Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1319

  • Des vertus du couteau de cuisine

    Non, il ne s'agit pas d'une nouvelle rubrique culinaire sur votre blog favori, mais d'une réflexion qui vient à l'esprit après l'étude de faits récents dans le monde islamique : les deux journalistes américains qui ont été égorgés récemment l'ont été avec un couteau, genre couteau de cuisine, et un fait divers mis en ligne parle Parisien (édition de Lyon) relate qu'un homme en a poignardé un autre en marmonnant "Allah akhbar", armé d'un couteau de cuisine, ceci parce que le premier allumait tranquillement une cigarette dans la rue. Il va de soi qu'on a une fois de plus affaire à un "déséquilibré" en proie à "de sérieuses difficultés psychologiques", et que son appartenance à la religion de paix et d'amour n'a strictement rien à voir avec ses pulsions meurtrières. On soulignera au passage que le meurtrier était connu des services de police pour "cambriolages et outrages" et qu'il jouissait malgré cela de sa complète liberté. Des commentaires ?

    Marie Bethanie

  • 3000 Occidentaux parmi les islamistes en Syrie

    Fin mai, au moins 3000 Occidentaux avaient rejoint les islamistes qui combattent en Syrie, selon le Soufan group, un organisme de renseignement basé à New York.
    execution
    La France est la plus «représentée» en nombre de tous les pays occidentaux. Elle compte 700 ressortissants sur place. Une estimation plus basse que celle des services du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, selon lesquels 900 Français étaient concernés à la mi-août. Vient ensuite la Grande Bretagne, avec 400 ressortissants actuellement en Syrie. Puis l’Allemagne (270 ressortissants), talonnée par les Belges, avec 250 ressortissants.jeunes

    Mais lorsqu’on regarde la proportion de combattants par rapport à la population de leurs pays d’origine, le classement est sensiblement différent :
    La Belgique arrive largement en tête, avec 22 ressortissants partis au djihad pour un million d’habitants.
    Le Danemark arrive en deuxième position, avec 17 ressortissants pour un million d’habitants.
    La France arrive en troisième position: on compte 11 Français partis en Syrie pour un million d’habitants.

    Lire la suite

  • Reconquista à l'envers

    Un article de Nouvelles de France relaie une menace de l'Etat islamique qui veut faire une "Reconquista à l'envers" en Espagne, considérée par les islamistes comme une terre historiquement musulmane (on (re)lira d'ailleurs avec profit le chapitre consacré au mythe d'al Andalus par Alexandre Del Valle dans son dernier livre, "Le complexe occidental - Petit traité de déculpabilisation"). Voici l'article de NDF :

    Nous rétablirons l’islam par la coercition, en vous rouant la face de coups et en vous coupant la tête».

    C’est ainsi que le sinistre «État islamique» menace l’Espagne, annonçant la reconquête de ce que ses partisans appellent la terre de leurs ancêtres, puisque la péninsule Ibérique a été sous domination musulmane de 711 à 1492. Au moins on peut dire qu’ils annoncent la couleur et ne cachent pas comment ils comptent s’y prendre pour convertir les «infidèles». Il est extrêmement curieux que les médias français ne parlent pas de cette annonce proférée en espagnol il y a quelque semaines dans une vidéo où l’on voit deux musulmans de l’EI dont l’un est un Franco-Marocain du nom de Salahedine Ghaitun, alias Abou Abdallah Guitone. Cette vidéo peut être vue par exemple sur le site du journal espagnol El Mundoici.

    En Espagne même, des musulmans font circuler sur les médias sociaux des photos de monuments connus avec des drapeaux de l’État islamique et des slogans du type «Nous sommes tous l’État islamique». De leur côté les autorités marocaines ont prévenu la police espagnole que certains des djihadistes partis commettre leurs exactions barbares en Syrie et en Irak sont sur le chemin du retour et pourraient chercher à pénétrer en Espagne par les frontières de Ceuta et Melilla, ces enclaves espagnoles en Afrique du Nord dont les clôtures sont régulièrement prises d’assaut par des groupes de plusieurs centaines de migrants. Un des auteurs des menaces à l’encontre de l’Espagne, un Marocain du nom de Mohamed Hamduch qui répond également au doux pseudonyme de «Kokito», marié à une Espagnole et ex-résident de Ceuta, s’est aussi distingué en postant sur les réseaux sociaux une photo où il pose avec cinq têtes de soldats syriens.

    Kokito[1]

    Dans une nouvelle vidéo signalée par le journal ABC comme ayant été repérée par les services antiterroristes espagnols après avoir été distribuées dans les forums djihadistes du monde entier et également sur les réseaux sociaux, les islamistes clament qu’ils ne cesseront pas de combattre tant qu’ils n’auront pas récupéré Jérusalem, conquis Al Andalus (les terres de la péninsule Ibérique qui ont été à un moment ou à un autre sous domination musulmane, avec aussi un petit bout de France près de la frontière espagnole) et pris possession de Rome.

    «Nous établirons l’État islamique avec des bombes et des explosions. Avec des soldats qui ne voient pas de difficultés dans la difficulté et qui dans la bataille sont des lions qui boivent le sang des infidèles. Le califat est de retour.»

    «L’État islamique, par la grâce d’Allah, s’étend de jour en jour. Nous ne nous arrêterons pas, par la volonté d’Allah. Les bombardements ne cesseront pas tant que la croix n’aura pas été détruite, les porcs assassinés et la loi islamique établie. Nous rétablirons l’islam par la coercition, en vous rouant la face de coups et en vous coupant la tête.»

    Pour revenir à cet Abou Abdallah Guitone, une recherche sur Google permet de tomber sur des forums musulmans hébergés en France et où l’on écrit en français, où l’on apprenait à la fin du mois de juillet que cet islamo-fasciste, «qu’Allah l’accepte», est mort en martyr."

    Marie Bethanie

     
  • Sarkozy, ou le syndrome de Lampedusa

    Que Sarkozy revienne si cela lui chante. Il ne sera jamais qu’un rogaton de cette politique que les Français semblent rejeter en masse.

    « La première campagne présidentielle, on la fait toujours par envie et par désir. Pour un retour, le moteur, c’est le devoir [...]. » Ainsi parlait Nicolas Sarkozy dans un entretien confié à l’hebdomadaire Valeurs actuelles, le 7 août dernier. Comme on connaît ses saints, on les honore, affirme un solide dicton populaire. Et un tel propos tenu par un politicien aussi roué que l’ancien tombeur de Pasqua à la mairie de Neuilly ne peut emporter la conviction ni, a fortiori, être un gage de confiance. Que l’on se souvienne (ce n’est pas si lointain) de certaines promesses présidentielles aux accents de matamore FN (« nettoyer » nos riantes banlieues, en l’occurrence), faisant presque passer le Menhir pour un tiède du Marais.

    Mais que l’on n’oublie surtout pas la véritable forfaiture démocratique de l’ancien président de la République consistant à contourner, par la voie parlementaire, le veto opposé le 29 mai 2005, ad referendum, par le peuple français au traité portant constitution pour l’Europe. Certes, le candidat non encore élu avait, à l’époque, annoncé son intention de remettre ce traité sur les rails. Une promesse présidentielle qui fut, elle, réalisée. À l’instar de celle du « mariage pour tous » soutenue par Hollande. Deux promesses tenues. Deux catastrophes. Deux dénis du peuple. [....]

    lire la suite

  • Un ayatollah peut en cacher un autre

    Lu dans Présent :

    A"Nos confrères deValeurs actuellestitrent leur numéro du 4 au 10 septembre : « L’ayatollah ». Ils parlent de Najat Vallaud-Belkacem. Toute ressemblance avec la une de Présent du 28 août dernier serait évidemment fortuite.

    Et le directeur général de Valeurs actuelles, Yves de Kerdrel, accusé d’incitation à la haine raciale (bienvenue au club !), invite, le dictionnaire à la main, les responsables du Parti socialiste comme de SOS Racisme à relire avec lui la définition que le dictionnaire Larousse donne du mot « ayatollah » : « personne aux idées rétrogrades qui use de manière arbitraire et tyrannique des pouvoirs étendus dont elle dispose ».

    N’est-ce pas que c’était bien trouvé ?

    « Il n’y a donc dans ce titre choisi par Valeurs actuelles, comme dans les huit pages que notre hebdomadaire consacre à la Ministre de l’Education nationale, pas la moindre allusion de nature raciste ou confessionnelle », conclut Kerdrel.

    Il aurait pu ajouter (mais la culture de sa famille d’idées est davantage celle du Figaro) qu’il y a quelques années, une personnalité du Front national tout ce qu’il y a de plus Français de souche avait été surnommée « l’ayatollah Cassoulet ». Ce qui est bien la preuve de la non-confessionnalité de l’expression.Qui d’ailleurs avait été prise avec humour.

    Nous ne demanderons pas de « droits d’auteur » à Valeurs actuelles qui fait le buzz avec cet emprunt. Après tout on ne copie que les meilleurs."

    Michel Janva

  • Pour le PS, être de nationalité marocaine et de religion musulmane est infamant !

    La gauche Titanic se noie et, se sentant couler, se débat comme un diable. Elle veut museler tout ce qui bouge. Les maires, la presse.   

    Christophe Cambadélis ressemble à un naufragé de première classe du Titanic qui s’accrocherait à sa vieille valise. Sa valise qui flotte encore, sa valise qui ne le quittait pas du temps de sa superbe avec, à l’intérieur, tous ses outils bien rangés, toutes ses imprécations, ses indignations, ses discours horrifiés bien huilés qui lui ont rendu tant de loyaux services. Alors que le gouvernement sombre, entraînant par le fond tout le socialisme français, et que se profile, pour le Président déjà à la baille, l’ombre d’un scénario catastrophe, Les Sans-dents de la mer, Cambadélis ne semble pas voir que sa valise prend l’eau, il fourrage à l’intérieur, il en sort « le racisme », l’agite en tous sens avec l’énergie du désespoir. Il ne lui reste plus que ça.

    Dans un communiqué officiel, il demande que Minute soit condamné pour son titre : « Une Marocaine musulmane à l’Éducation nationale ». On peut penser ce que l’on veut du journal Minute, le juger sulfureux, provocateur, refuser habituellement de le lire, ou ne le lire que pour lever les yeux au ciel, mais la moindre des honnêtés journalistiques commande, en l’espèce, de rester factuel : Minute serait condamnable si son titre était faux ou insultant. Cambadélis ne peut pas dire qu’il est faux, ni insultant. Sauf s’il considère qu’être de nationalité marocaine et de religion musulmane est infamant ; et dans ce cas, bien sûr, le raciste, ce serait lui.

    Lire la suite

  • « Seraient-ils plus intelligents que nous ? »

    Cela ne doit bien évidemment rien au hasard. C’est le collège Louise-Michel de Clichy-sous-Bois, entièrement reconstruit pour un coût d’une quarantaine de millions d’euros et situé dans le département babélisé de Seine-Saint-Denis, symbole des territoires perdus de la République et du « grand remplacement » diraient certains, que François Hollande a tenu à effectuer discours et visite à l’occasion de la rentrée scolaire. Le chef de l’Etat était logiquement accompagné du ministre de l’Education, Najat Vallaud-belkacem, laquelle serait victime, expliquait Le nouvel obs hier, des attaques « sexistes », « racistes », « jeunistes » (sic) de la droite. « Difficile pour nous de taper sur Emmanuel Macron, alors forcément on s’en prend à la jeune femme ministre d’origine marocaine et à ses prétendues (sic) déclarations sur le genre ! » se justifiait un élu UMP interrogé sur le site du magazine… Hier, François Hollande ne s’est pas contenté d’annoncer « un grand plan numérique pour l’école de la République ». Il a aussi assuré parents et élèves de cet établissement multiculturel, regroupant des dizaines de nationalités, qu’ils étaient « l’avenir de la France », puisque vivant dans un « département particulièrement dynamique, avec une vitalité démographique »…

    « Vitalité démographique » qui en l’espèce n’est pas forcément une chance pour la France.Bruno Gollnisch l’affirmait le 16 septembre 2010 lors de son appel lancé depuis le parvis de la basilique Saint-Denis, « la Seine-Saint-Denis ne doit pas devenir pour la France ce que fut le Kossovo pour la Serbie : berceau de l’Histoire nationale progressivement submergé, puis amputé par les forces d’une coalition étrangère ! ».

    François Hollande, pas plus que son prédécesseur Nicolas Sarkzoy, et pour cause, n’ont voulu faire leur révolution intellectuelle et morale en dénonçant, comme nous le notions alors, les ravages d’un mondialisme ultra-libre échangiste.  Une idéologie dont les effets sont  si perceptibles en Seine-Saint-Denis, prônant la disparition des frontières, la destruction des traditions, des identités nationales et utilisant ou encourageant pour se faire la même arme de destruction massive : l’immigration de peuplement.

    Guillaume Faye, qui ne ménage pas ses critiques vis-à-vis du FN et dont nous ne partageons pas toutes les analyses, rappelait très justement sur son blogue (j’ai tout compris) ces derniers jours, que « le territoire français des Gaules n’avait jusqu’au milieu du XXe siècle jamais connu d’immigration de peuplement importante et les seules migrations concernaient des populations européennes apparentées (…). La rupture s’est produite, comme ailleurs en Europe occidentale, pendant les catastrophiques années soixante et soixante-dix ( lesTrente Glorieuses) où a commencé un flux migratoire extra-européen ininterrompu et massif– jamais vu dans l’histoire depuis plusieurs millénaires – associé à une chute de la fécondité des Français et Européens de souche ; mais aussi amenant dans ses fourgons le millénaire islam (…) . Face à ce phénomène invasif, les élites françaises et européennes ont non seulement baissé les bras mais, fait inouï, incompréhensible pour un Chinois, un Japonais, voire un Africain, elles le favorisent. Elles collaborent« .

    « La catastrophe militaire de 1940, qui n’a pas été la première dans la longue et lourde histoire du pays, fut une piqure de guêpe en comparaison de ce qui nous arrive actuellement (…). L’exemple du Japon est parlant : écrasé en 1945 comme jamais aucun pays ne le fut, seul à avoir subi dans l’histoire le feu nucléaire, l’Empire du Soleil levant s’est relevé et persiste. Pourquoi ? Parce qu’il s’est abrité de toute immigration étrangère, parce que ses valeurs ancestrales, historiques, spirituelles, nationales, ethniques on prévalu – en dépit de la société de consommation et du matérialisme. Le Japon a trouvé dans son âme ancestrale la force de rester lui-même. Il a eu l’intelligence de ne pas compenser fallacieusement sa dénatalité par une immigration étrangère qui aurait dénaturé sa substance,L’exemple du Japon infirme l’argument rebattu selon lequel les sociétés ferméesseraient improductives. Au contraire, ce sont les sociétés trop ouvertes qui le sont, car menacées d’explosion. Les Japonais ont eu cette lucide intelligence de comprendre qu’en dépit de leur dénatalité, l’immigration n’était pas la bonne solution. Seraient-ils plus intelligents que nous ? ».

    A l’heure ou le gouvernement Valls 2 se pique de sérieux, de rigueur, d’une volonté de réduction des déficits et de la dette, Guillaume Faye rappelle aussi sur son blogue que « l’argument, défendu par toute l’idéologie dominante, selon lequel l’immigration en provenance du tiers monde serait indispensable pour compenser notre déficit démographique et notre vieillissement, outre qu’il néglige les facteurs ethniques et historiques, ne tient pas la route sur le plan strictement économique, bien qu’il soit fondé sur le réductionnisme économique. Les bénéfices objectifs de l’immigration en termes économiques sont marginaux. Ce sont des cas particuliers, que les médias mettent en valeur en les généralisant. Globalement, en terme de coûts comparatifs, les inconvénients surpassent de loin les avantages ». « Une des causes –pas la seule – de la récession économique française est le coût énorme de l’immigration, avec toutes ses conséquences financières et autres ».

    Une évidence mise en avant de manière claire et irréfutable par les travaux étayés de très nombreux spécialistes dont, comme d’autres sites et blogues de réinformation, nous nous sommes fait l’écho, mais qui sont largement tus, boycottés, occultés par les « grands » médias dominants.

    Médias dominants qui répètent aussi à satitété que l’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen et l’application du programme du FN engendreraient le chaos et une terrible récession économique. Nous pensons au contraire que l’alternative que nous portons peut arracher notre pays à un déclin mortel. Pour autant, il serait naïf de croire que la coalition hétérroclite, mais soudée par des intérêts communs, des adversaires du Mouvement national, acceptera sans broncher que le peuple Français recouvre la maitrise de son destin.

    Javier Portella l’écrivait le 29 août sur le site Polemia, « l’arrivée du Front National au pouvoir – la chose semble désormais imparable, quelle qu’en soit la date – ne devrait pas se borner à quelques retouches par-ci, à quelques remaniements par-là. Si le projet du Front est sérieux, si ce n’est pas de la frime, s’il ne consiste pas à rafistoler un peu la façade pour mieux laisser la maison intacte, ce projet ne peut que conduire à un grand, à un profond bouleversement politique, social, économique, culturel ». « Un tel bouleversement a un nom, même si on ne le prononce jamais afin de ne pas effrayer les braves gens : ce nom est révolution. Une révolution, certes, voulue dans l’ordre, entreprise dans la légalité. Mais révolution quand même. »

    Révolution que nous annonçons bien comme telle. Révolution patriotique qui loin d’être une perspective effrayante est bien la raison d’être du vote FN et qui ne fait  pas peur (de moins en moins) aux   Français si l’on en juge par « le sondage (Ipsos) confidentiel qui circule en ce moment à l’UMP » révélé hier sur le site de Valeurs actuelles.

     « Si Nicolas Sarkozy était candidat, il obtiendrait 30% au premier tour face à Marine Le Pen (27%) et François Hollande (16%) (…). Nicolas Sarkozy serait le seul à pouvoir empêcher le Front National de ravir la première place lors du premier tour de la présidentielle de 2017Juppé obtiendrait 24%, devant Hollande (16%) mais derrière Marine Le Pen (33%).François Fillon obtiendrait quant à lui 16% face à Marine Le Pen (35%) et François Hollande, toujours scotché à 16% (…) Nicolas Sarkozy serait élu en cas de second tour face à Marine Le Pen par 65% des voix contre 35%. En cas de second tour Marine Le Pen-Hollande, en revanche, la présidente du Front National et le président de la République feraient jeu égal, 50% des voix chacun »…Nous entrons bien dans l’ère des possibles…

    http://gollnisch.com/2014/09/03/mercredi-3/

  • Zemmour avait raison : les succès de l’Allemagne ne doivent rien au multiculturalisme

    L’Allemagne a privilégié une immigration européenne et chrétienne. La société allemande est assimilatrice et peu multiculturelle.   

    Éric Zemmour s’est planté en pronostiquant la défaite de l’équipe d’Allemagne de football face au Brésil puis à l’Argentine. En cette rentrée, il a fait amende honorable face à Pascal Praud (le journaliste sportif, aussi nul que prétentieux, qui remplace Léa Salamé pour animer « Ça se dispute ») et Nicolas Domenach.

    Sauf que, sur l’analyse, Zemmour n’avait pas tort. Son erreur a été de croire – comme les médias le répètent à foison, pour nous persuader du caractère inéluctable des phénomènes d’immigration et de remplacement – que cette équipe allemande serait « multiculturelle », sur le modèle de l’équipe de Français noir-blanc-beur victorieuse en 1998. Rien n’est plus faux.

    Sur les 23 joueurs allemands sélectionnés, trois seulement (13 %) sont d’origine non européenne (Özil, Khedira, Boateng), les mères des deux derniers étant mêmes allemandes. Les autres étrangers sont polonais (Klose, de père allemand, et Podolski), albanais (Mustafi), espagnol (Gómez, de mère allemande). Seuls les deux Polonais sont nés hors d’Allemagne et un seul (Khedira, tunisien) a une double nationalité. Trois seulement sont musulmans, quoique très discrets sur leur croyance.

    Lire la suite

  • Entretien du “Rouge et le Noir” avec Philippe Vardon sur l’immigration

    Il a écrit plusieurs ouvrages (notamment un intéressant abécédaire :Éléments pour une Contre-Culture identitaire) et publiera fin août un recueil de nouvelles intitulé Militants. Philippe Vardon a récemment participé à l’élaboration des « 26 mesures pour une politique de remigration » présentées par le Bloc identitaire en réponse à la feuille de route délirante du Parti socialiste. Et c’est notamment à ce titre qu’il nous a semblé opportun d’interroger l’auteur et activiste identitaire dans le cadre de notre controverse estivale (sur l’immigration, note de Novopress).

    Vous êtes l’un des propagateurs du concept de remigration. Pouvez-vous nous l’expliciter ?

    Philippe Vardon : C’est assez simple en fait : l’immigration massive que subissent la France et l’Europe crée des troubles majeurs qui mettront en danger l’existence de notre nation et notre civilisation elles-mêmes si l’on ne travaille pas rapidement, c’est-à-dire dans les décennies qui sont devant nous, à inverser la tendance. Pour clore cet interlude, cet accident historique, qu’aura été la présence massive dans notre pays de millions de Français administratifs, n’étant en fait Français ni de sang ni même de cœur pour la plupart, il faut donc envisager – calmement, sereinement, mais sérieusement – qu’une grande partie de ces immigrés ou descendants d’immigrés retrouvent leur patrie, c’est-à-dire la terre de leurs pères.

    Il ne s’agit donc pas uniquement de stopper l’immigration, urgence absolue et évidente mais à laquelle je pense que nos politiques (à l’exception de quelques extrémistes ou cinglés) finiront par se ranger, mais bien de mettre en place politiquement les conditions d’un grand retour qui est la seule possibilité d’enrayer le Grand Remplacement.

    Le constat de l’échec de la société multiculturelle (donc multiconflictuelle) et multiraciale (donc multiraciste) imposée aux Français est désormais largement partagé.La remigration, c’est-à-dire le retour dans leurs pays d’origine, de manière pacifique et concertée, d’une majorité des immigrés extra-européens présents sur notre territoire est la seule solution permettant de répondre à l’ampleur du phénomène et d’éviter le chaos.

    La seule solution ? Pourtant d’autres voix en appellent au recours à l’assimilation républicaine, ou encore à la « réconciliation ».
    Philippe Vardon :
     C’est déjà ennuyeux de se mentir à soi-même, mais quand on est un responsable public il faut aussi s’efforcer de ne pas mentir aux autres…

    Quelqu’un peut-il réellement s’imaginer que nous allons « assimiler » la dizaine de millions de musulmans, de plus en plus revendicatifs et radicaux, aujourd’hui présents sur notre sol, ou bien que nous allons nous « réconcilier » avec les sympathiques supporteurs de l’équipe d’Algérie ayant démontré suffisamment clairement quel était leur vrai pays de sang et de cœur ?

    Imagine-t-on que d’un coup ceux qui brandissent des étendards du djihad ou sortent leurs drapeaux algériens à la moindre occasion, ceux qui se gavent de chansons où l’on répète que l’on « nique la France » à chaque refrain, vont devenir des bons petits Français parce qu’ils chantent la Marseillaise et agitent le drapeau tricolore ?

    On me dira qu’il s’agit là de minorités sur lesquels je me focalise, eh bien je crois en fait tout l’inverse. Je pense, et je parle ici par empirisme, qu’ils sont l’expression de la majorité.

    J’entends d’autres encore me dire que la France n’applique plus une politique d’assimilation volontariste. C’est en partie vrai, mais quand bien même serait-ce le cas, cela ne suffirait plus. Le seuil où l’assimilation républicaine, comme réponse globale, pourrait encore s’avérer opératoire est largement dépassé.

    Vous connaissez la formule : on peut assimiler des hommes, pas des communautés. En effet, l’assimilation est une démarche personnelle profonde, elle exige un dépouillement et une renaissance. D’une certaine manière je pense qu’on peut la comparer à une conversion religieuse. Il n’est d’ailleurs pas rare que dans notre pays le processus d’assimilation de personnes n’ayant pas été élevées dans la religion catholique se termine par un baptême. Cela me semble très significatif.

    On me dit souvent aussi que l’assimilation est la « ligne » du Front National, mais je crois qu’elle en est plutôt l’idéal. J’ai entendu à plusieurs reprises Marine Le Pen déclarer que cet idéal d’assimilation était désormais rendu impossible justement par le caractère trop massif de l’immigration. Elle a aussi parfois ajouté, à juste titre, que les différences culturelles trop importantes constituaient un facteur aggravant. [1] C’est aussi la position d’un Eric Zemmour, pourtant grand défenseur de l’assimilation à la française, quand il déclare : « Il y a trop d’immigrés venus d’Afrique du nord et d’Afrique noire, et ils n’arrivent pas à s’intégrer parce qu’ils sont trop nombreux. » C’est en effet à mes yeux la conjonction entre le nombre d’immigrés et l’origine d’une majorité d’entre-eux – trop éloignée de notre identité française et européenne – qui rend aujourd’hui impossible l’assimilation. Pour résumer, l’assimilation massive ne peut être présentée comme une solution à l’immigration massive.

    Pour lire l’article dans son intégralité

    http://fr.novopress.info/174089/chez-nos-confreres-entretien-du-rouge-noir-philippe-vardon-l-immigration/