Europe et Union européenne - Page 628
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5 millions d'immigrés en voie d'être expulsés…
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Institut Iliade - François Bousquet - La culture générale face aux déconstructeurs
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Institut Iliade - Jean Yves Le Gallou - Européens, sortez de la culpabilité !
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Chaos migratoire : le SIEL porte plainte contre François Hollande, Angela Merkel et Jean-Claude Juncker
Communiqué de Karim Ouchikh, Président du SIEL :
"Le SIEL porte plainte contre François Hollande, Angela Merkel et Jean-Claude Juncker, les trois artisans du chaos migratoire européen
Les principaux dirigeants européens pratiquent depuis plusieurs années une politique périlleuse d’accueil des migrants qui provoque mécaniquement un appel d'air migratoire : liberté de circulation dans l’espace Schengen ; politique de secours en mer donnant accès à un droit d’entrée sur le territoire de l’UE ; quotas d'hébergement autoritaires ; prestations sociales généreuses...
Cette politique suicidaire provoque le départ massif d’Afrique comme du Moyen-Orient de populations considérables qui aspirent, pour des motivations essentiellement économiques, à s’installer en Europe afin d’y bénéficier des largesses des Etats Providence.
Encouragés à agir dans cette direction par les responsables du grand patronat, les dirigeants de l'Union européenne sont ainsi devenus de véritables passeurs de migrants : ce faisant, ils portent atteinte à la paix civile, contreviennent au respect de l’ordre public et incitent les migrants à prendre des risques inconsidérés pour leurs propres vies.
N’ayant reçu aucun mandat explicite des peuples européens à agir de la sorte, ces dirigeants ne peuvent se prévaloir d’aucune légitimité démocratique. La politique délibérée ainsi menée par François Hollande, Angela Merkel et Jean-Claude Juncker tombe manifestement sous le coup de la loi française, en l’occurrence les dispositions de l’article L 622-1 du Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile qui prohibent et répriment l’aide à l'entrée, à la circulation et au séjour irréguliers d'étrangers.
Ne pouvant tolérer davantage de tels écarts de conduite qui mettent manifestement en péril la cohésion de nos sociétés, en France comme partout en Europe, j’ai demandé aux avocats du SIEL de déposer plainte contre le président de la République française, la chancelière allemande et le président de la Commission de Bruxelles afin que les trois artisans principaux du chaos migratoire européen soient poursuivis rapidement, traduits devant les tribunaux et condamnés sévèrement par nos juridictions pénales."
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Crise des migrants : l’Union Européenne récompense les « bonnes pratiques journalistiques »
Source : OJIM – “Crise des migrants : l’Union Européenne récompense les « bonnes pratiques journalistiques »”
Il y a quelques semaines, l’Ojim vous révélait l’initiative du Conseil Économique et Social Européen visant à définir les « bonnes pratiques » dans la couverture médiatique de la crise des migrants. L’heure des travaux pratiques a commencé. C’est maintenant l’Union Européenne qui récompense les journalistes qui adoptent une présentation de la crise migratoire conforme à sa vision favorable à l’immigration.
L’UE a en effet lancé en début d’année un Prix des médias pour promouvoir « un journalisme sur la migration basé sur des preuves ». Partant du constat que « le discours actuel qui entoure la migration a pris une tournure dramatiquement négative durant la dernière décennie en Europe et ailleurs » et que « la couverture des médias des phénomènes migratoires joue un rôle important dans la formation de l’opinion publique », les organisateurs de ce prix ont comme objectif de « renforcer le rôle positif que les médias peuvent jouer quand il s’agit d’influencer le récit actuel des migrations ». Cette compétition permettra de réunir 72 récits qui pourront être utilisés et diffusés grâce à des droits d’auteurs partagés. La remise des prix aura lieu le 22 juin 2017 « sous les auspices de la Présidence maltaise de l’Union Européenne ».
Quand Bill Gates finance les médias favorables aux migrants
Hasard du calendrier, l’European Journalist Centre est quant à lui à l’origine d’un projet, financé notamment par la fondation Bill Gates, qui vise à assurer la couverture pendant dix-huit mois de l’arrivée et de l’intégration de familles de migrants. Quatre grands journaux européens vont participer à l’opération, Le Monde, le quotidien anglais Guardian, le quotidien espagnol El Pais et l’hebdomadaire allemand Der Spiegel.
Selon Le Monde, « le projet s’inscrit dans l’approfondissement de notre couverture des questions migratoires ». Le Directeur de l’European Journalism Centre indique sur le site de l’EJC qu’« avec 10 élections nationales en 2017 sur le continent, des projets de cette envergure sont vitaux ». On n’en connaitra pas plus sur les « enjeux vitaux » de ces élections, mais l’angle des articles publiés dans le cadre de cette initiative, des récits de vie, vise à développer l’empathie vis-à-vis des migrants, indépendamment de toute autre considération.
Et l’UE prône d’ouvrir les vannes en grandLe commissaire européen aux Migrations et aux Affaires intérieures l’affirmait récemment à la Tribune de Genève, « L’Europe va avoir besoin de 6 millions d’immigrés ». «Nous allons ouvrir des bureaux (pour les permis de séjours) dans tous les pays de la rive sud de la Méditerranée et en Afrique de l’Ouest ».
L’Union Européenne utilise donc la carotte pour influencer une opinion publique de plus en plus réticente à accueillir une immigration massive dans une Europe qui compte 21,4 millions de chômeurs et 29 millions de travailleurs pauvres. Mais elle pourrait aussi manier le bâton, comme le relate France Soir le 2 mars : « la Commission européenne a durci le ton jeudi face aux États membres de l’UE, en menaçant de sanctions ceux qui refusent d’accueillir des réfugiés ».
Politique de la compassionLes récits de vie des migrants sont de plus en plus nombreux dans les médias et l’espace public : outre l’initiative des 4 grands journaux européens, le Télégramme relate le 5 mars que des bénévoles se sont succédés à Rennes pour un marathon de lecture de 24 heures pendant lequel ont été lus 400 témoignages de migrants, « contenus dans une encyclopédie des migrants, recueillis de Brest à Gibraltar ». Le 8 mars, Arte dressait dans un documentaire le portrait de trois femmes qui ont choisi la France.
Ces récits peuvent participer de l’information sur les migrations actuelles vers les pays européens. Mais des monographies, aussi touchantes soient elles, ne peuvent résumer à elles seules les différentes dimensions de l’accueil des migrants. Ce type d’enquête fréquemment utilisé en sociologie soulève, selon le sociologue J.C. Passeron, cité dans un article consacré aux recherches qualitatives deux problèmes :
– « Le récit de vie se veut exhaustif et par-dessus tout signifiant, ce qui donne l’impression de tout comprendre au risque de faire disparaître toute approche théorique permettant de décrire le problème étudié.
– Le risque est grand de céder à l’illusion de ce que le sociologue appelle la « panpertinence » : tout est pertinent et fait sens, le monde ne peut être décrit ».
Il est vrai que la pression migratoire a tout intérêt à être minimisée, enjolivée ou carrément passée sous silence. Les passages en force de clandestins à Ceuta relatés par Ouest-France, les millions de candidats qui attendent dans les pays africains l’occasion de passer la méditerranée cités par Il Tempo, le nombre toujours croissant de demandeurs d’asile arrivés en France, 100 000 en 2016 selon Le Figaro, et dont les déboutés ne sont quasiment jamais reconduits dans leurs pays : autant d’événements qui pourraient accréditer l’idée d’une situation hors de contrôle.
Vouloir influencer le jugement des citoyens en récompensant des journalistes qui se conforment à la vision hors sol des peuples et de l’économie de l’Union Européenne, indépendamment des implications sociales et culturelles de l’accueil massif de migrants : une nouvelle étape dans le formatage des esprits.
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La Hongrie recrute 3 000 volontaires pour garder ses frontières
Ce sont des « chasseurs de frontières » :c’est du moins ainsi que sont présentés par Euronews ces 3 000 volontaires qui sont actuellement formés pour venir renforcer les 10 000 policiers déjà chargés de surveiller la frontière qui sépare la Hongrie de la Serbie. Zoltan Replyuk, 25 ans, explique par exemple qu’il a toujours voulu « être policier » :
« Cette formation est une occasion fantastique. Je peux servir et défendre ma patrie. »
Dans un reportage bien plus complet et bien plus partisan diffusé il y a quelques jours, la RBTF (Belgique) parlait elle carrément de « chasseurs de migrants », les candidats étant pour « la plupart guidés par un très puissant sentiment nationaliste ».
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Institut Iliade - Face à l'assaut migratoire, le réveil de la conscience européenne
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Marine Le Pen à Nigel Farage : « Nous allons retrouver nos quatre souverainetés »
L’ancien leader de l’Ukip (United Kingdom Independence Party) et principal artisan du Brexit, Nigel Farage, par ailleurs proche de Donald Trump, a interviewé Marine Le Pen, favorable au « Frexit », pour la chaîne britannique LBC. En voici la version intégrale et en français.
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Sortir de l'euro ? Le débat doit s’ouvrir
De François Billot de Lochner :
"La question de l’euro est devenue dogmatique : y rester est une saine évidence qui ne se discute pas, en sortir est une aberration traduisant une déficience mentale, voire des tendances fascisantes. Les élites politico-médiatiques ferment ainsi la porte à toute discussion sereine sur le sujet. À l’exception de Marine Le Pen, tous les leaders des grands partis politiques affichent leur détermination sans faille : l’euro est un acquis définitif. Et pourtant…
Si l’euro était la huitième merveille du monde, pourquoi tant de grands économistes, à peu près ignorés par le Système, démontrent-ils implacablement que la mise en place de l’euro fut une aberration économique, et que son maintien ne pourra durer ? Stiglitz, prix Nobel d’économie, économiste mondialement reconnu ; Sapir, grand économiste de gauche, unanimement respecté ; Gave, grand économiste de droite, non moins respecté ; Lauzun, économiste de renom, ex-Délégué général de l’Autorité des marchés financiers ; et tant d’autres…Ces économistes, qui savent de quoi ils parlent, sont formels : l’euro finira mal.
Si l’euro était la huitième merveille de la France, pourquoi la totalité des indicateurs économiques de notre pays se sont-ils effondrés à partir du début du siècle, date de sa mise en place ? La croissance, la dette publique, le budget de l’état, le chômage, le commerce extérieur, l’industrie, l’agriculture : tout s’est écroulé à une vitesse inédite. Les journalistes économiques, qui sont souvent à l’économie ce que Macron est à la culture, ne voient aucun rapport entre cette situation calamiteuse et l’euro. L’idéologie, sur ce sujet comme sur tant d’autres, les aveugle.
Les calculs du coût d’une sortie de l’euro, réalisés par le système politico-médiatique, sont généralement totalement erronés, et occultent totalement le second et si nécessaire calcul du coût du maintien de l’euro, coût véritablement pharaonique, que nous continuerons de payer à guichet ouvert.
Le débat sur l’euro doit donc s’ouvrir dans la sérénité, sur les fondements d’analyses réelles, non faussées par l’idéologie. À cet égard, certains organismes influents, comme le Medef, ou certains journaux à fort tirage, comme Le Figaro ou les Echos, s’honoreraient s’ils faisaient preuve, sur ce sujet capital, de plus d’objectivité, et s’ils travaillaient plus à fond ce dossier. Car les candidats à la présidentielle ne peuvent être valorisés ou jetés aux orties, de façon définitive et non argumentée, selon qu’ils sont pour le maintien de l’euro ou pour son abandon. Le sujet mérite un traitement de meilleure qualité, puisque l’avenir de notre pays en dépend, d’une certaine façon."
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Zoom - Massimo Magliaro : « L’epopée de la droite nationale italienne »