Opération anti-terroriste en Belgique: trois morts, le pays relève son niveau d’alerte « pour les policiers »…
http://www.contre-info.com/
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Opération anti-terroriste en Belgique: trois morts, le pays relève son niveau d’alerte « pour les policiers »…
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Le commissaire européen en charge des migrations, Dimitris Avramopoulos a indiqué que 276.000 clandestins sont entrés dans l’UE en 2014. Soit plus de 2 fois et demie plus que l’année précédente où il y en avait eu un peu moins de 108.000. Et encore faut-il remarquer que ce ne sont là que les clandestins “officiels”, il faudrait y ajouter les clandestins vraiment “clandestins”.
Sur ce total, 200 000 sont entrés en « franchissant la Méditerranée dans l’irrégularité », a précisé Dimitris Avramopoulos. Et ce alors que « les conflits dans notre voisinage génèrent un afflux constant de réfugiés en Europe » qui va « continuer si une action décisive et coordonnée de l’UE n’est pas prise », a t il mis en garde.
http://fr.novopress.info/181087/276-000-clandestins-officiels-entres-lue-en-2014-155/
Belgique – Deux ou trois personnes ont été tuées à Verviers (Liège) dans une opération de la police contre le terrorisme djihadiste. L’action fait partie d’une opération anti-terroriste majeure contre des djihadistes revenus de Syrie.
Une dizaine de raids policiers seraient en cours depuis le début de la soirée. Le procureur fédéral affirme que les suspects abattus à Verviers préparaient une importante attaque en Belgique.
« Lors d’une perquisition de Verviers, des suspects ont immédiatement ouvert le feu avec des armes automatiques et des armes de guerre avant qu’ils ne puissent être neutralisés», a déclaré le procureur. « Ils s’apprêtaient à commettre une attaque terroriste majeure en Belgique. »
— Avez-vous acheté Charlie Hebdo mercredi ?
— Non, je ne l’ai pas acheté. Je suis horrifiée par ce qui s’est passé, j’ai rendu hommage aux victimes — à toutes les victimes —, j’ai défendu la liberté d’expression même si le blasphème n’est pas ma tasse de thé. Je n’ai jamais acheté Charlie Hebdo, je ne me sens pas obligée de défendre sa ligne éditoriale et je n’aime pas le dévoiement qui est fait du slogan « Je suis Charlie », qui sonne maintenant comme un mot d’ordre. Drôle d’ambiance : ceux qui n’achètent pas Charlie Hebdo seraient-ils complices de l’attentat ?
— Mardi les députés ont chanté la Marseillaise. Etait-ce comme lorsqu’on chante dans l’obscurité – pour se rassurer ?
— Je ne sais pas exactement qui l’a entonnée. J’ai l’impression qu’elle venait du public de l’Assemblée, certains disent que c’est un député UDI. En tout cas, ça n’était pas programmé. Il y a eu pendant quelques minutes un vrai moment d’union nationale, loin des slogans d’unité déversés les jours précédents. Ce qui a suivi m’inquiète, par contre. Manuel Valls a été ovationné par tous les bancs de l’Assemblée, mais efface-t-on en un discours trente ans de choix politiques qui nous ont conduits à la situation qu’on connaît ? Marine Le Pen a eu un mot très juste : l’unité nationale ne doit pas devenir le garde-à-vous national. Ne pas applaudir Manuel Valls ne fait pas de nous des citoyens indignes.
— Le discours de Manuel Valls ne vous a pas convaincue ?
— Manuel Valls parle d’augmenter les effectifs des militaires, d’isoler les djihadistes… Encore faudrait-il que cela soit possible dans des prisons surpeuplées où les téléphones leur donnent accès à internet et leur permettent de se radicaliser à loisir ! Les problèmes de fond ne sont pas posés. Il y a d’abord la progression du fondamentalisme islamique. Il est financé par des filières, on sait que les mosquées réparties sur tout notre territoire sont financées par des pays étrangers comme le Qatar et l’Arabie Saoudite dont l’idéologie est celle du fondamentalisme. Les imams qui prêchent dans nos banlieues sont payés par eux également. Il y a ensuite l’immigration incontrôlée : les terroristes étaient français, en dépit de leur totale inassimilation. Dernier problème enfin : la libre circulation des personnes, des biens et des capitaux. Des armes de guerre circulent librement en Europe. Ce n’est pas aux services de renseignements de faire le travail des douaniers.
— Les socialistes se voilent la face ?
— Claude Bartolone aussi a fait un discours, très révélateur. Il ne prononce jamais le mot France, il ne dit que République. Lorsque Mohamed Merah ou lorsque les frères Kouachi tuent des policiers ou des militaires en uniforme, ils attaquent l’Etat français et ceux qu’ils appellent des apostats : les musulmans qui portent l’uniforme français, donc de mauvais musulmans. L’objectif est de terroriser les musulmans intégrés. Ni Valls ni Bartolone ne veulent admettre qu’on est entré dans une guerre de civilisation. Les terroristes n’attaquent pas la République, ils attaquent la France dans tout ce qu’elle a de judéo-chrétien et qu’ils exècrent.
Propos recueillis par Samuel Martin
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http://fr.novopress.info/181092/entretien-marion-marechal-pen-guerre-civilisation-present-8273/
Dans une vidéo, Aymeric Chauprade, député français FN/RBM au Parlement européen, explique que suite aux attentats qui ont touché notre pays la semaine dernière la France est en guerre. Voici la vidéo et le texte coup de poing de l’intervention d’Aymeric Chauprade
Les phénomènes ont des causes. Ce qui frappe la France aujourd’hui porte un nom et est le résultat de causes identifiables.
Ce premier volet est consacré à la définition du Mal qui nous frappe et à ses causes. Le second volet sera consacré aux solutions…
La France est en guerre avec des musulmans, elle n’est pas en guerre avec les musulmans, mais avec des musulmans.
L’islam est un monde complexe. Il nous faudrait des heures pour y expliquer les variantes, chiites, sunnites et à l’intérieur des sunnites, les différentes écoles juridiques, et le soufisme aussi. Mais nous sommes en politique et en politique, il nous faut des raisonnements opératoires, des raisonnements qui peuvent déboucher sur des solutions efficaces.
Nous sommes en guerre contre cet islam là. C’est bien cet islam qui nous fait la guerre, que nous le voulions ou non. Le philosophe Julien Freud écrivait en 1965 : « Vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi, or c’est l’ennemi qui vous désigne ». Notre classe politique offre en ce moment le spectacle pathétique du débat « sommes-nous en guerre ou pas ? ». Mais ce n’est pas nous qui décidons de cela, ce sont ceux qui nous attaquent ! Evidemment que nous sommes en guerre puisqu’ils l’ont décidé !
De manière simple, je diviserais l’islam en deux. Ce que j’appelle l’islam acclimaté par les nations, par les cultures nationales, par les Etats, et qui fait que les islams marocain, indonésien, saoudien ne sont pas les mêmes.
Et l’islam global, l’islam qui est resté fidèle à ses fondements djihadiques, à ses fondements historiques, et qui dit fondements dit fondamentalisme, l’islam qui refuse de s’inscrire dans les nations, qui ne reconnaît pas ou peu de légitimité aux chefs d’Etat, qu’ils soient musulmans ou non, l’islam qui veut restaurer le califat et établir la loi islamique sur la terre entière.
Nous sommes en guerre contre cet islam-là. C’est bien cet islam qui nous fait la guerre, que nous le voulions ou non. Le philosophe Julien Freud écrivait en 1965 : « Vous pensez que c’est vous qui désignez l’ennemi, or c’est l’ennemi qui vous désigne ». Notre classe politique offre en ce moment le spectacle pathétique du débat « sommes-nous en guerre ou pas ? ». Mais ce n’est pas nous qui décidons de cela, ce sont ceux qui nous attaquent ! Evidemment que nous sommes en guerre puisqu’ils l’ont décidé !
Revenons à ce conflit entre ces deux camps de l’islam. L’islam acclimaté par les nations et l’islam qui ne l’est pas, qui est l’islam radical en guerre partout contre les autres civilisations, contre les Etats-Unis, l’Europe, la Russie, la Chine, l’Inde, Israël, et les régimes musulmans modérés aussi. Ces deux camps ne sont pas figés. Le nombre de leurs combattants respectifs change à travers l’histoire.
Les services de renseignement occidentaux estiment la proportion d’adeptes de l’islam radicalisé de 15 à 25 % des musulmans du monde, y compris parmi les musulmans vivant sur le sol européen. Minorité nous dit-on, certes ! Mais 15 à 25 % de 1,5 milliards de musulmans cela veut dire entre 225 et 375 millions de musulmans dans le monde, ce qui, en moins ou en plus, représente le poids démographique des Etats-Unis d’Amérique ! Ce qui, en France avec 6 millions de musulmans, peut-être beaucoup plus d’ailleurs, ce qui représente entre 900.000 et 1 ,5 million de musulmans convaincus que l’Oumma est supérieure à leur appartenance à la nation française, convaincus que la Charia, la Loi islamique, a vocation à se substituer à la Loi française, convaincus que le Coran deviendra un jour leur Constitution à la place de notre Constitution.
L’argument du fait minoritaire ne tient pas. L’idéologie ressassée du « pas d’amalgame » est non seulement fausse mais dangereuse. Car la situation est très grave. Car l’islam fait planer sur la France une menace très grave sur son avenir. Déjà de nombreux Français sont en train de partir, et pas seulement des Juifs, parce qu’ils pensent que c’est fichu, que la démographie est contre nous, qu’ils vont gagner. Ces Français ne fuient pas que le socialisme, le fiscalisme, l’étatisme, ils fuient l’invasion lente et cela personne ne le dit.
Le vivier du terrorisme islamique, c’est-à-dire du passage à l’acte djihadique, est énorme, il est de l’ordre du million, ce qui ne veut pas dire que nous ayons 1 million de terroristes potentiels sur notre sol, mais ce qui veut dire qu’une 5ème colonne puissante vit chez nous et peut, à tout moment, se retourner contre nous en cas de confrontation plus générale. Souvenons-nous des refus de servir en Afghanistan de la part de militaires français musulmans. Aujourd’hui on parle des refus, dans les écoles, de la minute de silence, pour les victimes des attentats récents. C’est la même logique : pour ces gens la loi de l’islam est supérieure aux lois françaises, l’allégeance à l’islam est supérieure à l’allégeance à la France. C’est la définition même d’une 5ème colonne.
Les services de renseignement occidentaux estiment la proportion d’adeptes de l’islam radicalisé de 15 à 25 % des musulmans du monde, y compris parmi les musulmans vivant sur le sol européen. Minorité nous dit-on, certes ! Mais 15 à 25 % de 1,5 milliards de musulmans cela veut dire entre 225 et 375 millions de musulmans dans le monde, ce qui, en moins ou en plus, représente le poids démographique des Etats-Unis d’Amérique ! Ce qui, en France avec 6 millions de musulmans, peut-être beaucoup plus d’ailleurs, ce qui représente entre 900.000 et 1 ,5 million de musulmans convaincus que l’Oummaest supérieure à leur appartenance à la nation française, convaincus que la Charia, la Loi islamique, a vocation à se substituer à la Loi française, convaincus que le Coran deviendra un jour leur Constitution à la place de notre Constitution.
Il est probable, et même certain, qu’une majorité de musulmans en France condamnent les attaques qui ont visé les Juifs et les policiers, parce que beaucoup de musulmans considèrent qu’elles sont injustes. Mais tel n’est pas le cas de l’attaque de Charlie Hebdo. Les ambassades et les services occidentaux ont rapporté de nombreuses scènes de liesse dans l’ensemble du monde musulman, à l’annonce que les caricaturistes du Prophète Mahomet avaient été assassinés. Le sentiment majoritaire chez les musulmans, c’est : « Ils l’avaient cherché en insultant notre Prophète » et faut-il rappeler qu’en effet, dans l’islam, le blasphème est puni de mort ce qui est d’ailleurs appliqué dans de nombreux pays musulmans aujourd’hui, comme au Pakistan. C’est aussi ce qui explique que le Maroc se soit abstenu de participer à la manifestation de dimanche, parce que des caricatures du Prophète s’y trouvaient et que, pour un Roi commandeur des Croyants, il n’était pas possible de prendre ce risque politique face à la pression islamiste dans son pays. Et soyez certains que si les médias français se sont décidés à parler de ce qui s’est passé dans les écoles où les enfants issus de l’immigration extra-européenne sont nombreux, c’est que le phénomène est massif.
Alors pourquoi en sommes nous là ? Il faut bien faire le diagnostic juste si nous voulons soigner la maladie. Le contraire de ce que font en ce moment nos médias et les politiciens de l’UMPS !
Au niveau mondial nous en sommes là parce que la globalisation à dominante occidentale, en s’attaquant aux nations, à leur identité, à leur souveraineté, a affaibli l’islam acclimaté aux nations au profit du fondamentalisme islamique, par définition transnational et globalisé.
Les politiques américaines et européennes ont détruit ou affaiblis tous les régimes arabes qui tentaient de s’imposer au détriment de la Charia et ont donc libéré ainsi les forces islamistes. Les gouvernements mondialistes UMPS qui se sont succédés en cautionnant les guerres en Irak, en Libye, en affaiblissant le régime syrien, en isolant l’Iran, portent une lourde responsabilité. Le mondialisme a fait le lit de l’islam radical, il a fait le lit du fondamentalisme quand il ne le soutenait pas directement par le biais de ses services spéciaux, et ceci parce qu’il est, comme lui, une idéologie globale qui veut tuer les nations.
Au niveau national, la situation est la combinaison d’un phénomène quantitatif, l’immigration extra-européenne massive depuis 40 ans, avec un phénomène qualitatif, le réveil de la conscience islamique de nombreux musulmans en France. Nombreux en effet sont ces musulmans qui sont passés dans le camp de l’islam global ce qui rend totalement impossible leur assimilation.
Les partis politiques et leurs soutiens médiatiques qui ont organisé la manifestation parisienne de dimanche sont en fait les premiers responsables de la situation actuelle . Il faut le dire, ils ont organisé l’invasion de la terre de nos ancêtres par une culture étrangère contre laquelle l’Europe, durant des siècles, avait lutté avec lucidité et efficacité. Ils n’ont aucune excuse, car des siècles d’histoire attestaient de ce qui allait se passer. Les Allemands ne pouvaient pas forcément entrevoir ce que le national-socialisme allemand allait produire comme crime inouï, car c’était une idéologie nouvelle. L’islam radical lui n’est pas une idéologie nouvelle. Il est en guerre contre les autres civilisations depuis le VIIe siècle et cela n’a jamais cessé.
Les politiques américaines et européennes ont détruit ou affaiblis tous les régimes arabes qui tentaient de s’imposer au détriment de la Charia et ont donc libéré ainsi les forces islamistes. Les gouvernements mondialistes UMPS qui se sont succédés en cautionnant les guerres en Irak, en Libye, en affaiblissant le régime syrien, en isolant l’Iran, portent une lourde responsabilité. Le mondialisme a fait le lit de l’islam radical, il a fait le lit du fondamentalisme quand il ne le soutenait pas directement par le biais de ses services spéciaux, et ceci parce qu’il est, comme lui, une idéologie globale qui veut tuer les nations.
Alors, on nous dit qu’il faut être optimiste, que cet islam de France traverse une crise à laquelle les éducateurs et les sociologues vont remédier. A cela je réponds premièrement que je ne ferai jamais confiance, pour remédier au Mal, à ceux qui ont inoculé le Mal et encouragé son développement durant 40 ans. Deuxièmement que la France compte trop à mes yeux pour que je puisse accepter de prendre un risque aussi considérable que la réformation de l’islam, que son acclimatation finale aux valeurs et aux institutions françaises. Il y a peu de chance que cela arrive tout simplement parce que le Coran est, aux yeux même des musulmans, le Verbe incréé de Dieu, qu’on ne peut donc y changer une virgule. Les racines de la violence et du totalitarisme se trouvent dans l’islam même, dans ses textes sacrés, Coran et hadith surtout, comme le disent d’ailleurs de nombreux philosophes musulmans modérés, je pense à Abdennour Bidar qui dans une Lettre ouverte au monde musulman, en octobre 2014, invitait les musulmans à ouvrir les yeux, à comprendre que si le monstre n’est pas l’islam, il est néanmoins dans l’islam et plus précisément dans ses textes sacrés.
Nous devons, de manière ferme et claire, engager la lutte pour la dé-islamisation de notre pays. Sinon notre fière civilisation française mourra, démocratiquement, comme nous le conte le roman tragique de Houellebecq, lorsqu’une sorte d’Henri IV musulman aux apparences paisibles finira par convaincre une majorité de Français qu’il est la solution de compromis idéale pour sortir du conflit entre l’islam radical et le réveil identitaire.
Alors est-ce qu’une vieille nation chrétienne qui a 1.500 ans, la nation des cathédrales, du Mont-Saint-Michel, des Lumières aussi qui font partie de notre histoire récente, est-ce que cette nation qui a tant compté dans l’histoire mondiale et qui compte encore, devrait livrer son avenir au pari que l’islam va se réformer et que le mauvais génie qu’il a produit va finir par rentrer dans sa bouteille ?
On nous dit qu’une majorité de musulmans est pacifique. Certes mais une majorité d’Allemands l’était avant 1933 et le national-socialisme allemand. Une majorité de Russes, de Chinois, de Khmers étaient pacifiques avant qu’ils ne réalisent d’abominables crimes au nom du communisme. Quand le totalitarisme s’empare d’une minorité conséquente et active, l’argument de la majorité pacifique ne tient plus.
Je refuse de faire ce pari là sur le dos de nos enfants et c’est tout le sens de mon engagement au Front national parce que je vois dans le Front national le seul recours possible pour stopper l’islamisation de la France.
Nous devons, de manière ferme et claire, engager la lutte pour la dé-islamisation de notre pays. Sinon notre fière civilisation française mourra, démocratiquement, comme nous le conte le roman tragique de Houellebecq, lorsqu’une sorte d’Henri IV musulman aux apparences paisibles finira par convaincre une majorité de Français qu’il est la solution de compromis idéale pour sortir du conflit entre l’islam radical et le réveil identitaire.
http://fr.novopress.info/181080/aymeric-chauprade-france-en-guerre/#more-181080
« Être Charlie ou ne pas être » : tel est le nouvel dilemme shakespearien, sous forme d’injonction totalitaire qui, à la faveur du rouleau compresseur médiatique, a déferlé sur la France dès qu’a été connu l’attentat contre Charlie Hebdo. Le lendemain, une policière municipale était assassinée, puis, le jour suivant, quatre juifs parce que juifs :...
...dix-sept morts en trois jours, auxquels il convient d’ajouter un policier tué à Joué-lès-Tours et un passant à Nantes, peu avant Noël. Oui, c’est bien dix-neuf Français que le « terrorisme » a tués en France en moins de trois semaines.
En décembre, la désinformation avait fonctionné à plein régime : gouvernement et justice, dans un bel ensemble, après avoir déposé la marque « déséquilibré isolé », ont cherché, à quelques heures de Noël, à écarter le spectre de toute résurgence du terrorisme islamiste. Du reste Cazeneuve n’avait-il pas, en octobre, allégé la protection policière dont bénéficiait Charlie Hebdo ? Libération relayait même la remise en cause de la version policière dans l’affaire de Joué-lès-Tours par le collectif communautariste « Urgence, notre police assassine en toute impunité » [sic]. Or ce même collectif a justifié sur son site, le 11 janvier, juste au-dessus de l’article complaisant de Libé du 31 décembre 2014, son refus de manifester dimanche, ajoutant : « Si nous avons une injonction à marcher, ça sera aux côtés de la soeur de Bertrand », ...le terroriste islamiste de Joué-lès-Tours !
Schizophrénie de nos médias bien-pensants et mondialistes : Libé, qui accueille la rédaction décimée de Charlie Hebdo tout en pratiquant la désinformation sur la réalité du fondamentalisme islamiste en France, n’est qu’un exemple de l’inconséquence du pouvoir médiatico-politique qui, dans un déni absolu de réalité, n’oppose au « terrorisme » que ces armes dérisoires que sont la niaiserie comme obligation morale (« Je suis Charlie ») et l’étalage jusqu’à la nausée des bons sentiments antiracistes et vivrensemblistes (« pasd’amalgamepasdestigmatisation »), dans une « communion républicaine » ...qui a officiellement exclu 30 % de l’électorat français ! Quant à la communauté internationale, présente également à la Manif-où-il-fallait-être, comment oublier qu’elle regarde avec indifférence les massacres islamistes perpétrés au Nigéria par Boko-Haram ou refuse, par lâcheté ou pingrerie — n’est-ce pas, madame Merkel ? —, d’aider la France à lutter contre ce même terrorisme islamiste au Mali, après avoir, à la faveur des prétendus printemps arabes, concouru à renverser ou à déstabiliser des Etats arabes laïques ? Comme l’Action française l’a immédiatement souligné dans un communiqué : « Il est significatif [...] qu’Amedy Coulibaly », le tueur de l’épicerie cachère, « se réclame, dans l’enregistrement de sa conversation avec ses otages, de la lutte contre Bachar El-Assad dans des termes qui semblent sortir tout droit d’un discours de Laurent Fabius »... Quelle victoire morale, au fond, pour les djihadistes de l’Etat islamique ou d’Al-Qaïda « ici-ou-là », d’avoir réussi à mobiliser contre eux autant de monde et de beau monde, un dimanche après-midi, à Paris ! Quant au pays légal, son objectif était d’instrumentaliser l’émotion légitime des Français, les manifestants s’imaginant, sans doute, écrire l’histoire de France, voire du monde, quand la plupart ne faisait qu’étaler un impuissant désarroi et cautionner, on veut le croire à leur corps défendant, le déni de réalité d’une classe politique « nationale » et internationale, empêtrée dans les contradictions de son mondialisme.
Déni de réalité, avons-nous dit : comment ne pas relever le caractère surréaliste de la longue déclaration de Cazeneuve, à l’issue de la réunion, dimanche 11 janvier, des ministres de l’intérieur européens et américain : il n’a visé que les « combattants étrangers », n’a ciblé que « LE terrorisme », comme s’il existait un terrorisme « en-soi et pour-soi », hors sol, alors qu’il n’est qu’un moyen d’action, parmi d’autres, au service d’une cause et d’un ennemi précis qu’il convient d’identifier clairement si l’on veut, comme on le prétend, éviter tout amalgame ou toute stigmatisation. Car c’est en refusant de cibler le radicalisme islamiste qu’on incite les Français à l’amalgamer à l’Islam lui-même, puisqu’aucune différente n’est faite entre les deux, et à suspecter injustement dans tout compatriote musulman un éventuel djihadiste prêt à passer à l’action le moment venu. Ces « éléments de langage » que sont « DAESH », « combattants étrangers », « LE terrorisme », partagés par les media officiels et les pays légaux de la plupart des Etats de l’Union européenne, sont autant d’instruments de la désinformation générale et du désarmement moral de nos concitoyens.
Mais comment en serait-il autrement ? Ces trois terroristes n’étaient-ils pas trois chances pour la France ? Dominique Merchet a raison [1], voilà bien « le résultat des ratés de l’intégration ». Mais pourquoi ajouter « et de l’islamophobie », sinon parce qu’il faut bien un peu culpabiliser les Français et victimiser les monstres ? La moraline l’exige. Pourtant, alors que la France périphérique subit sans tomber dans la délinquance son abandon par le pays légal, comment oublier les dizaines de milliards d’euros versés, sans autre effet que de financer l’économie parallèle et la « radicalisation », dans ce tonneau des Danaïdes que sont les « quartiers », où sont célébrés aujourd’hui ouvertement comme des héros Coulibaly et les frères Kouachi ? Quartiers dont les murs des écoles ont retenti, durant la minute de silence, jeudi 8 janvier, de cris de soutien aux terroristes. Le gangsterrorisme a de beaux jours devant lui : la relève est assurée ! Quant aux policiers et aux pompiers, ils témoignent des menaces ouvertes dont ils sont l’objet depuis mercredi dernier, lorsqu’ils pénètrent dans ces bases avancées du dijhadisme en France.
Aussi, plus que « nos enfants » [1], sauf à capituler devant une définition communautariste de la France, ces terroristes sont-ils avant tout ceux d’une société laminée par quarante années d’immigrationnisme. Contradiction insoluble de cet angélisme délétère qu’est le droit du sol appliqué à l’immigration de masse et qui réduit la nationalité française à une carte d’identité automatiquement distribuée à dix-huit ans ou bradée dans les préfectures. En faisant venir depuis quarante ans par millions des immigrés déracinés dans le seul but de balayer nos nations historiques et d’instaurer des sociétés multiculturelles, nos élites mondialisées ont artificiellement créé des sociétés multiconflictuelles. Les conséquences de leur politique préméditée nous éclatent aujourd’hui à la figure. De ce point de vue, qui est le seul essentiel, gageons que la manif de dimanche ne servira à rien : elle risque même d’avoir lobotomisé un peu plus encore nos concitoyens.
Notre premier devoir, en balayant à notre tour ces élites, est de rendre les Français à la France.
En cette mi-janvier 2015, je suis simplement, passionnément français.
François Marcilhac - L’AF 2901
[1] in L’Opinion du 8 janvier 2015
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-de-L-AF-2901-JE-SUIS
L’unité nationale – de façade, il est vrai, et tout à fait partiale au demeurant – ne semble pas devoir résister aux lectures politiques. Evoquant ainsi la question du terrorisme à l’Assemblée nationale, Christian Jacob, président du groupe UMP, a appelé à restreindre certaines libertés publiques, voire individuelles, au grand dam d’une gauche pour qui les citoyens sont désormais unis dans une espèce de Marseillaise perpétuelle.
Le député de Seine-et-Marne n’y a certes pas été avec le dos de la cuillère. Dans le registre sécuritaire, il a lancé « un appel à des lois exceptionnelles », des « centres fermés pour djihadistes », et même la « déchéance de nationalité » pour les Français partis mener la guerre sainte à l’étranger.
Evidemment l’opposition qui aimerait bien, à l’instar de Nicolas Sarkozy, reprendre un peu la main, s’est désormais engagé dans un discours en trois temps : « unité, vérité, lucidité ».
Christian Jacob entend donc mettre sous pression un gouvernement qui préfère, lui, prolonger le temps des hommages aux victimes – histoire de s’offrir un état de grâce que la gauche n’a guère connu depuis l’ère Hollande. « Il ne faut pas tergiverser, répond Christian Jacob. Nous devons recueillir les témoignages de toutes les personnes concernées. Les commissions d’enquête sont faites pour cela. »
Le député prend ses compatriotes à témoin : « Nous devons la vérité aux Français ». Et donc, « si nous devions, pour un moment, restreindre les libertés publiques et la liberté individuelle de quelques-uns, alors il faudra le faire ». Bref, il faut « modifier notre législation », car « ce qui est en jeu c’est la défense d’une civilisation, d’un héritage, de valeurs ».
L’appel à un Patriot Act à la française a donc trouvé un écho favorable au sein de l’opposition de droite. Claude Guéant, lui aussi, estime venu le temps de prendre certaines mesures. Pour l’ancien ministre de l’Intérieur de Nicolas Sarkozy, « il y a aussi des libertés qui peuvent être facilement abandonnées ».
Très bien ! C’est malheureusement la pratique qui risque de déraper. On a ainsi pu entendre la journaliste Nathalie Saint-Cricq appeler à « repérer », « traiter »,« intégrer ou réintégrer dans la communauté nationale » « ceux qui ne sont pas Charlie »…
C’est, pour le moins, un appel à une nouvelle loi des suspects contre ceux qui ne se soumettent pas, quelle qu’en soit la raison, à l’idéologie !
Lu sur Réinformation.tv
http://www.contre-info.com/apres-le-terrorisme-lappel-a-restreindre-certaines-libertes#more-36286
Nos politiques risquent de regretter de ne pas avoir mis en œuvre une garde nationale sur tout le territoire.
Dans les tempêtes, la République ne peut compter que sur ses piliers séculaires. Il y a quelques semaines, la gendarmerie était malmenée par le ministre de l’Intérieur et les Verts dans l’affaire du barrage de Sivens, alors qu’aucune faute n’avait été commise selon l’enquête administrative de l’inspection de la gendarmerie. Le débarquement annoncé du général Favier, directeur général de la gendarmerie, à la demande d’EELV (Cécile Duflot), était même rapporté par certains médias. Un comble : Noël Mamère était même nommé président d’une commission d’enquête sur le maintien de l’ordre (violences policières !).
LA REVOLUTION ISLAMISTE
Par Ivan Blot
Le récent attentat de Paris contre l’hebdomadaire satirique gauchiste Charlie Hebdo remet la révolution islamiste mondiale au premier plan de l’actualité. Car le mouvement terroriste qui se veut d’inspiration religieuse est plutôt avant tout un mouvement révolutionnaire. Ce mouvement s’insurge contre les démocraties occidentales qu’il considère comme impies car matérialistes et décadentes sur le plan des mœurs. Il utilise pour cela la voie de la violence comme toute révolution. Les dirigeants sont des intellectuels, souvent formés en Occident, et les exécutants sont des déracinés. C’est un phénomène culturel qui n’a rien à voir avec la richesse ou la pauvreté.
L’islamisme est un mouvement révolutionnaire
L’Occident a beaucoup de mal à comprendre ce qui arrive car il muré dans ses propres certitudes. Le philosophe Heidegger baptisait cet autisme « l’oubli de l’être ». L’Occident lui-même a secrété plusieurs révolutions, dont la révolution française, la révolution bolchevique et la révolution nazie. Ces révolutions ont voulu purifier la société de leurs « ennemis » et créer un homme nouveau par la force. De ce point de vue, les terroristes islamistes ne sont pas différents dans leur essence des terroristes de la révolution française, Robespierre, Barrère, l’inspirateur du génocide de Vendée et deceux de la révolution bolchevique.
Leur psychologie fut disséquée de façon remarquable par Dostoïevski dans son livre « les Démons » ou parfois titré « les Possédés ». La religion est une caractéristique annexe : Robespierre était déiste, Lénine était athée et Ben Laden était musulman. Tous étaient révolutionnaires et souhaitaient décapiter leurs ennemis : que l’outil soit la guillotine ou le sabre ne change rien à l’affaire. Les Occidentaux s’indignent à juste titre de voir des chrétiens décapités en Irak mais oublient que la guillotine a fonctionné à plein rendement en France en 1792 et 1793, au nom de la Républiqued’alors !
La théorie de nos trois cerveaux, reptilien et instinctif, mammifère et affectif, rationnel et spécifiquement humain, explique bien la dérive du phénomène révolutionnaire vers la barbarie. Le révolutionnaire fait taire son cerveau affectif qui le conduit normalement à respecter ses semblables. Il libère alors de la contrainte morale son cerveau reptilien qui contrôle notamment l’agressivité et la violence. Le cerveau rationnel sert alors à justifier par un discours idéologique (politique ou religieux, peu importe) les pulsions du cerveau reptilien. C’est pourquoi le criminel révolutionnaire est souvent un intellectuel dépourvu de sentiments et d’humanité mais pourvus d’instincts puissants comme les personnages de Verkhovenski et de Stavroguine dans le roman « les Démons » de Dostoïevski.
Lire la suite "La révolution islamiste par Ivan Blot: entre soumission ou conversion"
Lois Spalwer http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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