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Immigration: vers le chaos social en France (Alain Soral)
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« Panique morale et misère de la pensée »
Le 1er septembre, la socialiste Sabrina Hout comparaissait devant le tribunal correctionnel de Marseille qui doit rendre se décision aujourd’hui. En aout 2014 alors adjointe (à la famille) de Samia Ghali, maire PS du 8e secteur de la capitale phocéenne, Mme Hout aurait refusé de procéder à l’union d’une paire homosexuelle. Traînée en justice par «Claude et Hélène», les deux femmes concernées, Sabrina Hout a démissionné de son mandat alors que trois témoins ont assuré au tribunal qu’elle avait mis en avant ses «convictions religieuses» (horresco referens), en l’espèce «musulmanes», pour ne pas célébrer ce «mariage» homosexuel. Le parquet avait requis trois mois d’emprisonnement et 1 500 euros d’amende contre cette élue reconnue coupable du crime des crimes, celui de discrimination…ce qui semble bien plus insupportable à certains, au vu de la peine encourue, que d’arracher son sac à une vieille dame. Hier toujours, la cour d’appel de Paris a confirmé cette fois le renvoi en correctionnelle pour injures publiques de la présidente du Syndicat (d’extrême gauche) de la magistrature (SM), Françoise Martres, dans l’affaire dite du «Mur des cons».En mars 2014, le FN avait obtenu que Madame Martres, soit mise en examen pour l’infraction d’injure à l’égard du Front National. Sur ce fameux mur certaines personnalités apparaissaient affublées de la flamme du Front National et une affichette ainsi libellée: «amuse-toi à coller une petite flamme sur le front des cons fascistes.»
Beaucoup plus ignoble encore, figurait sur ce Mur des cons la photo du général Philippe Schmitt…Les auteurs ne s’en sont pas expliqués. Rappelons qu’il était le père de la jeune Anne-Lorraine, 23 ans, qui, en résistant à son agresseur qui voulait la souiller,Thierry Dève-Oglou, 47 ans, fut poignardée à mort par ce dernier à plusieurs reprises en novembre 2007 dans le RER D. Ce criminel d’origine turque avait déjà été condamné en 1996 par les assises de l’Oise à trois ans de prison ferme pour viol…Pas de quoi émouvoir les redresseurs de torts, les chasseurs de réacs et autres vigilants antifascistes du SM.
Les raisonnements tordus ne sont certes pas l’apanage de ces juristes là. L’Humanité, journal sans lecteurs, mais toujours abondamment cité dans les revues de presse des matinales, se lance ainsi dans la psychanalyse de bazar pour tenter d’expliquer la «récupération» de la figure de Jeanne d’Arc par le FN. Si Marine aime Jeanne est-il avancé, c’est parce que la virginité de la sainte et héroïne nationale symboliserait une France qui se refuse au « métissage.» C’est grave docteur?
Pour faire peur dans les chaumières, de « droite » cette fois, Christian Estrosi délivrait de son côté, avec la même absence de finesse, une théorie complotiste de bas étage dans La Provence. « Je sais qu’une cellule a été mise en place par le Parti socialiste à l’Élysée pour faire gagner le Front national dans le Nord et en Paca.» Et ce, dans le but affiché d’empêcher la coalition LR-UDI de réussir le grand chelem en décembre aux régionales et pour prouver que seule l’union de la gauche peut faire barrage au FN en 2017.
Une thèse pour le moins capillaro-tractée quand on se souvient, et là ce n’est pas un mauvais fantasme, des déclarations émanant ces dernières années de figures du même parti que M. Estrosi, en faveur du vote PS en cas de « risque » de victoire du FN.
Dimanche lors de l’émission Le Grand Rendez-vous Europe1/Le Monde/iTELE, le maire PS de Paris, Anne Hidalgo, a d’ailleurs souligné que la stratégie de front ripoublicain restait d’actualité : « Là où il y aura un risque majeur d’avoir le Front National à la tête des régions, il faudra se retirer (…). Je préfère aucun socialiste dans un exécutif plutôt que le Front National à la tête de ces exécutifs. »
Mme Hidalgo est plus affirmative sur ce point que le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, qui expliquait il y a quinze jours qu’au soir du premier tour, « la responsabilité de la gauche ne sera(it) pas de se retirer mais d’être capable de s’unifier ». Une unification de toutes les gauches, nécessaire dit-il, pour tenter de faire barrage à la droite et « sa politique d’austérité» et au FN qui veut faire des régions «des laboratoires de la haine» (sic).Il ne s’agit pas d’un «coup de poker, mais d’un coup de tocsin, pour l’unité» a t-il clamé, annonçant le 19 septembre la tenue d’un référendum mi-octobre, auprès «du peuple de gauche», pour approuver ou non l’union des partis de gauche lors des deux tours des régionales.
Face à l’Association des journalistes parlementaires, M. Cambadélis soulignait en octobre dernier que la question de « l’identité » est devenue aujourd’hui centrale au détriment de la notion «d’égalité». «Sur certains sujets, nous ne sommes plus hégémoniques, nous sommes en résistance», «la déconstruction de la République (confisquée et antinationale, NDLR) est en marche». Bref, « depuis dix ans, la gauche a perdu la bataille des idées.» Affirmation qui est tout sauf anodine, constate Bruno Gollnisch, dans la bouche de cet ex trotskiste qui a lu Antonio Gramsci et qui sait donc que les victoires idéologiques précèdent les victoires électorales, qu’ il n’y a pas de prise du pouvoir politique dans les sociétés développées, sans prise préalable du pouvoir culturel.
Autrement dit, et comme le notait Alain de Benoist sur Boulevard Voltaire, « la classe dirigeante est en train de perdre pied. Elle voit le sol se dérober sous ses pieds, elle voit ses privilèges menacés, elle ne sait plus où elle habite. Elle fait comme les chiens qui ont peur : elle aboie (…). À force d’ériger des murailles invisibles et d’installer des cordons sanitaires, la classe dirigeante a épuisé ses propres défenses immunitaires. À force de refuser le débat, elle est devenue inapte à débattre. Elle n’a désormais plus rien à dire, sinon appeler à lutter contre les stéréotypes, promouvoir le non-art contemporain et multiplier les références lacrymales aux droits de l’homme . Panique morale et misère de la pensée.»
http://gollnisch.com/2015/09/29/panique-morale-et-misere-de-la-pensee/
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Des Congolais portent plainte contre la France… Pour obtenir plus d’aides sociales…
De pire en pire… Alors qu’ils ne sont pas Français et qu’ils profitent des largesses de notre pays, un couple de congolais attaque l’État pour obtenir plus d’argent !!!
Les parents étrangers peuvent-ils être privés d’allocations familiales pour leurs enfants venus en France en dehors de la procédure de regroupement familial ? C’est la question que doit trancher jeudi la Cour européenne des droits de l’Homme, saisie par deux familles congolaises.
« C’est une décision très attendue par des milliers d’étrangers » en situation similaire, a expliqué à l’AFP Me Hélène Gacon, l’avocate de l’une des deux familles requérantes.
Ses clients, un couple de Congolais résidant dans la banlieue de Rennes, se battent depuis des années devant la justice, en vain, pour que la Caisse d’allocations familiales (CAF) prenne en compte leurs quatre enfants pour le calcul de leurs allocations.
Or la CAF ne « reconnaît » que leurs deux derniers enfants, nés en France. Les deux aînés, nés en République démocratique du Congo et arrivés en France en 2002, ne sont pas pris en considération, car ils n’ont pas rejoint leurs parents selon une procédure de regroupement familial – comme le stipule le Code de la Sécurité sociale.
Sont concernées non seulement les allocations familiales, mais aussi l’allocation de rentrée scolaire, ou encore des aides au logement, calculées en fonction de la taille du foyer.
« Le cas fréquent, c’est une famille arrivée en France avec un visa de court séjour, puis qui est restée illégalement sur le territoire après l’expiration de ce visa », explique l’avocate, également membre du Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigrés).
« Plus tard, la famille a été régularisée. Mais la CAF ne veut pas prendre en compte les enfants, alors que toute la famille réside désormais légalement en France. C’est ça qui est discriminant, car pour une famille de nationalité française, la question ne se pose pas », poursuit Me Gacon.
Saisie de cas similaires, la Cour de cassation avait donné raison en 2004 aux familles étrangères, avant d’opérer un changement de jurisprudence en 2011. C’est ce revirement que les familles concernées contestent devant la CEDH, en faisant valoir une discrimination et une atteinte à la vie familiale. (…)
Les ressortissants de pays liés à l’Union européenne par un accord d’association (notamment les Algériens, Marocains, Tunisiens et Turcs) ne sont pas concernés, la Cour de cassation ayant jugé en 2013 qu’en vertu de ces accords ils devaient bénéficier des mêmes prestations familiales que les Français. (…) -
Migrations = trahisons ? 2è volet
Alexandre Latsa poursuit son analyse de l'invasion migratoire que nous connaissons. Nous avions relayé sa précédente contribution ici. Une fois encore, prenez le temps de consulter les nombreux liens.
"Au cours du mois d’août 2015, alors que la crise des migrants s’est mise à faire la une de la majorité du flux médiatique global, une bien étonnante nouvelle est apparue entre les milliers de lignes d’actualité.
Selon le magazine autrichien Direkt, auquel un membre des services de renseignements militaires autrichiens se serait confié, "les services secrets autrichiens disposeraient d'informations démontrant l'implication d'organisations ayant créé un système destiné à favoriser la dynamique migratoire que l'Europe subit".
Reprise uniquement sur différents médias non-alignés, cette information avait jusqu'alors paru fantaisiste et surtout relever d'une tendance complotiste américanophobe. Pourtant, peu à peu, Internet a fait son travail et la marée montante d'informations a permis aux commentateurs attentifs ici et là de commencer à récupérer et mettre en lien des informations plus que surprenantes et pour le moins inattendues.Il y a tout d'abord eu l'apparition publique de cette galaxie d'ONG d'extrême gauche à l'ADN majoritairement allemand, ONG qui ont déployé une énergie considérable à faire absorber de force ce flux humain dont plus personne ne connaît réellement aujourd'hui la réelle dimension, mais dont tout le monde peut constater à quel point il est de densité suffisante pour avoir mis à mal la vie sans frontières des vieilles nations européennes.
Les Allemands ne sont cependant pas les seuls coupables de cette collaboration envers des migrants qui sont en majorité des migrants économiques et dont on comprend bien qu'il sera difficile de les inciter à repartir en Libye, Irak ou Somalie après avoir eu un aperçu même sommaire et brutal de la vie en Scandinavie, en France ou en Allemagne. De nombreux projets croisés et transnationaux ont commencé à voir le jour, comme par exemple l'association franco-allemande SOSMEDITERRANNEE qui bénéficie notamment de subventions de BNP Paribas afin de "sauver des migrants et les accompagner vers les dispositifs d'information et d'assistance aux migrants sur le territoire européen" (Source). -
Le soutien de l’invasion migratoire et « Le Monde »
Source : OJIM
Le 10 septembre dernier, Le Monde prétendait « repenser la crise des réfugiés » en donnant la parole à divers intellectuels européens. Sous couvert de débat et de pluralité des opinions, il s’agissait bel et bien de faire passer le message que « les migrations de vaste ampleur sont notre avenir »… Claude Chollet, président de l’OJIM, a décrypté pour boulevard Voltaire ce numéro du monde.L’édition datée du jeudi 10 septembre veut « Repenser la crise des réfugiés » donnant la parole à des « intellectuels européens ». Décryptage.
Le philosophe allemand Jürgen Habermas – dernier survivant de l’école de Francfort – définit l’asile politique comme « un droit fondamental », qui doit « être respecté par la population dans son entier », et gare aux contrevenants. Heureusement, « une élite politique résolue… peut conduire sur le long terme l’opinion publique et la société civile » dans le camp du bien. Certes, « la paresse, l’égoïsme et l’absence de hauteur de vue de la population » peuvent être des obstacles, mais le droit prévaudra. Un totalitarisme juridique obligatoire et pérenne.
Robert Badinter renchérit avec un président d’« associations d’accueil ». Le « gouvernement s’engage dans une politique d’accueil positive », mais on peut se demander si c’« est suffisant au regard des flux de demandeurs ». Créer 20.000 places en centres d’accueil, « ce n’est pas créer un appel d’air ». Tout lecteur comprend bien que les nouveaux arrivants souhaiteront inviter, à leur tour, leur famille, leurs amis et les amis de leurs amis dans un cycle sans fin.
Plus coruscante, l’intervention de l’écrivain italien gauchiste Erri De Luca. « Si l’Europe refuse l’asile aux migrants, elle les noie. » Oubliés les agissements irresponsables des États-Unis en Irak, en Syrie et ailleurs (et de la France en Libye), oubliées les exactions de l’État islamique. Ces « pèlerins du salut ne cherchent pas une résidence, mais une halte ». Qui peut imaginer que ces centaines de milliers d’hommes sont là pour une « halte » ?
Plus nuancée l’analyse de Slavoj Žižek, philososophe marxiste slovène. « Les plus grands hypocrites sont ceux qui défendent l’idée de frontières grandes ouvertes. » Les « réfugiés… semblent considérer leur rêve comme un droit inconditionnel, exigeant des autorités européennes… produits alimentaires et soins médicaux ».
La globalisation libérale réclame la libre circulation des marchandises, mais aussi celle des hommes. Après un tel constat, on pourrait s’attendre – même si le « populiste raciste » est dénoncé au passage – à une prise de position équilibrée. Non, il faut « fournir aux réfugiés les moyens leur permettant de survivre dignement », car « il n’y a pas à transiger : les migrations de vaste ampleur sont notre avenir et ce sera soit un tel engagement soit la barbarie ».
Dans un éditorial du même numéro, Le Monde propose Angela Merkel… pour le prix Nobel de la paix… Un psychiatre se penchera un jour sur la névrose de culpabilité de la chancelière allemande et sur l’étrange traitement qu’elle veut nous infliger. Entre-temps, comme le souligne Slobodan Despot dans l’édition en ligne de Causeur du 7 septembre, « les Européens à qui l’on veut faire avaler sans broncher un des mouvements de population les plus colossaux de l’Histoire ne sont pas des citoyens qu’on veut convaincre, mais des chiens de Pavlov qu’on s’emploie à dresser ».
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Immigration: pourquoi le patronat en veut toujours plus
Parce que l'immigration permet de payer les salariés toujours moins. C'est ce que dit un rapport du très sérieux et très officiel Conseil d'analyse économique, intitulé «Immigration, qualifications et marché du travail». Les blogueurs du Vrai débat l'ont décrypté. Instructif.
On se souvient du président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’oeuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés.
Quarante ans plus tard, rien ne semble avoir changé. Au contraire, les appels à l’immigration viennent toujours du même côté, et toujours pour les mêmes raisons. Seule différence : les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens
Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration. En 2008, le célèbre rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures d’inspiration très libérale, parmi lesquelles une accélération de l’immigration. C’est d’ailleurs cette pente que suit le président de la République depuis son élection, à travers ce qu’il a nommé «l’immigration choisie» .
L’immigration souhaitée par le grand patronat pour faire pression à la baisse sur les salaires, voilà en résumé l’explication souvent avancée. Pour la première fois, un rapport « officiel », que nous avons décortiqué, confirme cette intuition.
Il date de 2009, et émane du Conseil d’Analyse Economique (CAE). Le CAE est un organe placé auprès du Premier ministre, peu réputé pour son caractère subversif dans la mesure où il regroupe tout le gratin des économistes français « officiels », ceux que les télévisions et les journaux acceptent de recevoir.
Vous allez le constater, la démonstration est sans appel.
Elle explique d’abord qu’en économie, la notion de « pénurie » de main d’oeuvre dans un secteur d’activité donné n’a pas de sens en période de chômage. C’est pourtant systématiquement ce facteur qui est mis en avant pour justifier le recours à l’immigration : le bâtiment peine à recruter tant de dizaines de milliers de travailleurs en France, il faut donc aller chercher la main d’œuvre ailleurs, entend-on souvent.
« Du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n’est pas évidente » nous dit ce rapport, ajoutant que le « fait que certains natifs rejettent certains types d’emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d’occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu’ils soient pourvus » (page 45).
Autrement dit, une pénurie de main d’oeuvre se forme lorsqu’un secteur n’offre pas les salaires jugés suffisants pour devenir attractif. Poursuivons le raisonnement, et alors on comprend qu’au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’oeuvre prête à accepter des salaires plus faibles.
C’est la conclusion à laquelle le rapport parvient sans ambiguïté : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46).
Le rapport du Conseil d’Analyse Economique recense également une série d’études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l’impact de l’immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [deux économistes] trouvent qu’une hausse de la proportion d’immigrés d’un point de pourcentage réduit le salaire de 1,2% » (page 37)
« Hunt [une autre économiste] trouve qu’une hausse de la proportion de rapatriés d’un point de pourcentage a réduit le salaire d’environ 0,8% » (page 37).
Concernant les Etats-Unis, « Borjas [un économiste] conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aurait accueilli l’offre de travail d’environ 11%, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2%, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d’expérience et d’éducation, mais de manière inégale » (page 38).
Voilà des éléments qui devraient éclairer le débat public sur l’immigration. Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat.
Le vrai débat - Blogueur associé, 28/04/2010
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2014 : plus de 37% des nouveaux-nés en France métropolitaine étaient des non-blancs
Et 69% en Ile-de-France !En réalité les chiffres sont plus élevés car de nombreuses naissances d’enfants métis ne donnent pas lieu au dépistage de cette maladie génétique qui permet de contourner l’interdiction des statistiques ethniques.
La carte que nous présentons ci-dessous est basée uniquement sur les chiffres de France métropolitaine.
Comment comprendre la carte : en Ile-de-France, en 2014, 69,06 % des nouveaux-nés ont été dépistés, car considérés comme « à risque ». En d’autres termes, en 2014, en Ile-de-France, au moins 69,06% des nouveaux-nés avaient un ou deux parents « originaires des Antilles, d’Afrique noire mais aussi d’Afrique du Nord » essentiellement. Ce chiffre s’élevait à 67.90% en 2013, 65,95% en 2012, à 60 % en 2010 et à 54,15% en 2005.
Trouvé sur FDS
Bilan d’activité 2014 de l’AFDPHE (Tableau page 66)
Vous pouvez retrouver les cartes des années précédentes ici
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Anne Hidalgo met à mal le bidouillage des chiffres de l’immigration par François Hollande
Anne Hidalgo promet d’accueillir 30.000 immigrés – pardon, « réfugiés » – à Paris quand François Hollande tenait de nous faire croire que la France toute entière n’en accueillerait que 24.000…
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Selon l'Autriche, des combattants de l'EI parmi les immigrants
Lu ici :
"Des "dizaines" de combattants du groupe extrémiste Etat islamique (EI) sont entrés en Europe au milieu de l'actuel afflux des migrants, a averti vendredi un expert autrichien en matière de lutte contre le terrorisme.
Lors d'une interview accordée au journal Kronen Zeitung, l'ancien directeur du Bureau fédéral de la préservation de la Constitution et de la lutte contre le terrorisme d'Autriche (BVT), Gert-Rene Polli,a qualifié la politique de sécurité européenne de "vol aveugle".
"La situation sécuritaire ne peut plus être maintenue sous contrôle", a-t-il estimé, faisant remarquer l'afflux constant des migrants en provenance du Moyen-Orient à destination de l'Europe.
M. Polli, actuel chef d'une société de renseignements et de sécurité publique basée à Vienne, a insisté sur le fait que "la migration absolument incontrôlée" d'important nombre de personnes présente un grand danger.
Il est clair que des éléments de l'EI sont parmi les migrants et profitent de cette opportunité pour entrer en Europe, chose pour laquelle ils "n'ont même pas besoin d'arme", a poursuivi M. Polli.
Les autorités sécuritaires en Europe ont peu de chance d'attraper les suspects terroristes parmi les migrants, comme les autorités allemandes qui sont en ce moment "désespérées".
"Les combattants de l'EI n'attendent pas que les autorités les arrêtent sans hâte, ils attaqueront avant. Nous verrons cela dans cinq mois au plus tard", a mis en garde M. Polli".
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Face à l'invasion islamique : l'heure de la Croisade !