
Le 27 novembre dernier, lors de son éditorial dans l'émission C à vous diffusée sur France 5, Patrick Cohen s'était emparé du meurtre de Crépol, choisissant pour angle d'attaque : « La mécanique de la haine et du mensonge. »
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En 2023, sur les 97 viols connus et commis dans les rues de Paris, 30 ont été élucidés. Et selon les informations d’Europe 1, 36 personnes ont été interpellées. Parmi eux, 28 sont de nationalité étrangère, soit 77% des mis en cause, selon des chiffres recensés par la préfecture de police de Paris. Des faits majoritairement commis la nuit, dans des lieux touristiques ou proches des points de deal.
Le 17 mars 2019, Place Stanislas à Nancy, 3 militants identitaires avaient déployé une banderole avec l'inscription "Ici c'est Nancy pas l'Algérie".
Ils avaient également scandé "One, two, three, retourne dans ton pays" face aux manifestants algériens rassemblés contre le régime du président Bouteflika.
Les activistes avaient alors été arrêtés et placés 24 heures en garde à vue pour cette action pacifique.
Le maire de Nancy Laurent Hénart (Mouvement radical) avait réagi en félicitant ces « sanctions exemplaires ».
Comme l’a montré l’échec du Brexit sur le plan migratoire, ne pas (ou ne plus) faire partie de l’Union européenne ne garantit pas pour autant de pouvoir agir à sa guise dans ce domaine. L’exemple de la ville norvégienne de Drammen vient nous le rappeler.
Source : capture Google Maps
En effet, le conseil municipal (de droite) de cette ville d’environ 100 000 habitants située au sud du pays avait pris la décision par 29 voix contre 28, le 13 février dernier, de n’accueillir que des réfugiés ukrainiens. Une décision motivée par le fait que ces Ukrainiens seraient « plus faciles à intégrer dans la société » que d’autres étrangers.
Michel Festivi
Des agressions se sont multipliées ces quelques derniers jours en rapport avec les pratiques de l’islam. Une adolescente qui ne respectait pas le ramadan en Alsace s’est fait frapper dans un bus ; une autre jeune fille a été gravement molestée à Montpellier car elle s’habillait à « l’européenne » ; un afghan à Bordeaux a mortellement poignardé un musulman et blessé son comparse car ils buvaient de l’alcool, le jour de l’Aïd ; le gérant d’un magasin a fait la Une de l’actualité, menacé de mort plus de cent fois, car il avait osé refuser d’employer une femme voilée dans son commerce, les réseaux sociaux se sont affolés. Tout dernièrement un adolescent de 13 ans a été roué de coups pour avoir diffusé la vidéo « d’une jeune fille qui danse ». Sans parler du tabassage à mort d’un gamin de 15 ans, par deux frères qui ne supportaient pas que leur sœur corresponde avec ce dernier, et on pourrait multiplier les exemples.
Une altercation entre une mère et l’équipe enseignante de l’école de la Millière, dans le 11e arrondissement de Marseille, s’est terminée par des coups et griffures sur la directrice, avec une ITT de 5 jours.
Voilà le discours que Patrick Jardin devait lire devant les invités du Rassemblement Vendéen, ce dimanche 14 avril. Pierre Cassen, qui animait la journée, lui a amicalement conseillé d’improviser son discours, ce qu’il sait faire remarquablement, plutôt que de le lire. Ce que Patrick a fait. Mais voilà ce qu’il avait prévu de dire, et qu’il faut lire, tant ce récit de Patrick par ailleurs bouleversant, fourmille d’anecdotes révoltantes.
Je me nomme PATRICK JARDIN. Je suis un ancien chef d’entreprise associé avec mes frères dans une entreprise de location de voitures : « France Cars ». Cette société, créée en 1952 par mon père, a commencé à se développer régionalement, puis en 1979, mon père nous a vendu l’entreprise. A l’époque, la société possédait 350 véhicules. Avec mes frères, nous avions tellement peur du dicton – comme quoi il y a une génération qui gagne de l’argent et une autre qui le dépense – que nous n’avions qu’un seul et unique but : développer ce que notre père avait créé. Je dois dire que nous avons bossé comme des fous jusqu’en décembre 2016, date à laquelle nous avons cédé l’entreprise à un énorme groupe américain « Avis ». A cette date, l’entreprise comptait 27 500 voitures, 585 personnes et 95 agences dans toute la France. Pourquoi l’avoir cédée ? Simplement parce qu’après avoir vécu le décès de mon épouse, puis le terrible drame du 13/11/2015, j’avais perdu l’envie de me battre. De plus nous étions atteints également par la limite d’âge. Enfin aucun de nos enfants ne pouvait reprendre le flambeau, car cela aurait été très compliqué de payer leur part aux autres associés. De plus et c’est sans aucune honte que je le dis, avec le Covid qui s’en est suivi, nous n’aurions pas eu la trésorerie suffisante pour indemniser nos 585 employés et laisser nos 27 500 véhicules sur les parkings, sans pouvoir les faire tourner. De ce côté-là nous avons eu une chance extraordinaire sinon nous aurions été contraints de déposer le bilan !
Le bourgmestre de Saint-Josse-ten-Noode, Emir Kir, a pris mardi midi un arrêté de police avec effet immédiat afin d’annuler la conférence à laquelle ont été conviés plusieurs nationalistes conservateurs européens dans une salle de la commune, le Claridge.