Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

géopolitique - Page 567

  • Pourquoi l’Occident ne pourra jamais vaincre la Russie ni lui pardonner

    Source : New Eastern Outlook

    Traduit par Diane, édité par jj, relu par Literato pour le Saker Francophone

    Historiquement et intuitivement, la Russie a combattu pour la survie de l’humanité. Bien sûr, les choses ne sont pas toujours énoncées ou définies dans ces termes. Pourtant, en plusieurs occasions déjà, cet énorme pays a résisté aux forces les plus puissantes et les plus malfaisantes qui menaçaient la survie même de la planète.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, le peuple soviétique, en majorité des Russes, a sacrifié au moins 25 millions d’hommes, de femmes et d’enfants pour, à la fin, vaincre le nazisme. Aucun autre pays dans l’histoire moderne n’en a fait autant.

    Immédiatement après cette victoire, la Russie, aux côtés de la Chine et plus tard de Cuba, s’est lancée dans le projet le plus impressionnant et le plus noble de tous les temps : le démantèlement systématique du colonialisme occidental. Partout dans le monde, les masses opprimées se sont levées contre la barbarie impérialiste européenne et nord-américaine, et l’Union soviétique était prête à leur donner une lueur d’espoir en même temps qu’un soutien financier, idéologique et militaire important.

    Comme un pays opprimé et ruiné après l’autre gagnait son indépendance, la haine de l’Union soviétique et du peuple russe s’est mise à croître dans pratiquement toutes les capitales du monde occidental. Après tout, le pillage de continents non blancs était considéré comme un droit naturel du monde civilisé.

    Aux États-Unis et en Europe, des mots comme colonialisme et impérialisme ont rapidement gagné des connotations extrêmement négatives, ou du moins superficiellement. Il aurait été contre-productif d’attaquer, de diaboliser l’Union soviétique pour son soutien aux luttes de libération sur tous ces continents. Au lieu de quoi, des théories sur l’Empire du mal ont été élaborées.

    La Russie a toujours été sur le chemin ; un pays colossal qui gâchait les projets brutaux de Washington, Berlin, Londres et Paris – des plans pour contrôler et piller la planète entière.

    Mais ce qui était le plus noble étaient ses actes ; et les attaques contre elle d’autant plus insultantes.

    La Russie a toujours possédé une énorme capacité à se mobiliser, à mettre en jeu toutes ses ressources pour atteindre un unique but humaniste et profondément moral. Il y a eu quelque chose de sacré dans ses luttes, quelque chose de plus élevé et de totalement indispensable.

    « Lève-toi pays immense, lève-toi pour le combat à mort ». C’est ainsi que débute l’un des plus grands chants patriotiques de la Seconde Guerre mondiale. Lorsque la Russie combat, alors tout ce qui compte, c’est la victoire. Aucun prix n’est trop élevé.

    Le destin a choisi la Russie pour combattre pour le monde entier. Si vous ne croyez pas au destin, vous ne comprendrez jamais l’âme russe. Cela n’a rien à voir avec la religion – la Russie est principalement anarchiste et athée. Mais elle croit au destin et l’accepte.

    En plus, la plupart du temps, la Russie n’a vraiment pas le choix. Elle a été confrontée soit à la victoire soit à la fin de l’humanité. Et lorsque le monde et sa survie ont été menacés, la Russie s’est toujours levée : indignée, effrayante mais aussi extrêmement belle dans son courroux et sa détermination. Elle a combattu avec chaque grain de sa terre, et chaque cœur de son peuple. Elle a presque toujours vaincu, mais à un prix terrifiant, enterrant des millions de ses fils et filles, plongée ensuite dans un chagrin et une douleur indescriptibles.

    Et il n’y avait personne à ses côtés pour la consoler. Alors que les incendies continuaient à faire rage, que les larmes ruisselaient toujours sur les visages des mères et des veuves qui avaient perdu des êtres chers, le pays a été couvert de crachats, ridiculisé et humilié par les régimes occidentaux machiavéliques et leur propagande.

    Son héroïsme a été dénigré, son sacrifice tourné en dérision. Il a été répété que ses millions de morts pour l’espèce humaine étaient en fait morts en vain.

    En contrepartie de ses luttes héroïques, la Russie n’a rien demandé, excepté deux choses essentielles : la reconnaissance et le respect. Elle n’a jamais reçu ni l’une ni l’autre !

    Aujourd’hui, encore une fois, la Russie se lève, lançant sa lutte épique contre État islamique ; cette horrible parodie de la religion musulmane – créée et armée par l’Occident et ses laquais régionaux vicieux.

    La Russie devait agir. Parce que si elle ne le faisait pas, qui le ferait ? Après des siècles de croisades occidentales et les pratiques colonialistes les plus effroyables, il n’y a presque plus rien du Moyen-Orient, cette merveilleuse partie du monde, qui ne peut qu’être décrite comme l’un des berceaux de notre civilisation. Pillé et humilié, le Moyen-Orient a été réduit à une mosaïque pathétique d’États clients au service de l’Occident. Des dizaines de millions de gens ont été assassinés. Tout a été pillé. Les gouvernements socialistes et laïques ont été acculés et renversés.

    J’ai beaucoup travaillé dans cette partie du monde et je peux témoigner qu’excepté l’Afrique, il n’y a pas d’autre région du monde qui soit aussi meurtrie et brutalisée par la rapacité et la barbarie occidentale.

    Sans espoir, mortellement blessés et désespérés, deux anciens pays de ceux qui ont récemment souffert le plus – la Syrie et l’Irak – ont approché la Russie pour lui demander de l’aide.

    Et la Russie a accepté de les aider.

    Oui, bien sûr, j’entends déjà cette cacophonie en provenance d’Europe et d’Amérique du Nord à propos des intérêts de la Russie et de sa sphère d’influence. Parce qu’en Occident, rien n’est sacré ni ne peut l’être. Parce que tout doit être teinté de sombre sarcasme et de nihilisme… Si l’Occident se comporte comme un voyou, le reste du monde doit être peint dans les mêmes couleurs et les mêmes nuances. Après tout, l’Occident n’a pas d’alliés, il n’a pas de sentiments, seulement des intérêts. On me l’a répété, encore et encore, lorsque je travaillais dans des endroits détruits d’Afrique.

    Mais je me fiche de savoir ce qu’ils disent à Paris ou Washington. Ce qui compte est ce qui se dit en Irak, en Syrie et au Liban. Et je vais vous dire comment c’est là-bas : si vous allez dans une boutique de coiffeur, là-bas, et que vous dites que vous êtes russe, les gens se lèvent et vous embrassent, et certains pleurent !

    La Russie n’attaquera jamais d’autres pays, mais si elle est attaquée, sa colère peut être terrible, surtout si elle est au beau milieu d’une guerre. « Celui qui avec l’épée vient à nous périra par l’épée », a proclamé Alexandre Nevsky, le prince de Novgorod, au XIIIe siècle.

    Le bombardier russe récemment abattu au-dessus de la Syrie par l’Armée de l’air turque a accru le danger d’une guerre régionale beaucoup plus étendue.

    La Turquie, un pays membre de l’Otan, répand la terreur dans toute la région : de la Libye et de la Somalie à l’Irak, à la Syrie et sur son propre territoire kurde. Elle torture les gens, en assassine beaucoup, y compris des journalistes, elle vole pour des millions de leurs ressources naturelles et propage les enseignements djihadistes les plus extrémistes, principalement soutenus par le Qatar.

    J’ai rencontré Recep Tayyip Erdoğan il y a de nombreuses années, au début des années 1990, lorsqu’il était maire de la ville où je léchais mes plaies tout en écrivant sur la manière dont l’Occident détruisait systématiquement la Yougoslavie.

    « Parlez-vous le turc ? », m’a-t-il demandé lors d’une de nos rencontres.

    « Pas bien, seulement un petit peu » ai-je répondu.

    « Mais vous savez parfaitement prononcer le nom de notre parti ! Cela montre combien nous sommes importants. »

    Dès notre première rencontre, j’ai su que c’était un mégalomane, un homme plein de complexe d’infériorité et une racaille agressive. Je ne pensais pas qu’il irait si loin. Il l’a fait. À cause de lui, des millions de gens souffrent partout dans la région.

    Et maintenant, il a abattu un bombardier russe et envahi l’Irak.

    La Turquie a combattu la Russie en plusieurs occasions et a presque toujours perdu. Puis, entre deux guerres mondiales, elle a réussi à survivre uniquement grâce à l’aide que lui fournissait l’Union soviétique. La Turquie devrait réfléchir à deux fois avant de faire les pas suivants.

    La Russie ne se contente pas de faire la guerre. Ses combats pour la survie de l’espèce humaine sont à proprement parler une immense œuvre d’art, de la poésie ou une symphonie. C’est difficile à expliquer mais c’est comme ça. Tout est intimement lié.

    Abattre le SU-24 russe par derrière est comme s’en prendre aux 25 millions de morts russes de la Seconde Guerre mondiale. C’est épouvantable et c’est imprudent. En Russie, ce n’est pas comme ça qu’on fait. Vous voulez vous battre, alors sortez et battez-vous, face à face.

    Mais si vous tuez comme un lâche et si vous envahissez des pays voisins déjà dévastés, vous pourriez un jour vous trouver vous-même confronté non à quelques SU-24, mais à des escadres de bombardiers lourds.

    La Russie ne peut pas être vaincue. Il y a à cela de nombreuses raisons. L’une est pragmatique : c’est une superpuissance nucléaire. Une autre est qu’elle combat d’habitude pour de justes causes. Et elle le fait de toutes ses forces et de tout son cœur.

    Si ce n’était pas par la Russie, il n’y aurait pas la Planète Terre, du moins comme nous la connaissons. L’Occident et ses États chrétiens fascistes contrôleraient totalement le monde. Les non-personnes, les non-Blancs seraient traités comme des animaux (et même plus mal qu’ils ne sont traités aujourd’hui) : il ne resterait plus aucun contrôle et plus de limites au vol et à la destruction.

    Le soi-disant monde civilisé (celui qui construit ses théâtres et ses écoles sur les fleuves de sang et les cadavres des autres) serait en marche vers le contrôle absolu et incontesté de la Planète.

    Heureusement, la Russie existe. Et elle ne peut pas être vaincue. Et elle ne sera jamais vaincue. Toutefois, elle ne peut jamais être pardonnée par l’Occident pour se tenir du côté des damnés de la terre.

    Andre Vltchek

    Andre Vltchek est philosophe, romancier, cinéaste et journaliste d’investigation. Il a crééVltchek’s World, il est un utilisateur de Twitter engagé et travaille en particulier pour le magazine en ligne New Eastern Outlook

    http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/pourquoi-l-occident-ne-pourra-175848

  • SYRIE SYRIA - Hélicoptère américain protège un convoi de terroristes. Toyota flambant neuves.

  • Le pari risqué de l’Arabie saoudite après l’exécution d’un chef chiite

    L’imam chiite Nimr al Nimr, considéré comme une figure de la contestation saoudienne, et 46 autres condamnés à mort ont été exécutés samedi en Arabie saoudite, ce qui a soulevé une vague d’indignation dans la communauté chiite.

     En exécutant aussi bien des radicaux sunnites liés à al-Qaïda que quatre dignitaires chiites accusés de jeter de l’huile sur le feu en Arabie, les responsables saoudiens ont voulu adresser un message d’extrême fermeté à tous leurs ennemis, sans distinction confessionnelle. Mais en choisissant de liquider le cheikh Nimr al-Nimr, figure de la contestation chiite dans le royaume, l’Arabie a pris le risque d’aggraver dangereusement la guerre que se livrent chiites et sunnites à travers le monde arabe. Une guerre à laquelle Riyad pour les sunnites et Téhéran pour les chiites sont les principaux protagonistes, que ce soit en Syrie ou au Yémen, voire au Liban et en Irak.

    Les condamnations en provenance d’Iran - qui jure que Riyad « paiera un prix élevé » - du Bahreïn - où la majorité chiite est marginalisée par les sunnites au pouvoir alliés des Saoudiens - du Yémen - où Saoudiens et Iraniens se combattent par alliés interposés - mais aussi du Liban et d’Irak témoignent de ce fossé qui va encore se creuser, à un moment où le Moyen-Orient est déjà à feux et à sang.

    Le signal lancé par Riyad a plusieurs destinataires.

    En faisant exécuter le dignitaire chiite, l’Arabie donne des gages aux franges extrêmes de sa majorité sunnite attirée par Daech. Certains d’entre eux voient en effet l’Etat islamique comme « le meilleur défenseur » des sunnites face aux « hérétiques chiites » et à leur soutien iranien. Mais céder aux extrêmes est dangereux, y compris sur le sol saoudien.

    Si Riyad a durci sa position au printemps 2014 vis-à-vis des djihadistes locaux qui avaient été auparavant encouragé à aller mener la « guerre sainte » contre « le dictateur » Assad, le royaume reste encore le principal pourvoyeur de combattants étrangers en Syrie et en Irak, et pas seulement auprès de Daech, mais aussi auprès du Front al-Nosra, la branche locale d’al-Qaïda, et de certains groupes considérés comme « modérés » par la France ou la Grande-Bretagne comme les salafistes d’Ahrar el-Sham. [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    On attend toujours la réaction de M. Hollande (NDLR)

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-pari-risque-de-l-Arabie

  • Poutine dit ouvertement ce que l’Occident pense tout bas à propos de la Turquie

    La Turquie joue un jeu très dangereux en Syrie, en perdant son statut de partenaire de confiance auprès de ses alliés occidentaux, a écrit le chercheur de l'Université de Sydney Stuart Rollo pour le journal d'affaires américain Wall Street Journal.
    "En réagissant à l'incident du Su-24, le bombardier russe abattu par la Turquie, le président russe Vladimir Poutine a qualifié le gouvernement de Recep Tayyip Erdoğan de "complices des terroristes". Accusation souvent adressée à la Turquie par les occidentaux mais de manière plus diplomatique. La Turquie laisse passer en Europe à travers sa frontière des flux de pétrole et des reliques pillées par les terroristes de Daech — des takfiristes étrangers, de l'argent et des armements en sens inverse".
    M. Rollo a noté que la Turquie a été l'un des premiers pays à s'immiscer dans le conflit syrien.
    Dès le début de la guerre civile, Ankara a fait un gros pari sur le renversement du président syrien Bachar el-Assad, en essayant d'obtenir le statut de puissance dominante dans la région.
    La situation en Syrie a changé, contrairement à la stratégie de M. Erdoğan. Par conséquent, la Turquie est devenue un obstacle pour désamorcer le conflit, a ajouté le professeur dans son article pour Wall Street Journal.
    D'une part, Ankara mène une guerre contre les Kurdes syriens qui combattent efficacement les terroristes de Daech, d'autre part — la Turquie est un élément d'un réseau terroriste bien organisé, qui comprend également le groupe Daech. De plus, la Turquie prônait l'arrivée au pouvoir d'un gouvernement sunnite en Syrie qui devrait être contrôlé par une cellule locale des Frères musulmans. Ce scénario nuirait aux intérêts de la Russie et de l'Iran.
    Stuart Rollo a ajouté que cet été, le gouvernement turc de M. Erdoğan s'était accordé avec les Etats-Unis pour l'utilisation de deux bases de l'armée de l'air turque, pour que les avions américains puissent effectuer des frappes aériennes sur les positions de Daech. Dans le même temps, Ankara continuait à utiliser ces bases pour attaquer des unités kurdes en Irak et en Syrie.
    "Le gouvernement de M. Erdogan est encore plus préoccupée par la lutte contre les Kurdes en Syrie, que contre Daech" a déclaré l'analyste de l'Université de Sydney.
    Initialement, des occidentaux, comprenant les responsables politiques, les médias et la communauté universitaire considéraient la Turquie comme un modérateur puissant de la stabilité régionale et de la croissance économique, mais avec le temps ils ont commencé à considérer Ankara comme un soutien du terrorisme international. Par exemple, le vice-président américain Joe Biden dans un de ses discours publics a abordé le problème de la frontière turco-syrienne, en disant que le principal problème pour les Etats-Unis dans la lutte contre Daech était l'activité de leurs alliés. Un des responsables de la Maison Blanche a également parlé d'une "menace internationale émanant de la Syrie et passant par la Turquie". De plus, la Turquie est devenue un "allié dangereux" pour l'Otan, en engageant l'alliance dans un conflit indésirable avec la Russie.

    Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVEuZkpZyGOZqcFXZ.shtml

  • 8 janvier conférence à Angers de Xavier Moreau : Ukraine, pourquoi la France s’est trompée

    Homme d’affaires et analyste politico-stratégique de l’Europe de l’Est, Xavier Moreau a publié un document-choc sur le conflit ukrainien, une « immense manipulation de déstabilisation de notre continent ». Il démontre l’action funeste de certains Etats et le rôle de la France et de son ministre Laurent Fabius. Pour Xavier Moreau, la France possède son plus mauvais ministre des Affaires étrangères depuis 200 ans !

    Conférence / débat organisé à Angers le 8 janvier 19h par le Front National du Maine et Loire.

    Inscription par mail ou téléphone : 06 65 86 47 49 barbara.mazieres49@sfr.fr

    Michel Janva

  • Les bombardements russes dévoilent le pillage pétrolier en Syrie

    Les frappes aériennes russes visant des tankers de Daech transportant du pétrole syrien en Turquie ont révélé l'étendue du pillage de carburant, selon le ministre syrien de l'Industrie de l'électricité.
    Le ministre syrien de l'Industrie de l'électricité Imad Khamis a mis en évidence l'importance de l'opération militaire russe en Syrie ayant permis de démasquer la perte de fonds étatiques.
    "Le gouvernement turc et d'autres groupements qui lui sont alliés ont joué un rôle important dans le vol du pétrole syrien. C'est l'un des facteurs ayant le plus grand impact sur le secteur pétrolier et énergétique (syrien, ndlr)", a déclaré Imad Khamis à l'agence Sputnik.
    "Ces derniers temps, on a pu voir un grand nombre de citernes et de tankers transportant illicitement du pétrole syrien volé en Turquie bombardés par les forces armées russes. Cela a permis d'exposer au grand jour le volume de pétrole que perd le gouvernement syrien. Il en a besoin pour produire de l'électricité", a-t-il poursuivi.
    Le ministère russe de la Défense organise régulièrement des briefings où sont montrées des photos et vidéos présentant les résultats des opérations militaires des forces aériennes russes en Syrie.
    L'état-major général des forces aériennes russes a décrit, vendredi, l'un des nouveaux itinéraires de la contrebande du pétrole syrien extrait illégalement par les terroristes de Daech: des camions font tout d'abord un raccourci en Irak pour ensuite atteindre la Turquie.

    Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVEuEkuVpenrqQDHz.shtml

  • Plan américain pour évacuer les chefs de Daesh de la ville de Ramadi par hélicoptère

    Il y aurait aussi, à ce qu’il semble, des djihadistes modérés en Irak. Comment font-ils, à la Maison Blanche et au Pentagone pour ne pas se mélanger les pinceaux avec les bons, les méchants, les modérés et les durs de durs ? Heureusement que la Russie est là pour nous aider à y voir clair. RI

    ***

    Aime ton ennemi ? Découverte d’un plan américain d’évacuation de chefs djihadistes de Ramadi

    Un complot américain pour évacuer les dirigeants de Daesh de la ville stratégique de Ramadi au centre de l’Irak aurait été divulgué par un commandant des forces des volontaires.

    Un commandant irakien des forces volontaires a révélé des plans américains pour évacuer les dirigeants de Daesh (ISIL / ISIS) de la ville de Ramadi au centre de l’Irak, selon  l’agence de presse iranienne FARS.

    Cette divulgation a eu lieu alors que l’armée irakienne et les troupes populaires tentent de conforter leur victoire sur le groupe djihadiste à Ramadi.

    FARS a cité le commandant du Bataillon de l’Imam Khamenei Haidar al-Hosseini al-Ardavi qui a déclaré que « le ralentissement dans les opérations de libération des villes de Ramadi et Falloujah dans la province d’Anbar était dû à l’ingérence des États-Unis ».

    Les forces de sécurité irakiennes et les Forces de Mobilisation populaires alliées ont tiré des roquettes sur les positions de Daesh dans un champ de pétrole près de Beiji, à environ 250 kilomètres (155 miles) au nord de Bagdad en Irak, le samedi 24 octobre 2015

    « Il semble que les Etats-Unis ont l’intention d’évacuer en secret les infâmes meneurs du groupe terroriste ISIL (avec des hélicoptères) de la ville de Ramadi pour les mener dans des lieux inconnus », a-t-il dit, selon FARS.

    Ses remarques ont été faites au milieu des efforts déployés par les forces de sécurité irakiennes pour continuer à gagner du terrain dans le centre de Ramadi, où des centaines de terroristes Daesh sont pris au piège grâce au siège.

    Le mercredi, il a été signalé que les troupes irakiennes avaient réussi à faire des progrès significatifs dans Ramadi après avoir atteint le Tigre, et avaient commencé à entrer dans le centre-ville après avoir traversé le pont Al-Khor.

    Dans un autre développement, les forces spéciales de l’armée ont attaqué des cachettes de Daesh dans le quartier al-Zubat de la ville, et ont commencé à libérer des bâtiments gouvernementaux dans le quartier al-Hoz de Ramadi.

    Plus tôt cette semaine, le chef d’état-major de l’armée irakienne, le lieutenant général Othman al-Ghanimi avait dit que ses troupes n’avaient besoin que de quelques jours pour complètement faire sortir Daesh de la ville de Ramadi qui a été sous le contrôle des terroristes depuis mai 2015.

    Traduction Avic – Réseau International

    Source : http://sputniknews.com/middleeast/20151227/1032365363/iraq-us-daesh-ramadi.html#ixzz3vZMLLmIU

    Source Article from http://reseauinternational.net/plan-americain-pour-evacuer-les-chefs-de-daesh-de-la-ville-de-ramadi-par-helicoptere/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/