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immigration - Page 1190

  • À Cachan, les SDF n’ont pas accès aux douches

    Les faits se sont déroulés le lundi de Pâques dernier dans un parking appartenant à la municipalité de Cachan, dans le Val-de-Marne. En cause, l’autorisation donnée par un agent municipal à un SDF bien connu de la ville de prendre une douche dans les locaux du personnel, précisément situés dans ledit parking. « J’ai dit oui car je suis un humaniste », se défend l’agent convoqué par sa hiérarchie. Laquelle a dû réfléchir à la décision à prendre à son encontre.

    En effet, l’humaniste a fait preuve d’une « conduite inappropriée ». Inapproprié d’accéder à la demande d’un malheureux sans domicile fixe qui tenait à se présenter dans les meilleures conditions à un entretien d’embauche, le lendemain ? Faire preuve de gentillesse, de compréhension, rendre service à son prochain, c’est grave, donc. « Un parking n’est pas un lieu où l’on traite les problématiques sociales des personnes », explique, pourtant, la municipalité le plus sérieusement du monde. Parler de « problématique sociale » quand il s’agit avant tout d’une urgence pratique, c’est typiquement socialiste, ça !

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  • Tribalat, la démographe rebelle

    Spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat est en froid avec son milieu professionnel. En cause, la propension de cette chercheuse à préférer les faits à l'idéologie.

    Ces Yeux grands fermés  appartiennent-ils à ceux qui ne peuvent pas voir ou à ceux qui ne veulent pas voir ?

    Insuffisance de l'appareil statistique français

    Michèle Tribalat a donné ce titre énigmatique à son livre (1) par allusion au film de Stanley KubrickEyes Wide Shut (1999), dont l'intitulé l'avait marquée. Dans cette fiction, à partir d'un fantasme amoureux, les personnages naviguent entre rêve et réalité. Cet écart entre le réel et l'illusoire, Tribalat le vit à propos de son objet d'étude : l'immigration en France. Les uns déplorent qu'il y ait beaucoup d'immigrés, d'autres s'en réjouissent, mais tous réagissent subjectivement. Or, Michèle Tribalat, incriminant « l'insuffisance de l'appareil statistique français pour étudier l'immigration et les populations d'origine étrangère », voudrait que cet enjeu de société soit discuté à partir de faits vérifiés et quantifiés, et non d'impressions. Cela fait plus de trente ans qu'elle se penche sur la question.

    Dans les années 70, après des études d'économétrie, elle s'oriente vers la démographie. En 1976, elle est recrutée par l'Institut national d'études démographiques (Ined), dont le conseil scientifique veut pousser la recherche sur les flux migratoires : ce sera son domaine d'activité. « Pendant longtemps, se souvient-elle, j'ai travaillé loin de tout écho médiatique. » A la fin des années 80, ayant pris la tête d'une enquête sur les comportements des immigrés et de leurs descendants, elle met en place un outil prenant en compte l'« appartenance ethnique », définie à partir de la langue maternelle, et l'« origine ethnique », fondée sur le lieu de naissance des individus et de leurs parents. Cette référence aux origines, contraire à la pratique des organismes officiels français, ne va pas sans opposition pour obtenir les renseignements nécessaires, mais la publication des résultats, en 1995, ne rencontre pas de difficultés.

    « La démographie française est en passe de devenir un moyen d'expression du racisme »

    Le coup de tonnerre arrive trois ans plus tard, quand Hervé Le Bras, un chercheur attaché à l'Ined, lance la charge. « La démographie française est en passe de devenir un moyen d'expression du racisme », clame-t-il dans Le Démon des origines. Dans cet essai, Le Bras accuse les méthodes de Michèle Tribalat de conduire à la notion de « Français de souche » et, partant, à la « xénophobie ». L'affaire se traitera en justice et amènera l'intéressée à se justifier : une partie de l'opinion regardant comme étrangers des gens qui sont français, le critère de la nationalité ne suffit pas, en science sociale, pour élaborer des remèdes aux réflexes discriminatoires. En somme, comme aux Etats-Unis ou dans de nombreux pays européens, les données ethniques devraient jouer un rôle dans la conception d'une politique d'accueil des migrants. A la même époque, Michèle Tribalat publie, avec Pierre-André Taguieff, un livre destiné à contrer le Front national. Mais rien n'y fait, elle est désormais suspecte aux yeux des bien-pensants. Aujourd'hui, dénonçant « l'antiracisme idéologique (qui) structure l'expression savante et ordinaire sur l'immigration », elle ironise : « Travailler sur l'immigration, c'est partir en mission contre ceux qui pensent mal, mais aussi, pour faire bonne mesure, contre ceux qui doutent. » Nommée au Haut Conseil à l'intégration, elle en démissionne en 2000, reprochant à cette instance de faire le jeu des islamistes. En 2002, avec Jeanne-Hélène Kaltenbach, elle fait paraître La République et l'islam, où l'action des fondamentalistes musulmans est mise en cause. « Pourrions-nous publier un tel livre maintenant ?, s'interroge-t-elle. Nous avons tellement perdu de liberté d'expression sur le sujet. Quand on pense que le livre de Christopher Caldwell (2) ne trouve pas d'éditeur en France... » 

    Placardisée hors unité et sans budget

    Directrice de recherche à l'Ined, Tribalat travaille chez elle, hors unité et sans budget. Autrement dit, elle est placardisée. « Mes articles ne sont même pas cités par les publications de la maison », déplore-t-elle. Avant d'ajouter, comme pour conjurer la tristesse : « Mais je vis très bien comme cela. Après la décennie que je viens de traverser, je suis de fer. » Les Yeux grands fermés n'a rien d'un pamphlet. L'auteur donne les vrais chiffres de l'immigration, soulignant une « très forte croissance après 1996», et considère les effets économiques et démographiques du phénomène. Ce sont des pages nourries de chiffres, un peu arides. La lecture coule mieux quand Tribalat explique comment les droits de l'homme se mettent au service d'une vision du monde où tout devrait s'ordonner aux courants migratoires, jugés inéluctables et bénéfiques par principe. Ou encore quand la démographe analyse le climat idéologique dans lequel s'élaborent les discours sur l'immigration à partir des sondages sur le racisme commandés par la Commission nationale consultative des droits de l'homme. Mais Michèle Tribalat se veut une scientifique : il est difficile de lui tirer un commentaire qui échappe à sa spécialité. Elle n'a pas aimé le débat sur l'identité nationale, pour une raison de forme, parce qu'elle croit que ce genre d'initiative ne doit pas relever de l'Etat. Quant au fond, le concept d'identité ne la choque pas. Elle consent d'ailleurs à observer que le multiculturalisme a conduit à répudier le concept d'assimilation, alors que l'assimilation, précisément, « fait partie de l'identité nationale française ».

    Paru aux Etats-Unis en juillet 2009, l'ouvrage du journaliste Christopher Caldwell, Reflections on the Revolution in Europe : Immigration, Islam, and the West (2) est consacré à la progression de l'islam en Europe et à ses conséquences sur la cohésion politique et culturelle du continent. L'auteur, rédacteur en chef du Weekly Standard et chroniqueur au Financial Times, est un libéral.

    Spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat est en froid avec son milieu professionnel. En cause, la propension de cette chercheuse à préférer les faits à l'idéologie. Tribalat, la démographe rebelle.

    Jean Sevillia

    Le Figaro Magazine, 26/03/2010

    Notes de la rédaction :

    (1) Michèle Tribalat, LesYeux grands-fermés (l'immigration en France), Editeur : Denoël, Collection Médiations, mars 2010, 300 p.

    (2) Un livre qui devrait faire scandale

    Réflexions sur la Révolution en Europe : Immigration, Islam et l'Ouest

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2804

  • 10.000 personnes manifestent à Dresde avec Pegida contre l’immigration – Pas un mot dans les médias français…

    Lundi, le mouvement Pegida manifestait à nouveau à Dresde. Plus de 10.000 personnes avaient répondu à l’appel.
     Devant l’opéra de Dresde, la foule a écouté les discours dénonçant l’invasion migratoire, ainsi que la complicité des politiciens et des journalistes.

    Bien entendu, pas un mot dans les médias français. Pas plus que pour les gigantesques manifestations contre l’immigration en Pologne.

    L’information officielle doit uniquement vous apitoyer sur le sort de malheureux « réfugiés » et vous faire perdre toute envie de résister à ce torrent migratoire.

    http://www.medias-presse.info/10-000-personnes-manifestent-a-dresde-avec-pegida-contre-limmigration-pas-un-mot-dans-les-medias-francais/39884

  • Des centaines d'immigrants se convertissent au christianisme en Allemagne

    Lu ici, cette oeuvre du pasteur cité dans mon précédent post : 

    "Le pasteur Gottfried Martens de l'église de la Sainte Trinité à Berlin a vu sa paroisse évangélique luthérienne sous le feu des projecteurs. Il s'apprête à célébrer une cinquantaine de baptêmes pour le seul mois de novembre, et a déjà fait entrer dans le giron de l'Église près de 600 musulmans depuis 2008. Il les accueille dans sa paroisse, et leur donne des cours de catéchisme «Je veux les baptiser, mais je dois tous les connaître personnellement pour être sûr que leur conversion est vraiment sincère», témoigne-t-il sur France 2. «Je suis loin de donner un certificat de baptême à tout le monde», se défend le pasteur. A Hanovre, un autre pasteur, le père Oboski revendique 2000 baptêmes depuis 2008. Une autre petite paroisse de Berlin affirme avoir converti 120 nouveaux paroissiens en trois ans.

    Parmi eux, des Afghans, quelques Syriens, mais surtout une majorité d'Iraniens. Il existe en effet une proximité théologique plus importante entre chiisme et christianisme, qui facilite les conversions.

    «Ma mère est musulmane mais moi, j'ai décidé de me convertir. En Grèce et en Italie, j'ai eu le temps de voir ce qu'est le christianisme. C'est la meilleure religion que je connaisse.» témoigne, Asma, une Afghane de 17 ans, dans La Croix.

    «J'ai vu de mauvaises choses dans ma religion, l'islam. Il y a le groupe État islamique, dans mon pays il y a une dictature islamique mais en arrivant dans cette église, j'ai vu les bonnes choses qu'il y a dans le christianisme» explique ainsi un réfugié iranien.

    Lahire

  • La vraie guerre que l'Etat Islamique entend porter sur notre sol n'a pas encore commencé

    Ancien responsable du Pôle judiciaire antiterroriste, le juge Marc Trévidic, vice-Président du tribunal de grande instance de Lille, livre une analyse inquiétantede la situation. Nos responsables politiques n'en sortent pas grandis :

    "La menace est à un niveau maximal, jamais atteint jusqu'alors. D'abord, nous sommes devenus pour l'Etat islamique [EI] l'ennemi numéro un. La France est la cible principale d'une armée de terroristes aux moyens illimités. Ensuite, il est clair que nous sommes particulièrement vulnérables du fait de notre position géographique, de la facilité d'entrer sur notre territoire pour tous les djihadistes d'origine européenne, ­Français ou non, et du fait de la volonté clairement et sans cesse exprimée par les hommes de l'EI de nous frapper. Et puis, il faut le dire : devant l'ampleur de la menace et la diversité des formes qu'elle peut prendre, notre dispositif de lutte antiterroriste est devenu perméable, faillible, et n'a plus l'efficacité qu'il avait auparavant.

    Enfin, j'ai acquis la conviction que les hommes de Daech ont l'ambition et les moyens de nous atteindre beaucoup plus durement en organisant des actions d'ampleur, incomparables à celles menées jusqu'ici. Je le dis en tant que technicien : les jours les plus sombres sont devant nous. La vraie guerre que l'EI entend porter sur notre sol n'a pas encore commencé.Nous avons en face de nous un groupe ­terroriste plus puissant que jamais. Bien plus puissant qu'Al-Qaïda à sa grande époque (...)

    La France est, de fait, confrontée à une double menaceCelle du déferlement de ce que j'appelle les “scuds” humains du djihad individuel, ces hommes qui passent à l'action sans grande formation ni préparation, agissant seuls, avec plus ou moins de réussite, comme on a pu le voir ces derniers temps. Et celle, sans commune mesure, que je redoute : des actions d'envergure que prépare sans aucun doute l'EI, comme celles menées par Al-Qaïda, qui se sont soldées parfois par des carnages effroyables (...) Les hommes de Daech ont les moyens, l'argent et la faculté d'acquérir facilement autant d'armes qu'ils veulent et d'organiser des attaques de masse. Le terrorisme est une surenchère ; il faut toujours aller plus loin, frapper plus fort (...) Ils sont en train de penser à quelque chose de bien plus large, visant en tout premier lieu l'Hexagone (...)

    Les Américains sont plus difficiles à atteindre. La France, elle, est facile à toucher. Il y a la proximité géographique, il y a des relais partout en Europe, il y a la facilité opérationnelle de renvoyer de Syrie en France des volontaires aguerris, des Européens, membres de ­l'organisation, qui peuvent revenir légalement dans l'espace Schengen­ et s'y fondre avant de passer à l'action (...)"

    Nous ne sommes plus en mesure de prévenir les attentats comme par le passé. On ne peut plus les empêcher. Il y a là quelque chose d'inéluctable. Bien sûr, on arrête des gens, on démantèle des cellules, on a de la chance aussi, comme on a pu le voir avec certaines affaires récentes, mais la chance ou le fait que les terroristes se plantent dans leur mode opérationnel, ou encore que des citoyens fassent preuve de grande bravoure, ça ne peut pas durer éternellement. Quant aux moyens affectés à la lutte antiterroriste, ils sont clairement devenus très insuffisants, et je pèse mes mots. On frise l'indigence à l'heure où la menace n'a jamais été aussi forte (...)

    Les politiques prennent des postures martiales, mais ils n'ont pas de vision à long terme. Nous, les juges, les policiers de la DGSI, les hommes de terrain, nous sommes complètement débordés. Nous risquons d'“aller dans le mur”."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un scientifique interdit l’utilisation de son logiciel aux pays qui accueillent les clandestins


    Treefinder
    Afin de protester contre l’immigration-invasion, le développeur du logiciel Treefinder, Gangolf Jobb, vient d’annoncer sur son site officiel que la licence d’utilisation était révoquée dans huit pays européens : Allemagne, Autriche, France, Pays-Bas, Belgique, Grande-Bretagne, Suède, et Danemark.

    Totalement inconnu du grand public, le logiciel Treefinder est un logiciel très réputé dans la communauté scientifique. Il « calcule des arbres phylogénétiques à partir de séquences moléculaires« , c’est-à-dire qu’il facilite la recherche de liens de parentés entre des espèces.

    « Je ne veux plus soutenir avec mon travail le système politique en Europe et en Allemagne, dont le système scientifique fait partie« , explique le chercheur. « En particulier, je suis en désaccord avec la politique d’immigration » qui « me fait du tort, fait du tort à ma famille, fait du tort à mon peuple« .

    « Quiconque invite ou accueille des immigrants en Europe et en Allemagne est mon ennemi« , écrit le scientifique qui assure n’avoir rien contre l’aide apportée aux réfugiés. A condition qu’ils soient « strictement séparés de nous les Européens » (sic) et qu’ils soient renvoyés chez eux après une période indéterminée. Il affirme que l’accueil des migrants ne profite qu’au capitalisme, qu’il aboutira à une « guerre civile », « sans parler de la perte de notre patrimoine génétique européen« .

     

    Déjà en février 2015, Gangolf Jobb avait révoqué la licence pour les Etats-Unis, pour protester contre « l’impérialisme américain ». « C’est fait conformément à l’accord de licence dont il est fait état dans le manuel de Treefinder depuis les toutes premières versions, qui me réserve le droit de changer l’accord de licence à tout moment« , assure-t-il. « Je peux le faire parce que Treefinder est ma propriété« .

    Voilà une belle leçon de militantisme.

    Source

    http://www.contre-info.com/un-scientifique-interdit-utilisation-de-son-logiciel-aux-pays-qui-accueillent-les-clandestins#more-39426

  • Budget 2016: baisse de 225 millions d'euros des APL pour financer les HLM et les réfugiés

    Le ministère du Logement va devoir économiser 225 millions d'euros sur les aides personnalisées au logement (APL), selon le projet de budget pour 2016 dévoilé mercredi.

    Ces mesures d'économies compenseront des dépenses supplémentaires prévues l'an prochain: 150 millions d'euros d'"aides à la pierre" (subventions aux bailleurs sociaux pour la construction de HLM) en plus, et 120 millions pour renforcer les capacités d'accueil des réfugiés, selon l'entourage de la ministre du Logement Sylvia Pinel.

    Les APL, très connues et octroyées sous conditions de ressources, sont aussi le principal poste de dépenses du ministère du Logement pour un montant de 15,5 milliards d'euros. Selon le projet de budget, elles seront rabotées de 225 millions en 2016 et de 314 millions en 2017 par trois mesures d'économies cible.

    Le patrimoine des bénéficiaires entrera dans le calcul du revenu fiscal de référence, et un loyer plafond sera fixé, à un niveau "très élevé", à partir duquel l'APL sera dégressive. Enfin les salariés de moins de 25 ans ne bénéficieront plus d'une dérogation qui leur était favorable: leur revenu annuel réel sera désormais pris en compte et non plus leur première fiche de paie.

    Environ 500.000 ménages, sur les 6,5 millions de bénéficiaires des APL, seraient concernés.

    source : Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_mondialisme/EuuFVAlZZFNFyzNayu.shtml

  • Immigrants : les musulmans soumettent et menacent les chrétiens dans les centres d'accueil allemands

    Lu ici : 

    Les chrétiens qui fuient la guerre dans leurs pays doivent aussi craindre pour leur vie dans des centres d'accueil en Allemagne. Ils sont insultés, maltraités, agressés et menacés de mort par des musulmans radicaux. Le journal réputé Die Welt a compilé certains témoignages dans son édition du week-end "Welt am Sonntag".

    Said est un chrétien qui a fui l'Iran après l'arrestation de son frère dans une église. Il a traversé la Turquie à pied. Il n'aurait jamais pensé connaître de tels soucis en Allemagne. 

    "Je pensais que je pouvais vivre librement ma religion ici. Mais si je dis que je suis un chrétien dans un centre d'accueil, je suis menacé de mort."

    Said occupe une place au beau milieu des sunnites syriens dans un  centre d'accueil à Brandenburg (près de Berlin).

    "Durant le ramadan, ils me réveillaient à l'aube pour m'obliger à manger et à boire avant le lever du soleil. Si je refusais, on me traitait de mécréant, d'infidèle. On me crachait dessus et on me traitait comme un animal. Ils menaçaient de me tuer."  

    Le pasteur Gottfried Berlin Martens, qui s'occupe du sort des chrétiens venus de Syrie, d'Irak et d'Afghanistan, confirme ces problèmes dans les centres d'accueil. 

    "Les musulmans radicaux font la loi", précise-t-il. "Ils martèlent : là où nous sommes, c'est d'abord la sharia. Les chrétiens n'osent même plus préparer leurs repas dans les cuisines communes. Celui qui ne prie pas cinq fois par jour en direction de La Mecque est maltraité. Les croix portées autour du cou sont interdites. Les chrétiens se demandent quand ces musulmans radicaux vont quitter les centres d'accueil. Les chrétiens devront-ils se cacher à l'avenir ?"

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html