géopolitique - Page 339
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Le Coronavirus, crise existentielle pour Georges Soros
Le milliardaire mondialo-progressiste George Soros a proclamé le 11 mai dernier que la pandémie du coronavirus était la crise de son existence entière, celle qu’il attendait et qui rendait possible une révolution sociétale, inimaginable en d’autres circonstances.Une seule chose était certaine à ses yeux dans l’après-pandémie : il n’y aurait pas de retour possible au monde d’avant. Quant au reste, la forme que prendraient les nations et les alliances, c’était un mystère qui restait à découvrir.“Même avant que la pandémie ne s’abatte sur le monde, j’avais déjà compris que nous vivions des temps révolutionnaires, où ce qui paraissait impossible ou même inconcevable en temps normal devenait non seulement possible, mais d’une nécessité absolue “, a-t-il déclaré sans autre forme d’explication dans une interview accordée au magazine “Project Syndicate”, auquel il est lui-même un contributeur régulier.Emmanuel Macron avait eu des mots identiques le jour de l’annonce du confinement national et l’on ne peut qu’être frappé de la ressemblance entre les deux discours, qui paraissent tirés d’un même scénario.Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, géopolitique, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
Romain Migus : Venezuela, un coup d'Etat à l'ombre de la pandémie. (EDLQ#10)
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Le mondialisme ne fera aucune concession
Par Paul Vermeulen
Un monde d’après qui ne serait plus jamais le même ? Des écologistes, végans et autres antispécistes se sont pris à rêver de gouvernements conduits par des chats, des chiens et des zèbres ; des souverainistes ont voulu voir l’amorce d’un retour des frontières ; ou encore des socialistes, gauchistes et autres insoumis imaginèrent, au vu du drame vécu par le système hospitalier, la venue du grand soir. Des mouvements de droite comme de gauche, ou bien ni de droite ni de gauche, verraient bien poindre, avec cet imprévu dans l’histoire, la possibilité d’une révolution. Sans compter la masse d’écrits d’intellectuels de tous les bords et de toutes les nationalités, publiés et traduits dans le monde entier, au sujet de ce que signifie cette pandémie, en attendant le déclenchement des machines à fric vers l’automne 2020, des éditeurs aux Lego ou Playmobil. BFMTV a commencé, LIDL « subventionnant » l’applaudissement des soignants en direct à 20 heures, au profit – qui oserait douter que la philanthropie est de retour ? – des bonnes œuvres de ces mêmes soignants.
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Le Coronavirus COVID-19 est-il un complot du Nouvel Ordre Mondial ?
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« ENTRE 1995 ET 2015, LES RÉSERVES PÉTROLIÈRES ONT AUGMENTÉ DE 52% ! »
Alban d Arguin est le premier dans notre mouvance à dénoncer clairement les mensonges et les intérêts financiers représentés par l'éolien dans un ouvrage limpide et sans concession paru chez nos amis de Synthèse Nationale. À faire lire absolument aux écolos des villes et aux nouveaux bobos des champs !
propos recueillis par Eugène Krampon
Selon vous, sur quoi repose le modèle énergétique français ?
La France dispose d'un modèle, envié par de nombreux pays, qui combine une production électrique grandement majoritaire provenant des centrales nucléaires, et une production d'origine hydraulique (nos barrages alpins et pyrénéens). Ces deux sources produisent aujourd'hui plus de 90 % de notre électricité. La variable d'ajustement se fait avec un peu d'éolien et de solaire auxquels s'ajoute le thermique (gaz et fuel). Si ce modèle est jalousé, c'est parce qu'il est aujourd'hui nettement moins coûteux que celui d'autres pays et qu'il nous assure une indépendance énergétique appréciable. Mieux, dans la balance des paiements de la France, l'exportation d'électricité occupe une part non négligeable. Se lancer à corps perdu comme certains le voudraient dans les énergies soi-disant renouvelables est un non-sens et une aberration politique, économique et énergétique.
En vue de la raréfaction annoncée des énergies fossiles, l'éolien ne peut-il pas être une alternative crédible et bon marché ?
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Le capitalisme face à l’incertitude radicale du monde
Par Giles Laferté*
Du manque de masques et de tests à l’annonce d’un déconfinement chaotique, un sentiment d’improvisation a traversé nos sociétés, qui contraste avec l’exercice classique d’un pou voir dont l’autorité sociale repose justement sur la préparation de l’avenir. Comme un adolescent qui se pense immortel, pourquoi l’Occident n’a-t-il cru à cette crise annocée que face au mur ?
A mesure de l’étendue de la crise, les populations en voudront toujours plus à leurs dirigeants, les sanctionnant politiquement le jour venu. Et nous devrons probablement vivre des conséquences judiciaires vengeresses. Les oppositions politiques de chaque gouvernement en feront leur miel. Mais il semble un peu court de résoudre par ce jeu démocratique notre difficulté collective. Tous auraient probablement failli. La difficulté des démocraties occidentales est générale. Au-delà des erreurs personnelles de tel ou tel dirigeant, les explications sont plus fondamentales et sans doute multiples.
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Mutation mondialiste du pays légal (La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 8/10), par Philippe Germain.
Table des matières
- 1 Par Germain Philippe
- 1.1 (La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 8/10)
- 1.2 Hégémonie du capitalisme financier
- 1.3 Désindustrialisation de la France
- 1.4 Fragilisation de l’élite politique libérale
- 1.5 L’Etablissement et la Gauche
- 1.6 La gauche et la Technocratie
- 1.7 Technocratie et internationalisation polymorphe du marché.
- 1.8 Le mondialisme par l’Europe
Résumé : En 2017 la technocrature a pris le pouvoir pour sauver la démocratie disqualifiée par son élite politique. Insatisfaite de l’explication par le complotisme d’ultragauche et celle du référentiel populiste, l’Action française analyse la technocrature comme un phénomène de physique sociale. Utilisant la loi historique « du développement d’oligarchies nouvelles », elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés. Ce « pays légal » est un système oligarchique circulaire où trois élites financière, politique et médiatique s’épanouissent dans le cadre du régime républicain. Les commis de l’élite politique, les technocrates se sont ensuite constituée en une élite, bientôt déstabilisatrice du système oligarchique circulaire.
Hégémonie du capitalisme financier
Le début du septennat de Valéry Giscard d’ Estaing, correspond au clap de fin des trente glorieuses. Peu d’acteurs perçoivent l’enclenchement du vieillissement de la société Industrielle. La pathologie est masquée par les mesures sociétales progressistes prises par l’élite politique de centre-droit. Encore moins d’observateurs perçoivent que la Technocratie va entamer la mutation du pays légal vers le mondialisme.
Sous Giscard (1974-1981), héritier de la nouvelle classe bonapartiste et pur produit de la Technocratie, l’Etablissement va pouvoir régner sans partage. Symboliquement le premier président de la République énarque fait appel à Jean-Jacques Servan-Schreiber, figure de proue de la Technocratie européiste. Pour s’enrichir par le pillage de l’Etat, l’élite financière va profiter des pouvoirs de la Technocratie à travers un soutien sans faille.
- 1 Par Germain Philippe
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LES GRANDS EMMERDEMENTS DU CONFINEMENT
Cette fin de semaine, dans le cadre de notre grande enquête sur "l'après crise", nous vous proposons, en deux parties, la contribution de Pieter Kerstens.
Depuis le lancement de la revue Synthèse nationale, à l'automne 2006, Pieter Kerstens tient la chronique économique et, généralement, ces articles annoncent avec précision ce qui va se passer... Alors, devin le Belge ? N'allons pas chercher midi à 14 h... Ses sources d'inspiration sont beaucoup plus simples. Polyglotte en bon Bruxellois qu'il est, il décortique chaque jour avec son regard critique de militant accompli les grands titres de la presse européenne. Ceux-ci étant beaucoup plus dissertes que notre presse hexagonale trop souvent alignée sur les poncifs de l'idéologie dominante.
Ainsi, en septembre 2008, il avait annoncé la crise. Pour s'en convaincre, il suffit de consulter notre numéro du mois de juin précédent. Un livre reprenant ses articles de l'époque est toujours en vente aujourd'hui, vous pouvez vous le procurer en cliquant ici
Voici donc la première partie de sa contribution. La seconde sera en ligne demain dimanche.
S.N
Pieter Kerstens
Avec une parfaite synchronisation, la grande majorité des gouvernements occidentaux, et les européens en particulier, ont imposé un confinement (réelle assignation à résidence) à leurs peuples, sous prétexte de ralentir l’épidémie de Covid-19.
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REVUE DE PRESSE : « Nous entrons dans une nouvelle guerre froide qui pourrait marquer notre sortie de l’histoire »
La pandémie révèle des évolutions profondes du système international que les Occidentaux ont souvent été tentés d’ignorer, analyse le haut fonctionnaire Pierre-Henri d’Argenson. Seules une politique de puissance et une vision réaliste des enjeux mondiaux permettront selon lui à l’Europe d’éviter la marginalisation stratégique.
Par Pierre-Henri d'ArgensonIl est rare que l’on puisse tirer les enseignements d’une crise lorsque l’on est au milieu de celle-ci. Les grands bouleversements intervenus depuis la fin de la guerre froide n’ont ainsi pas toujours été déchiffrables au moment où ils se sont produits, sans doute parce qu’ils appartenaient à une ère de transition accouchant d’un monde nouveau qui se présente aujourd’hui, avec la crise du coronavirus, sous une lumière crue. La pandémie, en effet, agit comme un révélateur de tendances certes perçues par notre intellect, mais qui n’avaient pas suffisamment frappé notre imagination pour modifier nos représentations du monde. Or désormais le monde est nu, et nous n’avons pas d’autre choix que d’abandonner nos coupables pudeurs pour regarder la vérité géopolitique qu’il nous donne à voir, et les conséquences que nous devrons rapidement en tirer pour y survivre en hommes libres.Nous ne croirons plus à l’article de la doxa mondialiste qui prétend que tout le monde est chez soi partout.Examinons les faits. Trois choses absolument frappantes se sont produites durant la crise. La première, c’est qu’aux premières alertes, chacun est rentré chez soi, dans son pays. Du jour au lendemain, les touristes sont passés du statut d’heureux voyageurs nomades à celui d’étrangers indésirables, parfois objets de comportements hostiles de la part des populations locales. La mondialisation heureuse venait de tomber le masque. Les citoyens du monde se sont évaporés. Le touriste, l’étudiant, l’homme d’affaires sont redevenus, chez les autres, ce qu’ils ont toujours été : des étrangers. Bien sûr, lorsque la crise sera passée, la circulation des biens et des personnes reprendra son cours, mais nous ne croirons plus, en particulier nous les Européens à qui l’on a enjoint de « s’ouvrir » toujours plus, à l’article fondateur de la doxa mondialiste qui prétendait que tout le monde est chez soi partout.
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Durant la pandémie, la mondialisation se poursuit !
Lorsque l'on veut savoir ce qui se passe en Europe du côté des nationalistes et des identitaires, c'est simple. Il suffit de consulter l'excellent site animé depuis près de douze ans par notre ami Lionel Baland cliquez ici. Chaque jour ce Liégeois à qui rien n'échappe dans le milieu au niveau de notre continent nous livre en effet l'essentiel de ses recherches.
Régulièrement, il donne aussi des articles à notre revue Synthèse nationale ainsi qu'au site EuroLibertés. Il nous expose dans ce nouveau volet de notre enquête sont point de vue sur la crise actuelle.
S.N.
Lionel Baland
La mondialisation ultralibérale et la personne qui la symbolise, George Soros (né en 1930), spéculateur, mais surtout militant politique utilisant une partie de sa colossale fortune afin de réaliser son rêve messianique inspiré par le philosophe - théoricien de la société ouverte - Karl Popper (1902-1994), ne peut à long terme qu’être un échec, car elle résulte d’une croyance non-conforme à la réalité humaine visant à réaliser sur terre un « paradis » de la consommation au sein duquel l’homme ne sera plus impliqué dans des conflits et n’aura plus comme but ultime que de produire et de consommer.