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géopolitique - Page 340

  • Le moment national-bolchevik d’Alexandre Douguine par Georges FELTIN-TRACOL

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    Chers Amis de TVLibertés,

    Il faut encore une fois saluer l’excellente initiative éditoriale d’Ars Magna qui a sorti dans la collection « Heartland » en novembre 2020 Les templiers du prolétariat d’Alexandre Douguine (467 p., 32 €).

    Cet ouvrage au titre quelque peu énigmatique paraît en Russie en 1997. Il correspond à la phase activiste de son auteur. Avec l’écrivain et ancien dissident Édouard Limonov, Alexandre Douguine cofonde le Parti national-bolchevik, fer de lance de l’opposition nationale-patriotique à la présidence détestable de Boris Eltsine.

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  • LES DÉMOCRATES PLUS DANGEREUX QUE LES RÉPUBLICAINS POUR LA FRANCE !

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    La politique étrangère ne détermine pas le vote des Américains. Ceux-ci sont plus sensibles à la courbe du chômage et à l’économie en général, comme l’avait à juste titre affirmé Clinton. Les troubles entraînés par la mort de George Floyd, amplifiés par le mouvement Black Lives Matter et les élus démocrates jusqu’à déclencher une hystérie racialiste à coups de génuflexions grotesques, de statues brisées et de rues débaptisées, que certains veulent importer en France, auraient pu être utilisés habilement par le président Trump suivant la logique d’un retour à l’ordre favorable à l’exécutif et souhaité par la majorité de la population. Cela s’était  produit en France en 1968, et le calcul de Macron exploitant les excès des manifestations de Gilets Jaunes,  provoqués par la présence opportune de casseurs “connus des service de police”, visait à récupérer “le parti de l’ordre”.

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  • Défaite de Donald Trump : vers un affaiblissement des États-Unis et un accroissement de l’influence chinoise

    Défaite de Donald Trump : vers un affaiblissement des États-Unis et un accroissement de l’influence chinoise

    Selon Marion Maréchal dans Valeurs Actuelles :

    […] L’analyse centrale réside dans la terrible crise sociale, identitaire et politique qui secoue les Etats-Unis, première puissance du monde, et dont l’élection présidentielle n’a été qu’un révélateur de plus après les semaines de saccages et de violences du mouvement Black Lives Matter.

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  • Hallali !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    L'ignoble hallali qui frappe Donald Trump des deux côtés de l'Atlantique nous rappelle combien est sans limite la lâcheté des hommes dès lors que les caractères ne sont plus forgés dans le triple alliage de l'honneur, du courage et de la fidélité.
    Il démontre aussi la réalité planétaire de l'État profond global aux mille tentacules politiques, financières, numériques et constructivistes.
    Sans oublier que Trump lui même  n'était qu'un autre aspect de l'Empire, et que la sympathie que peut nous inspirer à la fois son refus du politiquement correct et le rejet dont il est aujourd'hui (Vae victis) l'objet ne doit pas occulter que son ambition "America great again" ne pouvait se réaliser qu'en opposition aux intérêts de la vieille Europe dont, sur le plan commercial pour le moins, mais aussi par son soutien constant à Erdogan, il fut un adversaire acharné. Trump n'était pas, ne pouvait pas être notre ami.
    Dans ces conditions, la voie est toute tracée pour les âmes pures et les esprits libres : le chemin de notre libération et du maintien de notre civilisation passe par le refus total du Système, la rupture, et le retour aux seules valeurs européennes. 
  • Sur Front Populaire : Trump censuré par Google, qui est fasciste ?

    La situation est inédite : un chef d'État a été censuré par les #GAFAM. Le bloc élitaire, obsédé par sa propre survie, n'hésite désormais plus à suivre ses pulsions totalitaires. #TrumpBanned Le décryptage de

    La séquence qui vient de se produire aux États-Unis, caractérisée par une sidérante pulsion totalitaire, est très intéressante en ce qu’elle révèle que le bloc élitaire et ceux qui le soutiennent sont fermement décidés à la mise en place d’un régime autoritaire pour préserver son système.

    Jack London nous l’a bien expliqué dans «Le Talon de fer»: la surprise (pour ceux qui veulent être surpris) est que le fascisme ne vient pas  toujours par là où on l’attend.

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  • Les implications géopolitiques des Accords de Munich en 1938 1/3

    LPvRc3sl1hBez_Gx7By4r-llty4.jpgPar les accords de Munich de 1938, l’Allemagne de Hitler a négocié avec les puissances occidentales mais a exclu l’URSS de ces négociations. Pour les Allemands de l’époque, en pleine guerre d’Espagne, la question tchécoslovaque est une affaire ouest-européenne. Elle semble ne pas percevoir les intérêts traditionnels russes dans la région. Certes, Munich est une victoire diplomatique allemande, car elle élimine un État hostile à sa frontière orientale, bien armé et bien protégé par les chaînes des Monts Métallifères et dont le territoire s’enfonce comme un coin dans la masse territoriale compacte du Reich, permettant à une éventuelle action conjointe des troupes françaises, massées en Alsace et en Lorraine sur un ancien glacis du Reich, et des troupes tchèques, de neutraliser rapidement l’Allemagne, en tirant profit d’une profondeur territoriale assez réduite. De Wissembourg en Alsace à Karlsbad (Karlovy Vary), le Reich était le plus faible. À Munich, Hitler et Ribbentrop éliminent cette faiblesse. Résumons clairement, en six points, les atouts gagnés par les Allemands à Munich.

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  • Trump : le dernier round face à l’Etat profond – JT du lundi 11 janvier 2021

    Au programme ce soir, la charge des réseaux sociaux contre le président Trump. Régulièrement censuré, le président américain a vu ses comptes littéralement supprimés de certaines plateformes. Un phénomène qui pose le problème de la toute-puissance de ces firmes des Big Tech.

    Egalement dans cette édition, retour sur le Covid. Un an après le premier décès officiellement lié à l’épidémie en Chine, le monde est plongé dans de multiples crises. Un bouleversement global où la liberté individuelle sera à compter parmi les premières victimes.

    Et puis nous irons du côté des conséquences économiques. Après une année 2020 marquée par les perfusions de l’Etat pour sauver le monde du travail, Pôle Emploi se prépare à une déferlante de nouveaux chômeurs en 2021.

    https://www.tvlibertes.com/trump-le-dernier-round-face-a-letat-profond-jt-du-lundi-11-janvier-2021

  • Une réponse nationaliste au mondialisme par Julien DARVANT

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    C’est devenu une vérité de La Palisse que de dire que la pandémie du covid a permis au mondialisme d’étendre encore plus son emprise. Gestion par l’OMS, sacrifice de l’économie locale au profit des GAFAM, perte de cohésion sociale et atomisation de la société… Le mondialisme a su profiter de la crise qui aurait au contraire pu et dû accoucher d’une réaction nationaliste. Mais, par manque de réactivité et, aussi on le sent, par peur d’enfreindre les Diktat sanitaires, les nationalistes ne surent profiter de l’opportunité qui se présentait.

    Cette réaction salutaire était dictée d’abord par un sentiment de rejet. Le mondialisme avait failli, ses promesses ne s’étaient pas concrétisées, on nous avait menti. Mais comme l’adage le stipule, les sentiments, tout comme la colère, sont de bien piètres conseillers. Pourquoi s’opposer au mondialisme?

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Covid-19 : La mondialisation est-elle toujours heureuse ? Avec Thomas Guénolé et Jean-Yves Le Gallou

    Avec Thomas Guénolé et Jean-Yves Le Gallou.