Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1321

  • L’incapacité de l’Europe à gérer efficacement le problème de l’immigration – par Vincent Revel

    La mondialisation a bouleversé les échanges entre pays. A la suite de la libre circulation des marchandises et des capitaux, les flux migratoires déplacent à présent de plus en plus de personnes et échappent à tout contrôle. En 2005, 200 millions d’individus ont cherché un avenir meilleur en dehors des frontières de leurs pays d’origine. Près de 4 millions d’entre eux l’auraient fait de façons clandestines, dont 500.000 en Europe.

    Sur ce continent, 10% des 56 millions de migrants seraient en situation irrégulière. Depuis la disparition des frontières intérieures de l’Union Européenne, la Grèce, l’Italie, Malte et l’Espagne ont la lourde tâche de contrôler les routes de l’immigration provenant d’Afrique et du Proche Orient. Déjà, lors de l’année 2004, rien que pour Melilla, enclave espagnole au nord du Maroc, plus de 55000 tentatives d’entrée illégale ont été enregistrées. Depuis les crises tunisienne et libyenne de 2011, l’île italienne de Lampedusa se voit confronter à une arrivée massive de clandestins (de janvier à août 2014, l’Italie a fait face à 66.000 réfugiés). Ces nations du sud de l’Europe sont dépassées par l’ampleur de ces flux.

    Devant cette situation explosive, Brice Hortefeux, ancien ministre français de l’Immigration et de l’Identité nationale, avait demandé un « pacte européen sur l’immigration » pour éviter les politiques personnelles à chaque Etat permettant des régularisations massives, comme ce fut le cas en Espagne avec 600.000 régularisations de sans-papiers offertes par le Premier ministre socialiste Zapatero.

    Il serait grand temps que ce thème de l’immigration, enjeu majeur des prochaines années dans l’évolution de notre pays et de notre continent, puisse être analysé sans tabou, en toute liberté.

    Cette générosité, qui ne répond qu’à des critères idéologiques, a pour conséquence désastreuse, comme tout le monde le sait, de stimuler les filières clandestines pour le plus grand bonheur des mafias qui les contrôlent. Ce pacte aurait dû prévoir le renforcement de la protection des frontières, une définition commune du droit d’asile et une concertation sur les politiques d’écodéveloppement. En 2015, nous constatons que l’Europe n’a toujours pas pris en compte l’ampleur de ce problème.

    Il serait grand temps que ce thème de l’immigration, enjeu majeur des prochaines années dans l’évolution de notre pays et de notre continent, puisse être analysé sans tabou, en toute liberté. A ce jour, comme le disait Jacques Dupâquier, ancien membre de l’Institut, et comme le regrette l’essayiste et économiste Yves-Marie Laulan, il existe « un flou des données officielles disponibles » pour l’étude correcte des flux migratoires en Europe. Lors d’un article diffusé dans les colonnes du Figaro, ces deux hommes nous mettaient en garde en écrivant : « la pression migratoire n’est pas dernière nous, mais bien devant nous. »

    Les conséquences démographiques de ce phénomène risquent d’être énormes : « La fécondité des immigrés reste en moyenne presque deux fois plus élevée que celle des femmes françaises autochtones » et « leur masse (avec leurs descendants) pourraient représenter quelque 24% de la population totale française, soit 15,7 millions de personnes, 23% de la population active et 42% des naissances en 2030. »

    Ces prévisions doivent nous faire réfléchir. Quelle société voulons-nous pour 2030 ? Allons-nous continuer de la même façon ou sommes-nous décidés à devenir des citoyens responsables, capables d’aborder les sujets qui dérangent ? Prendrons-nous le droit de remettre en cause la sacro-sainte vérité du politiquement correct comme quoi l’immigration est une chance pour la France et l’Europe ? Le pouvoir de l’émotion, registre sur laquelle jouent avec délectation les médias et les associations vivant exclusivement du « sanspapiérisme », nous empêchent d’aborder ce sujet sensible d’une façon objective.

    A ce jour, comme le disait Jacques Dupâquier, ancien membre de l’Institut, et comme le regrette l’essayiste et économiste Yves-Marie Laulan, il existe « un flou des données officielles disponibles » pour l’étude correcte des flux migratoires en Europe. Lors d’un article diffusé dans les colonnes du Figaro, ces deux hommes nous mettaient en garde en écrivant : « la pression migratoire n’est pas dernière nous, mais bien devant nous. »

    A l’heure où Le camp des saints de Jean Raspail prend forme sous nos yeux, où les « cargos en ruines », remplis de clandestins, ne cessent d’affluer sur nos côtes, il serait judicieux d’abandonner l’idéologie d’un pseudo-progrès, né du siècle des Lumières, façonnée par l’utopie du multiculturalisme et la religion des droits de l’hommes pour retrouver rapidement la sensation d’être des peuples jouant leur avenir, leur culture et leur civilisation.

    L’Europe doit renouer le fil de son histoire en matérialisant efficacement ses frontières naturelles pour lutter contre cette immigration de masse et de peuplement et aborder le thème de la « remigration » avec conviction. Il n’y a pas de fatalité. La civilisation européenne n’est pas vouée à disparaître sous les coups du libéralisme le plus sauvage et du communisme, déguisé aujourd’hui sous la belle figure humaniste des partisans du bien vivre ensemble. Ces deux idéologies matérialistes, dont la rencontre improbable tire notre continent vers le chaos, désirent la mort des peuples.

    L’Europe doit renouer le fil de son histoire en matérialisant efficacement ses frontières naturelles pour lutter contre cette immigration de masse et de peuplement et aborder le thème de la « remigration » avec conviction. Il n’y a pas de fatalité.

    L’une pour assouvir sa soif de richesse, l’autre par haine de l’Occident et aussi par fidélité à son héritage internationaliste, ont pour vocation d’universaliser leurs doctrines. L’Europe est leur première proie et le grand remplacement de population en est le meilleur témoin. Face à ce changement imposé aux peuples européens, le risque est grand de voir nos sociétés se diviser en communautés hostiles les unes envers les autres. D’une société bisounours, voulue par nos « déconstructeurs » des traditions enracinées dans notre histoire, nous passerons rapidement à une société multi-conflictuelle où le communautarisme règnera en maître.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/180815/l-incapacite-l-europe-gerer-efficacement-probleme-immigration-vincent-revel/#more-180815

  • Grand Entretien de décembre 2014 – Républicanisme, monarchie, remigration (2/3)

  • France 2 publie de nouvelles images de l’assaut contre le magasin Hyper Cacher

    Attention, ces images peuvent choquer la sensibilité des plus jeunes et des personnes non-averties.

    http://www.contre-info.com/

  • Coulibaly et les bons calculs de la Justice : 2013+5 = 2014

    Coulibaly fut condamné à 5 ans de prison en décembre 2013 :

    "Amedy Coulibaly avait été condamné pour le projet d'évasion d'un autre djihadiste présumé, Smaïn Ait Ali Belkacem, en 2010, dossier dans lequel Chérif Kouachi avait lui-même été mis en examen avant de bénéficier d'un non-lieu. Smaïn Ait Ali Belkacem avait été condamné en novembre 2002 à une peine de prison à perpétuité pour sa participation à l'attentat de la station RER Musée d'Orsay, en octobre 1995.

    Le procureur de la République de Paris avait requis trois ans d'emprisonnement à l'encontre d'Amedy Coulibaly en novembre 2013 «pour avoir préparé un projet d'évasion et un attentat de grande ampleur», selon des témoins de l'époque. En décembre 2013, celui qui est surnommé par ses complices «Doly de Grigny» ou «le petit noir de Grigny» a été condamné à cinq ans ferme.

    Le Salon Beige http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le préfet interdit la manifestation contre l'islamisme radical

    Par l’arrêté n°2015-00014, le Préfet de Police de Paris Bernard Boucauld a interdit le rassemblement Place de la Bourse contre l'islamisme radical.

    Prenant prétexte de l’attentat perpétré le mercredi 7 janvier contre le journal Charlie hebdo et invoquant le niveau alerte « attentat » du plan vigipirate ainsi que le caractère prétendument provocateur de ce rassemblement « à l’égard d’une parte de la population de cet appel et de la thématique développée et défendue par cette association », le Préfet a cru bon devoir interdire le rassemblement.

    Un recours a été fait contre cet arrêté. L'audience est prévue devant le juge adminisitratif demain à 10 heures.

    S’il n’est pas contesté que l’odieux attentat justife un niveau d’alerte élevé, ce dernier n’a cependant pas empêché l’organisation de centaines voire de milliers de rassemblements (souvent non déclarés) dans tout le pays. Pour autant, aucune préfecture n’a cru bon devoir interdire ces rassemblements bien que ces derniers comportaient en risque pour les manifestants.

    La liberté d'expression, ce n'est pas pour tout le monde.

    Michel Janva

  • Charlie Hebdo et Montrouge : mort des trois terroristes islamistes

    Au bout d ela traque, la mort. C’est ainsi que les deux frères Kouachi et Amédy Coulibaly ont achevé leur course terroriste. Ces trois islamistes ont été tués lors de l’intervention respective du GIGN et du RAID en fin d’après-midi pour mettre fin aux prise d’otages à Dammartin-en-Goële et dans l’hypermarché casher porte de Vincennes, à Paris. Les trois islamistes ont été tués en attaquant les forces de l’ordre. Ils sont morts en martyrs comme ils l’avaient annoncé.

    Si à Dammartin-en-Goële le GIGN a pu éviter l’exécution de l’otage, à Paris on déplore la mort de 4 otages.

    Alors que les terroristes ont revendiqué ouvertement leur appartenance à l’islam, François Hollande et manuel Valls ont comme par hasard affirmé que l’islam n’était pas en cause dans ces actes terroristes…


    Assaut final du GIGN à Dammartin : les frères… par leparisien

    Lire la suite

  • La France menacée par l'islamisme et l'angélisme

    D'Ivan Rioufol :

    "Le danger islamiste en France ? Fantasmes xénophobes ! La nation invivable ? Élucubrations réactionnaires ! Dans l’univers cotonneux de la Hollandie, où les peurs sont bruyamment moquées, l’inquiétude est bannie. L’optimisme d’État est repris par le chœur médiatique, prêt à avaliser les fadaises du Politburo sur le doux vivre ensemble et l’avantageux socialisme. On connaît la fin de l’histoire : mercredi, tandis que la France cédait à la Grande-Bretagne sa place de cinquième puissance mondiale, deux djihadistes faisaient un carnage à Charlie Hebdo (12 morts, dont six fameux journalistes). Une fusillade mortelle éclatait aussi jeudi matin dans une rue de Paris. Bien plus qu’une attaque contre la presse et la liberté d’expression, ces tueries sont une déclaration de guerre à la France. Elles obligent l’État pantouflard à se confronter à ses ennemis intérieurs, qu’il n’ose nommer par angélisme.

    Les propagandistes du "Tout va très bien" peuvent mesurer leurs sottises, eux qui brocardent les "déclinistes" coupables de s’affoler de ce qu’ils voient. Depuis le 7 janvier - date qui clôt quarante années de désastres idéologiques - les dénégationnistes sont en sursis. Certes, ils persistent à édulcorer les dangers, obscurcir les causes, désigner de faux coupables. Ils ne peuvent admettre leur responsabilité dans le déclassement de la nation et son éclatement. Le complexe politico-médiatique, qui verrouille encore le Système, va ainsi s’accrocher à son pouvoir, et méchamment. De ce point de vue, 2015 promet son lot de faussetés qu’il faudra combattre. Mais les réalités brutales sont les meilleures alliées de ceux qui somment les autruches de relever la tête, ou de déguerpir.


    S’observe, dans la France de ces faiseurs de morale, une odieusecomplaisance pour le fascisme qui s’installe dans les cités et qui vient de tuer : tel est le scandale qu’étouffe la bonhomie élyséenne, qui se contente de répéter avec ses perroquets :"Pas d’amalgame !""

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Début de panique chez les “élites” ?

    Dans le contexte de menace terroriste majeure à laquelle la France est confrontée depuis mercredi, la gestion de la protection des personnalités est devenue extrêmement délicate. Au cabinet du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, on se refuse à livrer des noms. «C’est une question de sécurité et nous n’exposerons pas la vie des personnes», déclare au Figaro un conseiller du ministre.

    Le sujet est d’autant plus sensible que

    «des dizaines de demandes ont afflué à Beauvau en 24 heures, de la part de personnalités se sentant en danger»,

    confie un haut fonctionnaire de police. Au point que le ministère a dû organiser une réunion pour faire un «tri», selon des critères draconiens.

    Les bénéficiaires d’une équipe de gardes du corps préfèrent ne pas trop ébruiter la chose.

    Et ceux qui se sont vu refuser cette «faveur» peuvent nourrir une certaine frustration.

    À Paris, la Préfecture de police a accordé des agents en tenue pour protéger des bâtiments de presse notamment.

    Mais la protection individuelle dépend de la Direction générale de la police nationale (DGPN). Les anges gardiens qu’elle dépêche sont alors prélevés au sein de l’ex-Service de protection des hautes personnalités (SPHP), rebaptisé récemment Service de la protection (SDP).

    Composée de 770 agents surentraînés, dont une quarantaine de femmes, cette unité d’élite protège déjà à l’année des dizaines de personnalités, au premier rang desquelles figurent le chef de l’État et les membres du gouvernement.

    L’Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat), rattachée au DGPN, jauge le risque réel.

    «Tout est apprécié au cas par cas, et un diagnostic est rendu, enrichi d’une échelle de risques graduée de 4 (normal) à 1 (très élevé)», dit l’un de ses membres.

    «Ce n’est jamais la personnalité menacée qui définit la dimension de son dispositif de protection», précise-t-il.

    Aveuglés par la haine, extrémistes et fondamentalistes peuvent se focaliser sur une cible, en lui envoyant des colis suspects, des balles dans des enveloppes ou en multipliant les appels anonymes. Certains sont prêts à passer à l’acte coûte que coûte.

    Dans son rapport publié en 2010 sur la protection des hautes personnalités, la Cour des comptes préconisait la réduction des dépenses des «bodyguards» de la République.

    Selon les calculs de la juridiction financière administrative française,

    le budget moyen d’un policier affecté pour ce type de contrat s’élèverait à 71.879 euros par an.

    Une somme à apprécier au regard de ce que vaut une vie.

    http://fortune.fdesouche.com/370917-debut-de-panique-chez-les-elites

  • L’unité nationale n’est pas possible !

    Hélas la réalité finit toujours par nous rattraper et elle fait mal.

    Après le drame de Charlie Hebdo, la prise de conscience amère, et les réactions, l’espace d’un instant, on a cru pouvoir retrouver une unité nationale que l’on croyait perdue. La France est attaquée et les Français se retrouvent pour faire front commun contre la barbarie.

    Très vite sont organisés, partout en France, des rassemblements en soutien aux victimes et surtout à leurs familles. Des foules disparates, de toutes obédiences politiques et religieuses. J’ai espéré y voir la réponse appropriée au Suicide français. Non, M. Zemmour, le peuple français ne meurt pas, il se révolte !

    Lire aussi : Non, je ne suis pas Charlie !

    Lire la suite

  • Marine Le Pen et le FN ne seront pas présents à la « marche républicaine »

    Marine Le Pen et le FN ne seront pas présents à la « marche républicaine ». Il est vrai qu’elle n’y a pas sa place, ne serait-ce que pour la raison qu’elle ne doit pas défiler aux côtés de ceux qui indéniablement, par leur politique, ont une responsabilité dans le carnage de Charlie Hebdo.

    Mais Marine est fine tacticienne, elle s’y est pris de manière très intelligente. Alors que tous les suiveurs – y compris le CFCM (Conseil Français du Culte Musulman) – accouraient pour annoncer leur participation à cette marche, Marine Le Pen s’est étonnée de ne pas y avoir encore été invitée. D’où l’embarras de ses adversaires politiques qui sont bêtement tombés dans le panneau : faut-il oui ou non inviter Marine le Pen ?

    Les plus intelligents – et les plus redoutables – comme Alain Juppé et Julien Dray ont vite flairé le piège et dit qu’il fallait que tout le monde soit uni, comprenez donc, y compris Marine Le Pen. Les plus sectaires et les plus stupides ont hurlé leur indignation d’une telle proposition, écartant Marine Le Pen d’une marche à laquelle elle ne désirait pas franchement participer !

    Résultat, la présidente du Front National gagne sur les deux tableaux : elle apparaît encore un peu plus comme la solution sécuritaire face à l’Islam, solution rejetée encore une fois par une classe politique qui montre un peu plus sa réelle uniformité.

    Bien joué Marine !

    Xavier Celtillos

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-et-le-fn-ne-seront-pas-presents-a-la-marche-republicaine/22378