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géopolitique - Page 701

  • Bernard Chalumeau : « Il faut revenir à un système international westphalien »

  • L’État islamique en Irak et au Levant utilise ouvertement des esclaves sexuelles

    Sous couvert d’une interprétation rigoriste de l’islam d’inspiration wahhabite, ces barbares dénués d’empathie, et de raison, se permettent les pires atrocités.

     

    L’État islamique en Irak et au Levant représente la quintessence même de la négation de la vie. Cette organisation théocratique d’obédience islamique radicale et littéraliste n’hésite pas à tuer, torturer, mettre en esclavage les populations insoumises. Véritable Léviathan totalitaire, ces terroristes veulent soumettre le monde à l’abstraction de la superstition et à une vision terrible d’un dieu vengeur et tortionnaire.

    Dans un document  publié le 3 décembre par le « Département des prisonniers et des affaires de la femme » (sic) du groupe terroriste islamique sont décrits les sévices à infliger aux esclaves sexuelles, en des termes qui donnent la nausée : « Les filles vierges peuvent être violées immédiatement après avoir été achetées par leur propriétaire. Celles qui ont déjà eu des rapports sexuels doivent avoir leur utérus “purifié” en premier. » Il est aussi expliqué, dans ce même document, que « les polythéistes, chrétiennes et juives sont autorisées à devenir esclaves ». Sont particulièrement visées les femmes yézidi (un culte issu de la tradition des premières religions perses dites « zoroastriennes »), régulièrement vendues et violées par ces monstres.

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  • Kaboul : la France visée (Présent 8251)

    Au moins sept morts et plus d’une vingtaine de blessés : c’est le bilan des deux attentats-suicides perpétrés jeudi à Kaboul par les talibans (photo) qui, en frappant au cœur du fameux lycée Esteqlal où fut formé le commandant Massoud, visaient directement notre pays.

    Une cible symbolique

    Une du numéro 8251 de "Présent"Alors que dans la matinée déjà, un premier attentat-suicide avait tué six soldats dans les faubourgs de Kaboul, en fin d’après-midi, un adolescent de 15 à 17 ans dissimulant les explosifs sous ses habits pénétrait dans le centre culturel français et se faisait exploser au milieu des spectateurs qui assistaient à une pièce de théâtre. Dans la foulée, Zabihullah Mujahid, porte-parole des talibans, adressait aux médias un email revendiquant l’attentat et expliquant que la pièce de théâtre en question « désacralisait les valeurs de l’islam » et représentait « de la propagande contre le djihad ».

    Installé dans le centre de la capitale et tout près du palais présidentiel, dans le complexe du lycée franco-afghan Esteqlal, l’une des écoles les plus connues et les plus réputées du pays, ce lieu symbole de la coopération culturelle franco-afghane, inauguré en 1970 et financé par Paris, a appris le français à plusieurs générations d’Afghans, dont le plus célèbre fut le héros de la résistance contre les Soviétiques Ahmad Shah Massoud. Cette attaque était donc hautement symbolique et visait directement la France.

    La guerre n’est pas finie

    Aussi François Hollande a-t-il immédiatement condamné cet attentat dans un communiqué précisant qu’« en prenant pour cible ce lieu de dialogue, c’est la culture et la création que les terroristes ont visées ». De son côté, Manuel Valls devait également condamner « avec force » cette attaque contre « un symbole de la culture et de l’universalité des valeurs portées par la France » et rappeler que « les terroristes montrent une nouvelle fois qu’ils véhiculent un message de haine et d’obscurantisme ». Avant d’ajouter : « Cet acte lâche renforce la France dans sa détermination à lutter contre la barbarie. »

    Bref, deux attaques qui interviennent un peu plus de deux semaines avant la fin de la mission de combat de l’Otan en Afghanistan et laissent présager le pire pour l’avenir. Alors que l’essentiel des forces de l’Otan doit en effet évacuer le pays d’ici à la fin du mois pour céder la place à la mission « Soutien Résolu », mission d’assistance et de formation de l’armée et de la police afghanes en première ligne des combats contre les rebelles talibans, les attentats sanglants ne cessent de se multiplier à travers l’Afghanistan, notamment à Kaboul, et contre les étrangers. Et lorsque l’on voit aujourd’hui le nouveau président afghan Ashraf Ghani tendre la main de manière ridicule aux talibans pour des négociations, on peut légitimement s’inquiéter pour l’avenir de ce pays.

    Franck Delétraz

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  • South Stream bloqué, la « claque » des USA à l’Europe,

     « La Russie pour le moment est obligée de se retirer du projet South Stream, à cause du manque de volonté de l’Union européenne de le soutenir et du fait qu’elle n’a toujours pas reçu l’autorisation par la Bulgarie de faire passer le gazoduc sur son propre territoire ».

    Voilà comment le président russe Vladimir Poutine a annoncé l’arrêt du projet South Stream, le gazoduc qui aurait dû amener le gaz russe dans l’Union européenne à travers un corridor énergétique méridional, sans passer par l’Ukraine. De cette façon, écrit l’Ansa (principale agence de presse italienne, ndt), Moscou « donne une claque à l’Europe ». En réalité c’est Washington qui donne une autre forte claque à l’Europe, en bloquant un projet de 16 milliards d’euros qui aurait pu être de grande importance économique pour les pays de l’UE, en commençant par l’Italie où aurait dû être construit le terminal du gazoduc.

    Pour comprendre ce qui s’est passé, il faut reprendre l’histoire du South Stream. Le projet naît de l’accord de partenariat stratégique, stipulé par la compagnie publique russe Gazprom et par l’italienne Eni en novembre 2006, pendant le gouvernement Prodi II. En juin 2007 le ministre pour le développement économique, Pierluigi Bersani, signe avec le ministre russe de l’industrie et de l’énergie le mémorandum d’entente pour la réalisation du South Stream. Le projet prévoit que le gazoduc sera composé d’un tronçon sous-marin de 930 Km à travers la Mer Noire (en eaux territoriales russes, bulgares et turques) et par un tronçon sur terre à travers Bulgarie, Serbie, Hongrie, Slovénie et Italie jusqu’à Tarvisio (Province d’Udine). En 2012 entrent aussi dans la société par actions qui finance la réalisation du tronçon sous-marin la société allemande Wintershall et la française Edf à hauteur de 15% chacune, alors qu’Eni (qui a cédé 30%) détient 20% et Gazprom 50% des actions. La construction du gazoduc commence en décembre 2012, avec l’objectif de lancer la fourniture de gaz pour 2015. En mars 2014, Saipem (Eni) s’adjudique un contrat de 2 milliards d’euros pour la construction de la première ligne du gazoduc sous-marin.

    Entre temps, cependant, éclate la crise ukrainienne et les Etats-Unis font pression sur les alliés européens pour qu’ils réduisent les importations de gaz et de pétrole russes. Premier objectif étasunien : empêcher la réalisation du South Stream. A cet effet Washington exerce une pression croissante sur le gouvernement bulgare pour qu’il bloque les travaux du gazoduc. D’abord il le critique pour avoir confié la construction du tronçon bulgare du gazoduc à un consortium dont fait partie la société russe Stroytransgaz, sujette à des sanctions étasuniennes. Puis l’ambassadrice US à Sofia, Marcie Ries, avertit les hommes d’affaires bulgares d’éviter de travailler avec des sociétés sujettes à des sanctions de la part des USA. Un grand coup de main est donné à Washington par le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, qui annonce l’ouverture d’une procédure Ue contre la Bulgarie pour de présumées irrégularités dans les appels d’offre du South Stream. Le moment décisif est celui où, en juin dernier, arrive à Sofia le sénateur étasunien John McCain, qui rencontre le premier ministre bulgare Plamen Oresharski en lui transmettant les ordres de Washington. Immédiatement après Oresharski annonce le blocus des travaux du South Stream, dans lequel Gazprom a déjà investi 4,5 milliards de dollars.

    En même temps la compagnie étasunienne Chevron commence les perforations en Pologne, Roumanie et Ukraine pour extraire les gaz de schiste bitumineux, par la technique de fracturation hydraulique : on injecte dans les strates rocheuses profondes des jets d’eau et de solvants chimiques à haute pression. Cette technique est extrêmement dangereuse pour l’environnement et la santé, à cause surtout de la pollution des nappes phréatiques. Le projet de Washington de remplacer le gaz naturel russe, importé par l’Ue, par celui extrait des schistes bitumineux en Europe et aux Etats-Unis, est un véritable bluff, à la fois par ses coûts élevés et par les dommages environnementaux et sanitaires de cette technique d’extraction. Et, en effet, en Pologne et en Roumanie plusieurs communautés locales se rebellent.

    A la suite du blocus de South Stream, a annoncé Poutine, la Russie est obligée de « réorienter ses fournitures de gaz ». Celles destinées à la Turquie vont augmenter, à travers le gazoduc Blue Stream. Et vont augmenter surtout celles vers la Chine. Gazprom lui fournira, d’ici 2018, 38 milliards de mètres cubes de gaz par an, c’est-à-dire environ un quart de celui qu’elle fournit aujourd’hui à l’Europe. Se servant aussi d’investissements chinois prévus pour 20 milliards de dollars, Moscou projette de potentialiser l’oléoduc entre la Sibérie orientale et le Pacifique, en l’accompagnant d’un gazoduc de 4000 Km pour approvisionner la Chine. Pékin est aussi intéressé pour des investissements en Crimée, notamment pour la production et l’exportation de gaz naturel liquéfié.

    Les perdants sont les pays de l’Ue : la Bulgarie, par exemple, devra renoncer à des droits de transit de l’ordre de 500 millions de dollars annuels. En Italie, à peine annoncée l’arrêt du projet South Stream, l’action Saipem en bourse a subi, à la suite des ventes, une chute continue, descendant au niveau le plus bas des six dernières années. Avec le blocus de South Stream, Saipem perd, outre le contrat pour la construction de la première ligne du gazoduc sous-marin, un autre contrat pour les travaux de support de la seconde ligne, pour une valeur totale de 2,4 milliards d’euros, auxquels se seraient ajoutés d’autres contrats si le projet avait été poursuivi.

    On prévoit de lourdes répercussions sur l’emploi. A la suite de l’effacement du projet South Stream seront annulées ou re-dimensionnées les nouvelles embauches que Saipem prévoyait pour augmenter ses propres effectifs en Italie. On n’exclut pas non plus une coupe dans les effectifs actuels. L’effacement du projet South Stream assène donc un coup dur non seulement à Saipem mais à d’autres secteurs de l’industrie et des services, au moment critique où chute la production et, en conséquence, l’emploi. Il suffit de penser que le terminal de Tarvisio, prévu dans le projet originaire, aurait pu être le hub de distribution du gaz russe et donc source de fortes recettes et augmentation de l’embauche.

    Tout cela est à présent devenu vain. Tandis que tirent avantage de cet arrêt du South Stream les compagnies étasuniennes comme Chevron, engagées à remplacer le gaz russe fourni à l’UE.

    Il ne reste qu’à remercier « l’ami américain ».

    Manlio Dinucci 3/12/2014

    Sources :

    -Edition de mercredi 3 décembre de il manifesto sous le titre South Stream, USA e getta
    Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio
    -Avenir en face.blogspot.fr

    http://www.polemia.com/south-stream-bloque-la-claque-des-usa-a-leurope/

  • Ban Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda

    Avec plus d'un an et demi de retard, les Nations unies ont finalement évoqué les étroites relations qui existent entre les groupes terroristes actifs dans le sud syrien, plus particulièrement dans les provinces de Quneitra et Deraa, et «Israël».

    Dans son rapport trimestriel présenté au Conseil de sécurité, il y a quelques jours, le secrétaire général de l'Onu, le très docile pro-américain Ban Ki-moon, a révélé un secret de polichinelle, qu'ilBan Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda n'était plus en mesure de protéger tant il frôlait le scandale. Le rapport reconnait que les «Israéliens» entretiennent des rapports avec les «rebelles syriens» depuis plus de 18 mois, facilitant le traitement médical des combattants blessés. Le document souligne que l'entité sioniste a soigné plus de 1000 combattants syriens.

    Le texte présenté par Ban Ki-moon se base essentiellement sur les rapports fournis par les contingents de l'Undof, déployés sur le terrain dans le Golan occupé. Ces rapports font état d'une «coordination quotidienne entre Israël et les rebelles syriens, y compris les groupes islamistes affiliés à Al-Qaïda», grâce à des «canaux de communication ouverts en permanence».

    Les rapports des Casques bleus précisent que «soldats israéliens ont été observés permettant à des personnes de passer de la ligne ‘Bravo' -du côté syrien- à la ligne ‘Alpha' du côté israélien, ainsi que des discussions entre des membres de l'opposition armée et des militaires de Tsahal à travers la ligne de cessez-le à proximité de la position 85 des Nations unies».

    Le rapport trimestriel de l'Onu ne nous apprend rien de nouveau. Mais il a l'avantage d'inscrire dans la documentation officielle de l'organisation internationale ce que les analystes savaient depuis longtemps, et que nous avions évoqué à plusieurs reprises sur notre site.

    Coopération dans le renseignement

    En réalité, la coopération entre «Israël» et les groupes terroristes va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés, et qui ont déjà coûté au contribuable «israélien» plus de 14 millions de dollars, selon l'édition de dimanche dernier du quotidien Maariv.

    L'armée syrienne dispose de preuves irréfutables sur l'assistance militaire directe apportée parUne coopération qui va bien au-delà des soins médicaux apportés aux blessés les «Israéliens» aux groupes extrémistes lors de leur offensive de l'été dernier à Quneitra. Cette aide a permis aux terroristes de prendre, entre autres, les collines stratégiques appelées al-Touloul al-Homr, où l'armée syrienne disposait de matériel de guerre électronique sophistiqué lui permettant de surveiller les réseaux de télécommunication de l'armée «israélienne». Cette aide s'est manifestée par un bombardement à l'artillerie et des raids aériens contre des positions de l'armée syrienne, afin d'ouvrir la voie aux combattants extrémistes. «Israël» est même allé plus loin en abattant, à l'aide d'un missile Patriot, un chasseur syrien au-dessus du Golan, au plus fort de l'attaque terroriste.

    Des sources bien informées en Syrie et à Beyrouth font également état d'une coopération étroite entre les groupes terroristes d'un côté, le Mossad et les autres agences du renseignement «israélien», de l'autre, pour la collecte et le transfert d'informations au sujet des programmes d‘armement et de recherche en Syrie. C'est grâce à cette coopération que l'entité sioniste est parvenue à éliminer plusieurs savants syriens ces trois dernières années. L'opération la plus récente remonte au 10 novembre dernier, lorsque cinq ingénieurs travaillant dans l'énergie nucléaire au Centre de recherches scientifiques à la périphérie de Barzé, dans le nord de Damas, ont été tués dans l'attaque de leur bus par des terroristes.

    En juillet 2013, six fonctionnaires de ce même centre avaient trouvé la mort dans une attaque au mortier menée par les «rebelles». Le 24 août 2012, Nabil Zoughaib, considéré comme l'artisan du programme balistique syrien, a été assassiné par des inconnus. Un an plus tôt, Aws Abdel Karim Khalil, physicien nucléaire et professeur à l'Université al-Baas, à Homs, avait subi le même sort. Et la liste est longue.

    «Israël» viole la résolution 2178

    «Israël» se trouve donc en porte-à-faux avec la fameuse «légalité internationale». En effet, le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté, le 24 septembre dernier, à l'unanimité de ses 15 membres, la résolution 2178, imposant des sanctions contre Daech et le Front el-Nosra.

    Dans cette résolution, les membres du Conseil se disent très préoccupés par le fait qu'une partie du territoire d'Irak et de Syrie est «sous le contrôle de l'Etat islamique et du Front el-Nosra» et que leur présence, leur idéologie extrémiste violente et leurs agissements sont préjudiciables à la stabilité de ces deux pays et de la région.

    Le Conseil de sécurité se déclare disposé à inscrire sur la liste de sanctions les individus, groupes, entreprises ou entités qui apportent leur appui à l'un ou à l'autre de ces deux groupes terroristes.

    Le Conseil prie instamment tous les Etats de coopérer aux efforts faits pour trouver et traduire en justice les individus, groupes, entreprises et entités associés à Al-Qaïda, y compris l'EI et le Front el-Nosra, «qui perpètrent, organisent et commanditent des actes terroristes.»

    Le Conseil de sécurité demande aussi à tous les Etats membres de prendre des mesures nationales pour endiguer le flux de combattants terroristes étrangers qui rejoignent les rangs de l'EI et du Front el-Nosra.

    Le Conseil de sécurité rappelle également, qu'en vertu d'une précédente résolution adoptée cette année, tous les Etats doivent prévenir et réprimer le financement des actes de terrorisme et doivent veiller à ce qu'aucuns fonds, autres avoirs financiers ou ressources économiques ne soient mis directement ou indirectement à la disposition de ces deux groupes extrémistes.

    On voit bien qu'en apportant un soutien au Front al-Nosra et en coopérant avec lui -de l'aveu même de Ban Ki-moon-, «Israël» est en train de violer la plupart des dispositions de la résolution 2178. Y aura-t-il quelqu'un qui osera lui demander des comptes ?

    Samer R. Zoughaib

    Al-Ahednews :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuElFEVkAVFmJieEKs.shtml

  • La guerre contre Poutine et le suicide européen

    Les États-Unis veulent leur guerre contre la Russie, c’est un fait certain. Ils veulent aussi la destruction de l’Europe, toute soumise qu’elle est. La destruction de la civilisation occidentale et de la race blanche satisfera cette « puissance mystérieuse » qui affolait déjà Poe ou Gustave Le Rouge, Duhamel ou bien Céline, et qui n’a jamais caché ses intentions matricides (expression du britannique Douglas Reed). Plus nous sommes inféodés à Washington, plus nous sommes méprisés et insultés par les agents américains en France et en Europe. Mais nous avons pris goût à leurs insultes.

    La Russie ne nous a rien fait, mais ce n’est pas grave. C’est le dernier pays à se réclamer de ses racines chrétiennes, cela suffit pour la détruire. La Russie a vaguement essayé de protéger ses populations menacées par un gouvernement de fous en Ukraine (-10 % de croissance cette année) qui a été mis en place par les agences américaines et leurs relais. La Russie n’a pas été adroite en Crimée mais surtout la Russie n’a pas été secondée par les idiots utiles qui étaient jadis à la solde de Moscou et de ses roubles malades. Ces temps-ci, les idiots utiles sont plutôt les relais de Washington et de ses sbires à qui nous devons les gâchis arabes, africains, asiatiques ! En attendant la guerre contre la Chine qui ne cesse de miner, dit Obama, le bien-aimé et surtout sourcilleux ordre mondial !

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  • Hervé Juvin : "La fin du XXe siècle, c'est la liquidation du monde pour fabriquer de la richesse"

  • Samedi 13 décembre à Oullins (Rhône), colloque sur le Traité transatlantique

    Samedi 13 décembre, à Oullins (Rhône), aura lieu un colloque débat consacré au Traité transatlantique. Intitulé “Le Traité transatlantique, une menace face au libre-échange”, Ce colloque se tiendra de 11 heures à 20 heures, salle du pôle social du Golf, 4 rue Salvador-Allende. Participation aux frais : 5 euros. Les débats seront animés par Karim Ouchikh, président du SIEL, Jean-Marc Chevillard, délégué régional Rhône-Alpes du SIEL, Muriel Coativy, secrétaire départementale adjointe du Rhône du Front national, et Yannick Jaffré, du collectif Racines.

    Seront présents à ce colloque : Bernard Monnot, député français FN/RBM au Parlement européen, et Gilles Lebreton, député français SIEL/RBM au Parlement européen.

    A noter que plusieurs auteurs seront présents lors de ce colloque pour y dédicacer leurs ouvrages. Vous pourrez notamment y rencontrer Yannick Jaffré, pour “Vladimir Bonaparte Poutine, Essai sur la naissance des Républiques”, aux Editions Perspectives Libres, Nikola Mirkovic, pour “Le martyr du Kosovo” chez Jean Picollec, et Kader Hamiche, éditeur, pour la réédition du livre du Bachaga Boualam, “Mon pays, la France”.

    Informations et réservations : 06 26 82 00 27 et oullinsbleumarine@orange.fr

    http://fr.novopress.info/179677/samedi-13-decembre-oullins-rhone-colloque-traite-transatlantique/

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