
C’est le 3 octobre dernier, au cours d’un contrôle, que les policiers ont constaté la présence de trois individus de nationalité bangladaise. Sans papiers et non déclarés, ces travailleurs clandestins ne percevaient pas de salaires. En contrepartie de leur travail, ils gagnaient uniquement le droit de vivre à l’étage du restaurant, dans des conditions insalubres. Leur “habitation“, de 5 m2 pour trois, leur coûtait malgré tout un loyer pour le lit, rapportent nos confrères du Progrès.