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immigration - Page 1281

  • Le père d’Aylan aurait été le passeur du bateau…

    Il faut être insensible pour refuser de se laisser toucher par ces drames. Il faut l’être tout autant pour refuser de comprendre que les Européens s’inquiètent aussi pour leurs propres enfants.

    Il y a quelques jours, le site FdeSouche relayait un entretien accordé à la télévision australienne par Zainab Abbas, une Irakienne qui affirme avoir tenté la traversée sur le même bateau que le petit Aylan Kurdi.

    Dans cet entretien, la jeune femme parle du père de cet enfant internationalement connu en ces termes : « c’était un passeur, oui, et c’était lui qui conduisait le bateau » depuis le début. La jeune femme insiste, il n’y avait pas de passeur turc. Elle précise même qu’Abdallah Kurdi, le père de l’enfant, lui aurait demandé de « ne pas le balancer » une fois qu’ils étaient tombés à l’eau.

    Déchaînement pour les starlettes de l’indignation, la « fachosphère » ne peut avoir que tort.

    Sauf que depuis vendredi, de grands médias étrangers se font l’écho de l’information, et le Nouvel Obs s’y est même risqué. Le journal relaie l’entretien, avec une précaution qu’on aurait aimé constater sur le reste.

    Le papier parle de déclarations « à prendre avec prudence », et précise que « dans les faits, la plupart du temps, aucune personne liée aux passeurs n’est présente à bord durant la traversée ».

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  • Manifestation anti islamiste à Varsovie

    Plusieurs milliers de manifestants se sont rassemblés samedi à Varsovie, brandissant des banderoles comme «l’islam c’est la mort de l’Europe». Ils se sont réunis dans le centre ville. Ils se sont avant tout présentés comme des catholiques opposés à l’arrivée de musulmans et ont commencé leur rassemblement par une prière à la Vierge Marie.

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    Un organisateur a déclaré :

    «Nous sommes là pour que notre voix d’en bas parvienne au gouvernement et que la décision d’accueillir les musulmans soit abandonnée».

    Le 12 septembre était le jour anniversaire de la grande bataille de Vienne en 1683, lors de laquelle les troupes polonaises du roi Jan III Sobieski avaient repoussé les envahisseurs turcs.

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    Michel Janva

  • Déferlement migratoire : Le Figaro livre le nom des villes qui y participent

    LE FIGARO : "Quelles sont les villes favorables ou hostiles à l’accueil des réfugiés

    CARTE INTERACTIVE - Lundi 7 septembre, François Hollande a annoncé que la France allait accueillir 24.000 réfugiés supplémentaires dans les deux prochaines années.

     

    Après cette annonce, de nombreuses communes de France ont manifesté leur intention de soutenir, ou non, cette initiative. D’autres ont posé leurs conditions. Dans notre carte, retrouvez les prises de position des uns et des autres. […]"

    La suite sur Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Deferlement-migratoire-Le-Figaro

  • Quotas : le Danemark refuse le plan Juncker

    ILe Danemark a décidé de ne pas participer au plan proposé par le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker pour répartir entre les Etats membres de l'UE quelque 160 000 réfugiés.

    Le ministre danois de l'Intégration Inger Stojberg (photo) rappelle que son pays, ainsi que l'Irlande et la Grande-Bretagne, sont exemptés du plan Juncker.

    Michel Janva

  • Génération identitaire : Appel à la solidarité avec les militants qui ont exigé l’expulsion des islamistes

     

    Pour avoir traduit le sentiment général des Français à l’encontre des terroristes islamistes en déployant une simple banderole, les militants de Génération Identitaire sont traînés en justice. Ils font appel à la générosité des patriotes pour faire face à des frais d’une justice très clairement politique.

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    http://fr.novopress.info/

  • Grand Entretien de rentrée 2015 (2/2) – Grèce, Russie, Yémen, Turquie, Trump...

  • Grand Entretien de rentrée 2015 (1/2) – Ratier, Pasqua, Bergé, migrants...

  • Hausse des impôts pour financer l'arrivée des migrants

    En Finlande :

    "Le gouvernement finlandais a proposé aujourd'hui de relever les impôts des plus aisés pour financer le coût de l'arrivée de migrants dans le pays. Ce projet vise également à contrer les accusations selon lesquelles le budget finlandais cible surtout les plus pauvres et les classes moyennes."

    En France, Michel Sapin a évalué à "quelques millions" d’euros l’accueil des 24 000 réfugiés supplémentaires. Ce coût est censé prendre en compte plusieurs postes de dépenses. En premier lieu, l’hébergement. Ainsi, en Ile-de-France, dix centres provisoires ont été créés pour accueillir une centaine de réfugiés syriens et irakiens. Chaque jour, l’Etat devra débourser 35 euros par personne pour couvrir les frais de fonctionnement, comme le détaille France 2.

    Ensuite, il y a les aides financières versées aux réfugiés, qui y auront droit lorsqu’ils auront déposé une demande d’asile, précise le site du ministère de l’Intérieur. Deux aides peuvent leur être octroyées. L’ATA, l’allocation temporaire d’attente, est d'une part versée aux demandeurs d’asile ne pouvant être hébergés en centre d’accueil. Montant : 340,50 euros par mois. Lorsque le demandeur d’asile rejoint un centre d’hébergement, l’AMS, l’allocation mensuelle de subsistance, remplace l’ATA. Son montant varie entre 91 et 718 euros par mois, selon les prestations fournies par le centre, les ressources du demandeur d’asile et la composition du foyer familial. Enfin, le coût d’accueil comprend également la couverture maladie ou encore la scolarisation des enfants.

    En avril, un document de la Cour des comptes s’alarmait du coût de l’accueil et de l’hébergement des réfugiés en France. Et chiffrait le coût global de l’asile aux alentours de 2 milliards d’euros par an pour environ 66 000 demandes faites en 2013.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Flanby ou Porcinet ?

    Une journaliste du Monde vient de consacrer à M. Hollande un livre suggérant que son stage d'homme d'État, métier qu'il n'avait jamais exercé jusqu'en 2012, toucherait à sa fin. Les sondages d'opinion nous prouvent que, du point de vue essentiel pour les politiciens, la conclusion de l'expérience semble s'imposer : il ne devrait pas être réembauché.

    Son insignifiance et son incompétence me paraissant totales, j'ai quand même voulu en avoir le cœur net en suivant attentivement le compte rendu de sa conférence de presse de ce 7 septembre. Un genre auquel il s'adonne trop souvent, mais qu'il maîtrise très mal. On y verra sans doute le déclin, de titulaire en titulaire, de cette aura présidentielle conférée par la réforme de 1962 : car la communication télévisuelle du chef de l'État est devenue le contraire absolu de ce que le fondateur de notre république plébiscitaire avait alors inauguré. Au caractère dramaturgique de l'exercice, aux textes maîtrisés, aux orientations chirurgicales, ont succédé, copiant le mentor Mitterrand, mais en le copiant mal, une sorte de style pot-au-feu, un jet discontinu de petites phrases n'expliquant rien sérieusement, une impression de flou décourageant tout commentaire.

    Au total, outre ce que l'on savait déjà sur la quadrature du cercle du candidat de 2017, outre la très mauvaise note de fin de stage, il s'en sort une dérision supplémentaire, celle du surnom qu'il conviendra désormais de lui attribuer.

    Car voilà le vrai débat du jour : doit-on l'appeler "Flanby", à raison de son absence manifeste de volonté personnelle ferme, ou "Porcinet", pour son allure et sa boulimie de moins en moins discrète de dépense publique ? J'avoue hésiter entre les deux sobriquets. L'un et l'autre se justifient à peu près également.

    Il existe en effet est une distorsion frappante du même personnage entre ce qui paraît être "sa" politique étrangère et européenne, y compris sur la question des réfugiés, et les questions intérieures, économiques, sociales, ou éducatives puisque l'École publique monopoliste demeure une espèce de mythe national, sur lequel il n'a rien dit, malgré l'urgence.

    Sur les premières, à l'international, son action semble presque cohérente : des décisions sont prises, en partie mauvaises mais aussi en partie compréhensibles. Elles sont prises, oui, mais elles prises par les autres.

    Pour être plus précis, la ligne directrice de l'activité internationale de François Hollande est fixée par une sorte de compromis entre, d'une part, les volontés de la chancelière Angela Merkel et, d'autre part, celles du département d'État américain plus ou moins communiquées par un président Obama en fin de mandat. Comme il s'agit de deux gouvernements relativement convergents, il s'en suit une sorte de cohérence dont les actuels responsables parisiens ne sauraient être crédités qu'à titre de suiveurs dociles.

    L'apport personnel de François Hollande relève ici de "Flanby". Même l'erreur qui consiste à prétendre pouvoir se cantonner, comme en Libye en 2011, à des frappes aériennes, est voulue par d'autres. Ajoutons que les moyens dont l'armée française dispose sur place, et que l'on exclut d'augmenter, 700 hommes je crois, quelques aéronefs dont 6 excellents Rafale, sauf erreur, excluent d'aller beaucoup plus loin.

    C'est au contraire "Porcinet" qui se révèle dans ses grognements incohérents et inaudibles en politique intérieure. "Porcinet" s'ébroue dans son auge et croit faire le beau en agitant sa petite queue en tire-bouchon, si caractéristique de l'espèce laïque et obligatoire : je dépense donc je suis, je débloque des fonds qui n'existent pas, j'annonce des choses qui ne se produiront pas, je formule des résolutions pour un avenir que je suis incapable de garantir. Ces gens avaient formulé leur doctrine à la grande époque des radicaux-socialistes : appuyons-nous bien sur les principes ils finiront par céder.

    On commence à le comprendre quand il parle des économies budgétaires, du train de vie de l'État, des tours de vis imposées aux collectivités locales, accessoirement passées à droite etc.

    On jongle, de façon rhétorique, avec des milliards improbables mais on se garde bien de dire sur quels points on pourrait réduire les dépenses. On se propose à peine de ralentir leurs hausses, mais toutes les politiques mises en place dans le quinquennat précédent, bien timides pourtant, largement insuffisantes, ont été annulées.

    À la fin du quinquennat, s'il y parvient, Hollande aura vu le nombre de Français assujettis à l'impôt sur le revenu passer de quelque 50 %, aujourd'hui 56 % à pratiquement 60 % des citoyens.

    Cette donnée engendre une déresponsabilisation majoritaire des citoyens face à la dépense publique, que le prélèvement à la source se propose d'aggraver encore, pénalise les pauvres autant que les vrais riches ou les classes moyennes, car en France c'est tout le monde qui paye trop d'impôts et trop de charges sociales.

    Ne pensons pas dès lors que le socialisme recule parce que le socialisme recule à mesure que le parti qui s'en réclame officiellement s'effondre.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/