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Europe et Union européenne - Page 919

  • Le Parti Socialiste envoie ses bras cassés vers l'Union européenne

    Vincent Peillon sera tête de liste aux Européennes, Moscovici est pressenti pour être commissaire européen, et maintenant, Harlem Désir...

    Harlem Désir va quitter la direction du Parti socialiste. Il va être nommésecrétaire d’État aux Affaires européennes. Harlem Désir sera remplacé au siège du PS par le député Jean-Christophe Cambadélis, déjà responsable de la campagne des Européennes au sein du parti.

    Michel Janva

  • Avortements eugéniques en Pologne : les sages-femmes demandent que soit respectée leur clause de conscience

    Les avortements eugéniques en Pologne n’ont pas la même ampleur qu’en France ou ailleurs en Europe, mais la tendance est à la hausse. Ce que les défenseurs du droit à la vie appellent avortements eugéniques, ce sont les avortements réalisés à la suite d’examens prénataux ayant fait apparaître des déficiences génétiques ou des maladies graves et incurables de l’enfant conçu. 

    Il existe bien entendu des cas difficiles où la déficience est jugée incompatible avec la vie, mais dans une majorité de cas on élimine des enfants dont la maladie ou la déficience n’est qu’un handicap et non pas une source future de souffrances insurmontables et de mort très précoce. Il en est ainsi par exemple des enfants trisomiques qui sont éliminés à proportion d’environ 90 % au stade prénatal en France. En Pologne, les cas de déficience génétique ou de maladie grave et incurable, une des trois situations où il est permis à une femme de demander un avortement, représentaient en 2011 620 avortements sur 669 IVG déclarées. [...]

    La suite sur NdF

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Avortements-eugeniques-en-Pologne

  • Sortons de l’impasse européiste

    Du  discours de politique générale prononcé par Manuel Valls, hier, Marine Le Pen a dit ce qu’il fallait en penser dans un communiqué publié sur le site du Front National. Au-delà des  effets de manche, « de ce discours sans envergure il n’y a qu’une seule chose à retenir: le gouvernement socialiste envoie la France dans le mur, en poursuivant une politique bruxelloise déjà mise en œuvre par l’UMP, et qui, chaque jour, fait un peu plus la preuve de ses échecs. Et ce ne sont pas les annonces d’allègements de charges patronales et salariales non financés qui tromperont quiconque : ces promesses ont un fort goût électoraliste à quelques semaines du scrutin européen… »

     Il ne suffit pas  en effet à Manuel Valls  d’invoquer  les mânes du tigre  Clemenceau ou de son mentor  progressiste Mendes-France (qui occupa les fonctions de  président du Conseil pendant seulement  sept mois, puis fut un très bref  ministre sans portefeuille du gouvernementGuy Mollet…)  pour se mettre la gauche républicaine dans la poche. Ni de citer Pascal  et de se dire  patriote et fier de sa naturalisation  pour rassurer tous les Français.

     Dans le droit fil de ses obsessions développées au fil des réunions communautaires et/ou antiracistes dont il est l’invité récurrent, M. Valls y a été aussi de son couplet contrel’homophobie, le racisme,   en faveur du vivre ensemble et de la diversité qu’il entend défendre avec le MEDEF  en maintenant à très haut débit les filières  de l’immigration dite  « légale ». Immigrés qu’il s’agit ensuite de transformer en électeurs socialistes ; même si ce processus de transformation connaît parfois des ratés, nous l’avons vu.

     En novembre dernier, lors d’un meeting antiraciste du PS, Manuel Valls confessait son vœu de «de faire de la naturalisation de nouveau le vecteur de l’intégration parce que non seulement nous sommes fiers d’accueillir de nouveaux Français, mais parce que nous savons que ces citoyens qui viennent de tous les continents du monde sont fiers d’appartenir à cette nation qui a toujours un message universel ».

     Reprenant les discours du lobby immigrationniste aux manettes à Bruxelles,   d’unClinton ou d’un Obama, Manuel  Valls précisait qu’ « il n’y a pas de noms, de prénoms, d’origine, de couleur de peau qui prédestinent à être français. Être français n’est pas qu’une question de filiation, c’est aussi l’expression d’une volonté celle d’intégrer de prendre part à un projet ». Un projet  dont les Français ne veulent pas quand il est clairement exprimé, mais de cela les  dirigeants de l’Etat profond UMPS se contrefichent…

     Cette  vision bien désincarnée de la nationalité française, d’une France qui a commencé en 1789,réduite aux immortels principes droits de l’hommiste, a été réitérée devant l’Assemblée par le Premier ministre.  Évoquant son cas personnel,  il a affirmé «qu’il y a peu de pays au monde qui permettent à des citoyens nés à l’étranger, qui ont appris les valeurs de la République , de prendre les plus hautes fonctions de l’Etat.»  Citer les valeurs de la République, comprendre ici  celle de la gauche  hors-sol  des idéologues cosmopolites,permet comme toujours dans la bouche des membres de la caste  de faire commodément l’impasse sur les  valeurs de la France éternelle…

     Une saillie qui  s’inscrit  finalement dans la même veine que  la déclaration du maire PS de Strasbourg, Roland Ries,  qui  a déclaré « servir des repas halal dans les écoles par respect pour la diversité, mais pas de poisson le vendredi par respect pour la laïcité. »

     Ce trait d’esprit ( ?) lui vaudra peut être de se voir décerner cette année le prix du  jury du « Press club, humour et politique ». Si un maire, a fortiori un élu  FN, avait déclaré  ne pas servir de repas halal la semaine par respect de la laïcité mais servir  du poisson le vendredi par respect pour la diversité , gageons que personne n’aurait trouvé cela très drôle

     Cette parenthèse étant fermée, soulignons aussi que le nouveau Premier ministre a pris grand soin de rester dans le flou sur la manière dont il entend  mener son plan d’économie de 50 milliards. 50 milliards d’euros rappelle Bruno Gollnisch,  cela correspond à ce que l’Etat français doit verser annuellement au titre des seuls intérêts de notre dette, fruit empoisonné  de décennies de cogestion gauche-droite, qui se chiffre à 2000 milliards d’euros, 11 140 milliards de francs ! 50 milliards d’euros  donnés à nos créanciers et qui viennent  de l’emprunt…lequel  augmente  d’autant notre dette et gonfle mécaniquement  les intérêts.

     Il n’est pas nécessaire de sortir de l’ENA pour comprendre les effets dramatiques de ce cercle vicieux. Tous les ménages français savent pertinemment  que s’ils concédaient  de nouvelles dettes pour payer les plus anciennes, ils seraient  immédiatement  mis en  faillite;  bref,  qu’un foyer ne peut vivre indéfiniment  au dessus de ses moyens, avec ou sans oukases de la Commission européenne.

     Jean Rouxel le notait  aujourd’hui sur le site des Quatre vérités, si « MM. Valls et Hollande n’ont cessé de nous chanter les louanges de l’UE », « ils sont incapables d’en respecter les règles !». «A peine les résultats des élections municipales connus, François Hollandelançait des appels du pied à Bruxelles pour obtenir de nouveaux délais pour la réduction des déficits publics », notre déficit public étant de l’ordre de 4%, sachant que  « seuls le Portugal, l’Irlande, l’Espagne et Chypre font moins bien que nous »…

     « (…) Nous sommes désormais tenus de passer sous les 3 % en 2015. Et, de fait, vu notre situation actuelle, on voit mal comment le gouvernement pourrait y arriver – sauf à employer les méthodes expérimentées à Chypre de spoliation des épargnants ».

     Jean Rouxel s’arrête  aussi sur un fait largement occulté par les médias à savoir que «  la nouvelle directrice du cabinet de Manuel Valls, Véronique Bedague-Hamilius (qui a travaillé au FMI, avant d’être secrétaire générale de la ville de Paris…), est mariée avec un proche deJean-Claude Juncker, le grand manitou luxembourgeois de la zone euro. Comme quoi, on peut être socialiste, pour ponctionner l’argent des contribuables, tout en goûtant les charmes de l’économie de marché… ».

     « Cette soumission à Bruxelles conclut-il va être au cœur de l’actualité politique et économique des prochains mois. » Et ajouterons-nous, au cœur de la campagne du FN pour les élections européennesQui mieux que l’opposition nationale a en effet la légitimité pour dénoncer sans démagogie opportuniste cette inféodation au Moloch euromondialiste qui tue nos forces vives,  accable notre économie  et  nos entreprises ?

    http://gollnisch.com/2014/04/09/sortons-limpasse-europeiste/

  • L'homosexualisme de l'UE nuit à nos relations avec l'Afrique

    Lu sur C-Fam :

    "Les pressions que l’Union européenne exerce sur les pays africains pour qu’ils changent leurs législations sur l’homosexualité ont provoqué des résistances qui pourraient avoir des conséquences négatives sur la réunion entre les dirigeants des deux continents.

    Les gouvernants européens ont essayé d’apaiser les dirigeants africains en prévision du sommet U.E.-Afrique de cette semaine, qui aura lieu à Bruxelles. Le but du sommet est de trouver des solutions à une série de problèmes sur lesquels les deux continents travaillent ensemble. L’homosexualité en fait partie.

    Les gouvernements africains ont réagi de manière très négative à la résolution passée par le Parlement européen la semaine dernière. La résolution menace les pays africains de sanctions économiques si ils continuent à pénaliser les relations sexuelles homosexuelles. La résolution a été rédigée en réponse à la sévérité des nouvelles législations de l’Ouganda et du Nigéria qui pénalisent la sodomie, et à la censure le la promotion de l’homosexualité et du mariage homosexuel.

    Le Parlement européen a demandé aux gouvernements de l’Ouganda et du Nigéria de retirer l’aide au développement de l’Union européenne. La demande est acheminée par le biais d’un arrangement entre l’U.E., l’Afrique, les Caraïbes, le groupe des Etats du Pacifique (ACP) et les Etats d’Afrique subsaharienne

    Les africains ont répondu rapidement.

    Toute société a un droit humain de défendre sa culture et ses traditions, et à « définir ses propres valeurs et normes » par le biais de leurs institutions démocratiques », affirmaient quelques jours plus tard les pays africains dans une déclaration.

    Cette déclaration cinglante demande aux pays riches d’arrêter d’imposer des conditions à l’aide au développement susceptibles de causer du contentieux, comme par exemple la question de l’homosexualité. Elle a été envoyée aux gouvernements européens et africains, et à leurs institutions politiques.

    La déclaration africaine qualifie les pressions exercées sur le Nigéria et l’Ouganda d’ « imposition violente d’un point de vue unilatéral ». Elle explique que l’homosexualité est pénalisée dans la majorité des pays ACP, ce qui va à l’encontre des normes acceptées dans les pays occidentaux. [...]"

    Michel Janva

  • En finir avec l'euro pour sauver l'Europe: quatre journalistes brisent le tabou

    L'euro est cliniquement mort. Pour sauver l'Europe, il faut revenir aux monnaies nationales, réunies au sein d'une monnaie commune. C'est la thèse de Casser l'euro, ouvrage écrit par quatre journalistes.

    Casser l'euro pour sauver l'Europe. C'est le titre - polémique - d'un ouvrage écrit par un collectif de journalistes économiques, à paraître le 2 avril. Pourquoi, alors que la crise de la dette s'est apaisée et que la zone euro retrouve le chemin de la croissance, remettre sur le tapis le scénario d'un éclatement de la monnaie unique ? Et ce à quelques semaines des élections européennes dont les résultats devraient, selon les estimations, accroître le nombre de députés eurosceptiques au sein de l'hémicycle bruxellois...  
    Il ne s'agit en aucun cas d'un "réflexe populiste", se défendent les auteurs, mais le fruit d'un travail journalistique quotidien au contact des acteurs de ce système. C'est le constat, après cinq années d'une crise sans précédent, que l'euro, tel qu'il existe aujourd'hui, est "cliniquement mort". "Plus d'une décennie après le lancement de l'euro, la convergence tant attendue des économies n'a pas eu lieu, les modèles sociaux ont été détricotés et la spéculation s'est déchaînée", écrivent les quatre journalistes.  
    L'euro "cheval de Troie de la rigueur" 
    Et de dénoncer tout à tour un euro "made in Germany" (l'Allemagne a un droit d'accès sans restrictions tarifaires à des marchés voisins et un taux de change compétitif), destructeur de croissance (historique des performances à l'appui), machine à fabriquer de l'hétérogénéité (dopage de la demande intérieure au Sud, choc de compétitivité au Nord), instrument de dumping social (devant l'impossibilité de dévaluer, les seules stratégies sont la baisse de la fiscalité ou la baisse des salaires), ou encore l'euro "cheval de Troie de la rigueur". Les auteurs écornent aussi au passage la Banque centrale européenne (BCE), "dogmatique et déstabilisante".
    Ce diagnostic n'est pas nouveau. D'autres économistes l'ont déjà fait, au premier rang desquels Jacques Sapir, directeur d'études à l'EHESS , et Frédéric Lordon, directeur de recherche au CNRS, tous deux régulièrement cités dans l'ouvrage. Ce qui est plus intéressant, c'est la solution de sortie proposée : l'euro non plus comme monnaie unique mais comme monnaie commune. Les auteurs écartent l'option d'une scission en deux zone avec, au Nord un euro fort, au Sud, un euro faible. Parce que dans cette zone du "Club Med" (Espagne, Italie, Portugal, Grèce et... France), François Hollande hériterait du rôle joué jusqu'à présent par Angela Merkel, celui du "Père la rigueur".
    A la place, ils proposent de revenir aux monnaies nationales reliées entre elles par un système monétaire européen (SME). Mais pas le SME version 1979, tombé quatorze ans plus tard sous le coup d'attaques spéculatives répétées. Mais un SME rénové, qui interdirait les ventes à découvert et obligerait les banques à payer une taxe de sortie de leurs capitaux. Mais pour que tout cela fonctionne, il faut que l'euro subsiste, comme monnaie d'échange internationale face au dollar.
    La vie après l'euro 
    Les monnaies nationales seraient définies par rapport à l'euro, selon un taux de change fixe mais ajustable. La convertibilité interne (entre le franc et le mark) s'effectuerait au seul guichet de la BCE selon un taux fixe. La convertibilité externe (entre l'euro-franc et le dollar) s'effectuerait en deux temps : au guichet de la BCE entre l'euro-franc et l'euro, puis entre l'euro et le dollar sur le marché des devises. Avec ce passage obligé par une conversion "de guichet", il n'y aurait plus de marché des changes intra-européen, ce qui assurerait "une stabilité interne entre devises proche de celle actuellement assurée par la monnaie unique", expliquent les auteurs.
    Le livre évoque aussi "la vie après le monnaie unique". Non, la sortie de l'euro ne va pas provoquer le chaos dans les transactions quotidiennes, grâce à la règle du "un pour un" qui consiste à caler, temporairement, l'unité de chaque devise nationale sur l'euro. Non, la dette ne vas pas exploser, car un Etat peut discrétionnairement modifier le libellé de sa dette sans en affecter la valeur nominale (autrement dit, les 2000 milliards d'euros de dette tricolore vaudront 2000 milliards de francs). Non, les marchés ne vont pas se fermer, et même s'ils refusaient de prêter à la France, l'Etat pourrait toujours mobiliser les quelque 3000 milliards d'euros d'actifs financiers dont disposent les Français. Non, l'inflation ne va pas exploser, et qu'on se le dise, 4% d'inflation annuelle permet d'alléger 35 milliards de dette d'un coup.
    Ces arguments sont séduisants. Nul doute qu'ils offriront du grain à moudre aux opposants à la monnaie unique. Mais ils restent contestables. Et contestés. "Sortir de l'euro peut être tentant", écrit dans une tribune le journaliste desEchos Guillaume de Calignon. Mais "la sortie de l'euro serait un saut dans l'inconnu, une réaction en chaîne d'événements qui risque de tétaniser les agents économiques, ménages comme entreprises. Sans compter les réactions politiques de nos voisins. Sans l'euro, les Français savent ce qu'ils perdront mais n'ont aucune idée de ce qu'ils gagneront. Les problèmes ne seront pas réglés par un retour en arrière." 

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/04/en-finir-avec-leuro-pour-sauver-leurope.html

     

  • L'Ukraine au bord de la Guerre civile : le Donbass russophone déclare son Indépendance

     Ce qui devait arriver arriva. Depuis le coup d'état ultranationaliste à Kiev, le nouveau pouvoir multiplie les propos russophobes et les menaces contre les russophones – la majorité de la population à l'est du pays. Privés de médias en russe (interdits), submergés par une propagande quotidienne, ils fuient un pays dont la situation économique est de plus en plus désastreuse. Ou se révoltent. Hier, Donetsk et Kharkov ont déclaré leur indépendance. Et souhaité l'entrée des troupes russes pour protéger les populations; les villes de l'est s'embrasent les unes après les autres. L'Ukraine est au bord de la guerre civile.

      Depuis plusieurs semaines, des milliers de personnes se rassemblent quotidiennement sur les places des principales villes de l'est de l'Ukraine – ainsi à Kharkov, Donetsk, Lugansk ou encore Zaporojie. Plusieurs fois, des affrontements ont opposé la foule russophone à l'administration mise en place par le nouveau pouvoir ; cette dernière est pour l'essentiel constituée d'oligarques mafieux, comme Sergueï Taruta à Donetsk, et de leurs obligés.
     
    Par ailleurs les ultra-nationalistes ukrainiens sont la principale force d'un pays en décomposition. Issus de l'ouest du pays – économiquement pauvre et russophobe – ils se lâchent quasi-quotidiennement sur les populations de l'Est (plus riche, industrialisé et majoritairement russophone) où ils sont envoyés pour tenter de « tenir » le pays. Ainsi, à Zaporojie, ils onttabassé des citoyens qui organisaient une manifestation de soutien à la Crimée indépendante. La police et la justice aux ordres de Kiev préfèrent regarder ailleurs. Les russophones sont pour ce nouveau pouvoir des citoyens de seconde zone.
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  • Euromondialistes, « Bêtes » et méchants…

    Les électeurs  sont largement indifférents à  l’argument invoqué par le Système  pour les mobiliser selon lequel,  pour la première fois lors de ces élections européennes, le   président de la Commission européenne sera élu sur la base du rapport  des forces politiques dans l’hémicycle européen. Une fausse  avancée démocratique car  l’arrivée  dans ce fauteuil, en remplacement du portugais  Jose Manuel Barroso, de son clone luxembourgeois, le  libéral-social Jean-Claude Juncker ou de son jumeau allemand, le  social-libéral  Martin Schulz, n’entrainerait en rien  la rupture nécessaire,  attendue  avec l’idéologie euromondialiste qui  nous fait tant de mal. Si comme le notait hier Jean-Marie Le Pen lors du Talk Le Figaro, «  La France est une sous-colonie, colonie de l’Union européenne, elle-même colonie des Etats-Unis», les  peuples de la Vieille Europe attendent autre chose, ils plébiscitent toujours plus nombreux le retour aux valeurs nationales.

     L’oligarchie euromondialiste se sentant   menacée il est  dans l’ordre des choses qu’elle  sonne l’alarme ! A son petit niveau (d’audience), la chaîne Arte s’y colle ce soir en programmant à 20h50 un documentaire, «  Populisme, l’Europe en danger » dans lequel le FN ne sera bien évidemment pas oublié. « Alors que le mécontentement enfle face à la crise, est-il expliqué sur le site de la chaîne, les mouvements populistes espèrent triompher lors des élections européennes de mai 2014. Sont-ils réellement en marche vers le pouvoir ? Enquête sur les rouages d’un extrémisme florissant ». Cela promet !

     Est-il nécessaire  de rappeler que l’escroc intellectuel Bernard-Henry Lévy, est président duConseil de surveillance d’Arte depuis maintenant prés de 21 ans,  soit le plus long mandat du  Paysage audiovisuel français »?  Et que le site  du bulletin qu’il anime, La Règle du Je(u),  s’est laborieusement, maladroitement  et très grossièrement  investi ces derniers mois pour  tenter d’empêcher le FN de conquérir des mairies et d’obtenir des conseillers municipaux ?

     Son « meilleur ami » et complice, l’ex gauchiste Gilles Hertzog, éditeur, journaliste, écrivain,  directeur de la publication de  La Règle du Jeu, a publié vendredi sur ce même site, un texte qui en dit long  sur la peur du peuple qui glace l’échine de nos « élites ».

     Petit-fils de Marcel Cachin, fondateur du Parti Communiste « français », fils de Marcelle Cachin, député communiste et du chirurgien-militant rouge  Paul Hertzog, qui opéra en son temps  de nombreux dignitaires de la sanglante dictature soviétique, Gilles Hertzog est inquiet.  « Quand, dédaignant le Front de Gauche (…)   la moitié de l’feu-classe ouvrière vote pour le Front National (…), quand, dans les profondeurs les plus ancrées de la France populaire, la moitié du pays réel cher à Charles Maurras passe outre à la tradition révolutionnaire et républicaine et met le parti de Jean-Marie Le Pen et sa fille en tête, peut-on encore soutenir que le peuple, en dernière instance, voit juste et a toujours raison  ? (…).Peut-on encore et toujours parler d’un vote du désespoir ? Et non d’un vote d’adhésion, faisant sien, en pleine connaissance de cause, les valeurs, le programme du FN, les adoubant sans réserve ? ».

     M. Hertzog en tire notamment comme conclusion  que  « c’est moins le FN » «  qu’il faut exorciser », « que les électeurs eux-mêmes, les citoyens eux-mêmes, déchirant souverainement le pacte républicain, qu’il faut incriminer » (sic).

     « Le vieil ordre libéral et démocratique craque de partout, poursuit-il,  tandis que le nouvel ordre mondialisé s’avance masqué. Comme l’analysait Gramsci, l’ancien n’est pas encore mort, le nouveau tarde à apparaître. « Et dans ce clair-obscur, ajoutait-il, surgissent des monstres.  On en est là. Toutes les aventures sont possibles. Reste que face au glissement de terrain en cours dans les profondeurs du tissus français, l’angélisme de gauche est moins que jamais de mise ».

     Gilles Hertzog qui attend l’assomption de ce nouvel ordre mondialisé,  ne va pas jusqu’à livrer le fond de sa pensée. Il n’annonce  pas  clairement ce qu’il préconise en lieu et place de cet  angélisme de gauche  pour empêcher que ne s’incarne à grande échelle  le 25 mai ,  ce vœu d’une  Europe des patries enracinées, libres et souveraines, qu’il assimile lui,  à la sortie des eaux  de la   Bête de l’Apocalypse

     « Prennent peu à peu le commandement de millions d’âmes la boue, la haine affichée de l’autre, la peur des différences, le goût de la tribu et de l’entre-soi, la passion d’exclure et la fin du partage. Cela s’appelle la Tentation totalitaire » écrit-il encore.  En gros le projet et les travers  qui sont  justement reprochés par beaucoup aux  doctrinaires du mondialisme et…à BHL.  Nous nous souvenons du jugement d’Henri Guaino sur ce dernier : « Bernard-Henry Lévy n’aime pas la France (…). Il a la bave aux lèvres, avec la haine qui suinte de partout ». Ses leçons d’amour, de tolérance, et de non tribalisme ajouterons-nous, BHL pourrait en effet essayer de se les appliquer à lui même…

     Ce même député UMP  expliquait en février sur LCP  qu’il sentait monter dans le pays « une immense colère » et  « vis-à-vis de l’Europe beaucoup de déception, d’amertume et de colère ».  Le Front National est en capacité de devenir « un instrument de la colère populaire », notait-il,  estimant que l’UMP préparait mal les élections européennes.

     D’ores et déjà le  sondage Ifop-Sud-Ouest Dimanche  qui vient de paraitre donne certesl’UMP en tête le 25 mai avec  24 % des intentions de vote, mais talonnée par le  Front National (22 %), qui se hisse devant  le Parti socialiste (19 %),   Europe Écologie-Les Verts (8,5 %), le  Modem-UDI (8 %) et le Front de Gauche (7,5 %).

     Directeur du département «opinion» de l’Ifop,  Jérôme Fourquet explique dans  Sud Ouest Dimanche  que si l’abstention sera certainement « massive »,  «la concurrence ( de l’UMP)   avec le FN est exacerbée par le fait qu’une partie de l’électorat UMP, que nous estimons à 12 %, peut être tentée de voter FN ».

     « Depuis Airbus ou Ariane, il y a vingt ans, il n’y a plus de grandes idées qui fédèrent et font office de carburant » en Europe explique-t-il encore. « Il y a de grandes avancées institutionnelles ou très techniques, comme l’Union bancaire (pour tenter de sauver l’euro, NDLR) . Mais le décalage est criant avec ce que les peuples attendent ».

     Les exemples cités sont  plutôt mal choisis  si  M.  Fourquet  se veut le défenseur de l’Europe bruxelloise note Bruno Gollnisch, car  « les grandes réussites que sont la fusée Ariane,  l’avion  Airbus,  mais aussi  Galileo (la réponse européenne au GPS américain),  l’anneau franco-suisse  (l’étude de   la structure de la matière menée par le Centre européen de recherches nucléaires),  ne doivent rien à l’Europe bruxelloise ».

     Elles  sont  tout simplement à mettre  « au crédit de l’excellence de nos scientifiques, ingénieurs, chercheurs Français et Européens, le fruit d’une  coopération concrète menée hors du cadre de l’Union européenne »… C’est cette  Europe des nations  performante là, cette Europe de  la libre coopération qui a les faveurs du FN souligne le député FN,  pas sa ruineuse et obsolète caricature bruxelloise  défendue par l’UMPS et ses alliés.

    http://gollnisch.com/2014/04/08/euromondialistes-betes-mechants/

  • Elections européennes : stop aux candidats pro-mort !

    En mai se dérouleront les élections européennes. Déjà les candidats s’affrontent sur l’emploi, la politique étrangère ou l’agriculture… Mais ils oublient le respect de la Vie !

    C’est très grave car c’est du Parlement européen que partent les attaques les plus redoutables contre les enfants à naître et les personnes en fin de vie. 

    Obligeons les candidats à se prononcer sur le respect de la vie ! Envoyez-leur dès maintenant votre avertissement. 

    Avertissement aux candidats aux élections européennes de mai 2014 :

    Monsieur, Madame le candidat, Je vous demande de prendre en considération l’angoisse d’une majorité de Français. Chaque année, 225.000 bébés sont avortés en France.

    Pour rendre la situation encore plus tragique, le Parlement européen a toujours voulu dicter à la France, sous la pression du lobby Pro-Mort, ce qu’elle devait faire ou ne pas faire en matière d’avortement.

    Ce n’est pas au Parlement européen de dicter à notre pays la politique qu’il doit suivre en matière d’avortement. Le Parlement européen n’a pas à être une marionnette du lobby Pro-Mort. Plus on lui cèdera, plus ce lobby continuera à exiger des directives et des règlements s’imposant aux Etats membres.

    En tant qu’électeur français, je vous demande donc de prendre publiquement l’engagement de défendre fermement la vie – de la conception à la mort naturelle – si vous êtes élu en mai prochain.

    Ce n’est pas un thème « annexe ». Ce sont des millions de vies qui sont en jeu

    Soyez assuré que votre réponse sera déterminante pour mon suffrage.

    votre signature (remplissez le formulaire ci-dessous) [...]

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  • Orbán bat Sarkozy par K.-O.

    S’il s’avérait que la Hongrie ait donné à l’Europe un nouveau Charles de Gaulle, il est clair qu’il a bien plus de chance de s’appeler Viktor que Nicolas.   

    Les deux champions originaires de Hongrie se jaugent depuis des années, même s’ils ne boxent pas exactement dans la même catégorie : Sarkozy est un poids coq qui combat en France chez les lourds, alors qu’Orbán est un poids lourd qui boxe dans une fédération poids coq : la Hongrie. Le tout s’équilibre et, de fait, le premier round fut équilibré : à l’âge de 28 ans, Nicolas Sarkozy était élu plus jeune maire de France tandis que Viktor Orbán devenait, au même âge, le plus jeune député du Parlement hongrois.

    À 38 ans, le premier occupait le poste de ministre du Budget à Paris tandis que le second devenait Premier ministre à Budapest. Enfin, en 2007, à l’issue d’une brillante campagne frappée du sceau du bon sens, c’est-à-dire du populisme et du conservatisme, Nicolas Sarkozy fut élu président de la République française avec un confortable 53 %. Trois ans plus tard, son challenger Orbán était élu chef du gouvernement de Hongrie sur un score équivalent et à l’issue d’une campagne électorale similaire.

     

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