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Europe et Union européenne - Page 920

  • Elections législatives en Hongrie : le JOBBIK progresse encore

    Gabor Vona, président du Jobbik

    Ce dimanche avaient lieu en Hongrie les élections législatives.

    Il existe là-bas un parti nationaliste et chrétien, dynamique et radical, dont nous vous donnons régulièrement des nouvelles : le Jobbik (« Mouvement pour une meilleure Hongrie »).

    Alors que le pays est gouverné depuis quelques années par la droite dure (incarnée par Viktor Orban, présenté par les médias français comme un quasi-fasciste), les pronostics officiels pariaient sur une chute ou sur un résultat médiocre du Jobbik : en effet, la droitisation continue de la politique (populaire) d’Orban et de son parti (Fidesz) coupait l’herbe sous le pied de la formation nationaliste.

    Il n’en a finalement rien été. Le Jobbik a obtenu ce dimanche 20,5 % des voix (contre 16,5% aux dernières législatives, en 2010), poursuivant sa progression.
    Le Fidesz, vainqueur de ce scrutin, en a obtenu pour sa part 44,5 % (contre 53% en 2010).

    Détails

    http://www.contre-info.com/elections-legislatives-en-hongrie-le-jobbik-progresse-encore

  • Interview de Pascal Marchand, spécialiste de la géopolitique de l'Europe et de la Russie

  • Jour de Colère mobilise moyennement en province

    Les premiers chiffres des manifestants de ce week-end montrent qu’il y a clairement eû une baisse de participants si on compte ceux du 26 janvier: un peu plus de mille personnes dans toute la France.  Les deux villes, qui ont le plus mobilisées, sont Lyon et Nantes avec environ 500 personnes respectivement.Lille a rassemblé cent personnes comme Dijon ou Caen. Pour Montpellier, on a annoncé 250 personnes. Ils étaient quelques dizaines à Toulouse.Peut-on penser que la stratégie de diabolisation des médias et des politiques a marché ? Il est difficile de le dire. Pourtant, sur les réseaux sociaux, les gens annoncent leur participation et leur mécontentement mais concrètement on ne les voit pas dans la rue. Il y a une semaine, ils ont sanctionné le gouvernement dans les urnes et depuis la vie reprend son cours. Il faut croire que le gouvernement a réussi à empêcher la coagulation qu’il redoutait tant. Chaque mouvement est reparti dans son coin tandis que Mélenchon annonce déjà une manifestation contre le nouveau gouvernement Valls. Tant que les manifestations sont éparpillées, François Hollande n’a aucun souci à se faire. Il est tranquille jusqu’à la fin de son mandat.

    Bordeaux

    Bordeaux

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  • OTAN GO HOME !

    COMMUNIQUÉ DU RÉSEAU IDENTITÉS.

    En 1991 l‘Union Soviétique s’effondrait et avec elle la menace militaire qu’elle représentait. En effet, immédiatement, la Russie nouvelle sabordait le Traité de Varsovie: dès lors l’OTAN n’avait plus de raisons d’être. Mais au lieu de jouer le jeu de la réciprocité, les U.S.A. poussaient leurs pions un peu plus profond en Europe. Ce furent les épisodes du démembrement de la Yougoslavie et de la Serbie, puis des “révolutions oranges” téléguidées depuis Washington.  Aujourd’hui, Russie et « Occident » sont à nouveau face à face à l’occasion de la crise Ukrainienne.

    Souvenons-nous de ces mains tendues… Gorbatchev et sa « Maison commune », Poutine et sa « Grande Europe »… Autant de plaidoyers pour un partenariat euro-russe enterré par nos dirigeants corrompus inféodés à Washington tels les Hollande, Fabius cornaqués par  l’ineffable Bernard Henri Lévy. Concrètement, l’OTAN divise notre continent alors que nous devrions l’unir. Nous ne pouvons demeurer les complices silencieux de l’OTAN quand elle bombarde une capitale européenne comme Belgrade, quand elle installe des républiques musulmanes comme le Kosovo ou la Bosnie en plein coeur de l’Europe, ou quand elle tente de déstabiliser la Russie comme on l’a vu en Géorgie ou en Ukraine…

    C’est pourquoi le Réseau-Identités entreprend aujourd’hui une campagne visant à libérer l’Europe de la tutelle des USA en abrogeant le Traité de l’Atlantique Nord qui ne sert ni le continent européen, ni les nations qui le composent. A la place, nous devons oeuvrer pour une armée européenne au service des intérêts européens et de leur diplomatie. On est en droit de se demander aujourd’hui quelle sera l’attitude de l’OTAN quand les peuples de France ou d’autres pays d’Europe auront décidé de se réapproprier les outils de leur souveraineté et de s’atteler au grand défi de la re-migration. Décidemment, non! Nous ne voulons plus d’une ingérence étrangère dans les affaires de notre continent car nous voulons l’Europe aux Européens…

    Alors, comme De gaulle en son temps, disons non à l’OTAN…

    OTAN hors de France !!! OTAN hors d’Europe !!! OTAN GO Home !!!

    Réseau Idendités : http://www.reseau-identites.org/

    flyer_otan

    autocollants à commander sur contact@reseau-identites.org

  • Aujourd’hui, la Hongrie vote

    Le paysage politique hongrois est peut-être annonciateur de nouvelles recompositions politiques en Europe.
    Demain dimanche, c’est jour d’élections législatives en Hongrie. Ce sont les élections les plus importantes car le président de la République, en Hongrie, n’est élu qu’au suffrage indirect, justement par l’Assemblée nationale.
    Le Jobbik, parti qui veut dire « les meilleurs » et « à droite », est dirigé par un homme jeune, Gábor Vona, historien de formation. Jobbik se donne une ligne sociale. Son objectif affiché est d’aider les familles nombreuses, et celles qui ont été victimes de l’endettement immobilier, particulièrement de 2002 à 2010, quand la gauche gouvernait. Jobbik avait réuni 17 % des votes en 2010. Entre-temps, le parti s’est « dédiabolisé » : fini les défilés évoquant le style des années trente.
    Un sondage donne Jobbik à 21 %, loin derrière le parti de Viktor Orbán, le Fidesz, donné à 47 %, mais non loin de l’opposition « de gauche », en fait l’opposition libérale et bruxello-compatible, donnée à 23 %. Si les intellectuels parisiens parlent beaucoup de Jobbik pour se donner des frissons, ils voient rarement que l’essentiel est ailleurs.
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  • La leçon italienne

    Le gouvernement italien ne considère pas, lui, que plusieurs centaines de Sentinelles postées sur une place constituent un trouble à l'ordre public. Elles étaient 500 en fin d'après-midi à Rome :

    Sentinelles 2

    Louise Tudy

  • 10 avril : présentation de l'initiative "Un de nous" devant le Parlement européen

    Le jeudi 10 avril se tient de 9h à 12h30, l'audition officielle au Parlement européen à Bruxelles, pour présenter l'initiative citoyenne européenne "Un de Nous".

    Venez assister NOMBREUX à cette réunion publique importante. A la même occasion, vous vous familiarisez avec l'ambiance au sein du Parlement européen à l'égard des questions relatives à l'éthique sociale. Participer vous permet de comprendre, de vous former, d'agir et de témoigner par la suite ! (Ce n'est pas inutile à 8 semaines des prochaines élections européennes.) 

    "Un de Nous" poursuit l'objectif d'obliger les institutions européennes à mettre en œuvre, l'arrêt C-34/10 de la Cour européenne de justice. La plus haute instance juridique de l'Union s'y prononce sur la définition de l'embryon humain. Elle déclare pour droit de l'Union européenne que la vie humaine commence au moment même de la fécondation, et que l'embryon humain représente une étape précise dans le développement du corps humain, investie de la pleine dignité humaine que le législateur européen doit protéger. Cette jurisprudence fait désormais partie de l'ensemble des règles de l'Union européenne.

    Pour sa mise en œuvre, des directives européennes existantes doivent être abrogées pour exclure explicitement la destruction de l'embryon humain par les politiques européennes sectorielles (notamment dans la recherche et les questions liées à l'avortement).  Seulement si l'abrogation des directives aura été votée par le Conseil et par le Parlement, et publiée au Journal officiel, "Un de Nous" est achevé avec succès. 

    "Un de Nous" représente à ce jour l'initiative citoyenne européenne la plus importante en termes de signatures de soutien. Mais ce la ne paît à tout le monde, et l'opposition dans les institutions européennes nous fait sentir son mécontentement très ouvertement. C'est pourquoi il est très important de faire preuve d'assiduité, de solidarité et de détermination pour aller jusqu'au bout de la démarche "Un de Nous". 

    Concrètement, vous pouvez contribuer au succès "Un de Nous" par votre présence et votre prière. Selon la procédure prévue, l'audition du Parlement européen se tiendra le jeudi 10 avril 2014 de 9h à 12h30 à Bruxelles (salle JAN 4 Q-2). Inscrivez- vous sans plus attendre ici par le formulaire pour assister sur place à Bruxelles à ce moment important.

    Michel Janva

  • La tête de liste UMP aux Européennes Alain Lamassoure refuse les contrôles aux frontières nationales.

    Lu dans L'Express : Résultat, même Henri Guaino refuse de voter Lamassoure aux européennes ! Tête de liste UMP pour l' Ile-de-France, quand même !... Lire la suite »

  • Marine Le Pen en vidéo au meeting Vlaams Belang sur la Grand’Place de Bruxelles

    La soirée d’hier a été animée dans le centre de Bruxelles !

    Le bourgmestre – socialiste et franc-maçon – Yvan Mayeur avait interdit le meeting organisé par Vérités Bruxelloises, antenne francophone du Vlaams Belang, meeting auquel étaient annoncés Marine Le Pen et Aymeric Chauprade.

    Le Vlaams Belang ne s’était pas laissé démonter et avait introduit un recours en extrême urgence. Et le Conseil d’État a infligé hier en fin de journée un camouflet à Yvan Mayeur en  décidant de suspendre l’interdiction de meeting.

    Mais l’affaire ne s’arrête pas ici. Hier soir, la galerie de la Reine – dans laquelle se trouve la salle qui devait accueillir le meeting – était en état de siège. Des nervis « antifascistes » cagoulés et décidés à en découdre faisaient face à des militants nationalistes résolus à ne pas reculer.

    La direction du Vlaams Belang a estimé que les conditions n’étaient plus réunies pour permette au public d’accéder en toute sécurité au théâtre du Vaudeville. A raison car de violentes bagarres ont éclaté. Pourquoi la police a-t-elle attendu des affrontements avant d’intervenir, alors qu’elle était présente en nombre aux abords ? Faut-il y voir des consignes d’Yvan Mayeur d’attendre que la situation se dégrade avant de rétablir l’ordre ? Une façon bien classique de tenter de prouver qu’il y avait bien des risques de troubles à l’ordre public qui entouraient ce meeting… Alors qu’aucun incident n’aurait été à déplorer si la police s’était d’emblée positionnée entre les parties en permettant un accès correct et sécurisé à la galerie et à la salle.
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