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immigration - Page 1282

  • Après le terrorisme, l’appel à restreindre certaines libertés…

    L’unité nationale – de façade, il est vrai, et tout à fait partiale au demeurant – ne semble pas devoir résister aux lectures politiques. Evoquant ainsi la question du terrorisme à l’Assemblée nationale, Christian Jacob, président du groupe UMP, a appelé à restreindre certaines libertés publiques, voire individuelles, au grand dam d’une gauche pour qui les citoyens sont désormais unis dans une espèce de Marseillaise perpétuelle.

    Le député de Seine-et-Marne n’y a certes pas été avec le dos de la cuillère. Dans le registre sécuritaire, il a lancé « un appel à des lois exceptionnelles », des « centres fermés pour djihadistes », et même la « déchéance de nationalité » pour les Français partis mener la guerre sainte à l’étranger.

    Evidemment l’opposition qui aimerait bien, à l’instar de Nicolas Sarkozy, reprendre un peu la main, s’est désormais engagé dans un discours en trois temps : « unité, vérité, lucidité ». 

    Christian Jacob entend donc mettre sous pression un gouvernement qui préfère, lui, prolonger le temps des hommages aux victimes – histoire de s’offrir un état de grâce que la gauche n’a guère connu depuis l’ère Hollande. « Il ne faut pas tergiverser, répond Christian Jacob. Nous devons recueillir les témoignages de toutes les personnes concernées. Les commissions d’enquête sont faites pour cela. »

     

    Le député prend ses compatriotes à témoin : « Nous devons la vérité aux Français ». Et donc, « si nous devions, pour un moment, restreindre les libertés publiques et la liberté individuelle de quelques-uns, alors il faudra le faire ». Bref, il faut « modifier notre législation », car « ce qui est en jeu c’est la défense d’une civilisation, d’un héritage, de valeurs ».

    L’appel à un Patriot Act à la française a donc trouvé un écho favorable au sein de l’opposition de droite. Claude Guéant, lui aussi, estime venu le temps de prendre certaines mesures. Pour l’ancien ministre de l’Intérieur de Nicolas Sarkozy, « il y a aussi des libertés qui peuvent être facilement abandonnées ».

    Très bien ! C’est malheureusement la pratique qui risque de déraper. On a ainsi pu entendre la journaliste Nathalie Saint-Cricq appeler à « repérer », « traiter »,« intégrer ou réintégrer dans la communauté nationale » « ceux qui ne sont pas Charlie »…
    C’est, pour le moins, un appel à une nouvelle loi des suspects contre ceux qui ne se soumettent pas, quelle qu’en soit la raison, à l’idéologie !

    Lu sur Réinformation.tv

    http://www.contre-info.com/apres-le-terrorisme-lappel-a-restreindre-certaines-libertes#more-36286

  • Avis de tempête sur la République. Crainte de nouvelles émeutes ?

    Nos politiques risquent de regretter de ne pas avoir mis en œuvre une garde nationale sur tout le territoire.

    Dans les tempêtes, la République ne peut compter que sur ses piliers séculaires. Il y a quelques semaines, la gendarmerie était malmenée par le ministre de l’Intérieur et les Verts dans l’affaire du barrage de Sivens, alors qu’aucune faute n’avait été commise selon l’enquête administrative de l’inspection de la gendarmerie. Le débarquement annoncé du général Favier, directeur général de la gendarmerie, à la demande d’EELV (Cécile Duflot), était même rapporté par certains médias. Un comble : Noël Mamère était même nommé président d’une commission d’enquête sur le maintien de l’ordre (violences policières !).

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  • La révolution islamiste par Ivan Blot: entre soumission ou conversion

     LA REVOLUTION ISLAMISTE

    Par Ivan Blot

    Le récent attentat de Paris contre l’hebdomadaire satirique gauchiste Charlie Hebdo remet la révolution islamiste mondiale au premier plan de l’actualité. Car le mouvement terroriste qui se veut d’inspiration religieuse est plutôt avant tout un mouvement révolutionnaire. Ce mouvement s’insurge contre les démocraties occidentales qu’il considère comme impies car matérialistes et décadentes sur le plan des mœurs. Il utilise pour cela la voie de la violence comme toute révolution. Les dirigeants sont des intellectuels, souvent formés en Occident, et les exécutants sont des déracinés. C’est un phénomène culturel qui n’a rien à voir avec la richesse ou la pauvreté.

    L’islamisme est un mouvement révolutionnaire

    L’Occident a beaucoup de mal à comprendre ce qui arrive car il muré dans ses propres certitudes. Le philosophe Heidegger baptisait cet autisme « l’oubli de l’être ». L’Occident lui-même a secrété plusieurs révolutions, dont la révolution française, la révolution bolchevique et la révolution nazie. Ces révolutions ont voulu purifier la société de leurs « ennemis » et créer un homme nouveau par la force. De ce point de vue, les terroristes islamistes ne sont pas différents dans leur essence des terroristes de la révolution française, Robespierre, Barrère, l’inspirateur du génocide de Vendée et deceux de la révolution bolchevique.

    Leur psychologie fut disséquée de façon remarquable par Dostoïevski dans son livre « les Démons » ou parfois titré « les Possédés ». La religion est une caractéristique annexe : Robespierre était déiste, Lénine était athée et Ben Laden était musulman. Tous étaient révolutionnaires et souhaitaient décapiter leurs ennemis : que l’outil soit la guillotine ou le sabre ne change rien à l’affaire. Les Occidentaux s’indignent à juste titre de voir des chrétiens décapités en Irak mais oublient que la guillotine a fonctionné à plein rendement en France en 1792 et 1793, au nom de la Républiqued’alors !

    La théorie de nos trois cerveaux, reptilien et instinctif, mammifère et affectif, rationnel et spécifiquement humain, explique bien la dérive du phénomène révolutionnaire vers la barbarie. Le révolutionnaire fait taire son cerveau affectif qui le conduit normalement à respecter ses semblables. Il libère alors de la contrainte morale son cerveau reptilien qui contrôle notamment l’agressivité et la violence. Le cerveau rationnel sert alors à justifier par un discours idéologique (politique ou religieux, peu importe) les pulsions du cerveau reptilien. C’est pourquoi le criminel révolutionnaire est souvent un intellectuel dépourvu de sentiments et d’humanité mais pourvus d’instincts puissants comme les personnages de Verkhovenski et de Stavroguine dans le roman « les Démons » de Dostoïevski.

     

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    Lois Spalwer http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Bloc identitaire Lyon : “Après l’indignation, place à l’action”

    “Après l’indignation, place à l’action”, tel sera le thème de la réunion de rentrée du Bloc identitaire Lyon samedi 17 janvier à 17h à la Traboule. Cette réunion sera animée par Gérald Pichon. Merci de réserver vos places.

    reunion-bi-lyon-17-janvier.jpg

    http://fr.novopress.info/181043/bloc-identitaire-lyon-apres-lindignation-place-a-laction/

  • Massacre de Charlie Hebdo : première analyse d’Emmanuel Ratier – Radio Courtoisie (07 janvier 2015)

  • Gollnisch dans Présent : voir derriere « l’écran de fumée »…

    Bruno Gollnisch réagissait dans le journal Présent aux récents événements de Charlie Hebdo.

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  • Gauche : la fin de la grande illusion ?

    La guerre dont la France de gauche a pris tardivement conscience le 7 janvier 2015 vient de loin et sera longue.

    Nombreux sont les sentiments de satisfaction que nous pouvons – enfin ! – éprouver après la mobilisation historique de ce dimanche 11 janvier. Et historique, elle l’est à plusieurs titres. Par son ampleur : du jamais vu, même à la Libération. Par sa dignité. Par sa motivation : dire non au terrorisme islamiste. Et aussi par des réactions que l’on n’était guère habitué à voir dans les slogans et les manifestations de gauche de ces dernières décennies : des policiers applaudis, des CRS longuement ovationnés… On ne peut s’empêcher de se rappeler le trop célèbre CRS=SS de Mai 68… Dimanche, dans la foule, c’était « Je suis la police », aussi. Pour la gauche, c’est une nouvelle étape sur le chemin salutaire de la désillusion. C’est une trop longue parenthèse qui se referme.

    Ironie de l’histoire : c’est après un attentat perpétré contre les irréductibles soixante-huitards de Charlie Hebdo par les barbares de l’islamisme radical que l’on a assisté à ce grand renversement. La gauche, dimanche, a enfin enterré son idéologie antipolicière et antimilitariste. Il était temps !

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  • Directives de Fabius à la presse : « terroristes » plutôt que « islamistes »

    Une fois n’est pas coutume, Fabius passe les consignes à la presse aux ordres. Après « Daech » plutôt que « Etat Islamique » c’est « terroristes » à la place « d’islamistes ». Bêêêêêh répondirent les moutons...

    Dans ce refus de l’amalgame, Laurent Fabius préconise d’aller plus loin encore, en l’espèce en bannissant le mot « islamiste ». Invité ce dimanche matin duGrand Rendez-vous Europe 1-iTélé-Le Monde, le ministre des Affaires Etrangères précise sa pensée :

    Je n’aime pas… Je ne veux pas faire le censeur (sic), mais je pense que l’expression islamiste – et j’en avais aussi fait la remarque dans l’expression Etat islamique – est probablement pas celle qu’il faut utiliser. J’appelle ça des terroristes. Parce dès lors que vous utilisez le mot islam, vous favorisez une espèce de vision de continuité entre le musulman, qui pratique sa religion qui est une religion de paix, et puis quelque chose qui serait une certaine interprétation de la religion musulmane.

  • Manuel Valls va-t-il interdire la diffusion des hadiths ?

    Lu sur le blog de Yves Daoudal :

    "Les condamnations pleuvent, et les enquêtes se multiplient, pour « apologie du terrorisme », envers un certain nombre d’énergumènes qui ne sont pas Charlie et ne sont pas non plus de notre paroisse. Manuel Valls a déclaré hier que « l’apologie du terrorisme, le racisme et l’antisémitisme ne sont pas des opinions, ce sont des délits ». Mais le ministre de l’Intérieur, celui-là même qui fait la chasse aux apologistes du terrorisme, avait déclaré que « ce n’est pas un délit de prôner le jihad ».

    Il faudra quand même qu’on nous explique, s’il vous plaît, quelle est la différence, quand il s’agit de musulmans, entre terroristes et jihadistes, alors que dans les médias ces mots désignent les mêmes personnes.

    Dans le seul recueil de hadiths (propos du Prophète) de Boukhari, qui est le plus connu et universellement considéré comme « authentique », il y a 308 hadiths sur le jihad, dans le seul chapitre sur le jihad (car tout recueil de hadiths, comme tout traité de l’islam, a un chapitre sur le jihad). Dans un autre recueil, celui d’an-Nasa’i, qui fait également partie de la Sunna, et qui est moins épais, il ya 110 hadiths sur le jihad, dont celui-ci qu’on retrouve sous différentes versions dans les autres recueils :

    « Abou Hourairah lui a dit que le Messager d’Allah a dit : J’ai été désigné pour combattre les gens jusqu’à ce qu’ils disent Il n’y a pas d’autre dieu que Allah. Quiconque dit Il n’y a pas d’autre dieu que Allah, sa vie et ses biens sont en sûreté pour ce qui est de moi, restant sauf ses droits (ceux de la charia), et sa rétribution sera avec Allah. »

    A propos de l’antisémitisme, je rappelle ces quelques autres hadiths.

    Et sur le fait que bien entendu tout « cela n’a rien à voir avec l’islam », àce propos de Mohammed Merah.

    Tout à l’heure sur BFM, l’avocat de la femme de Saïd Kouachi citait celle-ci disant que son mari « pratiquait un islam normal ».

    Philippe Carhon

  • Malaise à l’école : ils sont Kouachi (Présent 8271)

    Les médias pourront toujours diffuser en boucle les discours d’apaisement de Boubaker ou de Chalghoumi, ils pourront bien marteler qu’il ne faut « surtout pas faire d’amalgame », il n’en restera pas moins que, sur le terrain, la majorité des « jeunes » musulmans cautionnent les crimes perpétrés par les Kouachi et autre Coulibaly. Comme l’ont montré les nombreux incidents qui ont accompagné vendredi dernier l’évocation des attentats dans les établissements scolaires.
    Malaise à l’école : ils sont Kouachi (Présent 8271)

    « Au moins 80 % »

    Dans le courrier qu’il avait adressé le 7 janvier à l’ensemble du personnel enseignant, le ministre de l’Education, rappelant que « la République a confié à l’Ecole, dès son origine, la mission de former des citoyens, de transmettre les valeurs fondamentales de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité », avait invité les profs « à répondre favorablement aux besoins ou demandes d’expression qui pourraient avoir lieu dans les classes »Et ils n’ont pas été déçus !

    Quand ils n’ont pas tout bonnement éludé la question, conscients qu’ils étaient des risques de dérapage, ils se sont heurtés aux réactions les plus hostiles. Ainsi, sur son compte Facebook, une enseignante raconte-t-elle comment, lors de son arrivée jeudi dernier à l’école, elle a été accueillie par des « Moi j’suis pour ceux qui l’ont tué »… Dans une classe de 3e d’un collège du XIIIe arrondissement de Paris, huit élèves sur 26 ont rejeté la décision de décréter un jour de deuil national, l’un d’eux expliquant même au prof de français qu’« ils l’ont bien cherché ». Mieux : dans une école élémentaire de Seine-Saint-Denis, ce sont « plus de 80 % des élèves d’une classe » qui ont refusé la minute de silence en hommage aux douze personnes assassinées ! Et dans un lycée professionnel de Bobigny, ladite minute s’est faite sur fond de « Allah Ouakbar »

     

    « Je suis Kouachi »

    Cette minute de silence ayant été laissée à l’appréciation des proviseurs, un prof d’anglais de l’Académie de Versailles s’est même vu demander de ne pas la faire respecter pour… « éviter les troubles » ! C’est que les risques sont réels. Comme l’a découvert à ses dépens cet élève de quinze ans d’un lycée technique de Châteauroux qui, pour avoir défendu la tolérance et la laïcité sur Facebook, s’est fait roué de coups vendredi par trois élèves de son lycée. Bilan : huit jours d’ITT. Et puis il y a cette enseignante de Lille, qui s’est entendu dire par un élève de quatrième : « Si tu fais la minute de silence, je te bute à la kalach »

    Surprise ? Pas vraiment. A l’instar de ceux du 11-Septembre, de Mérah ou encore de Nemouche, il est clair que les attentats perpétrés par les frères Kouachi et Coulibaly ont été largement applaudis dans les banlieues abandonnées à l’immigration, aux imams salafistes et à l’argent des Qatari.

    Franck Deletraz

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    http://fr.novopress.info/181000/malaise-lecole-kouachi/