La députée FN Marion Maréchal-Le Pen a indiqué mardi qu'elle voterait pour une reconnaissance d'un État palestinien lors du scrutin organisé à l'Assemblée nationale le 28 novembre. Les députés doivent se prononcer le 28 novembre sur une proposition de résolution socialiste invitant le gouvernement français à reconnaître l'État palestinien. Sur BFM TV et RMC, l'élue du Vaucluse a relevé : "Au FN, nous sommes pour la reconnaissance d'un État palestinien parce que nous estimons que cette reconnaissance donnera des droits, mais aussi des devoirs et des moyens pour lutter notamment contre le terrorisme." "Donc, je pense que je voterai pour", a-t-elle ajouté, tout en relevant qu'il ne s'agissait que d'"une résolution symbolique".
géopolitique - Page 738
-
Marion Maréchal-Le Pen votera pour la reconnaissance d'un État palestinien
-
États-Unis : le premier danger pour le monde, avant l’islam
Jamais nous n’avons été aussi près d’une guerre nucléaire. Ce sont des « gôchistes » américains comme Noam Chomsky qui le déclarent. Loin d’être « gôchiste », mes observations, comme mes échanges avec des personnalités de haut rang russes et allemandes, me mènent à la même conclusion. Les analyses du journaliste américain de référence, Paul Craig Roberts, ne manquent pas d’aller dans ce sens. Ainsi que celles du très sérieux Deutsche Wirtschaft, qu’on ne saurait classer à « gôche ». J’entends déjà les procès en complotisme ! Non, depuis Bill Clinton, l’Amérique n’est plus une démocratie. Les administrations consécutives de ce grand pays sont devenues des entités d’assassins sans scrupules, qui s’affranchissent des lois internationales. La dernière menace est Obama, faux démocrate, qui dénonce les « comportements illégaux » du président Poutine qu’il a comparé à Ebola durant le G20 à Brisbane, et que Hillary Clinton traitait préalablement de « Hitler ». Déclarations provocatrices, que les Européens suivent comme des vassaux.
-
Petite leçon de géopolitique : le retour de l'Iran
Par Aymeric Chauprade, l'article intégral sur realpolitik.tv. Extrait :
"L’alignement français sur les positions américaines, nette depuis la réintégration française du commandement intégré de l’OTAN (mars 2009), a fait perdre à Paris toute marge de manœuvre pour jouer un rôle, pourtant taillé à sa mesure compte tenu de sa tradition diplomatique et de ses alliés régionaux. Apprentie sorcière en Libye (en février 2011), aveugle en Syrie (au point d’entraîner et d’armer les islamistes « modérés » et d’être à deux doigts d’envoyer des Rafale en août 2013 rééditer l’erreur libyenne), tournant le dos à l’Iran (en réclamant toujours plus de sanctions), elle a été prise de court par le revirement estival américain. Ce cocufiage de Paris par Washington ne serait que ridicule s’il n’emportait pas des conséquences tragiques sur le terrain et pour l’avenir.
Paris n’a ainsi plus une seule carte en mains : les routes de Moscou, de Téhéran et de Damas lui sont fermées et il n’est pas sûr que celles du palais saoudien d’Al Yamamah et de la Maison Blanche lui soient pour autant ouvertes. Délaissant sa tradition diplomatique, sourde aux réalités du terrain (l’armement de rebelles incontrôlables, le massacre des chrétiens, les effets terroristes sur son propre territoire), elle s’est fourvoyée dans cet Orient compliqué qu’elle connaissait pourtant si bien.
Pour jouer un rôle conforme à sa tradition et aux attentes de ses alliés régionaux, la France n’aura pas d’autre choix que de retrouver le chemin de Moscou, Téhéran et de Damas. Ce faisant, elle apportera un canal de discussions apprécié par les belligérants de la région et, même gageons-le, par la future Administration américaine. Participer à tout et n’être exclu de rien : tel est en effet le secret de la diplomatie."
-
Ukraine : Sur le front avec les milices russes
«Ce qu’on vient combattre ici, ce n’est pas la démocratie, mais l’anarchie : la cinquième colonne pro-occidentale qui veut saper notre mère patrie… » Oleg est sûr de sa cause. Il ne semble prêter aucune attention aux obus et missiles qui explosent de plus en plus près. Carrure de catcheur, fusil automatique sous le coude, il met un point d’honneur à marcher lentement vers la première ligne, à découvert sur un pont de bretelle d’autoroute défoncée, offrant sa haute silhouette aux snipers de l’armée ukrainienne sans même daigner courber la tête.
Son énorme chapka de mouton angora flotte au vent comme un panache blanc, alors que plusieurs de ses hommes progressent à ses côtés en tenue camouflage, s’abritant derrière les rambardes criblées d’éclats pour ajuster leurs tirs.
Originaire d’Ossétie du Sud, une province russe au fin fond du Caucase, Oleg combat dans l’est de l’Ukraine depuis le mois d’avril. Et si le Kremlin évite d’admettre que l’armée régulière épaule les rebelles séparatistes du Donbass, il ne fait pas mystère du rôle crucial qu’y jouent ses « volontaires » venus de Russie.
« On est plus d’un millier par ici », explique ce chef d’entreprise de 35 ans, qui commande une section d’une centaine d’hommes au sein du bataillon Vostok (ou « bataillon de l’Est »), une force de plus de 3 000 combattants considérée comme la plus forte unité de l’insurrection contre le gouvernement pro-européen de Kiev.
Un commandant (assis), surnommé “Serb”, 23 ans, et sa section Roussich devant leur QG à Lougansk, dimanche 16 novembre. Ils disent avoir pris leurs armes à l’ennemi.
Les hommes d’Oleg sont presque tous des citoyens russes arrivés, comme lui, des régions caucasiennes pour rejoindre sa « section Youg » (ou « section Sud »). Ils ont traversé la frontière en plein jour sans qu’aucun douanier ne les questionne, et assurent en chœur ne recevoir aucun salaire pour se battre. « Pour nous, Vladimir Vladimirovitch est comme un père. Il a réinstauré la foi et l’honneur des citoyens russes. On est prêts à sacrifier notre vie pour lui », affirme Oleg.
Il n’est pas homme à parler en l’air. Il est borgne : pour avoir répondu à l’appel de Poutine pendant la guerre d’Ossétie du Sud, en 2008, il a été atteint à l’œil droit par un éclat de balle. Un conflit qui rappelle étrangement celui auquel il participe aujourd’hui.
-
Poutine : le De Gaulle russe ?
La thèse que je soutiens ici est que Vladimir Poutine défend une vision gaullienne de l’Europe et du monde, ainsi que de la souveraineté de la Russie. Il se heurte logiquement à l’hégémonie de Washington et des pays anglo-saxons et, comme en son temps le Général de Gaulle, il est présenté comme un danger et un ennemi. Pourtant, c’est notre meilleur allié.
La diabolisation de Poutine
Le journaliste du Figaro Pierre Rousselet, dans un article intitulé « Le monde sans règles de Vladimir Poutine » (30/10/2014) nous explique, au terme d’une démonstration fumeuse, que Poutine « joue avec une habileté redoutable de sa capacité de nuisance dans un monde où les règles ont de moins en moins d’emprise ». Il veut dire par là que le Kremlin viole le droit international à la suite de la crise ukrainienne. Il se moque du monde et, peut-être sans le savoir, il utilise la méthode de la propagande stalinienne de l’inversion de la réalité. Cette méthode est celle, paradoxalement, de Washington et d’une Union européenne aux ordres. Le monde de Poutine n’est pas ”sans règles”, au contraire, il est ”avec des règles”. Le monde sans règles est celui de la politique étrangère US depuis le bombardement de la Serbie par l’Otan et l’affaire du Kossovo.
Poutine est présenté comme le ”nouveau Tsar”, c’est-à-dire un autocrate non élu, alors qu’il a été régulièrement élu à la présidence avec une majorité plus importante que ses homologues occidentaux. La gauche socialo-trotskiste avait accusé en son temps le général de Gaulle d’être un ”fasciste” – en particulier en Mai 68. La même mouvance idéologique rabâche les mêmes éructations contre Poutine. Et ceux qui diabolisent Poutine et la Russie – notamment tous les milieux atlantistes et ”démocrates” – se satisfont parfaitement de bonnes ententes et d’alliances avec divers régimes tyranniques à travers le monde.
La colère anti russe des Anglo-Saxons
Exclu du G8, Poutine a été très mal accueilli au sommet du G20 de Brisbane en Australie les 15 et 16 novembre. Il a interrompu son séjour avant la fin de la réunion, ce qui est parfaitement normal pour un chef d’État qui est maltraité par ses pairs. Or les médias, renversant les torts, ont expliqué que Poutine « narguait » les Occidentaux et faisait de la « provocation ». Plus incroyable, le premier ministre australien Tony Abbott (lui aussi à la botte de Washington) a reproché, à l’ouverture de la réunion, à la Russie de « vouloir restaurer la gloire perdue du tsarisme ou de l’Union soviétique ». Et alors ? Ce propos est proprement scandaleux : la Russie serait donc illégitime à vouloir redevenir une grande puissance ! Sous-entendu : seuls les USA ont vocation à être une grande puissance et la Russie doit se contenter d’être une puissance régionale soumise à la ”pax” americana. Poutine subit de la part des Anglo-Saxons la même attitude d’hostilité que le Général de Gaulle, en beaucoup plus violent du fait de la taille de la Russie. [....]
La suite sur J’ai tout compris
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Poutine-le-De-Gaulle-russe
-
Jean-Luc Schaffhauser : Au cœur du conflit ukrainien
-
"Si nous ne combattons pas Daech là-bas, ils viendront chez nous"
De retour d’Irak, Bruno Retailleau, sénateur UMP, président du conseil général de Vendée, déclare à Ouest-France :
"Il faut éradiquer Daech, l’empêcher de nuire.Cet islamo-fascisme est le troisième totalitarisme du XXIe siècle.Soyons impitoyables. Pas de nouveau Munich ! Si nous ne combattons pas Daech là-bas, ils viendront chez nous, soyons en sûr. Les jours derniers, ils ont subi de sérieux revers militaires. Les frappes militaires semblent porter leur fruit…"
Dans le dernier numéro du bimensuel L'Homme Nouveau, le professeur Olivier Hanne a soumis la question d’une éventuelle intervention militaire en Irak et en Syrie à la méthode utilisée par saint Thomas d’Aquin dans la Somme théologiqueou dans les Questions disputées.
-
Chroniques du mondialisme : Pierre Hillard sur TV Libertés
-
L'artillerie "impalpable" des djihadistes
Une très bonne analyse de Gabrielle Cluzel sur le problème de la conversion des otages à la foi de leurs ravisseurs musulmans. Quelques extraits :
[...] "Peter Kassig, donc, s’était converti à l’islam durant sa captivité. Selon le New York Times, « certains comme M. Foley (alias « Abu Hamza ») ont cherché du réconfort dans la foi de leurs ravisseurs, embrassant l’islam et prenant des noms musulmans ». Le journal ajoute même que « la majorité des prisonniers occidentaux s’étaient convertis durant leur captivité. Seuls quelques otages sont restés fidèles à leur religion d’origine, dont Steven Sotloff, un juif pratiquant » (exécuté également). « Il avait gardé le secret face aux djihadistes, prétendant se sentir mal pour expliquer son jeûne de Yom Kippour. »
Mais la conversion n’a pas réussi à amadouer les bourreaux, pas plus que la supplique, tête voilée, de la mère de Peter Kassig, qui dit aujourd’hui que « le Bien prévaudra, comme Dieu, aux noms divers, prévaudra », tandis que son époux, Ed Kassig, demande aux Américains et à tous ceux qui ont connu « Abdul Rahman » de prier au coucher du soleil pour lui, et organise un service réunissant chrétiens et musulmans à sa mémoire.[...]
L’Occident peut bombarder les positions stratégiques djihadistes mais n’est pas équipé pour lutter contre leur artillerie impalpable. Steven Sotloff était « pratiquant », il a résisté. Pas les autres, qui n’avaient aucune foi chevillée au corps.
Si prompt à dénoncer vigoureusement dans ses livres scolaires ses missionnaires au prosélytisme par trop autoritaire ou ses propres« conversions forcées » – durant la Reconquista, par exemple –,l’Occident semble admettre comme bien réelle, indiscutable, admissible, respectable, celle qui s’opère chez des otages pour le moins psychologiquement « fragiles ».[...]
Comme si, sur le plan spirituel, les islamistes possédaient l’arme nucléaire quand l’Occident s’était débarrassé de la sienne depuis longtemps. Que peut faire celui-ci avec sa religion ultra light en voie de disparition face à la vague de conversions, qu’elle s’opère du côté des victimes ou des bourreaux ? Les athées sont toujours – les experts le rapportent – les premières cibles."
CQFD.
-
Le plan secret de Poutine pour détruire l'OTAN
Le Stratège Poutine à la manette
Les 11 et 12 septembre derniers s’est tenue la réunion d’une organisation dont la plupart des américains n’ont jamais entendu parler. La couverture des médias grands public était à peu près inexistante.
La réunion s’est tenue à Dushanbe, la capitale du Tadjikistan, un pays que peu d’occidentaux sauraient situer correctement sur une carte. Mais vous pouvez parier votre dernier rouble que Vladimir Poutine sait exactement où se trouve ce pays. Car le groupe qui s’est réuni là-bas est le bébé du président russe. Il s’agit de l’organisation de coopération de Shanghai, constituée de six états membres : la Russie, la Chine, le Kazakhstan, le Kyrgyzstan, le Tadjikistan, et l’Ouzbekistan.
L’organisation de coopération de Shanghai (OCS), a été fondée en 2001 pour donner une réponse collective à l’extrémisme et assurer la sécurité des frontières. Mais son véritable but est plus large. Poutine la voit dans un contexte plus vaste comme un contrepoids à l’OTAN (une position que l’OCS ne nie du reste pas). Sa ligne de conduite officielle est de promouvoir le non-alignement, la non confrontation, et la non interférence avec les politiques des autres pays mais ses membres conduisent des exercices militaires conjoints.
Pourquoi devons-nous porter attention à cette réunion au milieu de nulle part ? Parce qu’évidemment, tout ce qu’entreprennent de manière conjointe la Chine et la Russie justifie notre attention. Et il y a beaucoup à dire à ce sujet.
Depuis la création de l’OCS, la Russie a avancé précautionneusement, afin que le groupe ne devienne pas un cheval de Troie pour l’expansion de la Chine dans ce qu’elle considère comme son espace stratégique, l’Asie Centrale. Dans le même temps, Poutine a noué de nouvelles alliances partout dans le monde aussi vite qu’il a pu. S’il veut contrecarrer l’hégémonie globale US, il aura besoin d’autant d’alliances que possible.
De nombreux observateurs ont prédit que la réunion de Dushanbe serait historique. Ils s’attendaient à ce que l’organisation s’ouvre à de nouveaux membres. Cependant, cette réunion a été focalisée sur la situation en Ukraine. Les membres de l’organisation ont soutenu les positions russes et apporté leur soutien à la poursuite des pourparlers dans le pays. Ils ont salué les accords de Minsk et l’initiative du président russe en faveur de la paix.
Cependant, l’idée d’inclure de nouveaux membres est passée à la trappe. De nombreux pays cherchent à rejoindre l’organisation depuis des années. Maintenant, avec la présidence tournante de l’organisation passée à Moscou, et la tenue du prochain sommet en juillet 2015 à Ufa en Russie, les conditions seront favorables à une expansion de l’organisation l’été prochain, a déclaré Poutine.
A cette fin, les participants au sommet de Dushanbe ont signé un document commun qui aborde les questions suivantes : « un mémorandum sur les obligations des états candidats pour obtenir le statut d’état membre de l’OCS », et «sur la procédure d’octroi du statut d’état membre de l’OCS. »
Ceci est extrêmement important aussi bien pour la Russie que pour les occidentaux car les nations désireuses de rejoindre l’OCS sont des acteurs géopolitiques majeurs : l’Inde et le Pakistan. Et un autre acteur majeur attend également de rejoindre l’organisation : l’Iran.
En expliquant le report de l’admission de ces pays, l’assistant du président Poutine, Yuri Ushakov, a fait une déclaration très franche. Il a dit aux médias russes que cette expansion était prématurée à ce moment là, à cause des difficultés potentielles liées à l’acrimonie entre la Chine et l’Inde, et l’Inde et le Pakistan, mais également aux sanctions occidentales contre l’Iran. Ces sources de conflits auraient pu affaiblir l’alliance, ce que la Russie veux éviter.
Amener à la même table des pays antagonistes requerra de délicates manoeuvres diplomatiques, mais il s’agit d’un exercice dans lequel Poutine excelle (qui d’autre a réussi à maintenir d’excellentes relations à la fois avec l’Iran et Israël ?).
Comme toujours, Poutine n’a pas une réflexion à court terme.
Les priorités de la présidence russe sont les suivantes : renforcer le rôle de l’OCS pour la sécurité régionale, porter des projets économiques multilatéraux majeurs, améliorer les liens culturels et humanitaires entre les nations membres, et dessiner une approche globale aux problèmes mondiaux. Il prépare également le développement stratégique de l’OCS pour la période 2015-2025, et pense que ces objectifs devraient être finalisés pour le prochain sommet.
Nous devrions prêter attention à ce qui se déroule au sein de l’OCS. L’Inde et le Pakistan vont rejoindre l’organisation, et l’Iran suivra peu après, ce sera un tournant majeur du jeu géopolitique.
Poutine est en train de prendre le leadership d’une alliance internationale qui comptera quatre des dix états les plus peuplés au monde, le population combinée des pays membres comptera près de 40 % de la population mondiale avec presque 3 milliards de personnes. Elle englobera les deux économies mondiales les plus dynamiques. Avec l’Iran, ses membres contrôleront près de la moitié des réserves de gaz naturel. Le développement des réseaux de gazoducs et de pipelines d’Asie vont doper les pays de la région sur le plan économique et vont les rapprocher plus étroitement.
Si Poutine suit cette voie, l’OCS ne deviendra pas seulement une rivale de l’OTAN, mais pourra façonner une nouvelle structure financière qui entrera directement en compétition avec le FMI et la Banque Mondiale. La nouvelle banque de développement des BRICS, lancée l’été dernier au Brésil, était une première étape dans cette direction. Et cela conduira a détrôner le dollar comme monnaie de réserve internationale avec des conséquences catastrophiques pour l’économie US.
Comme je l’ai dit dans The Colder War, je pense qu’il s’agit du but ultime de Poutine : mener un assaut contre le dollar qui ramène les états-unis au rang d’une nation ordinaire… et dans le même processus, élever la Russie le plus haut possible.
Ce qui s’est passé au Tadjikistan cette année et ce qui se passera à Ufa l’été prochain, voilà des événements réellement capitaux.
Source initiale : http://zejournal.mobi