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géopolitique - Page 675

  • Ban Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda

    Avec plus d'un an et demi de retard, les Nations unies ont finalement évoqué les étroites relations qui existent entre les groupes terroristes actifs dans le sud syrien, plus particulièrement dans les provinces de Quneitra et Deraa, et «Israël».

    Dans son rapport trimestriel présenté au Conseil de sécurité, il y a quelques jours, le secrétaire général de l'Onu, le très docile pro-américain Ban Ki-moon, a révélé un secret de polichinelle, qu'ilBan Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda n'était plus en mesure de protéger tant il frôlait le scandale. Le rapport reconnait que les «Israéliens» entretiennent des rapports avec les «rebelles syriens» depuis plus de 18 mois, facilitant le traitement médical des combattants blessés. Le document souligne que l'entité sioniste a soigné plus de 1000 combattants syriens.

    Le texte présenté par Ban Ki-moon se base essentiellement sur les rapports fournis par les contingents de l'Undof, déployés sur le terrain dans le Golan occupé. Ces rapports font état d'une «coordination quotidienne entre Israël et les rebelles syriens, y compris les groupes islamistes affiliés à Al-Qaïda», grâce à des «canaux de communication ouverts en permanence».

    Les rapports des Casques bleus précisent que «soldats israéliens ont été observés permettant à des personnes de passer de la ligne ‘Bravo' -du côté syrien- à la ligne ‘Alpha' du côté israélien, ainsi que des discussions entre des membres de l'opposition armée et des militaires de Tsahal à travers la ligne de cessez-le à proximité de la position 85 des Nations unies».

    Le rapport trimestriel de l'Onu ne nous apprend rien de nouveau. Mais il a l'avantage d'inscrire dans la documentation officielle de l'organisation internationale ce que les analystes savaient depuis longtemps, et que nous avions évoqué à plusieurs reprises sur notre site.

    Coopération dans le renseignement

    En réalité, la coopération entre «Israël» et les groupes terroristes va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés, et qui ont déjà coûté au contribuable «israélien» plus de 14 millions de dollars, selon l'édition de dimanche dernier du quotidien Maariv.

    L'armée syrienne dispose de preuves irréfutables sur l'assistance militaire directe apportée parUne coopération qui va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés les «Israéliens» aux groupes extrémistes lors de leur offensive de l'été dernier à Quneitra. Cette aide a permis aux terroristes de prendre, entre autres, les collines stratégiques appelées al-Touloul al-Homr, où l'armée syrienne disposait de matériel de guerre électronique sophistiqué lui permettant de surveiller les réseaux de télécommunication de l'armée «israélienne». Cette aide s'est manifestée par un bombardement à l'artillerie et des raids aériens contre des positions de l'armée syrienne, afin d'ouvrir la voie aux combattants extrémistes. «Israël» est même allé plus loin en abattant, à l'aide d'un missile Patriot, un chasseur syrien au-dessus du Golan, au plus fort de l'attaque terroriste.

    Des sources bien informées en Syrie et à Beyrouth font également état d'une coopération étroite entre les groupes terroristes d'un côté, le Mossad et les autres agences du renseignement «israélien», de l'autre, pour la collecte et le transfert d'informations au sujet des programmes d‘armement et de recherche en Syrie. C'est grâce à cette coopération que l'entité sioniste est parvenue à éliminer plusieurs savants syriens ces trois dernières années. L'opération la plus récente remonte au 10 novembre dernier, lorsque cinq ingénieurs travaillant dans l'énergie nucléaire au Centre de recherches scientifiques à la périphérie de Barzé, dans le nord de Damas, ont été tués dans l'attaque de leur bus par des terroristes.

    En juillet 2013, six fonctionnaires de ce même centre avaient trouvé la mort dans une attaque au mortier menée par les «rebelles». Le 24 août 2012, Nabil Zoughaib, considéré comme l'artisan du programme balistique syrien, a été assassiné par des inconnus. Un an plus tôt, Aws Abdel Karim Khalil, physicien nucléaire et professeur à l'Université al-Baas, à Homs, avait subi le même sort. Et la liste est longue.

    «Israël» viole la résolution 2178

    «Israël» se trouve donc en porte-à-faux avec la fameuse «légalité internationale». En effet, le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté, le 24 septembre dernier, à l'unanimité de ses 15 membres, la résolution 2178, imposant des sanctions contre Daech et le Front el-Nosra.

    Dans cette résolution, les membres du Conseil se disent très préoccupés par le fait qu'une partie du territoire d'Irak et de Syrie est «sous le contrôle de l'Etat islamique et du Front el-Nosra» et que leur présence, leur idéologie extrémiste violente et leurs agissements sont préjudiciables à la stabilité de ces deux pays et de la région.

    Le Conseil de sécurité se déclare disposé à inscrire sur la liste de sanctions les individus, groupes, entreprises ou entités qui apportent leur appui à l'un ou à l'autre de ces deux groupes terroristes.

    Le Conseil prie instamment tous les Etats de coopérer aux efforts faits pour trouver et traduire en justice les individus, groupes, entreprises et entités associés à Al-Qaïda, y compris l'EI et le Front el-Nosra, «qui perpètrent, organisent et commanditent des actes terroristes.»

    Le Conseil de sécurité demande aussi à tous les Etats membres de prendre des mesures nationales pour endiguer le flux de combattants terroristes étrangers qui rejoignent les rangs de l'EI et du Front el-Nosra.

    Le Conseil de sécurité rappelle également, qu'en vertu d'une précédente résolution adoptée cette année, tous les Etats doivent prévenir et réprimer le financement des actes de terrorisme et doivent veiller à ce qu'aucuns fonds, autres avoirs financiers ou ressources économiques ne soient mis directement ou indirectement à la disposition de ces deux groupes extrémistes.

    On voit bien qu'en apportant un soutien au Front al-Nosra et en coopérant avec lui -de l'aveu même de Ban Ki-moon-, «Israël» est en train de violer la plupart des dispositions de la résolution 2178. Y aura-t-il quelqu'un qui osera lui demander des comptes ?

    Samer R. Zoughaib

    Al-Ahednews :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuElFEVkAVFmJieEKs.shtml

  • La guerre contre Poutine et le suicide européen

    Les États-Unis veulent leur guerre contre la Russie, c’est un fait certain. Ils veulent aussi la destruction de l’Europe, toute soumise qu’elle est. La destruction de la civilisation occidentale et de la race blanche satisfera cette « puissance mystérieuse » qui affolait déjà Poe ou Gustave Le Rouge, Duhamel ou bien Céline, et qui n’a jamais caché ses intentions matricides (expression du britannique Douglas Reed). Plus nous sommes inféodés à Washington, plus nous sommes méprisés et insultés par les agents américains en France et en Europe. Mais nous avons pris goût à leurs insultes.

    La Russie ne nous a rien fait, mais ce n’est pas grave. C’est le dernier pays à se réclamer de ses racines chrétiennes, cela suffit pour la détruire. La Russie a vaguement essayé de protéger ses populations menacées par un gouvernement de fous en Ukraine (-10 % de croissance cette année) qui a été mis en place par les agences américaines et leurs relais. La Russie n’a pas été adroite en Crimée mais surtout la Russie n’a pas été secondée par les idiots utiles qui étaient jadis à la solde de Moscou et de ses roubles malades. Ces temps-ci, les idiots utiles sont plutôt les relais de Washington et de ses sbires à qui nous devons les gâchis arabes, africains, asiatiques ! En attendant la guerre contre la Chine qui ne cesse de miner, dit Obama, le bien-aimé et surtout sourcilleux ordre mondial !

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  • Hervé Juvin : "La fin du XXe siècle, c'est la liquidation du monde pour fabriquer de la richesse"

  • Samedi 13 décembre à Oullins (Rhône), colloque sur le Traité transatlantique

    Samedi 13 décembre, à Oullins (Rhône), aura lieu un colloque débat consacré au Traité transatlantique. Intitulé “Le Traité transatlantique, une menace face au libre-échange”, Ce colloque se tiendra de 11 heures à 20 heures, salle du pôle social du Golf, 4 rue Salvador-Allende. Participation aux frais : 5 euros. Les débats seront animés par Karim Ouchikh, président du SIEL, Jean-Marc Chevillard, délégué régional Rhône-Alpes du SIEL, Muriel Coativy, secrétaire départementale adjointe du Rhône du Front national, et Yannick Jaffré, du collectif Racines.

    Seront présents à ce colloque : Bernard Monnot, député français FN/RBM au Parlement européen, et Gilles Lebreton, député français SIEL/RBM au Parlement européen.

    A noter que plusieurs auteurs seront présents lors de ce colloque pour y dédicacer leurs ouvrages. Vous pourrez notamment y rencontrer Yannick Jaffré, pour “Vladimir Bonaparte Poutine, Essai sur la naissance des Républiques”, aux Editions Perspectives Libres, Nikola Mirkovic, pour “Le martyr du Kosovo” chez Jean Picollec, et Kader Hamiche, éditeur, pour la réédition du livre du Bachaga Boualam, “Mon pays, la France”.

    Informations et réservations : 06 26 82 00 27 et oullinsbleumarine@orange.fr

    http://fr.novopress.info/179677/samedi-13-decembre-oullins-rhone-colloque-traite-transatlantique/

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  • Des enfants chrétiens décapités à Mossoul

    Le pasteur britannique Andrew White, toujours présent en Irak, a fait part aux médias d’une nouvelle atrocité commise par les djihadistes de l’Etat Islamique : quatre enfants chrétiens ont été décapités en Irak parce qu’ils avaient refusé de se convertir à l’islam.

    Cet acte barbare s’est déroulé près de Mossoul, dans une enclave chrétienne récemment passée aux mains des djihadistes.

    Le pasteur White  a décrit  au site Orthodox Christian Network comment les djihadistes ont pris possession de villages dans la plaine de Ninive et ont menacé de mort les chrétiens s’ils ne se convertissaient pas à l’islam.

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  • USA : les cinq accusations choc du rapport sur les interrogatoires de la CIA

    Les donneurs de leçons américains sont pris la main dans le sac. Ce qu’ils reprochent à leurs ennemis (Saddam Hussein, Kadhafi, El Assad, etc.), ils n’hésitent pas à le mettre en pratique. Mais si c’est pour le bien des peuples, contre le terrorisme et pour la démocratie… On ne peut que s’écraser…
    Si Obama a officiellement mis un terme à ses pratiques, n’oublions pas qu’au Pakistan en 2013, les USA ont liquidé plus de 2300 (voir ici) personnes en grande partie par le biais de drones…

    Les démocrates règlent leurs comptes avec l’administration Bush. Après cinq ans d’enquête, une commission du Sénat américaina publiéun rapport de 499 pages sur les techniques renforcées d’interrogatoire de la CIA entre 2001 et 2009. Voici les cinq éléments essentiels.

    1. Des interrogatoires «bien pires» que ce que la CIA avait révélé

    Le rapport emploie le mot «torture» à 131 reprises. Au moins un détenu, Gul Rahman, est décédé pendant sa captivité. «Les détenus de la CIA ont été torturés», écrit la présidente démocrate de la commission, Diane Feinstein. Les méthodes étaient «brutales et bien pires» que ce que la CIA avait admis. «Lewaterboarding(simulation de noyade, ndr) était dangereux pour la santé, provoquant des vomissements et des convulsions.» L’un des 39 détenus soumis à ces méthodes, Abou Zoubaydah, est resté «sans réaction, avec des bulles sortant de sa bouche». La CIA décrit les interrogatoires du cerveau-présumé des attentats du 11-Septembre,  Khalid Sheikh Mohammed, comme «une série de quasi-noyades». Des prisonniers ont été privés de sommeil pendant 180 heures, soit plus d’une semaine, et ont eu «des hallucinations». Parmi les autres techniques épinglées: des bains glacés, des humiliations par la nudité, une exposition à des insectes ou encore une «hydratation rectale».

    2. Des conditions de détention catastrophiques

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    http://www.contre-info.com/

  • Guerre en Ukraine : pour que cesse l’oppression contre le Donbass !

    Malgré 10 ans dans l’humanitaire, les mots me manquent pour décrire l’insupportable horreur que j’ai vécue.

    Je rentre tout juste d’une mission humanitaire au Donbass, dans le sud-est de l’Ukraine, avec la jeune association française Vostok et, malgré 10 ans dans l’humanitaire, les mots me manquent pour décrire l’insupportable horreur que j’ai vécue et qui me semble comme arrachée des pages écornées d’un livre d’histoire du siècle passé.

    Sur le front où les combats font rage, par -15 °C, nous avons distribué des vêtements chauds, du matériel de puériculture et de la nourriture à des enfants affamés, blottis dans des caves, derniers remparts contre les missiles que nous tiraient dessus l’armée de Kiev et des milices soutenues par l’OTAN et l’Union européenne.

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  • La Chine est officiellement la première puissance économique mondiale

    Selon des données du FMI, le PIB chinois exprimé en parité de pouvoir d’achat dépasse pour la première fois depuis 1872 celui des États-Unis.

    Ainsi, le produit intérieur brut (PIB) chinois exprimé en parité de pouvoir d’achat (PPA) s’élève à 17 632 milliards de dollars pour 2014 contre 17 416 milliards aux États-Unis. Pékin représente donc 16,5 % de l’économie mondiale en terme de pouvoir d’achat réel, quand Washington n’est « qu’à » 16,3 %.

    Note : le PIB exprimé en PPA permet de comparer les performances économiques des différents pays, les PPA indiquant ce que les habitants d’un pays peuvent réellement acheter avec leur monnaie. Le pouvoir d’achat est mesuré par rapport à un panier de produits qui comprend plus de 3 000 biens et services.

    Si la nouvelle n’est toutefois pas aussi surprenante que cela – dès 2011, Pékin avait en effet doublé Washington en matière de richesse nationale -, elle constitue néanmoins un « tremblement de terre géopolitique », comme l’indique l’éditorialiste américain Brett Arends.

    Et le journaliste d’affirmer que si « cela ne changera pas grand-chose demain ou la semaine, ça changera presque tout sur le long terme ».

    L’écart devrait par ailleurs continuer à se creuser selon les données du FMI. L’organisation internationale prévoit qu’en 2019, la richesse nationale chinoise pourrait s’élever à 26 800 milliards de dollars, tandis que celle des États-Unis atteindrait 22 000 milliards.

    Source : Le Point

    http://www.contre-info.com/