les sondages dont Ruth Elkrief s’est prévalu pour démontrer que les britanniques regrettaient leur vote en faveur du Brexit sont donc ou faux ou bien de la manipulation d’opinion!

    Paul Nuttall, leader de l’Ukip qui lui s’est effondré, s’est dit heureux de sa défaite puisque celle-ci profite aux patriotes britanniques:

    « Si le prix à payer de voir le Royaume-Uni quitter l’UE est une avance des conservateurs qui se sont saisis de cette cause patriotique, alors c’est un prix que l’Ukip est prêt à payer », a-t-il réagi.

    Ces derniers jours, Theresa May a accusé:

    « des responsables européens » d’avoir proféré des « menaces » sur les résultats du Brexit afin d’« influer sur le résultat des élections » législatives. » « La réalité, c’est qu’il y a aujourd’hui, malgré la volonté évidente des Britanniques (de quitter l’UE), des bureaucrates à Bruxelles qui remettent en question notre détermination à obtenir le meilleur accord », a déclaré vendredi la Première ministre.

    La victoire de son parti est une excellente nouvelle pour Theresa May dans la perspectives des législatives le 8 juin, où elle compte conforter sa majorité au Parlement de Westminster pour conduire avec autorité le Brexit face à Bruxelles.

    Le Times de mardi annonçait déjà un raz-de-marée en faveur du parti du Brexit. « May se dirige vers un raz-de-marée électoral » titrait le Times dés mardi. Mais qui en a entendu parler en France ? En France où nous avons entendu tout le contraire! Curieux, ne trouvez-vous pas ?

    Nous n’avons pas entendu François Hollande sur ce sujet, lui pourtant si bavard ces derniers jours.

    emiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/large-victoire-de-theresa-may-aux-elections-anticipees-qui-demontrent-une-vaste-adhesion-britannique-au-brexit/73737/

  • Désislamiser l'Europe : Karim Ouchikh (SIEL) pour une action politique

  • Feu vert à l'islam en entreprise

    À la mi-mars, la Cour de justice européenne a rendu un arrêt s'imposant - à notre pays - lequel, rappelons-le, n'est plus véritablement indépendant juridiquement depuis sept décennies, les abandons de  souveraineté ayant débuté avec le Pacte Charbon-Acier sous la IVe République. L'ingérence des eurocrates s'est étendue à tous les domaines, y compris les plus intimes. Arrêtons-nous à la vie en entreprise, objet de l'arrêt du 14 mars, produit de deux affaires d'ingérence de l'islamisme dans la vie sociale, dans un cas belge, dans  l'autre  français. Les cours de cassations de ces deux pays s'étaient débarrassées de leurs responsabilités sur Bruxelles. Les conséquences vont peser très lourdement dans un avenir proche sur les rapports entre salariés entre eux, et avec leurs employeurs, car les juristes du mondialisme ont choisi la pire des options. Laquelle a été saluée avec une tranquillité inconsciente par la presse des deux États en cause. En apparence, il s'agit d'un geste de confiance dans la démocratie de base. Pour les exhibitions de signes religieux sur les lieux de travail, ce sera aux employeurs de s'en sortir tout seuls, comme des grands, en organisant une consultation du personnel par un vote sur l'opportunité du port du foulard islamique par des membres du personnel féminin, ou la modification des horaires de travail en fonction du départ de tel ou tel vers une mosquée le vendredi après-midi. Il y a, on s'en doute, une quantité infinie d'autres   revendications religieuses de l'Islam possibles, et d'ailleurs pratiquées largement depuis fort longtemps. Ainsi les cantines où le porc est interdit, des lieux avec tapis de prière réservés aux adorateurs d'Allah, etc.

    Une victoire sans coup férir

    Du coup, les gouvernements sont débarrassés d'un gros problème qu'en fait, ils étaient seuls à pouvoir maîtriser, avec leurs fonctionnaires spécialisés, leurs tribunaux et le cas échéant, leur police. Les cas de figure auxquels les employeurs seront bientôt exposés revêtent une grande simplicité. Ou bien le personnel de religion musulmane se trouve majoritaire dans une société donnée, et le résultat du vote interne ne fait aucun doute. Des originaires du Maghreb, d'Afrique noire islamisée ou du Proche-Orient, ou leurs descendants, sauront automatiquement ce qu'ils auront à faire, à moins d'être candidats au suicide. Et le tour sera joué. Ou bien il se produira, en cas de rejet par une majorité de votants, une cassure ethno-religieuse dans la communauté de travail. On sait qu'il faut beaucoup moins qu'une telle situation pour créer une atmosphère difficile à supporter. Les commentaires des spécialistes sociaux français ont omis de s'intéresser aux acteurs syndicaux, présents pourtant dans de nombreux lieux de travail, des multinationales aux PME/PMI. Pour ne pas perdre d'adhérents, ou du moins d'électeurs aux scrutins du social (prudhommes, etc.), ils hurleront avec les loups de l'islamisme, d'autant plus servilement que des branches professionnelles entières sont islamisées (sécurité, bûcherons de l’O.N.F., nettoyage, etc.). On objectera que la CGT ou FO sont des organisations marxistes ou anarcho-marxistes d'essence. Cela ne changera rien à leur soif de cotisants et d'influence. Ces syndicats n'hésiteront pas à encourager le vote pro-Islam de leurs sympathisants libres penseurs ou chrétiens.

    Mais il y a encore, objectera-t-on, un autre acteur : le client, présumé roi, qui pourrait se refuser à solliciter telle vendeuse largement voilée. Des problèmes ont déjà surgi à ce propos. Encore faudra-t-il que, dans de nombreux "quartiers", l'acheteur ait le choix, car le « Grand Remplacement » ne relève pas de la fiction, mais se constate sur des points du territoire de plus en plus nombreux. Et de plus, les entreprises possédées, grandes, moyennes ou petites, par des musulmans, se multiplient. Afin d'éviter une soumission progressive, rapide et générale aux islamistes du monde du travail français, il fallait la puissance de l’État. Celle-ci est aux abonnés absents, et il ne faut pas douter qu'on le savait à Bruxelles avant le rendu d'un arrêt "démocratique". À noter que dans la fameuse loi El Khomri figure un passage autorisant les directions d'entreprise à inscrire un principe de neutralité dans les règlements intérieurs. Voici cette disposition devenue inutile, la responsabilité se trouvant diluée dans le personnel. Au total, un concours de lâcheté, rendu possible par le système européo-mondialiste.

    Nicolas TANDLER Rivarol du 30 mars 2017

  • Gilles Ardinat : la taille des acteurs en géopolitique réponse à la propagande européiste

  • On voit au travers des ralliements à Macron, se reformer le front parlementaire utilisé par Sarkozy pour contourner le résultat du référendum

    Le G21 est un cercle de réflexion qui regroupe d’anciens hauts fonctionnaires, entrepreneurs et économistes, ayant exercé des responsabilités autant dans le secteur public que privé. Jean-Pierre Gérard, président (photo), Jean Hernandez vice-président, Henri Conze vice-président, Christian Després trésorier, Jacques Aurin secrétaire général, publient cette note :

    6a00d83451619c69e201b7c8f236b4970b-800wi.jpg"La plupart des commentaires sur le premier tour de l’élection présidentielle font référence à une opposition droite gauche. Il apparaît à l’évidence que le véritable enjeu organisé pour le deuxième tour correspond à la partition du corps électoral entre les eurolâtres, qui ne vivent que pour la suppression de la souveraineté française dissoute dans une Europe fédérale et antidémocratique, et les patriotes qui souhaitent que l’Europe soit construite sur des critères respectant mieux la volonté des peuples. Ce débat depuis le refus de la constitution européenne au référendum de 2005, est toujours sous-jacent dans toutes les consultations électorales. Aujourd’hui encore, on voit au travers des ralliements à E. Macron, se reformer le front parlementaire utilisé par Nicolas Sarkozy pour contourner le résultat du référendum.

    Dans ces conditions, et vu le peu de clarté des propositions du candidat Emmanuel Macron, on ne peut s’en tenir qu’aux seules déclarations réelles et fermes qu’il ait faites. C’est-à-dire, sa vision de la France et ses souhaits pour l’Europe.

    Emmanuel Macron souhaite représenter son pays. La première chose qu’il devrait faire serait d’en être fier, et d’assumer toute l’histoire de notre pays avec les bons et les mauvais côtés. Malheureusement, fidèle à son maître François Hollande, il continue sur la repentance qui ne mène à rien et qui nous rend méprisables.

    Nous ne pouvons souhaiter voter pour un homme qui en Algérie a déclaré que la France avait commis avec la colonisation, un crime contre l’humanité. En premier lieu, les crimes contre l’humanité ont une définition bien précise, qui ne correspond pas à ce que la France a fait en Algérie depuis 1830. En deuxième lieu, s’il y avait eu crime contre l’humanité la population de l’Algérie depuis 1830 jusqu’à aujourd’hui ne serait pas passée de 1 million à 11,7 millions en 1962. Et enfin, une telle attitude irresponsable rend encore plus difficile l’intégration des populations algériennes et maghrébines et les rend toujours plus exigeantes.

    Nous ne pouvons pas voter pour quelqu’un qui n’est pas fier du pays qu’il souhaite représenter.

    Emmanuel Macron sur l’Europe, a dit clairement qu’il voulait une Europe supranationale. C’est exactement ce qui a été refusé par référendum en 2005. Il est quand même effrayant de penser que des personnalités qui se disent démocrates, imposent depuis maintenant 12 ans une construction qui a été refusée par référendum, et dont on voit aujourd’hui encore plus la nocivité. La construction européenne doit être autre chose, et faire le plus grand cas de la volonté des peuples.

    Sur tous les autres sujets, économiques, sociaux, culturels, Monsieur Macron, est d’accord avec tout le monde, c’est-à-dire avec personne. Monsieur Macron a eu pendant pratiquement quatre ans d’importantes responsabilités économiques, auprès de Monsieur Hollande, pendant lesquelles les Français se sont dramatiquement appauvris.

    Nous ne pouvons pas voter pour un homme dont toute l’action est antidémocratique et contraire aux souhaits de la population.

    Enfin on nous vante la jeunesse du candidat. Ce qui est vrai sur l’État civil, mais faux dans la réalité. Emmanuel Macron est un vieux jeune, ses soutiens sont dans la vie politique depuis 40 ans et ce sont les mêmes qui n’ont comme ambition que de détruire la France.

    Le G21 est fier de notre pays. Nous refusons de le voir sombrer. Le score du premier tour a été obtenu par des manœuvres plus sordides les unes que les autres, que jamais Monsieur Macron n’a dénoncées. Nous avons une autre idée de la responsabilité politique, et nous refusons de cautionner de telles méthodes.

    Le seul conseil que donne le G21, est de ne pas voter Emmanuel Macron."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html