IRIB- Selon Al Arabiya, les soldats israéliens se sont accrochés avec les combattants des brigades de Qods sur les frontières avec Gaza. Depuis vendredi, un tournant vient de se produire dans la guerre d’autodéfense que mène la Palestine contre le régime sioniste. Après avoir riposté les raids intensifs sionistes contre Gaza à coup de missiles et de roquettes, les Palestiniens ont eu recours pour la première fois aux missiles « kornet » contre un char et un véhicule blindé israéliens , attaques qui ont fait deux morts côté des soldats israliens . la Résistance palestinienne a évoqué là un tournant qui marque le début des combats terrestres des palestiniens contre le régime sioniste. les combattants du Jihad se montrent en effet d’une redoutable efficacité : selon des informations, les combattants des brigades de Qods se sont accrochés ce samedi matin avec les militaires sionistes qui voulaient s’infiltrer dans la localité de Al Chojaiya, pour y implanter des appareils d’écoute. les palestiniens ont fait exploser plusieurs bombes artisanales et tendu des salves de tirs contre les soldats sionistes dont plusieurs ont été blessés. dans le m^me temps, des unités de soutien ont tiré des roquettes 107 et 60 mm contre les sionistes .
géopolitique - Page 735
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Combats corps-à-corps entre Israël/Brigades de Qods!!
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Comment le FBI fabrique les terroristes…
Une étude de 175 pages réalisée par le projet Salam passe au crible le cas de 399 personnes ayant figuré dans les fichiers du ministère de la justice des États-Unis entre 2001 et 2010. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les méthodes pour identifier et poursuivre les présumés terroristes s’en trouvent fortement critiquées.
La plupart des arrestations qui s’en sont suivies sont survenues dans le cadre de la soi-disant guerre contre le terrorisme lancée après le 11 Septembre. Selon le rapport intitulé « Inventing terrorists : the lawfare of preemptive persecution », nombre de citoyens étasuniens de confession musulmane ont été injustement ciblés. Ce document est le premier document du genre à aborder de manière aussi nette la question des « accusations préventives ».
Ses auteurs donnent une définition de ce tout nouveau concept juridique et l’inscrivent dans la stratégie de mise en œuvre des lois postérieures aux attentats pour identifier et poursuivre des personnes ou des organisations dont les idées, les croyances ou les affiliations religieuses soulèvent des préoccupations pour le gouvernement en matière de sécurité. Seuls 25 % des cas (99 personnes sur 399) portent sur des allégations de soutien matériel au terrorisme. 30 % d’entre eux font l’objet d’accusations de complot. Un peu plus de 17 % (71 personnes sur 399) ont été impliqués dans des opérations d’infiltration du territoire. Enfin, 16% concernent de fausses déclarations ou des allégations de parjure, alors que les délits liés aux lois migratoires n’impliquent que 6 % des cas.
Toujours selon ce même rapport, onze cas à peine peuvent être réellement définis comme une menace potentiellement importante pour les États-Unis. Et les menaces n’étaient réellement fondées que dans trois cas seulement : pour les frères Tsarnaïev et Nidal Malik Hasan.
L’une des stratégies du FBI est d’utiliser des agents provocateurs pour inciter les supposés terroristes à franchir le Rubicon. « Le gouvernement a ciblé les personnes exprimant de idées non-conformes et leur a fait parvenir, par le biais d’agents fédéraux utilisés à dessein, de faux missiles, des armes, des fusils d’assaut et de l’argent ». Ce n’est pas tout. « Les agents ont également adressé à ces personnes des encouragements, se liant même parfois d’amitié avec elles. Ils les aidaient dans la planification technique et stratégique pour savoir si elles pouvaient être manipulées et commettre des actions violentes ou criminelles », indique le rapport.
Le gouvernement étasunien pouvait également mettre en avant des « délits techniques mineurs », comme des erreurs administratives sur des documents relatifs à l’émigration, de présumées fausses déclarations à un agent public ou de simples problèmes liés au fisc pour poursuivre quelqu’un qui aurait eu le malheur de déplaire. « Le but évidemment est de faire croire au commun des mortels qu’il vit sous la menace constante d’attentats terroristes. Les États-Unis sont très impliqués dans la surveillance de tout un chacun, et cette surveillance leur est précieuse », explique Steven Downs, un avocat membre du projet Salam qui a publié le rapport. « La justification légale de ces actions découle de l’existence de la guerre contre le terrorisme. Rien n’aurait été possible sans cette dernière. C’est pourquoi ils (les agents fédéraux, NDLR) doivent continuer à arrêter des personnes et les incarcérer pour invoquer la menace du risque terroriste et donner une justification au maintien des mesures d’exception ».
Au moment où le quart de la population totale des prisonniers à l’échelle du globe se trouve aux États-Unis, rien d’étonnant à ce que certains observateurs internationaux respectés définissent l’État qui se considère comme un exemple de liberté et de démocratie comme une « dictature démocratique ».
L’économiste canadien Michel Chossudovsky énonce quant à lui une évidence douloureuse quand il écrit qu’aux États-Unis s’accentue la tendance à « un État totalitaire militaire en costume civil ». Autrement dit, l’Oncle Sam ne veut la démocratie qu’à l’unique condition qu’il puisse la contrôler. La démocratie étasunienne, c’est un système où vous êtes libre de faire tout ce que vous voulez tant que vous faites ce qu’on vous dit.
Capitaine Martin.
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Que compte faire l'Etat Islamique du matériel radioactif volé ?
C'est la question que l'on se pose après avoir appris que les jihadistes de l'EI ont investi le site d'Al Muthanna, qui avait servi sous Saddam Hussein à fabriquer des armes chimiques dans un premier temps, puis à détruire ces mêmes armes par la suite.
Les autorités irakiennes ne savent pas ce que les jihadistes ont fait avec le matériel provenant de l'ancien programme d'armement chimique stocké dans deux bunkers, et qu'ils comptaient détruire. Les Irakiens ont annoncé qu'ils n'étaient plus en mesure de poursuivre le programme de destruction de ces armes chimiques tant qu'ils n'auraient pas repris le contrôle du site.
Plus grave: les jihadistes se seraient emparés de matériel nucléaire stocké à des fins de recherche à l'université de Mossoul. Les Irakiens pensent que ce matériel pourrait servir à la fabrication d'armes de destruction massive, mais ce n'est pas l'avis de Washington, qui pense que le matériau radioactif n'est pas de qualité militaire. En revanche, si ce matériel ne peut être utilisé pour fabriquer une bombe nucléaire, il pourrait servir autrement :
" [...] si ces matériaux radioactifs ne peuvent pas être utilisés pour concevoir une arme nucléaire, ils sont susceptibles de servir à la fabrication d’une bombe radiologique (ou « bombe sale »), beaucoup plus facile, qui plus est, à mettre au point dans la mesure où il suffit de faire exploser un mélange radioactif pour contaminer un secteur déterminé. L’effet n’est pas spectaculaire (ce que recherchent les terroristes) mais il peut être très meutrier.
Ainsi, à Goiania, au Brésil, en 1987, seulement 20 grammes de césium trouvés dans un appareil de radiologie volé avaient suffi pour contaminer 112.000 personnes en l’espace de quelques heures (7 en mourront). En 2002, à Chicago, José Padilla (alias Abdullah al-Mujahir) fut arrêté alors qu’il comptait faire exploser une bombe radiologique pour le compte d’al-Qaïda. [...]"
Plutôt inquiétant ...
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Un ancien d'Al-Qaïda dénonce la collaboration entre l'EIIL, la CIA et Baghdadi
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Gaza la guerre pour le gaz ?
La plupart d’entre nous l’ignore, c’était aussi mon cas jusqu’à aujourd’hui, la Palestine, et plus précisément Gaza, sont ont d’immenses réserves de gaz et peut être même de pétrole. Mais l’élection de Sharon en 2001 a été un revers pour l’autorité palestinienne. Sharon avait annoncé qu’islaël n’acheterait jamais du gaz venant de Palestine, préférant se servir lui même. L’une des excuses des Israéliens pour ne pas laisser les Palestiniens profiter de leur manne pétrolière est que le Hamas pourrait lui aussi en profiter.
J’ai trouvé plusieurs articles en Anglais sur sujet. Les détails datent ne sont plus si importants. Le fait est que le premier ministre israélien, dont les services ont cyniquement tu le fait qu’ils savaient que les 3 jeunes Israéliens étaient morts afin de justifier des actions contre l’autorité palestinienne et Gaza, a tout intérêt à continuer son acharnement contre la population de Gaza. D’un côté ça lui permet de maintenir sa coalition avec le parti de Lieberman dont les membres veullent une solution finale au «problème» palestinien, et d’un autre côté mettre la main sur la manne pétrolière de la côte de Gaza.
Dans le même registre, d’après un article du «Business Insider» du 22/02/2013, Israël octroie une licence exclusive pour l’extraction de pétrole et de gaz dans le Golan, province syrienne sous occupation sioniste, à une compagnie proche dans la quelle Dick Cheney serait impliqué.
Références:
War and Natural Gas: The Israeli Invasion and Gaza’s Offshore Gas Fields
IDF’s Gaza Assault is to Control Palestinian Gas, Avert Israeli Energy CrisisIsrael Grants First Golan Heights Oil Drilling License To Dick Cheney-Linked Company
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Entretien avec Pierre Hillard
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Les Etats-Unis sont-ils de nouveau menacés de sécession ?
Divisions religieuses, inégalités sociales: de lourdes menaces sur l’unité nationale américaine se profilent à l’horizon.
Il est venu et reparti le week-end du 4 juillet, fête de l’Indépendance américaine, synonyme de barbecues, de feux d’artifices illégaux et de manifestations de nationalisme gratuites. Cette année j’envisageais de me faire tatouer des pygargues à tête blanche [aigle emblème des Etats-Unis NdT] sur les biceps. Pour moi, la fête de l’Indépendance est aussi l’occasion de réfléchir sur notre identité en tant que nation et sur la direction que prend notre pays. Je dois avouer que je suis inquiet.
La semaine dernière, pendant la Coupe du Monde, les Etats-Unis ont été éliminés après leur défaite face à la Belgique. Ceci dit, il n’est pas totalement déraisonnable d’imaginer que la Belgique n’existera plus lorsque viendra le temps de la prochaine Coupe, étant donné le fossé d’amertume qui sépare les Flamands et les francophones. N’allez pas croire que je m’en réjouis…Eh oui, bravo la Belgique. T’as gagné. Il ne te reste plus qu’à bien profiter des oubliettes de l’histoire pendant que ton pays se laisse déchirer par un ressentiment ethno-politique profondément enraciné. Les Etats-Unis, cette immense république continentale à l’incroyable diversité, à la population lourdement armée et notoirement irascible dépassant plus de 28 foiscelle de la Belgique, sera sûrement encore là, elle, en 2018, et nous n’aurons alors aucun mal à écraser les équipes de foot de Flandres, de Wallonie et du Grand-Duché de Bruxelles, quel que soit le hasardeux assortiment d’Etats qui émergera de ton naufrage.
Raclée infligée à la Belgique mise à part, nous autres Américains ferions mieux de ne pas nous endormir sur nos lauriers. Certes, l’Amérique est grande, impressionnante et belle. Mais nous aussi avons nos divisions, que nous ne pouvons nous permettre d’ignorer.
Cela ne veut pas dire que le pays soit sur le point d’éclater. Si les Etats-Unis le restent, il y a de bonnes raisons. Depuis notre sanglante guerre du même nom, l’idée même de sécession a perdu tout crédit.
Sud profond et Ecotopia
Ces dernières années, nous avons assisté à bon nombre de sécessions pacifiques, telle celle du «divorce de velours» entre la République tchèque et la Slovaquie. Si, pour une raison quelconque, l’électorat d’Hawaii ou d’Alaska manifestait la volonté de quitter l’Union, il est loin d’être évident que les Etats-Unis choisiraient de faire usage de leur puissance militaire pour les en empêcher. Par conséquent, je doute que ce soit la peur du chaos et de la violence qui assure notre unité.
Contrairement à la Belgique, il n’y a pas aux Etats-Unis de divisions linguistiques reproduites relativement nettement par des divisions géographiques, ce qui contribue à étouffer les sentiments sécessionnistes. Pourtant il ne fait pas l’ombre d’un doute que les différences de sensibilités culturelles entre, disons, le Sud profond et le Nord-Ouest de la côte pacifique sont bien plus importantes que celles qui existent entre l’Ontario et les Etats américains voisins des Grands Lacs.
Quelques doux rêveurs se sont ainsi demandés si nous avions partagé l’Amérique du Nord de la bonne manière, des écologistes rêvant d’un «Ecotopia» à l’ouest de la chaîne des Cascades aux nationalistes blancs imaginant un ethno-Etat aryen dans le nord de l’Idaho et le Montana.
George Kennan, célèbre penseur spécialiste de politique étrangère et fanatique protéiforme, fantasmait à la fin de sa vie sur une fragmentation des Etats-Unis dans le style de celle de l’Union Soviétique.
Serait-il possible que l’Amérique se divise en fonction de frontières religieuses, avec les chrétiens dévots d’un côté et le reste d’entre nous de l’autre? Pensez à ce mème, cette carte d’une Amérique du Nord divisée entre le «Jesusland» d’une part, c’est-à-dire les Etats qui ont soutenu l’élection de George W. Bush en 2004, et «the United States of Canada» qui seraient constitués du Canada et de ceux qui ont soutenu John Kerry d’autre part, carte qui réjouissait les progressistes furieux de la réélection de Bush.
En tout cas, certains croyants fervents craignent qu’à mesure que croissent les rangs de ceux qui n’ont pas d’affiliation religieuse et que les Américains laïques insistent pour imposer leurs valeurs aux autres, les fidèles finissent par faire l’objet de persécutions. En 2000, le père John McCloskey, catholique conservateur à la réputation controversée, a écrit un article polémique sur la manière dont l’Amérique pourrait éclater. Il y dépeint un nouveau pays baigné dans la religion, appelé les Regional States of North America, y faisant sécession dans le sillage d’un «conflit court et relativement peu sanglant» contre ses oppresseurs laïques.
Heureusement, en général c’est le bon sens qui prévaut.
Politique d’immigration mal conçue
Mais d’autres menaces à l’unité nationale américaine se profilent à l’horizon. Mon sentiment, certes fort peu scientifique, est que nous traversons une période dans laquelle le sens de la solidarité, ou la cohésion de groupe des Américains, est en train de décliner. Les progressistes ont tendance à considérer ce déclin de solidarité comme un symptôme des inégalités de revenus et de patrimoine. Les conservateurs l’imputent au fait que de plus en plus, l’identité ethnique l’emporterait sur l’identité nationale, ou à un tournant vers le relativisme moral. Pour ma part je le considère comme le produit d’un isolement économique et social de vastes pans de notre population.
Un des problèmes tient à notre politique d’immigration mal conçue, qui empêche les immigrants qui vivent et travaillent aux Etats-Unis de trouver leur place dans la société américaine. Lorsque nous débattons des politiques d’immigration, nous avons tendance à nous concentrer sur l’impact économique qu’elle aura sur les travailleurs américains de souche.
Ce que nous oublions, c’est que 13% des gens qui vivent aux Etats-Unis sont nés à l’étranger, et que la population active du pays est constituée à 16,3% d’immigrants. Ces derniers font déjà partie de notre société, et leurs intérêts devraient être pris en compte.
Si certains de ces immigrés sont le genre de jeunes loups qui ont fondé les start-ups de la Silicon Valley et les hedge funds, une bien plus vaste majorité sont des gens aux talents modestes qui luttent pour trouver leur place dans une économie changeante.
Le taux de pauvreté chez les immigrants naturalisés—c’est-à-dire ceux qui sont devenus citoyens américains—est plus bas que celui des Américains de souche. La pauvreté parmi les immigrants clandestins, en revanche, est un crève-cœur tant elle est élevée, à la fois parce qu’il est difficile de gagner sa vie lorsqu’on vit dans l’ombre, mais aussi parce que les immigrants clandestins sont généralement les moins qualifiés.
Si nous légalisons la situation des immigrants clandestins et si nous acceptons le principe qu’il ressort de notre responsabilité de protéger les intérêts des immigrés qui vivent et travaillent actuellement aux Etats-Unis, augmenter l’immigration future est bien la dernière chose à faire, car elle ne ferait qu’intensifier la concurrence sur le marché du travail pour ces travailleurs-là.
En outre, cela aura tendance à retarder le processus d’assimilation, car les immigrants seront moins susceptibles de s’installer dans des quartiers intégrés et de former des liens avec des Américains à l’origine différente de la leur.
Et puis il y a cette intense concentration de la pauvreté, qui m’empêche de dormir la nuit. Si 14,9% de la population américaine vivait sous le seuil de pauvreté en 2010, un quart de tous les Américains pauvres habitaient dans des quartiers dont le seuil de pauvreté dépassait 20%. Ces «zones de pauvreté» sont, en règle générale, hors de portée des opportunités d’emploi et des établissements d’enseignement de haute qualité, et leurs habitants connaissent un nombre disproportionné de crimes violents et d’incarcérations.
Conséquence, la légitimité des institutions américaines —le système de justice criminelle en particulier, mais pas uniquement— n’est pas franchement assurée dans ces parties du pays car elles semblent être de parti pris contre ceux qui y habitent. Aucun risque que les quartiers pauvres d’Amérique ne fassent sécession. Le vrai problème est que nous, ceux qui n’en font pas partie, avons culturellement et spirituellement fait sécession de ces quartiers.
Alors puisque nous venons de célébrer notre nation, saisissons l’occasion de nous souvenir des coins oubliés de notre pays, là où la promesse de l’American way of life reste encore à réaliser.
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Syrie : entretien avec un combattant islamiste français
Maxime, Français de 22 ans est parti faire le djihad en Syrie aux cotés de l’Etat Islamique. Lorsqu’il parle de partir en opération il est difficile de ne pas penser aux milliers d’irakiens massacrés par cette bande de barbus.
Sans doute que ce jeune con approuve l’exécution de ces gamins syriens par ses « frères » :
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Le summum de la désinformation sioniste.
Afin d’obtenir le soutien de la population américaine pour les crimes que l’armée israélienne commet avec son argent, les merdias US sont prêt à tout et surtout à faire passer les Israéliens pour les éternelles victimes.
Afin de montrer à quel point les Israéliens souffraient des attaques du Hamas, le chaine ABC a montré une familles dite israélienne désemparée à côté de la maison qu’elle venait de perdre à cause d’un missile. Mais en réalité aucune famille israélienne, contrairement à des centaines de familles palestiniennes, n’a perdu sa maison. La chaines ABC, appliquant le principe au plus gros le mensonge au plus ça passe, a donc filmé une famille Palestinienne et raconté à son public qu’il s’agissait d’une famille israélienne.
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Les martyrs ont un nom.
Ils s’appelait Fakher Al Ajouri, était agé de 22 ans. Il était commerçant et livrait les magasins avec son tricycle à cargo. Un drone Israélien l’a pris pour cible sans raison. Comme la très grande majorité des victimes des raids israéliens, il n’avait rien avoir avec le Hamas.
Fakher était aussi le cousin de Mohammed Moussa, l’un de nos contactes sur Gaza. Toute nos pensées vont vers Mohammed et sa famille.
J’ai eu l’occasion de lui parler depuis la mort de Fakher. Il était bien sûr bouleversé. Ce qui est terrible, c’est qu’en plus des crimes dont ils sont les victimes, les Palestiniens ont l’impression que tout le monde est indifférent à leur sort. C’est aussi pour leur montrer que ce n’est pas le cas que j’écris cet article. Faites le passer, c’est la moindre des choses que nous puissions faire alors que les alliés de «notre» gouvernement, dont le premiers ministre est éternellement attaché à Israël, tuent les membres de leurs familles ainsi que leurs amis.
Elle s’appelait Maryam Al-Misry et elle avait 9 ans. Elle était la joie de sa famille. Après 3 fausses couches, elle était l’enfant tant désiré. Elle a été assassinée par l’armée israélienne.
La nouvelle maison de la famille Al-Haj a été prise pour cible par un missile israélien, faisant 7 morts. La photos est ce qu’il reste de l’une des petites victimes.
Les familles Al-Misry et Al-Haj étaient proches de Marwan, l’un de nos contactes sur place, qui lui aussi à perdu un membre de sa famille lors d’une attaque israélienne, il y a quelques jours.