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immigration - Page 135

  • Libourne : un collégien menace d’égorger son professeur

    Un élève de quatrième au collège Marguerite-Duras de Libourne (Gironde) a menacé d’égorgement son professeur durant un cours, relate Sud-Ouest.

    Les faits se sont produits vendredi 1er décembre, en plein cours d’histoire-géographie. « Tu fais trop le mac, je vais t’égorger », a lancé l’élève, à deux reprises, au collège Marguerite-Duras de Libourne.

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  • Après l’assassinat de Thomas : Panique au « Château » ?

    You are currently viewing Après l’assassinat de Thomas : Panique au « Château » ?

    Par Olivier Perceval

    Un expert de l’élevage canin me disait un jour : « Quand un chien aboie furieusement jusqu’à mordre, c’est le plus souvent le maître qui est responsable. »

    La saillie du garde des sceaux, mardi à l’Assemblée n’est-elle pas révélatrice de la panique qui s’empare aujourd’hui du patron de l’Élysée, devant la montée de la grogne de la France périphérique face à l’insécurité qui se répand dans tout le pays, fruit d’une obsession immigrationiste, et d’un échec des procédures d’intégration ?

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  • Attaque de Crépol : Nos premiers ennemis sont des Blancs

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n° 308 – Novembre 2023)

    La façon dont l’attaque de Crépol est traitée par le Système, ses politiciens, ses procureurs et ses médias, illustre une fois de plus cette réalité tragique : les premiers ennemis des Français de souche sont des Français de souche eux aussi. Nos premiers ennemis sont nos dirigeants et tous ceux qui les approuvent, les élisent et exécutent leurs ordres. Nos premiers ennemis sont des Blancs.

    C’est ainsi que, comme à l’habitude, loin de prendre le parti des Français de souche et des règles de vie en vigueur dans une France française, le Système a pour seul souci d’empêcher que l’attaque de Crépol n’aboutisse à la mise en cause de sa politique d’immigration massive.

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  • Crépol : ce sondage accablant pour Macron, Borne, Darmanin et Dupond-Moretti

    Olivier Véran a été envoyé à Crépol par le pouvoir, dix jours après l'attaque sanglante du bal du village qui a coûté la vie à Thomas. Dix jours de retard qui s'ajoutent à des années d'impéritie. Pour faire oublier sa double défaillance, aussi bien dans son incapacité à maîtriser une violence endémique issue de l'immigration que dans sa tentative de minimisation des faits. Dans ce petit village de la Drôme, meurtri au sens propre, le ministre, sous les huées, a été contraint d'énoncer le constat qu'il réprouve quand c'est Éric Zemmour ou Marine Le Pen qui le fait. Comme la vaine récupération d'une indignation nationale qui le submerge.

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  • Dominique Seux, des Echos, sur les condamnations des manifestations d’ultra-droite par le gouvernement : « La ficelle est un peu grosse. »

    Vu sur F de Souche

     

     

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  • Bruno et Patricia Perez : « Comment ne pas penser sans cesse aux parents et aux frères de Thomas ? »

    Bruno et Patricia Perez, parents d'Adrien.

    Bruno et Patricia Perez, parents d'Adrien. © DR
    Propos recueillis par Charlotte d'Ornellas 
    Parents d'Adrien, poignardé mortellement à la sortie d'une boîte de nuit en 2018 à Meylan, près de Grenoble (Isère), Bruno et Patricia Perez ont voulu prendre la parole après la mort de Thomas à Crépol.  

    Le JDD. Vous avez perdu votre fils Adrien, poignardé à la sortie d’une boîte de nuit à Meylan en juillet 2018. Vous ressentiez le besoin de prendre la parole après la mort de Thomas

    Bruno et Patricia Perez. Parce que la mort de Thomas nous a inévitablement ramenés à la mort de notre fils. Ils étaient à une soirée, ils jouaient au rugby, ils étaient jeunes, ils n’étaient pas armés, ils n’avaient rien demandés et ils nous ont été arrachés. Avec des couteaux, avec des gens qui « plantent » gratuitement, à répétition. Rien que ce mot est insupportable…

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  • Paris a rendu un vibrant hommage au jeune Thomas assassiné par les racailles d'importation

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    D'abord interdit par le pouvoir macronien, le rassemblement parisien en mémoire de Thomas a finalement été autorisé suite au recours devant le tribunal administratif déposé par les organisateurs. Bravo à eux, c'est une baffe de plus pour le sinistre Damanin, l'apprenti tyran de la place Beauvau.

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  • Olivier Véran explique pourquoi il n’y a pas de racisme anti-Blanc

    Depuis ce qu’il est convenu d’appeler « le drame de Crépol », les politiciens de tous bords se succèdent sur les plateaux de télévision. Certains jouent toujours la même partition (presque tous, à vrai dire). D’autres n’hésitent pas à « dire les termes », comme disent les jeunes, quitte à faire ce que l’on pourrait appeler de la surenchère (Reconquête, par la voix de Marion Maréchal, ou Éric Zemmour) : ils participent à la popularisation des expressions « Français de papiers » ou « racisme anti-Blanc » et n’hésitent pas à relativiser la « menace » que représentent les 80 patriotes sans armes venus à Romans-sur-Isère, dont l'un a été lynché par des racailles sans que cela n'émeuve plus que cela. D’autres, encore - c’est le cas du RN -, font du crypto-macronisme, comme Jean-Philippe Tanguy sur LCI, ce 1er décembre. Le RN a un boulevard devant lui. On a compris qu’il était définitivement dédiabolisé. De là à approuver Gérald Darmanin quand il dissout des groupes identitaires, de là à considérer que ces groupes sont une menace pour quiconque, il y a tout de même un pas. Espérons que cela leur serve, au moins…

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  • Mineurs étrangers : le département de l’Ain jette l’éponge !

     Marc Baudriller 1 décembre 2023

    Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin se déploie en communication, mais la Macronie lutte tant contre l’immigration que nos structures d’accueil explosent. 

    Ainsi, ce mercredi 29 novembre, le département de l’Ain (Bourg-en-Bresse) a tranché dans le vif. Il suspend « temporairement » pour au moins trois mois la prise en charge des fameux « mineurs non accompagnés », dits MNA, qui arrivent directement sur son territoire. Le département a publié en ce sens un communiqué dont nous avons confirmé la validité auprès du service de communication. « Confronté depuis des mois à une augmentation massive d’arrivées de mineurs non accompagnés, le département de l’Ain n’est actuellement plus en capacité d’en accueillir », tranche officiellement le département. Ce n’est pas faute de bonne volonté. En 2023, le département a créé 150 places d’hébergement. Mais voilà, « le dispositif explose », explique le département qui « ne dispose plus de solutions, ni temporaires, ni pérennes ».

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  • Paris : images du rassemblement en hommage à Thomas place du Panthéon (MàJ : « Trois CRS m’ont dit que tout s’est passé calmement » rapporte Paul Sugy du Figaro)

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    Le tribunal administratif a suspendu vendredi soir l’arrêté d’interdiction de rassemblement à Paris d’un groupuscule de l’ultradroite en hommage au jeune Thomas tué lors d’une fête de village dans la Drôme, estimant qu’il s’agissait d’une «atteinte grave à la liberté de manifester». (…)

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