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géopolitique - Page 224

  • Le chef de l’état-major interarmées vient d’admettre que Kiev ne peut pas vaincre la Russie

    Le général Mark Milley, président des chefs d’état-major interarmées, est le plus haut responsable militaire des États-Unis et ne peut raisonnablement pas être accusé d’être un « propagandiste russe », compte tenu de son rôle de premier plan dans l’orchestration de la guerre par procuration de l’OTAN contre ce pays par le biais de l’Ukraine. Au contraire, il est l’une des figures anti-russes les plus dures depuis la Seconde Guerre mondiale en raison de ce qu’il fait aujourd’hui, et c’est pourquoi sa dernière prédiction sur le conflit ukrainien devrait faire l’objet d’une réflexion approfondie de la part de tous les Occidentaux.

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  • Le prix du gaz et de l'électricité n'a rien à voir avec la guerre en Ukraine

    Engie s'approvisionne en gaz de schiste américain pour ne plus dépendre du  gaz russe | Choisir.com

    Le 23/01/2023

    Cette gigantesque escroquerie a été organisée par les USA pour nous refourguer leur gaz de schiste trop cher pour être concurrentiel sur le marché du gaz traditionnel .


    https://by-jipp.blogspot.com/2023/01/du-gaz-et-de-lelectricite-na-rien-voir.html

  • Guerre en Ukraine : c’est reparti comme en 1939 !

    Guerre en Ukraine : c’est reparti comme en 1939 !

    Par Michel Geoffroy, auteur de Immigration de masse. L’assimilation impossibleLa Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ La guerre russo-ukrainienne est une catastrophe. On l’a assez dit dans ces colonnes. Pour cette raison, tous ceux qui la font se prolonger prennent devant l’histoire une responsabilité écrasante. Comme ceux qui nous ont menés à la guerre mondiale en 1939.

    Une catastrophe

    Cette guerre est une catastrophe car on voit bien, au bout d’un an, qu’aux destructions et aux pertes civiles et militaires croissantes s’ajoute le torpillage durable de l’économie européenne.

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  • Wagner met en place une tête de pont au sud-ouest de Bakhmout

    Après avoir conquis Soledar et poursuivi leur expansion vers le nord, les combattants de Prigojine libèrent également la zone située au sud-ouest de Bakhmout. Wagner, composé de grandes unités d’infanterie légère, s’avère supérieur aux vétérans et mercenaires de l’armée ukrainienne envoyés pour le contrer.

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  • Les Avatars du mondialisme

    230123

    Du 16 au 20 janvier s'est déroulée à Davos, pour sa 52e édition, la réunion annuelle du Forum mondialiste bien connu. S'y confrontent, ou plutôt s'y côtoient, les grandes tendances de l'économie et de la politique mondiales. On ne doit certes pas surestimer l'influence institutionnelle directe de ces rencontres, puisqu'aucune décision concrète n'y est prise. Ces rendez-vous en effet ont été avant tout conçus par Klaus Schwab, leur promoteur, selon le paradigme défini par Francis Blanche : celui du gala annuel organisé au profit des organisateurs de gala.

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  • [Tribune] Ukraine : est-on en route vers l’Apocalypse ?


     Olivier Damien 21 janvier 2023

    L’envoi à l’Ukraine par des pays membres de l’OTAN d’armes « plus lourdes et plus modernes », tel qu’annoncé par Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN, à l’occasion du Forum économique mondial de Davos en Suisse, marque, à n’en pas douter, une nouvelle escalade dans le conflit qui se déroule actuellement aux portes de l’Europe. 

    Jusque-là impliqués derrière le chef de file américain dans une cobelligérance « douce » qui ne voulait pas dire son nom, il y a fort à parier que l’apparition sur le champ de bataille ukrainien de chars lourds anglais ou polonais, et de tous les autres matériels de guerre sophistiqués promis, ne fasse monter d’un cran significatif la participation réelle et objective des Occidentaux à une guerre qui semble désormais devoir s’inscrire dans la durée.

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  • L’OTAN a perdu de vue un « petit détail »

    La réunion des membres du « Groupe de contact pour la défense de l’Ukraine » a permis de faire le point. L’Allemagne et d’autres pays européens aux économies développées ont de gros problèmes de matières premières et d’énergie et souhaitent que la guerre prenne fin le plus rapidement possible, même au prix de concessions faites par l’Ukraine.

    L’Allemagne pense qu’elle peut encore tromper la diplomatie russe avec une solution gagnant-gagnant, valable pour le moment. En fin de compte, l’Allemagne pourrait accepter que les quatre régions annexées à la Russie restent où elles sont et que l’armée russe se retire des autres zones. Ce serait le même jeu qu’elle et la France ont joué avec les accords de Minsk, et dans quelques années, l’Ukraine sera lourdement armée et le conflit reprendra.

    Les États-Unis ne sont pas d’accord avec cette solution, étant donné qu’ils sont allés trop loin avec des sanctions inefficaces contre la Russie, ce qui a nui à leurs alliés européens de l’OTAN. Washington veut profiter de ce moment pour appliquer la « solution finale » à la Russie, avec la main de l’Ukraine et de ses partenaires de l’OTAN. En fait, le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, a déclaré sur la base militaire allemande de Ramstein que la seule priorité de l’alliance était d’intensifier les efforts pour armer l’Ukraine.

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  • Nouvelle offensive russe dans la région de Zaporijia

    Pour la Russie, la contre-offensive la plus dangereuse se situe sur le front de Zaporijia. Si elle réussit, l’armée ukrainienne pourrait atteindre Melitopol ou Berdiansk, coupant ainsi la liaison terrestre entre la Crimée et le Donbass. En raison de la pression russe sur le front de Bakhmout, l’armée ukrainienne a été contrainte d’y déplacer d’importantes unités blindées et d’artillerie depuis d’autres régions. En témoigne également le fait qu’il n’y a pas eu récemment de tirs d’artillerie ukrainiens sur la centrale nucléaire d’Energodar, près de Zaporijia.

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  • Détruire la Russie ? « Y en a qu’ont essayé… »

    par Régis de Castelnau

    La semaine prochaine sera célébré le 79ème anniversaire de la levée du siège de Leningrad par les Soviétiques qui repoussèrent les Allemands après 872 jours au prix de de la vie de 800 000 soldats et d’un million de civils.

    Il faut rappeler quel était le projet de l’Allemagne de Hitler pour l’ancienne capitale des Tsars. Faire mourir ses habitants de faim et raser complètement cette ville admirable pour qu’il n’en reste pas pierre sur pierre. Les Allemands furent aidés à boucler l’encerclement par les Finlandais. Oui oui, ceux-là même qui aujourd’hui, ont porté à leur tête un agent américain, et en violation des traités qui les lient à leur voisin russe veulent compulsivement intégrer l’OTAN et installer des missiles nucléaires sur leur territoire.

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  • La Russie se prépare à « accueillir » le nouveau lot d’armes envoyé par l’OTAN en Ukraine

    Rappelons qu’au début de l’opération spéciale, les troupes terrestres ukrainiennes disposaient de 4 corps d’armée (200 000 hommes) comprenant chacun 8 à 9 brigades de chars, mécanisés, d’artillerie, d’infanterie et de marines. 

    Pendant l’opération spéciale, l’Ukraine a effectué 4 séries de mobilisation. 

    En 2022, elle a reçu des pays de l’OTAN des armes, des munitions et des équipements, principalement de production soviétique, pour équiper deux corps supplémentaires (100 000 hommes), composés de réservistes. Pendant tout ce temps, les forces russes utilisaient 180 000 soldats en Ukraine. Cela a permis à l’Ukraine de lancer une contre-attaque réussie dans la région de Kharkov en septembre.

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