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immigration - Page 1335

  • Marion Maréchal-Le Pen au sujet des djihadistes français : “Dix ans de prison, c’est autre chose qu’un accompagnement socio-éducatif”

    Invitée ce matin de Jean-jacques Bourdin, Marion Maréchal-Le Pen (photo), député de Vaucluse, est revenue sur l’actualité internationale, où eelle a indiqué qu’elel voterait la reconnaissance d’Un Etat palestinien. Interrogée sur les djihadistes “français”, Marion Maréchal-Le Pen a indiqué : “Dix ans de prison, c’est autre chose qu’un accompagnement socio-éducatif”. Elle a précisé que le Front national voulait étendre les possibilités de déchéance de nationalié notamment pour les bi-nationaux. Elle souhaite également que la France sorte de l’OTAN. Revenant sur le cas de Maxence Buttey, Marion Maréchal-Le Pen a affirmé qu’elle était favorable à sa suspension, estimant que Maxence Buttey s’était moqué du Front national. Enfin, s’agissant de la loi Taubira, Marion Maréchal-Le Pen a réaffirmé que le FN et Marine Le Pen étaient pour son abrogation, et s’est moqué de l’attitude de Nicolas Sarkozy.

    http://fr.novopress.info/178552/marion-marechal-le-pen-au-sujet-des-djihadistes-francais-dix-ans-de-prison-cest-autre-chose-quun-accompagnement-socio-educatif/

  • La Remigration ou la guerre

    Une des allocutions les plus intéressantes, aux Assises de la Remigration, fut la dernière, celle de l’hôte, Fabrice Robert, le président du Bloc identitaire. Il s’est colleté à une question majeure, à laquelle je suis soumis fréquemment moi aussi, à propos du Grand Remplacement comme de la Remigration :

    « Ce sont là des mots très forts, nous dit-on. Est-ce que vous ne craignez pas d’alarmer les gens, avec des termes aussi abrupts ? »

    J’ai tendance à répondre, pour ma part, que c’est de fuir la réalité qui est anxiogène : de se repaître de mensonges, de se laisser bercer d’illusions. Ce n’est pas le syntagme Grand Remplacement qui est effrayant, c’est le phénomène qu’il désigne. On peut souhaiter, bien sûr, ne pas s’aviser de ce qui survient, fermer les yeux, n’écouter rien, sinon le rassurant babil des remplacistes. Mais ce babil est de plus en plus difficile à croire, à mesure que la situation se dégrade. Mieux vaut, ce me semble, être averti d’un danger pressant, serait-ce pour se mettre en état de s’en défendre, que d’en ignorer tout de parti délibéré, au risque d’être emporté par lui sans retour. Au demeurant je n’ai pas peur de faire peur, ni ne me sentirais coupable si c’était le cas : celui qui avertit d’un incendie en criant au feu de toutes ses forces, qui songe à lui reprocher de d’affoler tout le quartier ?

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  • Français djihadistes : privilégier le réel contre la propagande – par Benoît du Tercouët

    e Centre de prévention sur les pratiques sectaires liés à l’islam (CPDSI) a publié un rapport sur le profil type des jeunes tentés par l’islam radical et le djihad (que l’on peut consulter en intégralité ici).

    Les médias dominants s’en sont immédiatement emparés notamment pour accréditer la thèse selon laquelle 80 % des djihadistes partis rejoindre l’État islamique seraient de jeunes Français de souche convertis mais surtout pas des jeunes maghrébins des banlieues. La démarche visant bien entendu à éviter tout parallèle entre immigration et terrorisme islamiste…

    Ce rapport reste néanmoins particulièrement éclairant sur plusieurs points fondamentaux :
    - L’étude est basée sur 160 familles qui ont contacté le CPDSI. 160 familles, c’est peu lorsque l’on estime qu’au moins 1000 ressortissants français sont partis combattre au sein des milices de l’État islamique… Mais l’organisme reconnaît « qu’elles ne sont pas forcément représentatives de l’ensemble des familles dont les enfants sont impactés par le discours de l’islam radical. Au nombre de 160 au moment de l’étude des données, elles ne représentent que celles qui ont été attentives au changement de comportement de leur enfant et ont décidé de nous contacter ». Plus clairement, il semble évident que seules des familles françaises de souche, inquiètes de l’islamisation de leurs enfants, aient contacté le CPDSI. Les éléments apportés par l’étude nous le démontrent avec plusieurs éléments:

     

    - Les familles qui ont contacté le CPDSI sont toutes de nationalité française. 90 % d’entre elles ont des grands-parents d’origine française et 84 % seraient issus des classes moyennes et supérieures, avec une forte représentation des milieux enseignants et éducatifs (50% de ces 84% !). Le CPDSI formule à ce sujet l’hypothèse que ce type de parents est très attentif aux comportements de leur enfant. Cet argument démontre à lui seul ainsi le caractère très parcellaire et déséquilibré de l’enquête…

    - 80 % de ces familles se revendiquent de culture athée. Le restant (20%) se partageant entre musulmans, catholiques, bouddhistes et autres…

    - Concernant le profil des jeunes apprentis djihadistes, le CPDSI nous indique que la classe d’âge 15-21 ans représente 63 % des cas étudiés. Il souligne que le phénomène touche toutes les classes sociales, pouvant faire basculer un jeune scolarisé dans une grande école ou une championne de natation, en pleine réussite et ascension sociale. Ainsi, loin du portrait type d’une petite racaille de banlieue, seuls 5% des jeunes ont commis des actes de « petite délinquance » au début de leur adolescence. En revanche, 40% d’entre eux ont connu des épisodes de dépression avec différents symptômes : états dépressifs, anorexie, scarification, isolement…

    En conclusion, selon ces éléments, cette enquête ne correspond pas, loin s’en faut, à ce qu’annonce et interprète la propagande médiatique. Basée uniquement sur des témoignages volontaires de parents inquiets de la dérive islamiste de leurs enfants, elle n’est pas représentative de l’ensemble des jeunes  vivant en France qui s’engagent dans la voie du terrorisme islamiste. Elle offre cependant plusieurs enseignements intéressants sur les conditions favorisant le basculement dans l’Islam de jeunes Français de souche :

    - le grand effacement de notre mémoire et de notre tradition transforme de jeunes Européens déculturés, privés d’une partie d’eux-mêmes, en êtres malades (cf. les 40 % de dépressifs…). Privés de tout repère identitaire propre, vivant dans des cocons familiaux peut être confortables mais où règne le nihilisme le plus abscons (cf. l’athéisme revendiqué des familles et la forte proportion de parents enseignants, sans doute pétris d’idéologie soixante-huitarde…), ces jeunes sont à la recherche d’une identité de substitution que l’Islam a tôt fait de représenter, face au vide sidéral d’un modèle laïc désséché et à la pauvreté spirituelle du christianisme d’aujourd’hui.

    - Autre enseignement, la quasi-absence des familles musulmanes dans cette enquête, comparée au poids réel des maghrébins dans les filières djihadistes, démontre que celles-ci ne semblent pas s’inquiéter des « dérives radicales » de leur progéniture…

    La Nature a horreur du vide, c’est bien connu. C’est pourquoi certains jeunes Européens vont chercher ailleurs ce que l’on ne leur propose plus chez eux. Nos hommes politiques, nos pédagogues, nos journalistes, nos psychiatres pourront continuer à déplorer et s’indigner, la seule solution consiste à ré-enraciner notre peuple et sa jeunesse.

    Benoît du Tercouë

    http://fr.novopress.info/178579/francais-djihadistes-privilegier-le-reel-contre-la-propagande-par-benoit-du-tercouet/

  • François Bayrou honore un partisan de la décapitation

    L'écrivain-paysan Alexis Arette vice-président de l’Académie de Béarn a écrit le 28 octobre à François Bayrou, suite à l'inauguration d'une allée en l'honneur d'Abd-el-Kader :

    "Je ne pense pas que l’inauguration de l’allée Abd-el-Kader améliorera les problèmes de circulation que la précédente municipalité t’a laissés en cadeau, et je doute que le geste soit assez fort pour convaincre les coraniques palois de voter en faveur du Pays de Béarn. Si tu y avais ajouté le geste audacieux d’une circoncision publique, peut-être…

    À cette occasion, il m’est revenu à l’esprit qu’Abd-el-Kader était un humaniste tout à fait particulier. Dans la guerre qu’il menait contre les Français, pour les droits de l’homme musulman de conserver un harem et de pratiquer l’esclavage, il y eut quelques trêves, et au cours de l’une d’elle, les Français acceptèrent de rendre à l’émir une centaine de ses esclaves noirs, qui avaient cru trouver la liberté en se réfugiant sous notre drapeau. Abd-el-Kader les fit tous décapiter. Il n’était, ce faisant, qu’un très modeste émule de Mahomed qui, lui, avait fait couper le cou des 900 juifs de la tribu des Banou-Caraïza, pour mettre leurs jolies femmes dans le lit de ses guerriers. Tamerlan devait faire mieux encore en édifiant des pyramides avec les têtes des infidèles tombées sous le cimeterre.

    Mais ce ne sont là que des broutilles de l’histoire, et même le Pape François, en accord avec les Imams qui prolifèrent en France comme des champignons, nous affirme que l’Islam est, contrairement à quelques apparences, tolérant et miséricordieux. Bien sûr, les historiens Occidentaux affirment qu’il y eut entre le seizième et le dix huitième siècle, 4 millions de chrétiens razziés sur nos côtes, et plus de 18 millions de noirs réduits en esclavage, et châtrés afin qu’ils ne se reproduisent pas, mais je me demande si ces historiens n’avaient pas été contaminés par le virus Lepéniste ! La bête immonde est partout ! la preuve ? C’est que même quelques mahométans sont gagnés par le virus, tel l’anthropologue Malek Chebel qui écrit : « Parce que je suis un intellectuel musulman (…) je me sens missionné pour dénoncer ce drame de l’esclavage qui a contaminé tous les pays où l’Islam à prospéré ! »

    Fort heureusement, des gestes comme l’inauguration de l’allée Abd-el-Kader prouvent que l’on peut être esclavagiste et coupeur de têtes, et tout de même tenu pour un grand homme par la République. Madame Taubira même, a tenu à aller plus loin dans l’humanisme. Dans l’express du 4 Mai 2006 elle affirmait : « Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière Arabo-Musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfais de leurs Pères ! » A remarquer que la justice Taubirienne a déjà porté ses fruits : je lis aujourd’hui sur internet qu’un certain Karim vient d’être interpellé par la police pour la 197ième fois ! En voila un au moins qui n’est pas traumatisé par l’héritage de ses pères, et qui pourra revoter Hollande la prochaine fois. Nous n’en avons pas fini de découvrir les beautés du Système !

    De leur coté, les humanistes de Boko Haram et quelques autres ne relâchent pas leurs efforts pour arracher la jeunesse Africaine à la déchéance Occidentale. Il y a quelques semaines, c’était 200 lycéennes qui étaient enlevées à Chibok. Avant-hier c’étaient 60 femmes enlevées à Wagga. Hier c’étaient 30 Jeunes razziés à Mafa. La religion d’Abd-el Kader manifeste partout une semblable ferveur, et à mon sens ce n’est pas une simple allée qui devrait garder la mémoire du premier vaincu du Djihad, mais une autoroute !

    Avec bien sûr, dès l’entrée, l’emblème du croissant et de l’étoile, pour éclairer les destinées de la république."

    Michel Janva

  • "Chesterton a vu que le libéralisme ferait tout pour permettre à l’islam de pénétrer chez nous" - Entretien avec Philippe Maxence 3/3

    Journaliste et écrivain, rédacteur en chef du bi-mensuel catholique conservateurL’Homme nouveau, Philippe Maxence est également l’un des meilleurs connaisseurs français de l’œuvre de Gilbert Keith Chesterton (photo). C’est afin de mieux connaître ce penseur original et profondément iconoclaste que nous avons souhaité interroger Philippe Maxence.

    Propos recueillis par Pierre Saint-Servant

    Pourquoi Chesterton, vivant dans l’Angleterre de 1900, a priori peu concernée, s’est-il préoccupé de l’Islam ? 

    D’abord parce que l’Angleterre étant un empire, était confrontée directement à la réalité de l’islam. Mais l’aspect prophétique de Chesterton tient au fait d’avoir compris que l’islam étant par nature une religion conquérante, menacerait les vieilles nations occidentales chez elles. Mais il faut aller plus loin : il voyait aussi que notre propre lâcheté favoriserait cette conquête. Il a vu que le libéralisme ferait tout pour permettre à l’islam de pénétrer chez nous, ou pour le laisser pénétrer chez nous, dès lors que les intérêts financiers s’en trouveraient confortés. C’est le cas aujourd’hui. Le patronat a fait appel massivement aux immigrés dans les années 1970. Et, aujourd’hui, nous sommes confrontés à une alliance objective entre les grandes surfaces et l’islam qui passe par la vente des produits halal.

    Chesterton s’attaque à l’islam avant tout en tant qu’hérésie, en faisant un parallèle avec l’unitarisme britannique très vivace à son époque, pouvez-vous développer ce point ?

    Au fond de toute erreur politique se trouve une erreur théologique. C’est fort de cette conviction que Chesterton aborde l’islam, qui est d’abord une religion. L’unitarisme n’était pas particulièrement répandu en Angleterre à l’époque, mais il se trouve que venant de l’unitarisme, avant sa conversion, Chesterton perçoit que l’islam est une hérésie chrétienne et que cette hérésie refuse toute idée de relation en raison même de sa conception de Dieu. Au Dieu unique en trois personnes des chrétiens, l’islam comme l’unitarisme, hérésie chrétienne, oppose le Dieu unique et seul. Son passé unitarien permet à Chesterton de saisir l’essence même de l’islam.

    Il voyait aussi que notre propre lâcheté favoriserait cette conquête. Il a vu que le libéralisme ferait tout pour permettre à l’islam de pénétrer chez nous, ou pour le laisser pénétrer chez nous, dès lors que les intérêts financiers s’en trouveraient confortés. C’est le cas aujourd’hui. Le patronat a fait appel massivement aux immigrés dans les années 1970. Et, aujourd’hui, nous sommes confrontés à une alliance objective entre les grandes surfaces et l’islam qui passe par la vente des produits halal.

     

    chestertonfaceislamIl décrit ailleurs l’islam comme“un théisme forcené qui ne voit partout que la divinité et qui renie complètement les principes de la personnalité et de la volonté humaines”. Ce dont le djihadisme actuel donne un cruel exemple aujourd’hui …

    Oui, effectivement. Il y a une pesanteur de la divinité dans l’islam alors que Dieu dans le christianisme, en s’incarnant, sauve l’homme et le restaure dans son innocence. Le djihadisme est toujours au terme d’un islam qui s’impose de plus en plus, même si au point de départ, il peut apparaître comme pacifique et tolérant.

    Le musulman est celui qui fondamentalement “offre aux hommes le choix entre le Coran et l’épée”. Au-delà de la théologie, n’est-ce pas cette dimension liberticide qui repousse le fils de la civilisation européenne qu’est Chesterton ?

    Ce n’est pas au-delà de la théologie ! La vision théologique que Chesterton pose sur l’islam lui permet d’en saisir le fondement irréductible. Irréductible parce que théologique. Seul un regard vraiment théologique sur l’islam permet de comprendre la profondeur de ce danger.

    Dans le petit florilège que vous donnez dans votre ouvrage, vous consacrez une entrée au mot “frontière”, que ne connait justement pas l’islam. N’est-ce pas un fait que devraient considérer tous les apôtres de la “réconciliation” et de “l’union des croyants” qui font ici preuve d’autant de naïveté que la gauche bobo mondialisée ?

    Oui, vous avez raison ! Dans l’islam, la seule frontière qui existe est celle entre la communauté des croyants et le reste du monde. L’unicité anti-trinitaire de la conception de Dieu dans l’islam l’empêche de saisir ce qui relève du Ciel et ce qui est de la terre, et de travailler à l’union des deux. Comme le dit Chesterton, la seule paix que connaît l’islam est la paix des cimeterres qui conduit à la paix des cimetières.

    Première partie de l’entretien

    Deuxième partie de l’entretien

    http://fr.novopress.info/178395/chesterton-vu-liberalisme-ferait-permettre-l-islam-penetrer-chez-entretien-philippe-maxence-33/

  • Deux nouveaux terroristes sur le sol français

    Hassan Diab Le principal suspect dans l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic qui avait fait quatre morts en 1980 est arrivé en France samedi matin. L’ancien terroriste du FNL, assassin du peuple algérien et de nombreux français, Abdelaziz Boutéflika, ,est en France lui aussi,, hospitalisé à Grenoble depuis la semaine dernière.

    La simultanéité des deux événements est elle fortuite ou bien témoigne-t’elle d’un zèle nouveau de nos services de sécurité ? Car , sans être rabat joie, si aujourd’hui la culpabilité d’Hassan Diab n’est pas encore juridiquement établie, on ne peut oublier les bombes dans les bars et devant les écoles même, qui explosèrent à l’instigation du FNL, dans les rues d’Alger d’Oran ou de Constantine il ya à peine plus de cinquante ans. On ne peut oublier non plus la disparition de milliers d’Européens après la signature des accords d’Evian sensés assurer leur sécurité, pour ne parler que de cela sans s’attarder sur les plus atroces barbaries qui émaillèrent ce qu’on a fini par appeler la guerre d’Algérie. D’autant moins que le personnage, devenu président, ne cesse de réclamer réparation à la France à chacun de ses déplacements. Depuis la grave maladie qui l’affecte, ce boucher recyclé semble toutefois avoir baissé, ces derniers temps, d’un ton, comme si soumettre son corps à des scalpels français l’invitait à une attitude moins polémique. On sait cependant que le vieillard n’est plus aujourd’hui qu’une marionnette exténuée de l’armée algérienne, laquelle fait de son mieux pour maintenir un semblant de cohésion dans ce pays en proie aux appétits multiples des capitalistes d’outre atlantique et des islamistes les plus radicaux qu’elle contient au sud , se positionnant ainsi comme un rempart de l’Occident. Garder le vieux en couveuse le plus longtemps possible, permet de gagner du temps pour préparer l’après Boutéflika qui entame à l’article de la mort son quatrième mandat. « La vacance du pouvoir – énergiquement niée par l’entourage du chef de l’Etat – exaspère et inquiète. L’élite se dit humiliée, » nous rapporte Florence Baugé envoyée spéciale du monde à Alger (15/11). Il manquerait plus qu’avec son brio habituel, et sa connaissance fine de la politique étrangère en Méditerranée, dans ce contexte algérien fragile, la CIA nous concocte, avec l’appuie de la France, un « printemps arabe » dont elle a le secret, histoire de rejouer à nos portes la calamiteuse affaire lybienne.. Je doute que l’armée algérienne gouterait ce genre de plaisanterie. Elle n’aurait, en outre, aucun complexe à écraser dans le sang toute velléité de révolte. Mais il faut toujours se méfier des docteurs Folamour téléguidés par Washington, on n’imagine pas le plaisir qu’ils ont à jouer aux allumettes sur les poudrières. Compte tenu par ailleurs, de la nullité actuelle du locataire de l’Elysée et de celui du quai d’Orsay, j’ai du mal à croire que ces messieurs mesurent l’importance capitale que revêt aujourd’hui encore la question algérienne. Du reste, il semble bien que rien n’ait plus beaucoup d’importance, puisque depuis Sarkozy, les ordres viennent d’outre atlantique. Ainsi, la politique globalement et plus particulièrement la diplomatie ne consistent t’elles pas à toutes fins à régler nos comptes avec l’Histoire, aussi légitimes soient-ils, encore moins, dans la tradition française, de se mettre au service d’un empire, mais d’assurer le bien commun général et plus précisément celui de notre patrie en tenant compte des données objectives et actualisées. Une France forte avec à sa tête un état indépendant et durable, n’aurait aucun mal à mener une politique méditerranéenne cohérente et féconde.

    Olivier Perceval

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Deux-nouveaux-terroristes-sur-le

  • Cités françaises : le retour de la féodalité et du règne des seigneurs dealers ! - Par Adrien Abauzit

    Une énième fois une cité de la banlieue française s’est embrasée. Il était évident que ce type d’évènement se reproduise, de même qu’il est tout aussi évident qu’il se reproduira encore.

    Même une amélioration de la situation économique de la France n’y changerait rien.

    Pour en être convaincu, il suffit de comprendre le processus auquel nous assistons dans les cités, de banlieues et de certaines grandes villes, depuis plusieurs décennies.

    De nombreuses cités françaises sont des bastions d’économies parallèles. C’est un fait. Parler de la question de la délinquance, comme le font les tartufes qui nous gouvernent, sans évoquer l’économie parallèle, c’est volontairement passer à côté du problème.

    Les émeutes de Trappes, comme celle d’Amiens en 2012, celles de Villiers le Bel en 2007 et celles de 2005, n’avaient qu’un seul but. Un but identique à celui des caillassage de pompiers, d’ambulanciers, de médecins et de policiers.

    Ces émeutes ont pour but de faire reculer la frontière de l’autorité publique. De redélimiter les frontières à partir desquelles les dealers font la loi, à proprement parler, à la place de l’Etat français.

    Ces émeutes ne sont pas le fruit du hasard ou de la spontanéité. Le moindre prétexte est utilisé par les dealers pour embraser leur ville, car c’est à ce prix qu’ils annexent des territoires.

    Médusé, le peuple français assiste à la privatisation de l’espace public par des seigneurs de guerre. Ceci est l’exact reflet d’un processus que la France a déjà connu : l’émergence et le triomphe de la féodalité. En effet, entre le milieu du IXème siècle et le XIIème siècle, la France a vu son territoire s’atomiser au profit de seigneurs de guerres qui chassaient de leur futur fief toute autorité royale, afin d’imposer leur autorité.

    En clair, la féodalité est en train de faire son grand retour dans les cités françaises. L’analogie n’est pas trop forte. On retrouve des grandes familles régnantes. Du guetteur au dealer, qui est en relation avec le grand banditisme, on retrouve également différents statuts, différents grades.

    Si le gouvernement français le voulait, ce phénomène serait enraillé dans les vingt-quatre heures. L’Etat dispose de tous les moyens logistiques et techniques pour une telle opération. Alors pourquoi ne fait-on rien ?

    Diverses raisons l’expliquent selon l’auteur : crainte d’une explosion qui se terminerait en guerre civile, lâcheté et peut-être aussi corruption. Mais il se peut qu’il y ait un motif encore plus pervers : on laisse se développer cette néo-féodalité, car grâce à elle, naît une délinquance qui permet d’exercer une véritable stratégie de la tension sur le peuple. En effet, le peuple français baisse les yeux de nos jours devant les petites têtes blondes de nos racailles d’origines scandinaves et non devant une quelconque Tcheka.

    Un vieil adage dit que les rois ont fait la France. Il paraît incontestable que la République soit décidée à favoriser sa décomposition.

    Adrien Abauzit, 14.11.2014
    Billet initialement publié sur La Gauche m'a tuer

    http://www.scriptoblog.com/index.php/blog/societe/1588-cites-francaises-le-retour-de-la-feodalite-et-du-regne-des-seigneurs-dealers-par-adrien-abauzit

  • Immigration : Besancenot-Laurence Parisot, même combat !

    Entretien avec Alain de Benoist

    Autrefois, il y avait l’infernal tandem libéral-libertaire incarné par Daniel Cohn-Bendit et Alain Madelin. Il y a aujourd’hui celui formé par Najat Vallaud-Belkacem et Emmanuel Macron, avec cette particularité qu’ils appartiennent l’un et l’autre au même gouvernement. Alliance contre-nature ?

    Alliance parfaitement naturelle, au contraire, puisque le libéralisme économique et le libéralisme sociétal dérivent tous deux de la même conception d’un « homme économique » fondamentalement égoïste ayant pour seul but de maximiser rationnellement son utilité, c’est-à-dire son meilleur intérêt. Ce qu’on appelle l’axiomatique de l’intérêt n’est rien d’autre que la traduction en termes philosophiques de cette disposition naturelle de l’être humain à l’égoïsme. Le libéralisme pose l’individu et sa liberté supposée « naturelle » comme les seules instances normatives de la vie en société, ce qui revient à dire qu’il fait de l’individu la seule et unique source des valeurs et des finalités qu’il se choisit. La liberté libérale suppose ainsi que les individus puissent faire abstraction de leurs origines, de leur environnement, du contexte dans lequel ils vivent et où s’exercent leurs choix, c’est-à-dire de tout ce qui fait qu’ils sont tels qu’ils sont, et non pas autrement. La vie sociale, dès lors, n’est plus affaire que de décisions individuelles, de négociations procédurales et de choix intéressés.

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  • La remigration pour éviter l’islamisation, par Pierre Cassen

    via Boulevard Voltaire

    Le 18 décembre 2010, le Bloc identitaire organisait, espace Charenton, les Assises internationales sur l’islamisation de nos pays, en compagnie de Riposte laïque et de Résistance républicaine. Quatre ans plus tard, cette fois seule, l’organisation présidée par Fabrice Robert nous propose, ce samedi 15 novembre, à Paris, les Assises de la remigration, où interviendra, entre autres, René Marchand, auteur de « Reconquista ou mort de l’Europe ».

    Que s’est-il passé depuis quatre années ? Si on en croit les chiffres du démographe Yves-Marie Laulan, lors d’un exposé sur le thème « La France en danger », en mars 2012, il y aurait en France un solde positif de 250.000 immigrés chaque année, soit 1 million depuis les Assises de Charenton. Et il ne tenait pas compte à l’époque des conséquences de Lampedusa… À juste titre, après les crimes de Toulouse et de Montauban, la présidente du FN s’interrogeait, se demandant, parmi tous les nouveaux venus qui arrivent sur notre territoire, combien il y avait de Mohammed Merah en puissance ?

    Nous avons constaté, d’autre part – fait unique dans l’histoire de notre pays –, qu’un président de la République a été élu grâce au survote musulman, estimé à 93 % par l’institut OpinionWay.

     

    Il pousse, en France, une mosquée tous les cinq jours et demi, soit donc, depuis quatre ans, plus de deux cents, sans oublier des centaines de projets dans les cartons. Nous avons eu droit aux émeutes anti-juives de Barbès et de Sarcelles. Signe terrible de la pression musulmane, le ministre de l’Éducation nationale, la Franco-Marocaine Najat Vallaud-Belkacem, vient d’autoriser, lors des sorties scolaires, les accompagnatrices voilées, remettant gravement en cause l’esprit de la loi de 1905. N’oublions pas que plus d’un millier de djihadistes de nationalité française (Samuel Laurent, auteur de Al-Qada en France, pense qu’il y en a davantage) sont partis apprendre à faire la guerre sainte en Irak et en Syrie. Bref, la situation est bien plus grave qu’il y a quatre ans.

    Le 15 novembre 2013, sur un plateau de télévision, le philosophe Michel Onfray expliquait, devant des interlocuteurs éberlués, qu’il voyait, d’ici cinquante années, la France et l’Europe sous domination musulmane, à cause de l’immigration et de la démographie. Personne n’a contesté ce pronostic, que la caste politico-médiatique a préféré ne pas commenter.

    Dans le même temps, au Front national, un virage spectaculaire paraît s’effectuer, sur l’islam et le Grand Remplacement. Alors que Marine Le Pen, seule contre toute la classe politique, avait eu le courage de dénoncer les prières musulmanes illégales de la rue Myrha, de demander l’interdiction du voile islamique dans les lieux publics, et de protester contre le fait qu’une majorité de nos compatriotes mange halal sans le savoir, on assiste à une volte-face inquiétante. Outre la réintégration du pathétique converti Maxence Buttey, nous avons eu droit à des déclarations opportunistes de la direction vis-à-vis de l’islam, oubliant que 74 % de nos compatriotes jugent ce dogme incompatible avec nos valeurs. Nous avons entendu, d’autre part, le nouveau dirigeant du FNJ, Gaëtan Dussausaye, qualifier le concept de Grand Remplacement de racialiste, ce qu’Éric Zemmour, Renaud Camus, les Identitaires et nombre de patriotes apprécieront.

    De nombreux Français ont mis leurs derniers espoirs dans le FN, pour échapper au funeste pronostic de Michel Onfray. Mais dans ce parti, à ce jour, seul Aymeric Chauprade a osé parler de remigration, et écrire qu’une grande partie des musulmans présents sur notre sol n’avait pas vocation à y rester. C’est bien peu.

    En organisant, quatre ans après les Assises sur l’islamisation, ces nouvelles Assises sur la remigration, le Bloc identitaire est dans la continuité. Il met la direction du Front national devant une question incontournable…

    En organisant, quatre ans après les Assises sur l’islamisation, ces nouvelles Assises sur la remigration, le Bloc identitaire est dans la continuité. Il met la direction du Front national devant une question incontournable : peut-on prétendre sauver la France, sa culture, son identité et sa civilisation sans procéder à une remigration massive des adeptes de la charia (entre autres), seule solution pour sauver notre pays d’une islamisation inéluctable ?

    Pierre Cassen

    http://fr.novopress.info/178367/remigration-eviter-lislamisation-pierre-cassen/#more-178367