Kiev a accusé les militaires russes de crimes monstrueux contre la population civile de Boutcha (région de Kiev). Les forces armées russe ont quitté cette localité le 30 mars et quatre jours plus tard le camp ukrainien diffusait un message sur la « sauvagerie des occupants », ainsi que des vidéos et photographies montrant des rues jonchées de cadavres. Cette annonce a été qualifiée de provocation par le Ministère de la Défense russe. « Les Izvestia » retracent ci-dessous la chronologie des évènements, les énormités de la version ukrainienne sur ce qui s’est produit à Boutcha, les noms des possibles auteurs de cette mise en scène et coupables des victimes parmi la population civile.
géopolitique - Page 291
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Diabolisation pour nuire, détails sur la provocation à Boutcha
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Un général US capturé par l’armée russe à Marioupol ? ( et des militaires français tués)
Échec de l’évacuation du commandement d’Azov : deux nouveaux hélicoptères abattus près de Marioupol.Le 5 avril, deux hélicoptères militaires ukrainiens ont été abattus alors qu’ils tentaient de briser le blocus de Marioupol.
28 mars – 1 appareil abattu au-dessus de la mer à 5 km de la côte.
31 mars – 2 hélicoptères abattus (l’un au-dessus de la mer, l’autre près du village de Rybatskoïe).
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Le plan américain de guerre en Ukraine implique aussi l'Europe
par Luciano Lago
Source : https://www.ideeazione.com/il-piano-americano-per-la-guerra-in-ucraina-coinvolge-anche-leuropa/
Les signaux provenant de la table des négociations, après plusieurs cycles de pourparlers entre l'Ukraine et la Russie, pourraient permettre de progresser et de surmonter la phase d'impasse, avec l'acceptation préalable par l'Ukraine de certaines conditions, mais les États-Unis y ont mis leur veto et leur marionnette Zelensky s'est pliée à leurs directives.
Il n'en reste pas moins que la guerre aurait pu être évitée si les États-Unis et l'OTAN avaient adopté une attitude différente face aux demandes de la Russie concernant sa propre sécurité et la nécessité pour l'OTAN de ne pas s'étendre sous ses frontières. Au lieu de cela, quelqu'un a voulu et instigué la guerre, et ce quelqu'un se trouve à Washington et à Londres.
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Nous pouvons nous retrouver impliqués dans un conflit dans lequel l’arme atomique ne serait plus taboue
Dans un article traduit par Benoît-et-moi, Riccardo Cascioli met en garde contre la diabolisation de Poutine :
[…] les gouvernements et les principaux médias ne font qu’un pour réclamer la tête du président russe Vladimir Poutine, et malheur à quiconque ose poser des questions. Il se retrouve immédiatement dans le cercle des traîtres, des pro-russes et des négationnistes, comme cela s’est produit pendant la pandémie pour ceux qui ne se sont pas fait vacciner ou qui ont critiqué le green pass.
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De Marioupol à Boutcha
Onze correspondants de guerre historiques de médias italiens mainstream, mais à la retraite, publient une lettre ouverte :
En observant les télévisions et en lisant les journaux qui parlent de la guerre en Ukraine, nous nous sommes rendu compte que quelque chose ne fonctionne pas, que quelque chose tourne plutôt mal. Nous avons vu la guerre pour de vrai et de l’intérieur : nous avons été sous les bombes, certains de nos collègues et amis sont tombés. C’est précisément pour cette raison que nous n’aimons pas la façon dont le conflit en Ukraine, premier conflit à grande échelle de l’ère du web avancé, est représenté aujourd’hui. Nous sommes inondés de nouvelles, mais dans la représentation médiatique, les belligérants sont divisés de façon acritique en bons et mauvais. Et même très bons et très mauvais. Une seule pensée dominante est créditée, et ceux qui ne pensent pas ainsi sont catalogués comme des amis de Poutine et donc, d’une certaine manière, comme coresponsables des massacres en Ukraine. Mais ce n’est pas le cas. Nous devons nous rendre compte que la guerre déplace des intérêts inavouables qui ne sont pas connus du grand public. La propagande n’a qu’une seule victime : le journalisme.
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Un bel exemple d’enfumage
Les soi-disant crimes de guerre à Boutcha.
Tous les médias mainstream y vont de leur couplet, et les Ukrainiens en rajoute dénoçant des « crimes de guerre ». Seulement voilà, la réalité semble bien différente.
Déroulé des évènements
30 mars : les Russes se retirent de Boutcha.
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Fin du pétrodollars, Croissance en berne, clash de la Zone Euro , Charles Gave fait le point.
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Piégés ! Des « conseillers » militaires américains et britanniques, plus des agents secrets français avec les nazis d’Azov à Marioupol maintenant piégés par les forces russes
4 avril 2022
Réseau InternationalÀ l’heure actuelle, ce qui reste du régiment AZOV de l’armée ukrainienne (le véritable régiment NAZI) est retranché dans la vaste zone industrielle d’Azovstal à Marioupol, en Ukraine.
Le groupe, qui compte 20 personnes – des conseillers militaires américains et britanniques ainsi que plusieurs conseillers du SBU (police secrète) ukrainien – est retranché, ainsi que les combattants d’Azov.
Bien qu’on leur ait offert plusieurs chances d’évacuer Marioupol, ils ont choisi de rester. Aujourd’hui, il est trop tard pour les évacuer car les forces russes pilonnent cette zone pour la dé-nazifier.
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La provocation à Bucha a commencé un dimanche pour une bonne raison.
@MedvedevVesti poursuit sur le thème du jour, après qu'il ait expliqué plus tôt dans la journée que la ville de Bucha n'avait pas été choisie au hasard par les occidentalo-kiéviens, et qu'il voyait venir la création d'un tribunal international contre la Russie :« Bucha = Butch = Butchery = Boucher = Boucherie [comme Andreï l'avait pressenti]. Cela a traversé les médias occidentaux.
Le Sunday Times écrit que c'est le nouveau Srebrenica et que le monde devrait mettre en place un tribunal comme celui pour l'ex-Yougoslavie.
Et vous savez quoi ? Je suis sûr qu'ils créeront un tribunal. Oui, la Russie n'est pas la Yougoslavie. Mais il y aura un tribunal parce que les enjeux sont très importants. Ils nous briseront jusqu'au bout.
L'Occident travaille très collectivement. La provocation à Bucha a commencé un dimanche pour une bonne raison. Tous les articles sur le "massacre de Bucha" ont déjà été écrits, les journaux ont été soumis à l'impression, et le lundi matin, une vague de propagande mensongère sur les meurtriers russes sera diffusée aux masses à travers l'Europe. Avec toutes les conséquences. C'est-à-dire que tout est synchronisé. -
LES BOMBENT PLEUVENT SUR MARIOUPOL, MAIS LE BUSINESS SE POURSUIT !
Pieter Kerstens
Jour après jour, semaine après semaine, les médias nous inondent d’images tragiques et de commentaires catastrophiques sur la guerre en Ukraine. La propagande marche à fond !
Les gouvernements et les politicards occidentaux refusent d’affronter le « monstre » de Moscou les armes à la main et cherchent toutes sortes de moyens pour conduire la Russie à la faillite.
L’Ukraine et la Russie étant des opérateurs importants sur le marché mondial des hydrocarbures et des matières premières agricoles ou minières, les discours officiels de l’Union Européenne nous préparent à des hausses de prix et des pénuries importantes. Tout ceci, par solidarité morale avec Kiev et pour « cesser de soutenir l’effort de guerre de Moscou » quand on remplit son réservoir ou quand on se chauffe au gaz.