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géopolitique - Page 571

  • La Russie refuse le dollar lors de la vente de son pétrole

    La Russie s’apprête à lancer son propre contrat à terme s’agissant de son principal produit d’exportation, le pétrole Urals, afin d’augmenter ses profits et de mettre fin au calcul des prix du brut en dollar.
    Une plateforme à terme est en train d’être formée auprès de la Bourse internationale de Saint-Pétersbourg qui mène à l’heure actuelle des pourparlers avec des entreprises de trading étrangères, indique Bloomberg.
    L’objectif consiste à créer un système où le pétrole est évalué et vendu d’une manière juste et ouverte, a déclaré le président de la bourse Alexeï Rybnikov.
    La création de son propre marché à terme permettra à Moscou d’améliorer le mécanisme de formations des prix du pétrole Urals et aux compagnies nationales d’obtenir des profits supplémentaires.
    Aujourd’hui, le pétrole Urals de la catégorie inférieure se vend avec une décote par rapport au pétrole Brent.
    Au cours des deux premiers mois de 2016, le coût du pétrole Urals a été estimé à 29,69 dollars le baril, ce qui est 1,7 fois moins qu’à la même période l’année passée. A l’époque, l’Urals se vendait 51,81 dollars.
    Le pétrole Urals est une sorte de brut extrait en Russie et destiné à l’export. Les gisements se trouvent dans la région de la Volga, dans l’Oural, dans les districts autonomes des Khantys-Mansis — Iougra et de Iamalo-Nénétsie. Les revenus provenant des ventes du pétrole à l’étranger occupent environ 40% du budget russe.

     

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuykEpZEVVhujnnKem.shtml

  • En Syrie, les chrétiennes se battent les armes à la main contre les terroristes islamistes....

    Regardez ces femmes chrétiennes syriennes courageuses. Admirables, elles se battent contre les djihadistes et protègent leurs villages le fusil à la main.

    Pendant ce temps, des centaines de milliers d’hommes fuient lâchement leur pays, abandonnent leur famille, dans le seul but de vivre tranquillement aux crochets de l’Europe et des Européens.

    Source Médias presse info cliquez ici

    Pour bien comprendre la situation en Syrie :

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    Le commander en ligne cliquez ici

  • De Jean Monnet à Barack Obama, le rêve fou de l’État mondial

    Actualité relativement encombrée au sommet du Babel bruxellois, tout à sa dérive idéologiquement mortifère pour les peuples et les nations d’Europe.

    Tout d’abord, ce 26 avril, la Commission européenne exposait sa « nouvelle » vision stratégique concernant la façon dont son action extérieure contribuerait à « aider les migrants à devenir plus autonomes (…) avec un accès à l’éducation et aux moyens de subsistance », selon les mots du Commissaire européen à l’aide humanitaire et à la gestion de crise, Christos Stylianides.

    Dans le même temps, se tient, à New-York, le treizième cycle de négociations sur le TTIP, du 25 au 29 avril 2016, la présence de Barack Obama sur le continent européen n’étant donc pas tout à fait fortuite si l’on en juge par ses récentes prises de position, à Londres comme à Berlin, tant à l’encontre du « Brexit » qu’en faveur du TAFTA (« Trans-Atlantic Free Trade Agreement », également connu sous l’acronyme de TTIP, « Transatlantic Trade and Investment Partnership » ou Partenariat Transatlantique de Commerce et d’Investissement).

    Renforcement de la porosité des « frontières » extérieures européennes, d’un côté, abaissement – sinon disparition pure et simple – des barrières tarifaires et non tarifaires, de l’autre. Deux mouvements convergents qui, dans une unité de temps remarquable, résument à eux-seuls le grand projet mondialiste de gouvernance mondiale.

    Unité méthodologique aussi. Naguère appelée Communauté économique européenne, l’UE dut passer, stratégiquement, par l’étape sectorielle de la CECA (Communauté européenne du charbon et de l’acier), selon un plan imaginé par son principal instigateur, Jean Monnet. Ce dernier considérait, en effet, que « la construction économique devait essentiellement être une étape vers une construction politique (…), notre préoccupation principale [étant] d’arriver à la disparition des souverainetés nationales absolues ». Évacuation du politique, primat de l’économique, logique intégrative, irréversibilité, institutionnalisation, tels sont les piliers aujourd’hui empruntés au « Père » de l’Europe pour bâtir la nouvelle union euro-atlantique, dernière étape avant le grand saut vers le gouvernement mondial. Dès lors, dans cette optique, a-t-on commencé par ouvrir la circulation des personnes (ici celle des immigrants), puis celle des marchandises et des capitaux (le fameux accès aux « marchés publics » américains).

    Ainsi, la Commission européenne œuvre pour que « l’Europe reste une destination attrayante pour les migrants dans un contexte de déclin démographique », tout en souhaitant « éliminer [les] droits ainsi que d’autres obstacles au commerce, dont les contrôles administratifs trop longs (…) augmentent les coûts des échanges de marchandises ».

    Les rôles semblent d’ailleurs rigoureusement distribués ; à l’UE la gestion des flux migratoires, aux États-Unis, la mise en place d’un marché économique transatlantique intégré. En outre, si la première peut compter sur l’afflux régulier de populations allogènes sur ses côtes, pour rendre impossible toute « ré-émigration » massive éventuelle, les seconds ont pris soin d’emmailler le processus euro-atlantiste dans une série de traités préalables dont l’ignorance du grand public est proportionnelle à son inéluctabilité.

    Or, excepté les habituels initiés, qui a entendu parler du CETA (« Comprehensive Economic and Trade Agreement »), cet accord commercial (actuellement rediscuté sur ses marges, notamment sur le recours à l’arbitrage privé) entre l’Union européenne et le Canada conclut le 26 septembre 2014 à Ottawa entre le Premier ministre canadien Stephen Harper et le président de la Commission européenne de l’époque, José Manuel Barroso ? Et qui sait, finalement, que le TISA ou Accord sur le commerce des services (« Trade in Services Agreement »), en discussion depuis 2014, a pour objectif de libéraliser l’intégralité du marché des services, à commencer par ceux faisant l’objet d’un monopole public, soit les services publics ?

    Et, dans le plus grand silence médiatique, le traité transpacifique (TPP), a été officiellement signé, le 4 février dernier, à Auckland (Nouvelle-Zélande) entre les États-Unis, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada, le Mexique, le Pérou, le Chili, le Japon, la Malaisie, le Vietnam, le Singapour et Brunei…

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2016/04/30/de-jean-monnet-a-barack-obama-le-reve-fou-de-l-etat-mondial.html

  • La Russie élabore des missiles invulnérables pour l’Otan

    Les nouveaux missiles pourraient être implantés dans les régions frontalières du nord du pays.
    La Russie achève la mise au point de missiles de nouvelle génération qui seront invulnérables aux systèmes de défense antimissile de l'Otan, a déclaré le sénateur russe Evgueni Serebrennikov.
    Selon lui, ces missiles seront déployés aux frontières nordiques du pays en cas d'adhésion de la Suède à l'Otan. Dans le même temps, le membre du Conseil de la Fédération n'a pas exclu la possibilité d'un renforcement de la présence militaire russe à la frontière.
    Auparavant, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a annoncé dans une interview au journal suédois Dagens Nyheter que Moscou serait contraint d'entreprendre des mesures "militaro-techniques" si Stockholm décidait de rejoindre l'Alliance atlantique.
    D'après des experts, la Russie pourrait rapprocher les systèmes de missiles tactiques Iskander-M de ses frontières nord ainsi qu'équiper les navires et les sous-marins de sa flotte de la mer Baltique de missiles Kalibr.
    Sur fond de crise en Ukraine, les forces armées de l'Otan ont intensifié leurs activités à proximité des frontières russes en Europe et notamment dans les pays Baltes, qui ont accueilli une série de grands exercices militaires de l'Alliance. Moscou se déclare prêt à opposer une "réponse adéquate" à ces actions.

    al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuykpEppuVRRMDVDur.shtml

  • Trump présente sa politique étrangère

    « L’Amérique d’abord ! » Donald Trump, inspiré par le slogan de Charles Lindbergh, vient de présenter sa politique étrangère le 27 avril à Washington devant le Center for the National Interest.

    Ann Coulter, connue pour son livre ¡Adiós, America!, résume : « Enfin un candidat qui ne vit pas dans les années 80 ! »

    Présentation faite le lendemain du grand soir trumpien : balayage du corridor atlantique nord-est avec des victoires massives. Le « Trump Nouveau » a, en dix mois, remporté 27 États, ramassé 50,2 % des délégués, accumulant 10,1 millions de votants républicains (3 millions d’avance sur Cruz), frisant les 1.000 délégués, se rapprochant des 1.237 requis pour une nomination automatique. L’exposé de la « doctrine Trump » vient donc à point nommé.

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  • Le chaos est imminent, et que vous y croyiez ou pas n’y changera rien

    De longs mois se sont écoulés depuis la dernière publication du veilleur, et ce laps de temps m’a été bénéfique afin d’avoir une vision plus globale de la situation géopolitique dans le monde et de ses conséquences, mais il n’est nul besoin d’être un fin stratège pour appréhender la chute catastrophique dans laquelle nous entrainent les miasmes de notre gouvernement, du moins pour ceux ou celles qui ont commencés à ouvrir les yeux, et ils sont de plus en plus nombreux.

    A l’instar des États-Unis, la France est devenue un état policier, et le basculement de notre république vers un régime autoritaire et dictatorial ne fais plus le moindre doute. La colère du peuple est de plus en plus palpable, et le mouvement de protestation grandissant qui suivit l’annonce de la récente loi travail dictée par Bruxelles en est un signe. Souvenez-vous des anciennes publications du veilleur évoquant la destruction des droits ouvriers, de la disparition de l’argent liquide, de la répression toute dissidence, et autres émanations orwelliennes promulguées par les laquais du lobby banquier au pouvoir.

    Que penser d’une brève passée inaperçu et pourtant révélatrice de l’orientation en cours, « Des caméras parlantes pour rappeler les habitants à l’ordre » ! Pour ceux que cela n’interpelle pas, ma compagne me narrait une situation analogue dans laquelle un membre de sa famille s’est retrouvé durant la période franquiste en Espagne, alors qu’il avait osé marcher en dehors des clous…

    Nous devrions atteindre prochainement un point de rupture après lequel tout devrait s’accélérer d’un coté comme de l’autre, entrainant inexorablement une surenchère répressive d’une part, et protestataire musclée de l’autre. Les plus naïfs espèrent encore un changement politique à venir pour 2017, mais ils prendront conscience tôt ou tard que quel que soit le parti mis au pouvoir par les urnes, les prérogatives de ce dernier n’iront pas dans le sens des préoccupations pourtant légitimes des « sans dents », et la douche sera plutôt froide.

    Merci à Pierre Templar pour ce texte très réaliste qui résume bien la situation à laquelle nous devons nous préparer.

    Le veilleur

    Celui qui croyait au chaos et celui qui n’y croyait pas

    Les signes de la tourmente se multiplient, et pourtant, nombreux encore sont ceux à ne pas voir son imminence. Ces gens-là continuent à croire benoîtement dans les vertus du système, pensant qu’il les protégera en cas de problème sérieux, comme il a si bien su le faire par le passé.

    Chacun de nous possède au moins un spécimen de cette espèce dans sa famille, et sait donc parfaitement qu’il est inutile de tenter de les ramener à la raison. Comme l’a dit un abruti de gauchiste dans un éclair de lucidité, la « botte souveraine de la réalité » s’en chargera en temps utile…

    Je ne tenterai donc pas de le faire ici, ce blog s’adressant à tous ceux et celles, survivalistes en premier, qui ont « quelque chose entre les oreilles ». De toute façon, vous aurez sans doute essayé avant moi, probablement sans grand succès, et il est donc inutile d’accorder au gens de cette espèce plus d’intérêt qu’ils ne méritent.

    Mais si l’on croit à un prochain chaos, alors il n’y a qu’une chose à faire : Se préparer là où l’on se trouve. Ceux qui pensent qu’ils vont changer quelque chose en militant ou votant pour un parti se trompent lourdement, de même que tous les pantins qui collent des affiches ou défilent dans les rues, quel que soit leur drapeau, en espérant pouvoir ramener à leurs idées ceux qui les voient passer.

    Quoi que vous puissiez faire, vous ne changerez RIEN au système, du moins jusqu’à ce qu’il implose. Il faut absolument que vous en soyez persuadés, pour ne pas vous égarer dans des voies sans issue ou gâcher votre énergie dans des combats perdus d’avance. Et surtout, pour ne pas en pâtir inutilement. Tout ce que vous récolteriez en y prenant part, c’est une belle fiche au RG avec votre trombine en premier plan, où pire encore, un séjour dans une cellule au milieu des barbus.

    Et ceux qui votent encore et voudraient me faire croire le contraire n’ont qu’à regarder le nombre de députés FN que nous avons à l’Assemblée. Et pourtant Dieu sait si cela fait un moment que le vieux briscard s’agite, et que des millions de citoyens lui ont donné leurs voix ! Tout cela, je l’ai déjà dit dans Les raisons de redouter le pire. Il n’y a pas grand-chose à rajouter. Le système est verrouillé, et il veut notre destruction.

    Tout va aller de plus en plus mal, et très probablement de plus en plus vite. Je ne crois absolument pas à une lente agonie du pays jusqu’à l’instauration finale d’une dictature à la Orwell. Si telle était l’intention première de nos maîtres, alors ils ne prendraient pas le soin de faire entrer des millions d’allogènes en Europe. S’ils organisent aussi méticuleusement un tel afflux, c’est parce qu’ils ont un plan précis, qui inclue au préalable un affrontement généralisé entre les communautés caprines et les blancs de souche.

    Nous allons au-devant de la plus grande guerre civile que le monde ait jamais connue. Nous tous européens, et il n’y a aucune échappatoire. Il n’est même plus besoin de lire les prophéties à ce sujet pour s’en convaincre ; C’est maintenant une évidence.

    Pour un survivaliste digne de ce nom, la guerre civile est le premier péril à considérer, car contrairement au réchauffement climatique et autres fadaises, on peut être sûr que celle-ci va arriver. Alors profitez du temps limité qu’il reste pour vous préparer au mieux. Sortez du système autant que vous le pouvez, ou profitez-en s’il le faut, de manière à mettre de côté les moyens nécessaires pour acquérir les compétences et les équipements dont vous aurez besoin.

    Tâchez de constituer un groupe d’amis, de relations, ou de connaissances, que vous puissiez rejoindre ou qui puissent vous rejoindre le jour où les lumières vont s’éteindre. L’important, à mon sens, n’est pas de chercher à constituer à tout prix une véritable équipe, du moins au début. D’abord, parce que cela demande trop de temps et d’énergie, et vous y laisseriez probablement votre enthousiasme. L’important, c’est de ne pas vous retrouver seul au soir du Grand Jour. Vous pouvez être certain que les équipes se constitueront d’elles-mêmes le moment venu, en fonction des tempéraments, des compétences, et des forces de chacun.

    Ensuite, parce ce que la ou les équipes que vous pourriez constituer, avec toute la patience et les difficultés que cela implique, ne dureront probablement pas très longtemps. Non pas qu’elles se sépareraient à cause de dissensions internes – bien que cela ne soit pas à exclure – mais parce que leurs rangs pourraient s’éclaircir de manière drastique et très rapide aux premiers jours de la bataille. Si ce n’est dans celle-ci, ce sera par les blessures, le manque d’hygiène et de soins, les « pétages de plomb » et le reste (voir les articles sur les addictions d’Elizabeth). Et vous aurez perdu beaucoup de temps pour vous retrouver au final à trois clampins.

    En d’autres termes, la sélection se fera d’elle-même, au fil des allées-venues et des combats, de même que les alliances…

    Commencez à rencontrer des gens autour de vous, des gens ordinaires. Lorsque vous tombez sur quelqu’un qui vous dit que d’après lui « tout va péter bientôt », c’est qu’il est un peu moins con que la moyenne et que vous pourrez peut-être en tirer quelque chose. Inutile de lui sortir le baratin survivaliste, voire de chercher à l’intégrer dans votre groupe éventuel pour commencer à vous entraîner ensemble. Gardez ce contact en mémoire, de même que son adresse et son téléphone. Si des « atomes crochus » vous poussent naturellement à resserrer les liens, alors faites-le, tout en gardant à l’esprit que rien ne vous y oblige.

    Prévoyez de quoi tenir au moins trois mois, vous et votre famille. Ainsi que des armes et munitions en nombre pour assurer votre défense. Tout cela a été dit maintes fois sur le blog. Il suffit de relire les articles, ainsi que leurs commentaires qui sont le plus souvent très pertinents.

    Nous faisons partie, pour la plupart, d’une génération sacrifiée. C’est juste un destin qu’il faut accepter, car il n’y a rien que l’on puisse faire pour l’empêcher ou le changer. Parfois, certaines personnes me demandent « ce que nous avons pu faire pour mériter ça ». La réponse est que nous n’avons rien fait, absolument rien, parce qu’il n’y a rien que l’on aurait pu faire, et que ce n’est pas notre boulot, de toute façon. Ce n’est pas notre faute, pas plus que celle de nos parents.

    Le problème est que depuis notre enfance, la République nous berce dans l’illusion que nous pouvons, par une participation toute illusoire, changer quelque chose à notre destinée citoyenne. Mais la vérité est que nous ne pouvons rien. Le système républicain dans son essence même nous laisse à la merci des gens qui nous dirigent, pour le meilleur et pour le pire. Or il se trouve que nous sommes gouvernés par les pires depuis une cinquantaine d’années, voire depuis la décapitation de notre dernier roi, si l’on veut bien remonter jusqu’à la source du problème.

    Chaque génération a sa destinée. Celle de 14 était de finir dans les tranchées. La nôtre est d’affronter les grandes tribulations de la gigantesque guerre civile à venir. De nous battre, de souffrir, et de mourir, éventuellement. Une fois que vous aurez accepté cela, vous pourrez arrêter de vous frapper la poitrine et commencer enfin les préparatifs qui s’imposent.

    Survivre

    Survivre, ce n’est pas juste « tenir une heure de plus » comme un certain couillon a pu l’écrire. Survivre, c’est tenir jusqu’au bout, et vu ce qui nous attend, ce n’est pas une petite heure qui changera grand-chose. Survivre, c’est être encore debout lorsque les moins chanceux et les plus faibles sont tous morts. Et cela va signifier pour nous tous être capables de vivre des mois de plus, peut-être des années.

    Et c’est parce que le chaos va durer que la simple force physique et brutale ne sera pas suffisante ; Et que des moins forts physiquement auront aussi leur chance, contrairement aux grandes batailles des siècles passés. Ceux qui vont durer seront les plus tenaces, les moins sentimentalistes, et surtout, les plus stoïques ; Les plus résistants à la souffrance, à la douleur, à la faim et à la soif, aux tentations, addictions et privations de toute nature. Des moines soldats, en quelque sorte. Autrement dit, les moins cool et les plus chiants, selon les critères en vigueur de nos jours.

    Au fond, la vie même n’est autre que survie. Depuis le jour de notre naissance nous ne faisons que survivre. A toutes les saloperies qui se trouvent dans les airs et dans nos assiettes, aux vaccins et aux médicaments, au métro et au boulot… Pour certains, à la famille, depuis tout petit. Pour la plupart, aux emmerdes que les malfaisants au pouvoir nous apportent quotidiennement, dans tous les domaines de l’existence ; A cet abruti de kapo qui nous colle une prune de 90 euros parce qu’on a dépassé de 5 km/h la vitesse autorisée, et qu’une frustration légitime nous pousserait à cogner. Ou encore ce spécimen halal qui nous dévisage avec mépris, et que l’on renverrait volontiers au bled avec un pruneau dans le cul ; Avec les conséquences que l’on peut imaginer pour un chrétien blanc noyé dans une société dirigée par des gens qui œuvrent à sa disparition, par tous les moyens.

    La jeunesse

    J’ai longtemps pensé que la jeunesse actuelle était paumée, et il est vrai que certains spécimens de la Star Ac et autres zoos du même acabit tendaient à me donner raison. Mais finalement, je pense m’être trompé. Le vrai problème, du moins ce que je crois désormais, est qu’elle s’emmerde, tout simplement. Parce que la société moderne, et en premier lieu ceux qui la dirigent, sont incapables de lui donner un but valable qui vaille la peine de se dépasser.

    Je crois que le secret de la réalisation personnelle tient dans une seule chose : œuvrer pour une cause qui nous dépasse, quelque chose de plus grand, quelle qu’elle soit. Puis éventuellement y laisser la peau ; Que ce soit pour sa famille ou pour la patrie, voire un quelconque groupe de « niakoués » (citation de l’auteur) aux fin-fonds d’une jungle birmane que l’on aurait pris en affection. Et c’est justement ce dont l’individualisme induit tout naturellement par les « valeurs » de la République nous éloigne le plus jour après jour.

    La conséquence directe est que la jeunesse actuelle erre sans but, d’un Mac Donald à un autre, les yeux rivés sur un Ipod, pour finir au Bataclan à écouter des insanités. Elle cherche inconsciemment un sens à donner à sa vie, mais ne peut le trouver dans une société aseptisée, uniformisée, sans relief, sans avenir et sans espoir. Mais donnez-lui une vraie cause à défendre, avec la vie au bout du compte, et je crois que la plupart saisiront l’occasion à pleines mains. Il se pourrait même que ce soit les plus « paumés » qui lèvent le plus haut le flambeau et entraînent les anciens. Du moins j’aime à le croire.

    La guerre

    La guerre est divine en elle-même parce qu’elle est une loi du monde.

    Ainsi parlait Joseph de Maistre, ce grand théosophe chrétien. Une chose parmi d’autres qui nous distingue de l’animal.

    L’homme est taillé pour la guerre. Tellement bien qu’il n’a pas arrêté de la faire depuis le premier jour de son apparition sur terre. Sur les quinze cents dernières années de notre histoire, celles de paix relative se compteraient presque sur les doigts d’une main ! Notre nation s’est bâtie sur les batailles que nous avons gagnées, et elle périra dans celles à venir si par malheur nous les perdons.

    Ces longues périodes de paix et de facilité relatives, comme celle que nous connaissons depuis la fin de la seconde guerre mondiale, sont épouvantablement débilitantes. Il n’y a qu’à voir l’état actuel de la France et de ses habitants. Nous avons sombré dans la passivité la plus complète. Les corps et les esprits se sont comme liquéfiés jusqu’à laisser le pays se faire tranquillement envahir à nouveau, au point qu’il n’est même plus sûr que nous soyons capables de remonter la pente un jour. A moins de quelque intervention quasi miraculeuse comme il nous a été donné parfois dans un glorieux passé.

    Nous sommes tellement loin de notre génie naturel et de notre vocation qu’il est presque impensable d’en être arrivé là. Pourtant nous y sommes, et il faut bien reconnaître que le travail de sape a été sacrément bien orchestré. A ce niveau, il n’y a malheureusement pas d’autre remède que le sang versé pour que les retrouvailles avec nos racines et notre destinée véritable puissent avoir lieu.

    A ce moment-là, nous penserons alors à ce que dit Horacius le romain, il y a bien longtemps, tandis qu’il se retrouvait seul face à une armée entière :
    Pour chaque homme sur cette terre, la mort vient tôt ou tard. Et comment un homme peut-il mieux mourir qu’en affrontant un destin contraire pour les cendres de ses ancêtres et les temples de ses dieux…

    Auteur : Pierre Templar

    - Source : Survivre au chaos

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Intervention de Marion Maréchal-Le Pen sur la levée des sanctions contre la Russie

  • Vladimir Poutine démasque la désinformation contre la Russie: « Si nous étions soumis, nous plairions à tout le monde »

    Parmi de nombreuses autres questions exaltant le patriotisme russe, inimaginable aujourd’hui en France, Vladimir Poutine aété interrogé par le blogueur Sergeï Kolyasnikov de Sverdlovsk, qui s’inquiète de la guerre de l’information qui est systématiquement menée contre la Russie à travers son Président par les médias occidentaux: « Les initiatives fédérales et  internationales de la Russie subissent un discrédit constant dans le but de donner  une image négative de la Russie aux yeux de la communauté mondiale, » s’est-il alarmé. Vladimir Poutine qui s’exprimait au cours de la session plénière du Forum du Front populaire « pour l’action des Régions « , lui répond:

    « Je n’arrive tout simplement pas à m’habituer à cette information de la confrontation. Vous ne vous souvenez peut-être pas de tout, mais moi je me rappelle. Lors des tragiques événements survenus dans le Caucase[Tchétchénie], j’ai tout vu et tout entendu sur moi-même, en sorte que plus rien ne peut me surprendre venant de là-bas aujourd’hui. Vous avez raison, bien sûr, Sergeï, sur le fait que c’est la réaction de nos adversaires – appelons-les ainsi – face à une Russie devenue plus puissante. Les gens n’ont pas besoin d’un concurrent indépendant, souverain, très efficace, qui connaît sa valeur, qui défend ses intérêts propres, et qui est capable de faire reconnaître ces intérêts. Ils essaient de remettre un tel concurrent à sa place, et de le harceler, de l’assiéger. »

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