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immigration - Page 1226

  • La France est en danger d'islamisation

    Aymeric Chauprade ne pourra pas se rendre à l'université d'été de Renaissance catholique :

    "Chers amis,

    Je devais être parmi vous ces jours d'Université d'été de Renaissance catholique au Carrousel de Baronville, mais un voyage lointain m'a éloigné une fois de plus de notre belle terre de France !

    Je veux vous dire combien je soutiens votre combat, qui est le mien depuis toujours, le combat pour une France qui renoue avec ce qu'elle est, la fille aînée de l'Église, une grande nation de civilisation catholique et romaine, une nation libre et fière, rebelle face aux impérialismes d'où qu'ils viennent !

    Je le crois, je l'ai dit, je l'ai écrit, la France est en danger d'islamisation. Ce danger est la conséquence directe d'au moins trois facteurs qui se combinent :

    • premièrement l'immigration massive extra-européenne ;
    • deuxièmement l'effondrement démographique du peuple français qui ne fait pas assez d'enfants et tue en partie ceux qu'il fait ;
    • troisièmement de la déchristianisation de la société française, et dans cette déchristianisation, j'inclus la maladie de la repentance et de l'angélisme qui touche nombre de chrétiens eux-mêmes.

    De ces trois points tragiques résulte à la fois le remplacement des Français de souche par des Français de papier venus de cultures étrangères, et un remplacement culturel, du christianisme par l'islam, encouragé par les serviteurs d'un laïcisme anti-chrétien depuis sa fondation.

    Chers amis, je ne me suis pas engagé en politique pour la soupe et des galons de courtisan. Je me suis engagé pour que vive notre civilisation, pour que vive notre France, pour que nos enfants puissent continuer à être élevés dans l'amour du Christ et de la Vierge Marie, dans l'amour de leur patrie charnelle, dans le respect des faibles et des Anciens, dans le respect de la Terre et des Morts.

    La France attend que ceux qui la dirigent aient enfin le courage de la ramener vers ce qu'elle est, vers sa civilisation chrétienne et européenne. La France attend qu'ils aient le courage de la débarrasser du socialisme et de la culture de mort. La France attend le redressement, pas seulement matériel, mais aussi moral et spirituel. Telle est la ligne droite dont je ne dévierai pas, quoiqu'il advienne. Je suis faillible, je peux commettre des erreurs, mais aucun de mes engagements, aucune de mes paroles, aucun de mes textes, ne s'est écarté d'un objectif constant : rendre à la France sa civilisation, et par là-même, arracher les Français à l'aliénation de l'atome-consommateur dont rêve le mondialisme pour les rendre à la famille et à la nation.

    Je souhaite plein succès à Renaissance catholique et à son Université d'été. Mon cœur et mon esprit sont avec vous."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Forsane Alizza : neuf ans de prison pour Mohammed Achamlane

    Neuf ans de prison, dont deux de sûreté et cinq ans de déchéance des droits civiques. Mohammed Achamlane, « émir » du groupuscule Forsane Alizza, a été reconnu coupable de préparer des attentats terroristes.

    Le tribunal correctionnel de Paris a suivi les réquisitions du parquet. Mohammed Achamlane, 39 ans, écope de neuf ans de prison, dont deux de sûreté et cinq ans de déchéance des droits civiques. Treize de ses complices de Forsane Alizza, reconnus coupables d’association de malfaiteurs en vue d’une entreprise terroriste, se voient condamnés, suivant leur implication, à des peines allant d’un an de prison avec sursis à six ans de prison ferme.

    Celui qui se présentait comme le tenant d’un « islam décomplexé », se présentant comme « l’émir d’un groupe qui est considéré comme islamiste », mais qui voulait simplement « canaliser l’énergie » de jeunes musulmans pouvant être tentés par la violence en luttant contre l’islamophobie n’a donc pas convaincu le jury. Mohammed Achamlane a plaidé l’amateurisme et la provocation pour dédouaner son groupuscule islamiste, ne réussissant qu’à agacer le tribunal par ses pitreries et ses interventions intempestives.

    Le procureur a décrit lors du délibéré que Forsane Alizza était « un groupuscule organisé pour la mise en place d’actions », qui a choisi « de cacher la vérité ». A charge, plusieurs documents compromettants, dont un fichier nommé « cibles » et contenant une liste de magasins juifs et Hypercachers de la région parisienne. Forsane Alizza s’était aussi procuré les coordonnées d’un certain nombre de personnalités, notamment dans la mouvance identitaire. Parmi ses cibles, Pierre Sautarel, animateur du site Fdesouche et Fabrice Robert, dirigeant du Bloc Identitaire, qui était d’ailleurs partie civile au procès.

    http://fr.novopress.info/

  • Les douanes complices des passeurs : elles lancent un patrouilleur spécial clandestins !

    Devant l’afflux de clandestins en Méditerranée, les douanes lancent un patrouilleur capable d’en recueillir encore plus ! les passeurs se frottent les mains !

    L’enfer est pavé de bonnes intentions. Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), quelque 1.770 clandestins sont morts ou ont disparu en Méditerranée depuis le début de l’année. Alors que le seul moyen d’arrêter ce drame humanitaire serait de rendre vain l’effort de traversée en reconduisant systématiquement les clandestins sur la rive sud de la Méditerranée, à l’instar du « No Way » australien, nos gouvernements font exactement l’inverse.

    En témoigne le lancement en grande pompe du « Jean-François-Deniau », un patrouilleur des douanes de 50 m de long et 10 m de large, conçu spécifiquement pour être en mesure de recueillir à bord des personnes en détresse indiquent les douanes. Avec « un espace protégé dédié à l’accueil de naufragés », d’une capacité d’une quarantaine de personnes, plus une plate-forme extérieure capable également d’accueillir des réfugiés.

    Le navire sera déployé dans le cadre de l’opération Frontex dans la zone sensible entre l’Italie et la Libye, bref, il va assurer le transport des clandestins à bon port. Ceux-ci pourront-ils choisir auprès de leur passeur quel navire sera chargé de les secourir, comme ils l’ont déjà fait, dédaignant les gardes-côte maltais ? Y aura-t-il un supplément pour être pris en charge par le « Jean-François-Deniau » ?

    http://fr.novopress.info/

  • Chouchoutons nos djihadistes ! (Présent 8393)

    « Réinsertion au cas par cas », « suivi individualisé »… Remis mercredi au Premier ministre par son auteur, le rapport sur la « déradicalisation » rédigé par le député socialiste des Hauts-de-Seine Sébastien Pietrasanta est l’exemple-type d’une réponse totalement inadaptée et particulièrement coûteuse au « djihadisme français »

    Des « nounous » pour les égorgeurs ! 
    8393-P1
    Commandé par Valls au lendemain des attentats de janvier, ce rapport de 90 pages intitulé La déradicalisation, outil de lutte contre le terrorisme était censé apporter une réponse percutante au problème des djihadistes français. Mais, comme l’on pouvait s’y attendre, la trentaine de propositions formulées par Pietrasanta montrent que le gouvernement socialiste n’a pas pleinement réalisé que notre pays était en guerre.
    L’idée même d’une possible réinsertion de ces individus fanatisés au point d’avoir perdu toute notion de la valeur de la vie humaine, ayant pratiqué la décapitation à tour de bras et prêts à se faire exploser à la première occasion, montrait à quel point nos élus sont à côté de la plaque. Mais avec Pietrasanta, l’affaire tourne à la farce.
    Partant en effet du principe que les djihadistes français présentent des profils divers et que « la question religieuse est en réalité peu présente dans la radicalisation », le député socialiste préconise alors des réponses « au cas par cas » et un « suivi individualisé » des personnes concernées.

    Concrètement, Pietrasanta propose de « mettre en place un système de mentor à la danoise pour l’accompagnement des radicalisés ». Certains étant traités en milieu ouvert par des équipes de psys, éducateurs et autres assistantes sociales. D’autres dans un centre de déradicalisation tourné vers la réinsertion, avec une réponse pluridisciplinaire pour répondre à des parcours de vie où les individus sont « en rupture avec leur famille, la société, et (…) en quête de reconnaissance ». Les plus dangereux, enfin, allant en prison, dans de nouveaux quartiers dédiés où serait proposé « un programme de déradicalisation spécifique pour chaque détenu », supposant une meilleure formation du personnel pénitentiaire et des aumôniers musulmans.

    Il faut surtout empêcher leur retour

    Enfin, le rapporteur de la loi antiterroriste précise qu’« un contre-discours (…) doit être porté par des associations ou des acteurs publics reconnus et sur lequel la jeunesse peut s’identifier ». Un « contre-discours » totalement improbable dans un pays qui se refuse obstinément à désigner l’ennemi et ne cesse de crier à l’amalgame…
    Bref, des propositions qui, non contentes d’être totalement irréalistes, seraient aussi, si elles étaient mises en œuvre, très coûteuses pour les Français qui ne souhaitent pas voir revenir chez eux des gens qui n’ont rien à y faire. Lutter contre ces ennemis de notre pays, c’est en effet d’abord les déchoir de leur nationalité française, leur interdire de poser le pied sur le sol national, et par conséquent rétablir nos frontières.

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/

  • L'opinion, l'Europe et les menaces du terrorisme

    Si j'en crois le Figaro en date de ce 8 juillet, dans la"Crise grecque : les Français font davantage confiance à Merkel qu'à Hollande."Certains pourraient y voir une avancée imprévue de l'idée européenne. Les jacobins et autres révolutionnaires qui criaient "à mort l'Autrichienne" doivent se retourner dans leurs tombes.

    Mme Merkel dès sa rencontre "au sommet" avec Hollande n'a pas manqué de souligner l'urgence de résoudre d'autres questions que la gestion, par ses interlocuteurs exaspérés, du démagogue Tsipras, continuateur du lamentable Cléon plus que du glorieux Thémistocle.

    La famille des peuples européens, se trouve en effet confrontée à des défis et des dangers que n'avaient vraiment prévus ni le traité de Rome de 1957, ni le traité de Maastricht négocié en 1992, ni le pacte de stabilité, etc. Certaines illusions du "soft power" et du mondialisme se sont dissipées. Nous savons tous que certains rêves dont on nous berce depuis des décennies relèvent de l'illusion.

    Même l'idée de la sous-traitance chinoise pourrait se dissiper plus vite que prévue, avec la crise boursière de Shanghaï.

    Les migrations massives et dramatiques, l'islamisme conquérant, le terrorisme représentent des dangers encore plus redoutables.

    L'Europe, au sens vrai de ce mot, va-t-elle donc enfin, face à de tels périls, se découvrir pour autre chose qu'une zone monétaire approximative ? Autre chose qu'une structure de subventions ?

    Sans doute se révèle-t-il toujours difficile, quand on vit au rythme de la démocratie d'opinion, de penser collectivement les mutations du monde. Les dirigeants politiques, à cet égard, n'échappent pas, bien au contraire, aux idées moutonnières de leurs administrés. Les progrès vertigineux de l'inculture y contribuent, d'ailleurs, aussi bien dans les palais nationaux que dans les plus humbles chaumières.

    Ne perdons jamais de vue, d'abord, que le terrorisme auquel nos pays sont confrontés de nos jours est celui de l'islamo-terrorisme… ce qui veut dire qu'il cherche à se légitimer par une référence particulière et par une identité millénaire que ses maîtres lisent à leur façon.

    Les racines du terrorisme telles que nous entendons ce mot aujourd'hui, au-delà de la Terreur "légale" de la révolution jacobine et de ses guillotines, la Terreur des attentats aveugles prend racine dans le nihilisme principalement russe, ayant germé chez les nihilistes et dans le cerveau destructeur de Netchaïev.

    Bien que Marx lui-même ait écrit à son sujet que : "Toute l’histoire de Netchaïev n’est qu’un abominable mensonge. - Lénine, lui, a pris pour argent comptant la légende du personnage.

    Bien que l'Internationale ouvrière ait déclaré en 1871 qu'elle n'avait "rien de commun avec la soi-disant conspiration de Netchaïev, et que celui-ci a traîtreusement usurpé et exploité le nom de l’Internationale"… c'est bien la paranoïa conspiratrice qui a traversé l'histoire du communisme, du trotskisme comme du stalinisme et leurs épigones dans les services secrets.

    Cette conspiration a inspiré à Dostoïevski son fondamental testament politique "Les Possédés/Les Démons". Et c'est bien elle, en dépit des réserves du marxisme officiel, qui a servi de matrice à la naissance du bolchevisme comme appareil fanatique de révolutionnaires professionnels.

    Lénine, admirateur de Netchaïev, a maintes fois théorisé la terreur sous ses diverses formes. Par exemple dans son discours au XIe congrès de 1922, il n'hésite pas à proclamer qu'il répond ainsi aux mencheviks et aux socialistes-révolutionnaires end désaccord avec sa politique : "nous répondons : permettez-nous pour cela de vous coller au mur". Quelques jours auparavant il avait écrit à Kamenev : "c'est une très grande erreur de penser que la NEP a mis fin à la terreur. Nous allons encore recourir à la terreur et à la terreur économique".

    Le bolchevisme lui-même n'a cependant encore recours ni aux attentats aveugles ni au type de violence que nous appelons aujourd'hui "terroriste". Mais l'appareil communiste légitime la violence la plus extrême qu'il fera évoluer, plus tard, dans le contexte de la résistance après 1941 et de la guerre révolutionnaire.

    Or la pratique actuelle va se généraliser à partir de deux dates.

    La première est la conférence de La Havane de 1966. Celle — ci reprend le flambeau de "la lutte des peuples de l'orient" sous le nom de Tricontinentale. L'instrumentalisation de la question palestinienne, que ces appareils ne se proposent certes pas de résoudre, mais au contraire d'attiser, va remettre en selle la grande idée de la conférence de Bakou de 1920 : convergence du communisme international et des nationalismes musulmans. Les prétextes de ces derniers sont devenus les références communes avec le pacte de Badawi, mis en place sous l'égide du KGB en 1972.

    Nous les avons connus pendant la guerre d'Algérie, où les précurseurs de Daësh égorgeaient leurs victimes dans les conditions atroces que nous connaissons. Difficile, de ce point de vue, de faire confiance pour les combattre aux continuateurs des porteurs de valise. Oublier l'Histoire c'est se condamner à perdre toutes les guerres.

    http://www.insolent.fr/

  • Propos d'Eric Ciotti sur la répartition des clandestins sur le territoire : le parti de Nicolas Sarkozy pour l'accueil d'une immigration massive

    Communiqué de presse du Front National

    Suivant la ligne édictée par Jean-Pierre Raffarin, Eric Ciotti, porte-parole de l’UMP, propose de répartir les immigrés clandestins arrivés sur notre sol entre « l’ensemble des départements ».

    Cette politique du saupoudrage des migrants sur le territoire, en espérant ainsi estomper la visibilité du problème, est révélatrice du double discours des Républicains ex-UMP qui d’un côté usent de mots durs pour dénoncer faussement l’immigration massive, et de l’autre prônent, et mettent en œuvre quand ils sont au pouvoir, des politiques en tout point semblables à celle du Parti Socialiste.

    En l’espèce, comment ne pas voir dans cette proposition de monsieur Ciotti un écho à la « politique de peuplement » voulue par Manuel Valls ?

    Chaque fois qu’un problème surgit, que ce soit en matière migratoire ou autre, le premier réflexe de l’RPS est donc de cacher le problème par des subterfuges qui ne font en réalité que l’aggraver.

    Les immigrés clandestins n’ont pas à être disséminés sur l’ensemble du territoire, dans nos campagnes ou nos grandes banlieues, forme de gestion d’une immigration massive clairement voulue et organisée, mais reconduits dans leur pays d’origine.

    Une telle politique suppose bien entendu de retrouver des frontières nationales, et donc de dénoncer une bonne fois pour toute les accords de Schengen.

    http://www.frontnational.com/2015/07/propos-deric-ciotti-sur-la-repartition-des-clandestins-sur-le-territoire-le-parti-de-nicolas-sarkozy-pour-laccueil-dune-immigration-massive/

  • Marion Maréchal-Le Pen ne veut pas d’une région “black-blanc-beur”

    Tête de liste FN pour les régionales en PACA, Marion Maréchal-Le Pen a a lancé sa campagne au Pontet, le dimanche 5 juillet.

    Près de 2 500 personnes étaient présentes pour écouter un discours offensif de la tête de liste qui a notamment déclaré qu’elle ne voulait pas d’une région “black-blanc-beur” mais “bleu-blanc-rouge”.

    Faisant allusion au Grand remplacement en cours, Marion Maréchal-Le Pen a fustigé :

    le remplacement continu d’une population par une autre, qui apporte avec elle sa culture, ses valeurs et sa religion. Avec femmes qui se voilent, qui se cachent pour mieux nous cracher au visage.

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  • Pourquoi le chiffre de « 89 mosquées salafistes en France » est biaisé

    Le chiffre de 89 mosquées salafistes a été divulgué afin de rassurer la population, car sur 2400 mosquées (et 300 en chantier!) cela fait 3,7 %, une quantité ultra minoritaire. Mais à quoi se réfère cette typologie « salafiste » ? En réalité, ce chiffre ne correspond qu’à une sous famille salafiste, celle qui adhère à la vision de Ben Laden ou du « calife » Al-Baghdadi. Car il faut bien comprendre que le voie salifiya classique et majoritaire se réfère aux wahhabites dont les gardiens du temple sont les fameux savants et cheikhs (shouyouk) officiels de l’Arabie Saoudite : Al-Otheymine, Al Albani, Ibn Baz, Al-Fawzan, dont les héritiers actuels comme Haytham Sarhan enchainent les tournées dans les grandes mosquées françaises. Comme ils condamnent les méthodes d’Al-Qaida et de l’Etat Islamique, ils ne sont pas comptabilisés dans les mosquées « salafistes djihadistes/takfiristes ». Mais si leurs moyens pour arriver au pouvoir divergent, proposent-ils pour autant un islam moins modéré ? Pas du tout, les peines légales (hudûd) approuvées par ces pontes contemporains des universités de Médine ou de Riyad prescrivent de condamner à mort les musulmans coupables d’innovation dans leur religion (bida’) de tuer apostats (murtad), hérétiques (zindinq) homosexuels et d’expulser tout chrétien pratiquant de la Péninsule Arabe, entre autre.  Ce salafisme classique gangrène nombre de mosquées françaises, et même des grandes comme à Puteaux, Clamart, Pontoise, Mantes, Longwy, Chanteloup, Cannes, Roubaix, Massy, Le Mirail…
     

     

     
    Jusqu’à son expulsion en 2004 pour appels à la violence et liens avec l’islamo-terrorisme, le leader salafiste de la région lyonnaise Abdelkader Bouziane donnait des conférences à la Grande Mosquée de Lyon, qui n’est pourtant pas comptabilisée dans le chiffre des 89, correspondant à des petites salles de prières expurgé de toute « grande mosquée » afin de ne pas effrayer les français.
     
    Autre catégorie salafiste qui ne rentre pas dans le chiffre des 89 mosquées, le « salafisme réformiste » ainsi que les islamologues classent les Frères Musulmans, représentée ar l’UOIF. L’imâm Tareq Oubrou de l’UOIF affirmait dans une de ses conférences il y a encore quelques années:  « L’imam Al-Banna veut qu’on soit comme des salafistes car on interprète pas, car l’interprétation peut prêter à l’abus (…) tout homme qui réfute un verset formel du Coran, ou bien qui interprète un verset du Coran abusivement est considéré comme en dehors du cercle de l’islam » .L’idéologie des Frères Musulmans est aussi totalitaire que celle des wahhabites, même si ces deux groupes sont rivaux et se critiquent âprement. Il ne s’agit que de querelles intra islamistes portant sur le leadership de l’islam mondial. L’UOIF en France contrôle nombre de Grandes Mosquées telles que Caen, Poitiers, Mulhouse, Nîmes, Nice, Lille, Beauvais, Cergy etc.
     
    En quoi les cheikhs vénérés et invités par l’UOIF qui appellent à conquérir l’Europe et à tuer apostats, juifs et homosexuels, tout en soutenant les Frères d’Egypte qui ont attaqué des dizaines d’églises, seraient-ils à long terme moins dangereux ? Nous nous référons aux cheikhs Qaradawi, Suwaidan, Hijazi, entre autre.
     
    Donc pour résumer, si on ajoute aux mosquées salafistes/takfiristes préconisant le jihâd immédiat, les mosquées wahhabites s’abreuvant aux « savants » saoudiens, et les mosquées des Frères Musulmans, on atteint sans peine la moitié des mosquées en France.  En dépit de la difficulté à comptabiliser avec grande précision les petites salles de prières, qui, par hypothèse prudente, ont en moyenne les mêmes orientations que les grandes mosquées déjà acquises aux différents types de salafisme.
     
  • L’islam se fout de la vérité, de l’histoire et de l’identité des peuples

    Boutih propose non une réhabilitation, mais un révisionnisme visant à gommer l’indicible d’une histoire musulmane anxiogène pour l’esprit humaniste occidental.

    Dans l’article qu’il consacre, sur Boulevard Voltaire, au rapport présenté par Malek Boutih, Aristide Leucate juge fort pertinemment que l’ancien président de SOS Racisme, selon lequel « la réhabilitation de l’histoire musulmane » devrait permettre « aux jeunes musulmans de se sentir en phase avec les lois et modes de vie de notre pays », est un « idiot utile de l’islamisme ».

    Boutih propose non une réhabilitation, mais un révisionnisme visant à gommer l’indicible d’une histoire musulmane anxiogène pour l’esprit humaniste occidental. Car la question du contrôle de l’histoire est aujourd’hui essentielle pour l’avenir du Vieux Continent. George Orwell écrivit que « celui qui contrôle le passé contrôle le futur », et ce futur pourrait bien être islamique pour des Européens qui se laissent déposséder de l’orgueil que confère un glorieux passé.

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